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Le film Agora d'Alejandro Amenabar, sorti en 2009, présente plusieurs thèmes intéressants à analyser. Le film met en scène la vie de la philosophie Hypathie au IVe siècle, mais les thèmes qu'il aborde font écho à l'actualité de son contexte de production. Les conflits religieux, la préséance de la science, les questions existentielles sur l'univers et le féminisme sont des problématiques auxquelles se heurtent les sociétés de notre ère et qui font réfléchir les auditeurs sur des questions qui sont bien de leur temps.

Anachronismes[modifier | modifier le code]

Hypathie[modifier | modifier le code]

Le personnage principal du film est Hypatie, la philosophe, fille de Théon, dernier directeur du musée de la bibliothèque d'Alexandrie. Somme toute, le portrait d'Hypatie, tel que représenté dans le film, est assez fidèle à celui de la vraie philosophe. De plus, les sources rapportant la vie d'Hypatie n'abondent pas : on se fie surtout à la correspondance qu'elle a entretenue avec Synésios de Cyrène et aux textes de l'historien Socrates le scholastique[1].

Certains aspects de la vie et de la personnalité d'Hypatie sont donc obscurs et font l'objet d'hypothèses et de suppositions. Alejandro Amenabar peut très bien livrer une version d'Hypatie basée sur ses propres perceptions de ce personnage à l'historicité floue. Néanmoins, si l'on se base sur les théories très cohérentes d'historiens réputés, il est généralement convenu qu'Hypatie avait autour de soixante ans à sa mort . Comme sa date de naissance n'est pas connue, les historiens ont établi qu'au moment de ses leçons avec Synésios de Cyrène (dans les années 390), Hypatie devait avoir une trentaine d'années. Or, dans le film, si elle semble effectivement de cet âge lorsqu'elle donne ses cours à Synésios, elle n'est pas du tout âgée de soixante ans lors de son décès.

Un autre aspect sur lequel l'historienne polonaise Maria Dzielska insiste dans son ouvrage sur Hypatie est l'influence et le respect dont la femme philosophe jouissait auprès de l'élite d'Alexandrie. Ses connexions, même au-delà de la cité, avec des familles influentes, souvent celles de ses élèves anciens et actuels, donnent à Hypatie du pouvoir et de l'influence, ce qui, d'après Dzielska, aurait été un facteur influent dans son assassinat . Dans le film, nous ne sommes pas vraiment témoins de contacts entre Hypatie et l'élite noble d'Alexandrie, hormis de ceux qu'elle entretient avec Orestes, le préfet.

Orestes, Synésius et Cyrille[modifier | modifier le code]

En ce qui concerne les autres personnages, l'histoire rapporte qu'Orestes, très proche d'Hypatie à partir du début de son mandat de préfet en 412, n'a jamais été son élève, pas plus qu'il n'a entretenu une amitié avec Synésios de Cyrène[2].Il n'est pas non plus question d'une romance entre Orestes et Hypatie, bien qu'une histoire mentionnant un tissu imbibé de sang menstruel remis par Hypatie à un soupirant ait été rapportée par le philosophe Damascios[3]. Personnage clé dans la vie d'Hypatie, Synésios, évêque de Cyrène, est dépeint comme son élève préféré, avec lequel la philosophe entretient une correspondance assidue jusqu'à la fin de sa vie. Toutefois, Synésios meurt en 413, deux ans avant l'assassinat d'Hypatie. Il n'a donc pas pu être présent lors du conflit entre l'évêque Cyrille et Orestes, comme c'est le cas dans le film. Aussi, à travers sa correspondance avec Hypatie, on observe que Synésios vouait une grande admiration à sa tutrice, qu'il l'a considérait l'égale de l'évêque Théophile[4]. Synésios était chrétien, mais on le montre très fondamentaliste dans le film alors qu'il ne l'était sans doute pas autant dans la réalité. Le passage où il demande à Hypatie de se faire baptiser donne l'impression qu'il ne comprend pas ni ne respecte ses idées et sa philosophie, ce qui est une image déformée. Quant à l'esclave Dafus, il s'agit d'un personnage inventé.

