Aller au contenu

« Arabe-Barbe » : différence entre les versions

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Contenu supprimé Contenu ajouté
Ligne 85 : Ligne 85 :
Ces chevaux sont communs en [[Afrique du Nord]], ce qui inclut le [[Maroc]], l'[[Algérie]], la [[Tunisie]] et le [[Tchad]]{{sfn|Rousseau|2014|p=396}}. Il s'en trouve également en [[Espagne]] et en [[France]]{{sfn|Rousseau|2014|p=396}}. L'Arabe-barbe est la race de chevaux la mieux connue{{sfn|DAD-IS - Algérie|id=DAD-IS A}} et la plus commune en Algérie, au Maroc et en Tunisie{{sfn|Mebarki|Kaidi|Benhenia|2018|p=185}}.
Ces chevaux sont communs en [[Afrique du Nord]], ce qui inclut le [[Maroc]], l'[[Algérie]], la [[Tunisie]] et le [[Tchad]]{{sfn|Rousseau|2014|p=396}}. Il s'en trouve également en [[Espagne]] et en [[France]]{{sfn|Rousseau|2014|p=396}}. L'Arabe-barbe est la race de chevaux la mieux connue{{sfn|DAD-IS - Algérie|id=DAD-IS A}} et la plus commune en Algérie, au Maroc et en Tunisie{{sfn|Mebarki|Kaidi|Benhenia|2018|p=185}}.


D'après Mebarki et al. (2018), sur environ {{unité|100 000|chevaux}} que compte l'Algérie, 90 % sont des Arabe-barbe{{sfn|Mebarki|Kaidi|Benhenia|2018|p=185}}. D'après une conférence donnée au [[Salon international du cheval d'El Jadida]] en octobre 2010, le nombre total estimé de chevaux Arabe-barbe dans tout le Maghreb est alors de {{unité|185000|têtes}}<ref name="SbAlld"/>. Jemmali et al. (
D'après Mebarki et al. (2018), sur environ {{unité|100 000|chevaux}} que compte l'Algérie, 90 % sont des Arabe-barbe{{sfn|Mebarki|Kaidi|Benhenia|2018|p=185}}. D'après une conférence donnée au [[Salon international du cheval d'El Jadida]] en octobre 2010, le nombre total estimé de chevaux Arabe-barbe dans tout le Maghreb serait de {{unité|185000|têtes}}<ref name="SbAlld"/>. En 2005, Lahoussine Ouragh estime la population équine marocaine à 160 000 chevaux, dont 90 % d'Arabe-barbe<ref>{{Article |langue=en |prénom1=Lahoussine |nom1=Ouragh |titre=DNA Polymorphism of Arabian, Thoroughbred and Anglo-Arab Horses in Morocco |périodique=Applications of Gene-Based Technologies for Improving Animal Production and Health in Developing Countries |éditeur=Springer Netherlands |date=2005 |isbn=978-1-4020-3312-4 |doi=10.1007/1-4020-3312-5_46 |lire en ligne=https://link.springer.com/chapter/10.1007/1-4020-3312-5_46 |consulté le=2020-02-18 |pages=621–639 }}</ref>.

) estiment la population de Barbe et d'Arabe-barbe tunisien à environ {{unité|20000|chevaux}}{{sfn|Jemmali|Haddad|Ouled Ahmed|Lasfer|2015|p=}}. La population européenne est beaucoup plus réduite, avec environ {{unité|1600}} Arabe-barbe estimés<ref name="SbAlld"/>.
Jemmali et al. (
) estiment la population de Barbe et d'Arabe-barbe tunisiens confondus à environ {{unité|20000|chevaux}}{{sfn|Jemmali|Haddad|Ouled Ahmed|Lasfer|2015|p=}}. La population européenne est beaucoup plus réduite, avec environ {{unité|1600}} Arabe-barbe estimés<ref name="SbAlld" />.


