Utilisateur:Wilsondahan/Brouillon

Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

ROSES[modifier | modifier le code]

Roses ou Rosas est une commune de la comarque de l'Alt Empordà, province de Gérone, en Catalogne (Espagne). La ville est au centre de la baie à laquelle elle donne le nom – baie de Roses – et à l'extrême nord du golfe de Roses. C'est un centre touristique avec de nombreuses urbanisations, hôtels et équipements, deux ports (pêche et sport). Il se trouve dans la zone septentrionale dont les reliefs s'élèvent sur le piémont pyrénéen. Le climat est marqué par la tramontane et la proximité de la mer. La façade maritime est bordée d'une grande plage de sable – entre le nouveau port et le grau – et, plus à l'est, de nombreuses calanques, dont les plus connues sont les Canyelles Petites, l'Almadrava (ou les Canyelles Grosses), Murtra, Rustella, Montjoi, Pelosa, et Jóncols. Certains accidents géographiques sont notables, comme la pointe Falconera et l'imposant cap Norfeu qui fait partie de la réserve du parc naturel du Cap de Creus.

Bien que le tourisme offre la principale source de revenus de Roses, le secteur primaire est également très présent avec l'agriculture (oliviers et vignes) et surtout la pêche, le port de Roses étant le plus important de toute la côte nord de la Catalogne.

Roses
Rosas
Blason de Roses
Héraldique
Drapeau de Roses
Drapeau
Wilsondahan/Brouillon
Administration
Pays Drapeau de l'Espagne Espagne
Communauté autonome Catalogne
Province Gérone
Comarque Haut-Ampurdan
Maire
Mandat
Montsé Mindan (CIU)
2015-2019
Code postal 17480
Démographie
Gentilé Rosinc, rosinca (es)
Population 19 216 hab. (2017)
Densité 419 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 15′ 50″ nord, 3° 10′ 46″ est
Altitude 5[1] m
Superficie 4 591 ha = 45,91 km2
Localisation
Localisation de Roses
Géolocalisation sur la carte : Espagne
Voir sur la carte topographique d'Espagne
Roses
Géolocalisation sur la carte : Espagne
Voir sur la carte administrative d'Espagne
Roses
Liens
Site web www.roses.cat


Geographie[modifier | modifier le code]

Commune située sur la Costa Brava, sur les rives de la mer Méditerranée au sud du cap de Creus. Elle donne sur la baie de Roses et le golfe de Roses. La ville est limitrophe de deux parcs naturels : celui du Cap Creus au Nord et celui de l'Aiguamolls au sud-est. Au nord se trouve le massif des Albères servant de frontière entre la France et l'Espagne. La ville de Rosas, se situe ainsi à 32 km du col des Balitres (vers Cerbère) et 42 km du passage de la frontière du Perthus. Son orientation plein sud combinée à un adossement aux dernières collines des Albères lui confère un micro-climat réputé où la tramontane, souvent présente, est quelque peu atténuée par rapport à d'autres sites du Nord de la Costa Brava. En 2011, la baie de Rosas a été admise dans le club réduit des plus belles baies du monde[réf. nécessaire]. Celle-ci commence à accueillir certains bateaux de croisière de taille moyenne. Chaque été en Juillet, de 2012 à 2017, Rosas a accueilli une étape du tour de France à la voile. Toponymie Le nom dérive de la colonie grecque fondée à au IVe siècle av. J.-C. au nord ouest du village et qui portait le nom de Rhode ou Rhodos (Ῥόδη, Ῥόδος, ou Ῥοδίπολις, et plus certainement Ῥόδη πόλις). Cette colonie primitive occupait la Ciutadella de Roses contemporaine et fut un établissement commercial grec destiné à commercer avec les indigènes ibères habitant l'actuelle Empordà. Son nom fut latinisé en Rhodus lorsque la zone fut conquise par les romains après la deuxième guerre punique avant d'être transformé en Rhodes, Rodes (Xe siècle) puis Roses (XIVe siècle). À noter que le toponyme de Rodes est toujours associé à des lieux environnants (montagne de Rodes et monastère de Rodes). Le nom en espagnol dérive lui-même du terme catalan. Dans leurs graphie contemporaines, les deux formes signifient « roses », fleur récemment ajoutée au blason de la ville. Les termes - « Roses », « Rosas » - sont utilisés dans leurs langues respectives. « Roses » est le toponyme officiel du lieu depuis 1978. Il n'existe pas d'usage particulièrement défini en français. Les deux formes — Roses et Rosas — sont utilisées, avec une prononciation française.