Chronologie et évènements[modifier | modifier le code]

Les évènements illustrés dans le film Agora ne sont pas tout à fait alignés avec l'histoire. En premier lieu, le saccage de la Bibliothèque d'Alexandrie, tournant majeur dans le film, est, en réalité, seulement celui du Sérapeum, un temple consacré au dieu Sérapis, symbole important du paganisme romain. Le temple est en effet rendu aux Chrétiens qui le détruisent, comme il est illustré dans le film, à la différence qu'il n’est pas question de la Bibliothèque[5]. Dans Agora, Hypatie et ses élèves sont pris malgré eux en plein cœur de cette confrontation entre Chrétiens et païens à la Bibliothèque et au Sérapeum (annexé à la Bibliothèque). En réalité, la philosophe et ses étudiants ne participent aucunement au conflit du Sérapeum. Hypatie n'intervient pas en faveur du paganisme, malgré le prestige dont elle jouit au sein de l'élite. L'autre évènement important mit en scène dans le film est la mort d'Hypatie. Il y est clairement suggéré que l’assassinat de la philosophe fût provoqué par l’évêque Cyrille, qui s’attaque indirectement à elle en lisant, pendant une messe, l’épître de Paul à Timothée, dans lequel il est dit que la femme doit demeurer «dans le silence et la soumission». En réalité, l’historienne  Maria Dzielska rapporte plutôt que Cyrille, envieux de l’influence et de la popularité d’Hypatie, avait commencé à répandre parmi le peuple des rumeurs colportant que la philosophe pratiquait la sorcellerie[6]. Ces rumeurs auraient hypothétiquement poussé un groupe de chrétiens (possiblement des parabalanais, comme c’est le cas dans le film) à s’emparer d’Hypatie alors qu’elle rentre chez elle, à l’entraîner dans une église et à la tuer en la dilapidant avec des tessons. Ainsi le film présente tout de même une version proche de ce que rapporte madame Dzielska et du témoignage de l’historien Socrate le Scholastique. Toutefois, on ressent dans le film que Cyrille est tout puissant à la fin alors que Socrate rapporte plutôt que cet assassinat a été par la suite sévèrement reproché à l’Église d'Alexandrie[7].

Situation au Proche-Orient[modifier | modifier le code]

La principale thématique du film se traduit par une opposition qui est au cœur des débats actuels des années 2000 : la science et la religion. Plus précisément, le concept de «science» dans le film englobe, non seulement, les enseignements philosophiques, astronomiques et mathématiques d'Hypatie, mais aussi son agnosticisme et sa pensée néoplatonicienne. Dans l'actualité, on peut y faire un lien avec les valeurs et les systèmes social et politique des pays occidentaux, que les États-Unis, si actifs sur la scène internationale, se veulent porteurs et messagers. En effet, depuis la Seconde Guerre mondiale et la chute des régimes totalitaires, le libéralisme et la démocratie se sont établi comme vainqueur, incarnés par les États-Unis qui se considèrent comme grand représentant de la démocratie[8]. Depuis le début du XXIe siècle (période qui nous intéresse), les Américains sont très présents dans les conflits internationaux (notamment en Irak, en Afghanistan...) et, bien que ce ne soit pas l'objet de ce texte que de débattre du rôle des États-Unis à l'étranger, ils s'affirment comme un symbole de démocratie. Or, la démocratie est un concept d'origine grec, et, dans le film Agora, Hypatie, philosophe de l'école néoplatonicienne, étudie des textes en langue grecque de penseurs grecs. En quelque sorte, elle est donc une défenseuse de la culture hellénistique. Le lien est peut-être un peu poussé, mais cette thématique rappelle pourtant cette dualité « Occident-Orient » dont l’historien renommé Georges Corm parle dans son livre Le Proche-Orient éclaté. Il mentionne même un « affrontement entre l’Orient dit musulman et l’Occident dit judéo-chrétien [9]».