En 1992, la population tunisienne{{sfn|DAD-IS - Tunisie|id=DAD-IS T}} et algérienne{{sfn|DAD-IS - Algérie|id=DAD-IS A}} recensée dans la base de données DAD-IS était de {{unité|32000|têtes}}, avec une tendance à la baisse. Les effectifs marocains ne sont pas connus{{sfn|DAD-IS - Maroc|id=DAD-IS M}}.
En 1992, la population tunisienne{{sfn|DAD-IS - Tunisie|id=DAD-IS T}} et algérienne{{sfn|DAD-IS - Algérie|id=DAD-IS A}} recensée dans la base de données DAD-IS était de {{unité|32000|têtes}}, avec une tendance à la baisse. Les effectifs marocains ne sont pas connus{{sfn|DAD-IS - Maroc|id=DAD-IS M}}.

Version du 18 février 2020 à 19:32

Arabe-barbe
Arabe-barbe alezan à Tozeur, en Tunisie.
Arabe-barbe alezan à Tozeur, en Tunisie.
Région d’origine
Région Maghreb
Caractéristiques
Morphologie Cheval de selle
Taille 1,40 m à 1,62 m
Poids 400 à 500 kg
Robe Généralement gris, plus rarement bai, alezan, ou noir
Pieds Adaptés à la course
Autre
Utilisation Fantasia, travail

L′Arabe-barbe (arabe : حصان عربي بربري) est une race de chevaux de selle originaire du Maghreb. Issu du croisement entre l'Arabe et le Barbe, il est réputé mieux conformé et plus sportif que ces deux derniers. L'Arabe-barbe est un cheval de selle commun en Afrique du Nord, employé notamment pour les fantasias.

De taille moyenne et de format carré, il présente une circonférence de poitrine importante.

Dénomination

Cette race est connue sous les noms d'Arabe-barbe (avec variances allant d'Arabe-Barbe à arabe-barbe, avec ou sans tiret), en anglais arabian-barb ou arab-barb, et en allemand Araber-Berberpferd[1].

Histoire

Ces chevaux proviennent de croisements entre le Barbe, notamment marocain, et l'Arabe[2]. Leur formation remonte à la colonisation française de l'Afrique du Nord, à la fin du XIXe siècle, lorsque des chevaux arabes de race pure ou croisés ont été mélangés avec le Barbe indigène[3]. Le dendrogramme et l’analyse factorielle des correspondances entre le Barbe et l'Arabe-barbe tunisien montrent un chevauchement entre la constitution génétique des individus analysés, et confirment la base génétique commune[4].

En Algérie, les juments Barbe autochtones de Tiaret (dans l'Ouest du pays) ont été croisées avec des étalons arabes dès 1877, dans un objectif militaire, afin de « corriger » la morphologie du Barbe, jugée défectueuse[5]. Les chevaux issus de ces croisements se sont ensuite reproduis entre eux[5].

L'Algérie est le premier pays à établir un stud-book Arabe-barbe, en 1948. Dans ce pays, les Arabe-barbe sont présentés dans des shows depuis 1975[6].

Description

Jeune Arabe-barbe gris.

Taille et poids

CAB International indique une fourchette de taille allant de 1,52 m à 1,62 m (2016)[2], tandis que le guide Delachaux indique 1,40 m à 1,55 m[7]. En Tunisie, les mesures de référence notées sur la base de données DAD-IS sont de 1,50 m chez les femelles et 1,55 m chez les mâles[8]. En Algérie, une toise de 1,55 m est indiquée pour les mâles et les femelles[6]. L'Arabe-barbe des plaines côtières est plus grand que celui des hauts-plateaux, lui-même plus grand que celui des régions désertiques, le plus petit étant trouvé dans les montagnes[5]. L'Arabe-barbe algérien est plus petit que le Barbe, avec un périmètre de canon inférieur[5]. Il est en revanche plus grand que l'Arabe-barbe du Maroc, et doté d'un périmètre de canon supérieur[5]. Les mesures morphométriques présentent des variations importantes en fonction de la région d'élevage[9].

Le poids de naissance est de 60 à 65 kg[8]. À l'âge adulte, le poids va de 420 à 450 kg selon les données de DAD-IS en Tunisie[8], de 400 à 500 kg selon les données de l'Algérie[6].

Morphologie

Arabe-barbe bai à Tozeur, Tunisie.