Histoire[modifier | modifier le code]

Les premières traces d’établissements humains dans la municipalité de Rosas se trouvent dans les montagnes qui entourent le noyau urbain actuel. Dans le prétendu Cau de las Guilles, des vestiges archéologiques du Paléolithique supérieur ou du Magdalénien ont été découverts. Ce sont les plus anciennes découvertes de la commune. À l'endroit connu sous le nom de "maison brûlée" se trouvent trois dolmens, Cruz de Cobertella, Cama de la General et Cabeza del Hombre, datant d'environ 3 000 ans avant notre ère du néolithique. À cote de ceux-ci, il y a plusieurs menhirs et cistes, tous des monuments funéraires qui attestent de l'existence d'un établissement humain dans ce lieu.

Epoque Grec[modifier | modifier le code]

En l'an 333 a. C. une serie de familles de la ville grecque de masalia (Marseille) s’installant à San Pedro de Roda. Plus tard, la colonie se déplace dans la partie plate du territoire et reçoit le nom de Rhodes, dont les restes sont dans la cour de la citadelle actuelle. La colonie a acquis une grande importance commerciale. La preuve en est la fabrication de pièces réalisée sur place. Ces pièces portaient d'un côté une rose et de l'autre la tête de la nymphe Aréthuse avec la légende « rodeton".

Epoque Romaine[modifier | modifier le code]

En l'an 216 a. C. une expédition militaire romaine commandée par Cneo Cornelio Escipión Calvo arrive . L'expédition était composée de soixante-dix navires avec 1 800 chevaux et 36 000 nourrissons et a établi un camp dans la région, près de la colonie hellénique.

En 195 a. C. 25 galères d’Ampurdán arrivent sous le commandement de Marco Porcio Cato, Cato l’Ancien,et doit faire face à l'armée de Carthage qui a obtenu le soutien des habitants non romains de la place. La confrontation est connue comme la bataille de Rhode et a été remportée par les Romains qui, avec une armée de 17 500 combattants, ont causé, selon le récit, environ 40 000 pertes ennemies.

La colonie militaire romaine est devenue une importante ville commerçante et est devenue l'une des cinq plus grandes villes de la région de l'Empordà.

À l’époque il y avait une magnifique place avec une statue d'un chevalier Rosen. Sur cette place se trouvait le temple de la déesse Minerve. Selon un plan de Claude Ptolémée, le temple de Vénus était situé dans les montagnes. Rosas a obtenu le titre de municipalité pendant la seconde moitié du Ier siècle ap. C., ce qui atteste que roses est devenu un signe de splendeur à cette époque.

L'industrie de la céramique s'est développée dans la région. Il y avait aussi des villages agricoles à la campagne, qui étaient autosuffisants et produisaient du vin, de l'huile et des céréales, ainsi que des vaches, des cochons et des troupeaux de moutons. De plus, le salage du poisson s'est développé dans la ville.

Moyen Age[modifier | modifier le code]

Entre les années 650 et 700 de notre époque, la population quitte la plaine et s’installe à proximité, créant ainsi la ville de Puig Rom, le castrum wisigothique. Cette colonie est fortifiée et constitue l’une des plus importantes fortifications wisigothiques.

L'usine de la parcelle urbaine était ovale et la ville était protégée par un mur constitué de gros blocs de granit avec une seule porte d'accès, orienté au sud avec deux tours carrées de chaque côté.

Pendant une courte période, il fut occupé par les Arabes et passa plus tard au Royaume d'Aragon, où fut fondé le monastère de Santa Maria de Rosas dans la plaine, à proximité de laquelle un terrain urbain est créé.

Roses au XVI siècle[modifier | modifier le code]

La ville est devenue importante en tant que centre commercial, étant donné les aspects favorables de la baie, celle-ci est devenu une cible militaire pour défendre les pirates sarrasins et français, qui a également abouti à la construction de la citadelle de Roses et le château de la Trinité.