En effet, Agora, qui se déroule à Alexandrie en Égypte, fait échos aux conflits qui se jouent présentement dans cette région, celle du Moyen-Orient. Cette situation imprègne profondément le début de notre siècle. Avec l’invasion de l’Irak par les États-Unis en 2003 et les tensions constantes entre les Palestiniens et les Israéliens, les attentats contre les Chrétiens et les musulmans chiites en Irak et la nouvelle attaque israélienne contre le Liban en 2006[10], on ne peut s’empêcher de penser aux scènes de violence entre les Juifs et les Chrétiens dans le film, des scènes qui représentent d’ailleurs de véritables faits historiques. Les tensions religieuses se jouent aujourd’hui particulièrement entre la Palestine musulmane et l’État juif d’Israël. Les médias en ont énormément parlé dans les années 2000. On se souvient notamment, en juin 2002, de l’érection d’un mur en Cis-Jordanie pour séparer les Israéliens des Palestiniens. Outre ce conflit récalcitrant, les médias ont aussi beaucoup fait mention des groupes intégristes. Georges Corm parle d’attentats par des factions Jihadistes au Moyen-Orient dans son livre.

Dans Mondialisation, violence et religion, Pierre Noël parle du rapport entre la violence et la religion à travers l’histoire. Il évoque les «évangéliques américains [qui] supportent les guerres de G. W. Bush», les «islamistes [qui] utilisent la langue du Jihad dans leur combat contre l'Occident» et les «sionistes [qui] poursuivent leur lutte pour reconquérir une seconde fois une Terre promise»[11]. Selon lui, les réactions extrémistes de certains groupes sont, en partie, dues au phénomène de la mondialisation. Alejandro Amenabar est inévitablement influencé par ce contexte, cette ère dans laquelle se heurtent une mondialisation à l’occidentale et les réactions, parfois extrêmes, des identités culturelles et religieuses qui se sentent menacées[12]. On ressent ces tensions à l’écran, on ressent une certaine perte de repère et la recherche obsessive et radicale de réponses aux questions existentielles.

La préséance de la science[modifier | modifier le code]

Le film Agora semble vouer une réelle admiration pour la science et la philosophie. Bien que ce puisse être seulement qu’une coïncidence, 2009, l’année de sortie du film, a été consacrée «année mondiale de l’astronomie en l’honneur de Galilée». Agora rend en quelque sorte hommage à la science. Ce n’est donc sûrement pas une erreur d’avoir aussi situé la scène de saccage par les Chrétiens dans la Bibliothèque d’Alexandrie. En effet, la Bibliothèque d’Alexandrie est un symbole de savoir et d’épanouissement intellectuel.

Contrairement aux thèmes et aux images des autres péplums, Agora mise avant tout sur les raisonnements mathématiques et astronomiques d’Hypatie. Plusieurs scènes du film sont, en effet, dédiées à ses enseignements, à ses réflexions et à ses théories, des scènes sans action qui font référence à des philosophes et à des mathématiciens de l’Antiquité, tout comme à des théorèmes et des principes, lesquelles, pour un public moins averti, peuvent paraître ardues et longues. Pourtant, ces scènes sont très intéressantes à analyser. Hypatie et son père, Théon, étudiaient et analysaient les œuvres de Ptolémée, de Diophante et d’Apollonius de Perge, notamment[13]. Le film montre une maquette des épicycles de Ptolémée et un cône en bois qui se défait en les différentes sections coniques, inventées par Apollonius. Alejandro Amenabar a pris une certaine liberté en ce qui concerne les théories et les découvertes d’Hypatie, allant jusqu’à lui attribuer des pensées qui auraient pu révolutionner complètement l’astronomie de son époque. Toutefois, il n’est pas impossible qu’Hypatie ait pu concevoir ces thèses, car son éducation approfondie sur les astronomes grecs pouvait lui donner les outils nécessaires pour faire évoluer sa pensée.