Le modèle est celui du cheval oriental[2]. Les Arabe-barbe sont généralement plus grands et solides que les chevaux arabes, avec des postérieurs plus hauts, et des pieds adaptés à la vitesse[6]. Le format est toujours « carré »[10]. Les membres sont fins par comparaisons avec la masse du cheval[10]. La circonférence de la poitrine est relativement importante, qualité nécessaire pour un cheval de selle rapide[10]. La hauteur au garrot est égale à la hauteur à la croupe, ce qui fait de l'Arabe-barbe un cheval « horizontal  »[10]. Les autres mensurations et caractéristiques morphologiques, très hétérogènes[11], varient en fonction du degré d'origines Arabe et Barbe de l'animal, avec une distinction entre trois catégories : les chevaux ayant moins de 25 % d'origines arabes, les chevaux entre 25 et 75 %, et les chevaux à plus de 75 % arabes[12].

Il existe aussi d'importantes différences morphologiques entre l'Arabe-barbe des plaines côtières, et celui des montagnes[9]. Les chevaux des hauts plateaux et des régions du désert sont morphologiquement intermédiaire entre les deux premiers[9].

Les chevaux des montagnes sont plus trapus, et perçus comme moins élégants[10].

Robe

La robe est indiquée comme étant grise dans les données tunisiennes sur DAD-IS[8], cependant le guide Delachaux indique comme possibles également le bai, l'alezan avec crins lavés, et le noir, souvent assortis de marques blanches[7].

Tempérament et entretien

Arabe-barbe du désert mangeant des dattes séchées, près de Tozeur.

La fécondité de la race est réputée basse en Tunisie, de l'ordre de 30 à 35 %[8]. La période de lactation des juments dure en moyenne 180 jours[8]. Ces chevaux sont connus pour leur rusticité[6], ils sont en effet extrêmement économiques, notamment en termes d'alimentation[13].

Les différences morphologiques entre populations de chevaux Arabe-barbe s'expliquent par la disponibilité de la nourriture[10]. Les plaines côtières, de climat méditerranéen humide, fournissent une alimentation végétale abondante à ces animaux, alors que les régions montagneuses présentent un climat subhumide, et les régions désertiques du Sahara un climat subaride, avec vulnérabilité à la désertification[10].

Ces chevaux peuvent être parasités par Toxoplasma gondii, une étude menée en Tunisie montrant une fréquences d'infestation plus fréquente dans le Sud du pays que dans le Nord[14]. De façon rare, l'Arabe-barbe marocain peut être génétiquement porteur du syndrome d'immunodéficience sévère combinée (SCID) : l'analyse généalogique des chevaux concernés a permise de remonter à 3 étalons arabes importés au Maroc[15].

Cheval du Hodh

Un type d'Arabe-barbe est décrit dans les sources coloniales sous le nom de « cheval du Hodh » ; propre à la région du Hodh, en Mauritanie, il y est élevé par les Mechdoufs[16]. Il toise de 1,45 m à 1,48 m, pour 325 à 375 kg[16].

Sélection

Les chevaux de race Arabe-barbe peuvent être enregistrés auprès de l'organisation mondiale du cheval Barbe (OMCB)[5]. Il a été proposé de considérer comme véritablement Arabe-Barbe le cheval ayant des origines arabes comprises entre 25 et 75 %, pour l'inscription à titre initial au stud-book de l'Arabe-barbe dans les pays constituant le berceau de race[12].

La conférence annuelle de l'OMCB donnée à Tunis en 2013 reconnaît les chevaux issus des croisements suivants comme Arabe-barbe[1] :

  • Arabe-barbe x Arabe-barbe
  • Arabe-barbe x Pur-sang arabe
  • Arabe-barbe x Barbe
  • Barbe x Pur-sang arabe

La diversité génétique exprimée par l'hétérozygotie de la race est bonne (d'après une étude menée au Maroc et publiée en 1994), avec une courte distance génétique entre le Barbe et l'Arabe-barbe[17]. Une étude publiée en Tunisie en 2015 montre que la moyenne des allèles observés chez la population Arabe-Barbe est de 7.70 (0.613) allèle par locus[4], ce qui fait de l'Arabe-barbe une population légèrement déficitaires en hétérozygotie[4].

La race présente des variants génétiques rares, tels que Dcfgkm, Ddekl, Es‐N, Tf‐A et Pi‐W[17]. On observe une diversification du polymorphisme chez les chevaux Arabes-barbe et Barbe, au contraire du cheval arabe[18].