L'importance économique et stratégique avait réussi a expliquer que la ville fut fortifiée en 1402, pour se protéger contre les attaques des pirates de la mer et les invasions françaises par terre, toujours constant dans son histoire. La première de ces invasions est la croisade d'Aragon en 1285. L'armée française occupe la ville et a commencé à envahir le Ampurdan jusqu'à Gérone plus tard. Les envahisseurs ont été vaincus plus tard par Roger de Lauria.

Après la guerre des Segadors, au cours de laquelle la population avait été décimé, le terrain urbain est reconstruit hors des murs de fortification, laissant cet espace à un usage militaire.


Actuellement[modifier | modifier le code]

À partir du XVIIe siècle, une banlieue a été créée autour de l'enceinte fortifiée qui, après le siège de 1645 et la destruction de la ville médiévale située dans celle-ci, est devenue pertinente et en pleine croissance. À la fin du XVIIIe siècle, il existait déjà une colonie importante avec sa propre identité, séparée de la juridiction militaire qui prévalait dans la région fortifiée. Le noyau était formé de 300 maisons ou fogueras. Les vestiges de l'ancien village médiéval continuent à desservir le monastère voisin de Santa María. En 1796, à l'initiative du recteur Jaime Dilma, qui avait pris ses fonctions en 1790, un nouveau temple paroissial fut construit dans le centre urbain, qui conserve le nom de "Santa María", et le culte y est transféré.

La nouvelle église était le centre du développement urbain de la ville, composé de maisons en plantes et d'un sol qui conformaient le réseau de rues autour du temple.

En février 1813, au milieu de la guerre d’indépendance, l’armée napoléonienne désactive de façon permanente les défenses de Roses qui défendent une partie de la citadelle, le château de la Trinité et la tour de Norfeu (point de surveillance avancée).

Au cours du XIXe siècle, l'urbanisation de la première ligne de mer avec des bâtiments modernistes et néoclassiques témoigne de la prospérité de Rosas aux XIXe et XXe siècles.

Pendant la guerre civile, Roses subit des bombardements et des abris anti-aériens sont construits: la Paix, dans la place générale Prim (qui est préservée intacte), et la Ciutadella . Entre 1939 et 1948, sur l’ordre de Franco, une série de bunkers pour batteries à terre ont été construits à Punta Falconera afin de protéger la baie contre une éventuelle invasion.

Dans le décennie de 1960, il se produit une évolution touristique qui constitue l'un des principaux moteurs de l'économie. Le développement touristique modifie la parcelle urbaine et la fait grandir tout au long de la côte, avec des bâtiments modernes destinés à la restauration. De grands immeubles et des hôtels émergent et créent une large promenade le long de la côte. Il s’agit également, dans la partie de Santa Margarita, d’un développement urbain fondé sur des canaux permettant aux bateaux de plaisance d’accéder aux bâtiments résidentiels.

Le 17 mars 2001, une attaque à la voiture piégée a eu lieu devant l'hôtel de Montecarlo, dans laquelle meurt la mosso d'Esquadra Santos Santamaría.




Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Roses a franchi le seuil des 20 000 habitants en 2009 avec un pic à 20 542 au recensement de 2010, au sens de résidents permanents, particulièrement important pour les municipalités sur le plan administratif et financier en Espagne. Depuis la population régresse légèrement à cause de la crise économique qui a engendré le départ de certains travailleurs notamment d'origine marocaine. C'est ainsi que le dernier recensement fin 2017 aboutit à un tassement et à une population permanente officielle de 19216 habitants. Cette baisse doit toutefois être relativisée par la présence de plus en plus nombreuse de doubles résidents, notamment ressortissants de l’UE, non enregistrés comme résidents municipaux.

La ville a néanmoins connu une croissance régulière depuis les années 70 où elle comptait encore moins de 10 000 habitants. Roses est donc désormais la seconde ville de la comarque de l'Alt Empordà après Figueres et sa plus grande agglomération côtière. Elle est par ailleurs la 19eme ville de l’ensemble de la province de Gérone en terme démographique.

En tant que ville touristique, son infrastructure commerciale dépasse largement celle d'une ville de cette importance. En effet, au cœur de la saison d'été, la population y est multipliée par cinq à six[réf. nécessaire], avoisinant donc les 120 000 habitants.

