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B.Engineering Edonis

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B.Engineering Edonis
Marque B.Engineering
Années de production 2001 - 2003
Production 21 exemplaire(s)
Classe Voiture de sport
Usine(s) d’assemblage Modène, Italie
Moteur et transmission
Énergie Essence
Moteur(s) V12
Position du moteur Longitudinale centrale arrière
Cylindrée 3 760 cm3
Puissance maximale 680 ch
Couple maximal 736 N m
Transmission Propulsion
Boîte de vitesses Boîte manuelle 6 rapports
Masse et performances
Masse à vide 1 300 kg
Vitesse maximale 365 km/h
Accélération 0 à 100 km/h en 3,2 s
Châssis - Carrosserie
Carrosserie(s) Coupé 2 portes
Châssis Châssis monocoque, carrosserie aluminium
Coefficient de traînée 0.32
Suspensions Triangles superposés (AV et AR)
Direction A crémaillère
Freins Disques ventilés (AV et AR)
Dimensions
Longueur 4 350 mm
Largeur 1 998 mm
Hauteur 1 120 mm
Empattement 2 565 mm
Voies AV/AR 1 556 mm  / 1 612 mm

L'Edonis est une supercar, fabriquée à Modène par la société B.Engineering[1]. Elle tire son nom du grec "hedoné" qui veut dire PLAISIR. Au départ B.engineering ambitionnait de produire 21 exemplaires mais aux final deux exemplaires seulement en plus du prototype verrons le jour.. Elle est la "première voiture du XXIe siècle", puisque dévoilée à minuit, le .

Elle est basée sur le châssis d´une EB110 Super Sport et possède un châssis monocoque habillé d'une carrosserie en aluminium faite à la main. La belle est motorisée par un V12 3.8 biturbo de 680 ch. Son prix est de 680 000 euros. À l'origine prévue pour faire 1 000 ch, elle n'a pas pu atteindre cette puissance faute d'homologation.

Les responsables de B.Engineering embauchent une vingtaine d’anciens salariés de Bugatti dans le but de continuer à développer l’EB110 vers une GT plus moderne aux caractéristiques et performances améliorées. N'ayant plus de châssis disponibles car les derniers ont été rachetés par l'entreprise Dauer, ils développent sur la même base que l'EB110 une monocoque en fibre de carbone[1].

ils reprennent le V12 Bugatti mais ils le réalèsent à 3.8 litres (contre 3.5) et le dotent de 2 gros turbos et non plus de 4 petits comme initialement. Pour la transmission, la transmission intégrale est remplacée par la propulsion. Les pneumatiques sont des PAX de chez Michelin (développés pour la Bugatti Veyron).

Le design est signé par un ancien de chez Bertone. Les rétroviseurs placés en haut des portes sur le prototype seront déplacés vers une place plus conventionnelle sur la voiture finale[1].

Malheureusement l’Edonis ne percera jamais.

Références

  1. a b et c « B Engineering Edonis: la malédiction du V12 Bugatti », Boitier Rouge,‎ (lire en ligne, consulté le )