Un peu en écho aux progrès que la science accomplit aujourd’hui, Agora mise avant tout sur le camp de l’agnosticisme, de la philosophie et de la science et Amenabar ne le cache pas d’ailleurs. Hypatie enseigne à ses élèves le système de Ptolémée et les théorèmes d’Euclide. Tout au long du film, en parallèle aux conflits religieux, on assiste au cheminement intellectuel de la philosophe. Un peu comme la religion cherche à le faire, Hypatie est obsédée à l’idée de découvrir le fonctionnement de l’univers. Comme il ne reste aucune trace de ses travaux, on ignore quelle découverte elle a pu faire. La philosophe se met alors, dans le film, à considérer les théories d’Aristarque de Samos (310-230 environ av. JC), qui a soulevé l’idée des planètes tournant autour du soleil. Ce n’est donc pas seulement à Copernic que l’on peut attribuer cette théorie. Aristarque y avait déjà pensé et il est plausible qu’Hypatie ait pu lire ses travaux. Mais ce qui ne fonctionnait pas avec la théorie d’Aristarque, c’était qu’il considérait toujours que la terre décrivait un cercle autour du soleil[14]. C’est là qu’Hypatie (dans le film) surpasse Aristarque. Alejandro Amenabar lui fait découvrir la forme elliptique de l’orbite de la terre. Jusqu’à Copernic, les astronomes admettaient tous que les orbites des planètes étaient circulaires et ne concevaient pas une autre forme que celle-là[15].

C’est donc lui accorder une intelligence extraordinaire que de montrer Hypatie comme étant celle qui découvre la révolution copernicienne, alors qu’aucun autre astronome de son époque n'est arrivé à cette conclusion. Et, dans le film, son assassinat n’en est que plus tragique puisque les Chrétiens, qui semblent prôner l’ignorance, tue celle qui aurait pu révolutionner le monde avec cette théorie que nous, les auditeurs, savons vraie. À ce niveau, le film met en scène la dualité, qui existera plus tard dans l’histoire avec Copernic puis Galilée, entre la thèse de l’anthropocentrisme et celle de l’héliocentrisme. Les religions monothéismes placent l’homme au centre de l’univers, alors qu’en établissant que la terre décrit une ellipse autour du soleil, Hypatie détruit ce mythe : l’être humain n’est pas le centre de tout. En poussant ce paroxysme plus loin, nous pourrions même faire un lien avec les blessures narcissiques infligées par le développement de la science à l’humanité, telles que décrites par Sigmund Freud[16].

Féminisme[modifier | modifier le code]

L’un des axiomes d’Euclide illustre non seulement le thème de la science, mais aussi celui du féminisme en apportant l’idée d’égalité entre les différents groupes religieux, mais aussi entre les hommes et les femmes. Au début, lorsque Synénios reproche à Oreste de critiquer Dieu en critiquant l’univers, Hypatie utilise cet axiome d’Euclide : «deux choses égales à une troisième sont aussi égales entre elles» pour les raisonner. Elle compare Oreste et Synésios à elle-même. Ils sont donc tous égaux, malgré leur religion et malgré leur genre. À la fin du film, Synésios utilisera à son tour cet axiome pour tenter de convaincre Hypatie de se soumettre au christianisme, mais, cette fois, l’axiome perd son sens d’égalité. Les Chrétiens ici jouent avec les mots pour tourner les situations à leur avantage. C’est aussi le cas lorsqu’Oreste reproche à Cyril de manipuler les écritures saintes pour salir la réputation d’Hypatie. Mais celle-ci n’acceptera jamais de se soumettre à l’influence de Cyril et préfère mourir en martyr. Si cette ode à la force, à l’intelligence et à la grandeur d’Hypatie n’est pas un hommage à la femme, quel film le sera?

Le thème du féminisme semble en fait plutôt contemporain. Il y a eu des personnages féminins influents au cours de l’histoire, et de l’antiquité, mais ces personnages semblent souvent relégués au second plan. Les femmes comme Hypatie, qui jouissaient d’un prestige social, reconnues pour leur intelligence et sollicitées pour des conseils, étaient plutôt rares dans l’Antiquité. Et Hypatie, toute sa vie, reste sous la tutelle de son père. Sous le régime romain de l’Antiquité, le statut de la femme dépend entièrement de celui de l’homme. Elle est d’abord sous le pouvoir de son père, puis sous celui de son mari[17]. La situation d’Hypatie est donc reliée non seulement à sa condition sociale (noblesse), mais aussi, et surtout, à la liberté que lui accorde son père. Lorsque celui-ci meurt, Hypatie n’est probablement plus en âge de se marier et, reconnue dans toute Alexandrie en tant que philosophe, elle continue à enseigner. Toutefois, comme on le voit dans le film, cette liberté lui sera reprochée par les Chrétiens.