Économie[modifier | modifier le code]

C'est un lieu réputé pour le tourisme balnéaire dans cette région et on y dénombre beaucoup d'hôtels et immeubles de locations estivales. Ayant atteint le seuil des 20 000 habitants en 2009, Rosas a obtenu de l'État son classement en tant que ciudad, ce qui en fait désormais, avec Figueras, la seconde ville de l'Alt Empordà. La proximité de la frontière française et le cadre de sa baie expliquent sans doute l'importance des résidents européens et notamment français, comme dans le secteur des commerces. La communauté française est ainsi estimée à près de 2 000 résidents[réf. nécessaire]pour l'ensemble des communes de la baie de Rosas. D'autres Européens, Belges, Allemands, Néerlandais ou Britanniques sont soit retraités permanents soit propriétaires de résidences secondaires alors qu'une communauté marocaine importante réside également de manière continue. Roses se caractérise donc par une ambiance cosmopolite sans doute encore un peu plus prononcée que dans d'autres villes du littoral de la Costa Brava. Dans la perspective d'une croissance démographique maîtrisée, avec un objectif de 28 000 habitants d'ici 2030, un nouveau plan d'urbanisme a été validé au début de 2010. Sur le plan urbanistique, la ville se compose notamment d'un centre-ville, du quartier de la marina Santa Margarida vers le Sud-Ouest, du secteur résidentiel Puig Rom-Canyelles-Almadrava au Nord-Est vers le cap de Creus et des quartiers périphériques dits des Mas (Busca, Garrigues, Fumats, Matas).

Sa flotte de pêche traditionnelle est toujours importante aujourd'hui. Le port de Roses partage ainsi avec celui de Blanes la place de premier port de pêche de la Costa Brava. L'arrivée du TGV à Figueras via Perpignan dès la fin 2010 constitue sans doute un atout important à son développement économique et touristique. En 2011, malgré la crise économique, Rosas fut ainsi la seule ville de la province de Gérone où le nombre de transactions immobilières restait en croissance par rapport à l'année précédente. Ainsi, en pleine période de crise, Rosas s'est affirmée en tant que capitale côtière de l'Empordà grâce à son dynamisme économique et à sa position stratégique qui lui préservent son attractivité malgré un environnement difficile.

Lieux d'interet[modifier | modifier le code]

Iglesia parroquial Santa María[modifier | modifier le code]

L’église de Santa maria est un édifice de style néoclassique dont sa construction à débute le 29 juin 1792. En 1796 elle fu consacré et finalement en 1852 les travaux furent conversions terminées même si entre 1853 et 1864 de nouveaux travaux ont lieu pour habiliter les étages supérieurs. Cette nouvelle église remplace par la suite l'église du monastère de Santa Maria de Rosas.

Pendant le XX siècle, notamment entre 1959 et 1963 , de nouveaux travaux ont lieu afin de rénover certaines parties de l'église qui en ont besoin. En 1996 la façade de l'édifice est modifié, et à l'intérieur, des escaliers sont supprimées car l’accès aux étages supérieurs est condamné.

Les meubles de l'église ont été changés en 2001 car une grande partie du mobilier intérieur avait disparu pendant la guerre civile espagnole.

Ciudadela de Rosas[modifier | modifier le code]

il s’agit des vestiges de la fortification du XVIIe siècle qui entourait le village primitif, ainsi que les vestiges des citadelles grecques et romaines et les vestiges médiévaux, ils abritent actuellement un intéressant musée d'interprétation.

Dans l'enceinte de celle-ci on y trouve les restes de Rhodes, déjà nommés par Strabon dans l'une de ses chroniques. Aussi la colonie romaine de Roda et l'émergence du village médiéval de Rosas à côté du monastère de Santa María.

Actuellement, l’enceinte comprend un espace culturel avec une salle d’expositions temporaires, un musée d’histoire et d’archéologie et un espace scénique. Il est géré en coordination avec le Castillo de la Trinidad.

Castillo de la Trinidad[modifier | modifier le code]

Il s’agit d’une fortification du XVIe siècle. Magnifique exemple de puissance de la côte. Il a été construit au milieu du XVIe siècle, à côté de la citadelle, pour la défense du port de Roses et de sa baie. Il constitue, avec la citadelle, l’un des éléments de défense importants et l’aval de la stratégie méditerranéenne et européenne de l’Empire espagnol de l'ère moderne.