Utilisations

Probable cheval Arabe-barbe (au premier plan) monté pendant le Festival international du Sahara, à Douz en Tunisie.

Ces chevaux historiquement employés pour la guerre le sont désormais pour le travail, et des manifestations culturelles, en particulier les fantasias[6]. Ils sont idéaux pour une utilisation durant les fantasias[19]. Solides chevaux de selle, ils peuvent aussi pratiquer l'endurance[19]. En Tunisie, les tâches du quotidien rural, telles que la traction agricole, sont effectuées par des chevaux Barbe et Arabe-barbe issus de petits élevages traditionnels[4].

Diffusion de l'élevage

Arabe-barbe attelé près de Tozeur.

Ces chevaux sont communs en Afrique du Nord, ce qui inclut le Maroc, l'Algérie, la Tunisie et le Tchad[7]. Il s'en trouve également en Espagne et en France[7]. L'Arabe-barbe est la race de chevaux la mieux connue[6] et la plus commune en Algérie, au Maroc et en Tunisie[5].

D'après Mebarki et al. (2018), sur environ 100 000 chevaux que compte l'Algérie, 90 % sont des Arabe-barbe[5]. D'après une conférence donnée au Salon international du cheval d'El Jadida en octobre 2010, le nombre total estimé de chevaux Arabe-barbe dans tout le Maghreb serait de 185 000 têtes[1]. En 2005, Lahoussine Ouragh estime la population équine marocaine à 160 000 chevaux, dont 90 % d'Arabe-barbe[20].

Jemmali et al. ( ) estiment la population de Barbe et d'Arabe-barbe tunisiens confondus à environ 20 000 chevaux[4]. La population européenne est beaucoup plus réduite, avec environ 1 600 Arabe-barbe estimés[1].

En 1992, la population tunisienne[8] et algérienne[6] recensée dans la base de données DAD-IS était de 32 000 têtes, avec une tendance à la baisse. Les effectifs marocains ne sont pas connus[21].

Notes et références

  1. a b c et d (de) « Verein der Freunde und Züchter des Berberpferdes e.V., VFZB e.V. Zuchtprogramm für das Araber-Berberpferd », sur www.vfzb.de, .
  2. a b et c Porter et al. 2016, p. 439.
  3. Kadri 2009, p. 57.
  4. a b c d et e Jemmali et al. 2015.
  5. a b c d e f g et h Mebarki, Kaidi et Benhenia 2018, p. 185.
  6. a b c d e f g et h DAD-IS - Algérie.
  7. a b c et d Rousseau 2014, p. 396.
  8. a b c d e f et g DAD-IS - Tunisie.
  9. a b et c Mebarki, Kaidi et Benhenia 2018, p. 188.
  10. a b c d e f et g Mebarki, Kaidi et Benhenia 2018, p. 189.
  11. Kacem Nacéra, Évaluation morphométrique et polymorphisme génétique par amplification du microsatellite ASB02 chez les chevaux Barbe, Arabe Barbe et Pur-Sang Arabe du nord-ouest Algérien, Université de Mostaganem - Mémoire de Magister en Sciences Agronomiques Option « Génétique et Reproduction Animale », 2012-2013 (lire en ligne).
  12. a et b Boujenane, Touati et Machmoum 2008.
  13. G. Aumassip et A. Kadri : Les Chevaux Anciens Du Maghreb. Communication présentée au 5° Salon du Cheval d’El Jadida, 2012.
  14. (en) Sonia Boughattas, Ramzi Bergaoui, Rym Essid et Karim Aoun, « Seroprevalence of Toxoplasma gondii infection among horses in Tunisia », Parasites & Vectors, vol. 4, no 1,‎ , p. 218 (ISSN 1756-3305, PMID 22107730, PMCID PMC3253060, DOI 10.1186/1756-3305-4-218, lire en ligne, consulté le ).
  15. (en) M. Piro, A. Benjouad, N. S. Tligui et K. El Allali, « Frequency of the severe combined immunodeficiency disease gene among horses in Morocco », Equine Veterinary Journal, vol. 40, no 6,‎ , p. 590–591 (ISSN 2042-3306, DOI 10.2746/042516408X333001, lire en ligne, consulté le )
  16. a et b Georges Doutressoulle, L'élevage au Soudan français, son économie, Alger. Imbert, , 2e éd., 374 p., p. 184.
  17. a et b Ouragh, Mériaux et Braun 1994.
  18. M. Machmoum, « Contribution a l'étude de la variabilite génétique de l'hémoglobine chez les chevaux Arabes, Barbes et Arabes-Barbes au Maroc », {{Article}} : paramètre « périodique » manquant,‎ (présentation en ligne).
  19. a et b Mebarki, Kaidi et Benhenia 2018, p. 190.
  20. (en) Lahoussine Ouragh, « DNA Polymorphism of Arabian, Thoroughbred and Anglo-Arab Horses in Morocco », Applications of Gene-Based Technologies for Improving Animal Production and Health in Developing Countries, Springer Netherlands,‎ , p. 621–639 (ISBN 978-1-4020-3312-4, DOI 10.1007/1-4020-3312-5_46, lire en ligne, consulté le )
  21. DAD-IS - Maroc.