Le film Agora aborde la question du féminisme sur deux plans. D’abord, en présentant Hypatie comme le personnage principal, respectée des hommes qui l’entourent, il dépeint la femme comme étant l’égale de l’homme, dotée d’une force de caractère, d’une intelligence supérieure et d’un esprit entièrement libre. Ici, Hypatie est même pratiquement déifiée. Sur le second plan, avec le personnage de l’évêque Cyrille qui s’acharne à reléguer Hypatie (et toutes les femmes d’ailleurs) au rang de femmes soumises, sans éducation, dont le seul rôle est celui de mère, le film dénonce la condition des femmes. Il la dénonce non seulement à travers l’histoire (aujourd’hui encore, il existe des inégalités entre les hommes et les femmes), mais aussi à l’intérieur du christianisme. L’Église catholique exclue encore les femmes des postes élevés dans sa hiérarchie, maintient que le mariage est indissoluble et interdit l’avortement[18]. De plus, elle rejette aussi la contraception, cantonnant la femme à un rôle de procréation. De telles inégalités pourraient aussi être relevées dans d’autres religions.

Le fait que le film Agora mette en scène la vie d’une femme célèbre pour son érudition, qui jouissait d’un prestige social et qui inspirait le respect de ses contemporains, et non la vie d’un personnage féminin célèbre pour ses liaisons amoureuses, contribue à donner une image valorisante de la femme. De même, en illustrant les attaques de Cyril contre Hypatie ainsi que son assassinat tragique, le film cherche à dénoncer les inégalités qui existent encore aujourd’hui entre les hommes et les femmes.

  1. Maria Dzielska. Hypatia of Alexandria, Cambridge, Mass., Harvard University Press, 1995, p.27.
  2. Maria Dzielska. Hypatia of Alexandria, Cambridge, Mass., Harvard University Press, 1995, p.102.
  3. Maria Dzielska. Hypatia of Alexandria, Cambridge, Mass., Harvard University Press, 1995, p.89.
  4. Maria Dzielska. Hypatia of Alexandria, Cambridge, Mass., Harvard University Press, 1995, p.87.
  5. Maria Dzielska. Hypatia of Alexandria, Cambridge, Mass., Harvard University Press, 1995, p.79-80.
  6. Maria Dzielska. Hypatia of Alexandria, Cambridge, Mass., Harvard University Press, 1995, p.90-91.
  7. Anne Jensen & Livia Neureiter. Femmes des premiers siècles chrétiens. Bern, P. Lang, 2002, p.181.
  8. Joseph Yacoub. Fièvre démocratique et ferveur fondamentaliste : dominantes du XXIe siècle, Paris, Cerf, 2008, p.22 et 23.
  9. Georges Corm. Le Proche-Orient éclaté, 1956-2012. (7e éd. mise à jour et augm..e éd.), Paris, Gallimard, 2012, p.1055.
  10. Georges Corm. Le Proche-Orient éclaté, 1956-2012. (7e éd. mise à jour et augm..e éd.), Paris, Gallimard, 2012, p.11.
  11. Pierre Noël. Mondialisation, violence et religion. Montréal, Fides, 2009. p.8.
  12. Pierre Noël. Mondialisation, violence et religion. Montréal, Fides, 2009. p.7.
  13. Maria Dzielska. Hypatia of Alexandria, Cambridge, Mass., Harvard University Press, 1995, p.71-72.
  14. Ludwik Marian Celnikier. Histoire de l'astronomie occidentale. (2e éd., revue et actualisée.e éd.). Paris, Technique et documentation, 1996. vi, p.55-56.
  15. Ludwik Marian Celnikier. Histoire de l'astronomie occidentale. (2e éd., revue et actualisée.e éd.). Paris, Technique et documentation, 1996. vi, p.57.
  16. Freud S. Une difficulté de la psychanalyse (1917). In : Œuvres complètes - Psychanalyse vol. XV. Paris : PUF; 1996. p. 43-51., [lire en ligne, p. 6-9].
  17. Georges Duby & Michelle Perrot. Histoire des femmes en Occident. Paris, Plon, 1991. p.136.
  18. Pierre Noël. Mondialisation, violence et religion. Montréal, Fides, 2009. p.85-86.