Carlos V ordonna sa construction en tant que capitaine général d'artillerie, Luis Pizaño, responsable de sa conception et de sa construction. Il est fabriqué sur une zone en triangle à trois niveaux face à la mer en forme d'amphithéâtre. En février de 1814, pendant la guerre d'indépendance, il a été détruit au moyen d'explosifs par l'armée française. En 2002, il a est décidé de le reconstruire et de le mettre en valeur en tant que monument et espace culturel. Après huit années de réformes, il réouvre en 2010

Castrum o Ciudadela visigoda del Puig Rom[modifier | modifier le code]

La citadelle est situé sur l'un des sommets du Puig Rom, qui couronne la ville de Roses.

C'est une colline fortifiée avec deux tours quadrangulaires. Compte tenu de la datation des objets trouvés lors des fouilles, on considère que la vie dans le castrum a duré de la seconde moitié du VIIe siècle au premier quart du VIIIe siècle.

Mirador de Santa Rosa de Puig Rom[modifier | modifier le code]

À 225 m d'altitude, il s’agit d’un mirador avec une vue magnifique sur l'ensemble du golfe, la plaine de l'Ampurdán, les marais (aiguamolls) et les îles Medes en arrière-plan. ∞ Punta Falconera, zone considéré reserve naturelle où il y a des restes militaires, des bunkers installées pour défendre la côte ainsi que le golf de roses. ∞ El Bulli, c’est un restaurant situé à cal Montjoi, il possède les 3 étoiles du guide Michelin, il est consideré le meilleur restaurant du monde.

Activités [modifier | modifier le code]

Foot (BASE roses et Roses city):[modifier | modifier le code]

Roses compte deux clubs de foot, BASE Roses et Roses City, anciennement il y avait aussi le AE Roses, mais celui-ci a été remplacé par Roses City crée en 2017. Chaque club a son propre stade de foot et ses propres installations situé à proximité les unes des autres. Il est possible de voir les match des deux clubs gratuitement chaque weekend.

Plage[modifier | modifier le code]

La plage de Roses s’étend sur plusieurs kilometres, elle relie ainsi Santa Margarita Roses et Puig Rom par une promenade sans interruption. Aussi des petites plage ou criques sont presentes à Canyelles, l’Almadrava ou encore Cala Montjoi. Les adeptes de la plongés s’y rendent fréquemment pour la diversité marine presente sur place.

Visites( petit train et balades en bateau)[modifier | modifier le code]

Pour le développement touristique, plusieurs compagnies de visites sont presente sur Roses et qui proposent plusieurs visites. Soit des vistes terrestres, « le petit train », en passant par roses, big Rom puis par les différentes criques qui sont presentes dans la zone. Ou soit des compagnies maritimes, qui possèdent des petites maisonnettes le long du paseo et d’ou nous pouvons voir les activités quelles proposent. Toutes ont comme point general qu’elles proposent une visites des fonds marins de la cote avec leur catamaran avec une coque en verre pour ainsi voir les poissons et les fond marins de la baie de roses.

Activités nautiques[modifier | modifier le code]

Avec le développement touristique présent depuis les années 2000, plusieurs activités nautiques se sont developper afin d’occuper et de divertir les touristes. Parmi celles-ci, il y a : la location de bateau, le Flyfish et autres activités avec des bouées, la location de jetski, les vistes en jetski, le Fly Board, des petits bateau à voile(laser 2000).

Education [modifier | modifier le code]

4 écoles[modifier | modifier le code]

Roses possède 4 écoles primaires pour les études de P3 jusqu’à la 6ème; Montserrat Vayreda, Els Grecs, Jaume Viçenc Vives, Narcis Monturiol.

2 Instituts[modifier | modifier le code]

Roses possède 2 Instituts pour les etudes de l’ESO (Education Secondaire Obligatoire) et pour le BAC aussi; IES ILLA DE RODES, et IES CAP NORFEU

1 école privée[modifier | modifier le code]

Roses a aussi une école privée qui propose les études de primaire de les études de l’ESO mais qui ne propose pas la possibilité d’étudier le BAC: ACADEMIA DE ROSES.


Sources et annexes[modifier | modifier le code]

Wikipedia espagne roses: https://es.wikipedia.org/wiki/Rosas_(Gerona) Wikipedia catalaogne roses: https://ca.wikipedia.org/wiki/Roses Roses office du tourisme: http://fr.visit.roses.cat