Annexes

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

Lien externe

  • (en) « Arabe Barbe / Algeria (Horse) », Domestic Animal Diversity Information System of the Food and Agriculture Organization of the United Nations (DAD-IS).
  • (en) « Arabe Barbe / Tunisia (Horse) », Domestic Animal Diversity Information System of the Food and Agriculture Organization of the United Nations (DAD-IS)
  • (en) « L'arabe-barbe / Morocco (Horse) », Domestic Animal Diversity Information System of the Food and Agriculture Organization of the United Nations (DAD-IS)

Bibliographie

Articles de recherche

  • [Boujenane, Touati et Machmoum 2008] I. Boujenane, I. Touati et M. Machmoum, « Mensurations corporelles des chevaux Arabe-Barbes au Maroc », Rev. Méd. Vét., vol. 159,‎ , p. 144-149 (présentation en ligne)
  • [Jemmali et al. 2015] B. Jemmali, M. M. Haddad, H. Ouled Ahmed et F. Lasfer, « Investigation de la diversité génétique des races Barbe et Arabe Barbe en Tunisie », Journal of New Sciences, vol. 21,‎ (lire en ligne, consulté le )
  • [Mebarki, Kaidi et Benhenia 2018] M. Mebarki, R. Kaidi et K. Benhenia, « Morphometric description of Algerian Arab-Barb horse », Revue Méd. Vét., vol. 69, nos 7-9,‎ , p. 185-190 (lire en ligne)
  • [Ouragh, Mériaux et Braun 1994] (en) L. Ouragh, J.-C. Mériaux et J.-P. Braun, « Genetic blood markers in Arabian, Barb and Arab-Barb horses in Morocco », Animal Genetics, vol. 25, no 1,‎ , p. 45–47 (ISSN 1365-2052, DOI 10.1111/j.1365-2052.1994.tb00055.x, lire en ligne, consulté le )

Ouvrages spécialisés

  • [Jamali 2020] Yassine Hervé Jamali, Le Cheval barbe, Actes Sud, coll. « Arts équestres », , 272 p. (ISBN 978-2-330-13111-1)
  • [Kadri 2009] Abderrahman Kadri, Le barbe cheval de légende, Zaki Bouzid Édition, , 312 p. (ISBN 978-9961-7-7110-5)
  • [Slawik et Geipert 2006] (de) Christiane Slawik et Susanne Geipert, Legendäre Pferde der Berber. Araber, Araber-Berber und Berber, Cadmos Verlag, , 95 p. (ISBN 978-3-86127-432-2 et 978-3861274322)

Ouvrages généralistes

  • [Porter et al. 2016] (en) Valerie Porter, Lawrence Alderson, Stephen J. G. Hall et Dan Phillip Sponenberg, Mason's World Encyclopedia of Livestock Breeds and Breeding, CAB International, , 6e éd., 1 107 p. (ISBN 1-84593-466-0, OCLC 948839453), p. 439Voir et modifier les données sur Wikidata
  • [Rousseau 2014] Élise Rousseau (ill. Yann Le Bris), Tous les chevaux du monde, Delachaux et Niestlé, , 544 p. (ISBN 2-603-01865-5), « Barbe-arabe », p. 396Voir et modifier les données sur Wikidata