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Montier-en-l'Isle
[modifier | modifier le code]mabillon1921
[modifier | modifier le code]Abbaye Saint-Martin de Ligugé, Revue Mabillon : archives de la France monastique, (lire en ligne)
Adélaïde de Bar-sur-Aube
[modifier | modifier le code]Troisième comtesse de Bar-sur-Aube aussi appelée Alix, Adèle ou Aelis [1]
Biographie
[modifier | modifier le code]Fille unique de Notcher, née de son mariage avec une princesse de bourgogne qui, lui succédant, devint la troisième comtesse de Bar-sur-Aube. Elle décède à Bar-sur-Aube et est inhumée dans la nef de l'église Saint-Pierre, au pied du crucifix. Sa tombe est plus tard déplacée dans le fond de l'église mais est détruite à la révolution.
Mariages et enfants
[modifier | modifier le code]- mariage avec Raoul II de Péronne, comte de Crespy et de Valois, dont nait trois enfants :
- Gauthier de Valois, mort jeune et sans alliance,
- Simon
- Adèle
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Liens internes
[modifier | modifier le code]Liste des comtes de Bar-sur-Aube
Liens externes
[modifier | modifier le code]Liste des comtes de Bar-sur-Aube [2]
[modifier | modifier le code]Lorsque Pépin le Bref supprime le titre de patrice en 760 il le remplaça par celui de comte. La champagne est alors divisé en différents comtés parmi lesquelles celui de Bar-sur-Aube qui aurait été attribué très tôt aux évêques de Langres[2].
- Hérard, 1er comte de Bar-sur-Aube
- Notcher, 2ème comte de Bar-sur-Aube
- Adélaïde, fille de Notcher, 3ème comtesse de Bar-sur-Aube
- Simon, fils d'Adélaïde, 4ème comte de Bar-sur-Aube, fondateur de l'hospice de Saint-Nicolas
- Adèle, sœur de Simon, 5ème et dernière comtesse de Bar-sur-Aube
Villehardouin
[modifier | modifier le code]- Wikisource: Mémoires de Geoffroi de Villehardouin
- Généalogies Féodales - Les Sires de Villehardouin[3]
Robert Le Ricolais
[modifier | modifier le code]- Fiche descriptive
- Histoire de l'ARS
- Idem
- Le carré bleu
- Marc Mimram, Structures et formes : étude appliquée à l'œuvre de Robert Le Ricolais, Paris, Dunod, , 124 p.
- À Yaoundé, la halle APLEX ultime de Robert Le Ricolais
- Registre matricule militaire
David-Georges Emmerich
[modifier | modifier le code]- Emmerich, David Georges
- Dictionnaire des Architectes: (Les Dictionnaires d'Universalis), Encyclopaedia Universalis France, 2016, (ISBN 9782852291416)
Ernest Pantz
[modifier | modifier le code]Établissements de construction métalliques Millinaire[4]
[modifier | modifier le code]Directeur en 1925 : Millinaire, ancien élève de l’École Nationale des Ponts et Chaussées
Couturier (construction métallique)
[modifier | modifier le code]Fondé en 1876 par Alcide Couturier à Croix dans la banlieue nord est de l’agglomération lilloise, Couturier est devenu un important constructeur de structure acier sur mesure dans le Nord-Pas-de-Calais.
Alcide Couturier & cie
Implanté initialement à Croix dans le Nord (45 salariés, CA prévisionnel de 10 M€ en 2007). Forte implantation dans le Nord de la France. A notamment participé à l’extension de l’Aéroport de Lille-Lesquin et au chantier du terminal du Tunnel sous la Manche. [5]
Généalogie Couturier à Croix ?
Généalogie Couturier à Croix BIS ?
Établissement Couturier : Implanté historiquement à Croix(59), la société à déménagé à Carvin (62) en décembre 2009.
14, rue du Pont de Grés - 62220 Carvin
53/57, Boulevard Émile Zola - 59170 Croix
Entreprise proposant des solutions globales se positionnant comme ensemblier du bâtiment en intégrant et en gérant dès l’étude des structures métalliques la couverture, le bardage et les serrureries.
Racheté en 2007 par le groupe Fayat.
16/02/2016 : Liquidation judiciaire
Président :
- 19/01/2005 - 23/10/2007 : Marion Chartier
- 23/10/2007 - 05/06/2010 : Michel Bouchet
- 05/06/2010 - 22/08/2014 : Jean-Claude Fayat
- 22/08/2014 - actuel : Alain Soussens
Directeur général :
- 19/01/2005 - 23/10/2007 : Robin Chedeville
- 2007 : Patrick Loche
- 02/03/2013 - 22/08/2014 : Jean Saucede
- 08/07/2015 - 25/12/2015 : Clément Bayle
Ouvrages notables
[modifier | modifier le code]- construction de l’aéroport de Lille
- nombreuses tours complexes réalisées pour la métallurgie notamment
- Pour Saint-Louis Sucre, construction de la nouvelle unité à Roye (Somme)
- tour de manutention métallique de 67 mètres de haut,
- tour de tamisage de 56 mètres de haut entourée de bâtiments de conditionnement et expédition, l’ensemble représentant 17 600 m²
- prestations de couverture, étanchéité, bardage, cloisons intérieures alimentaires et serrureries sur ces ouvrages
- En 2006, pour Airbus, construction du bâtiment qui permet d’abriter dans sa totalité le Béluga pour les opérations de chargement et déchargement des cockpits
- En 2009, pour JSPM, filiale du groupe AREVA, réalisation des charpentes métallique et des chemins de roulement du nouveau centre d’essais hydrauliques abritant une boucle d’essais permettant de tester les groupes monopompes primaires équipant les centrales nucléaires
- En 2010, pour Airbus, client historique, réalisation de l'usine "composites" pour la ligne A350.
Jouffrieau (construction métallique)
[modifier | modifier le code]L'entreprise de construction métallique est créée en 1920 par Maurice Jouffrieau à Neuville-sur-Vanne dans le département de l'Aube[6]. L'usine de production est implantée dans l'ancienne usine de l'entreprise de construction métallique Leperche qui avait installé son activité sur le site du moulin à farine Masson[7]. La présence d'un embranchement ferroviaire sur ce site favorise le transport des éléments de charpente métallique[8].
La direction de l'usine est reprise en 1965 par son fils Jacques Jouffrieau qui développe l'activité de l'entreprise à l'exportation[6]. En 1981 des difficultés financières en raison d'impayés liés à la Guerre Iran-Irak[9] conduit les employés à reprendre l'activité de la société[6], les effectifs passent alors de 400 à 90 employés[9].
En 1986 le site industriel est versé à l'inventaire général du patrimoine culturel[7].
En 1991 Jouffrieau intègre le groupe Taittinger en rejoignant sa filiale industrielle de construction métallique, Sodipart[9].
A la suite de nouvelles difficultés l'entreprise est racheté pour un franc symbolique par le groupe Fayat en 1993[9].
Références
[modifier | modifier le code]- Louis Chevalier, Histoire de Bar-sur-Aube, Bar-sur-Aube, (lire en ligne)
- Louis Chevalier, Histoire de Bar-sur-Aube, Bar-sur-Aube, (lire en ligne)
- Ernest Petit, Société Académique de l'Aube - Généalogies Féodales : Les Sires de Villehardouin, Troyes, Imprimerie & Lithographie J.-L. Paton, , 71 p. (lire en ligne), p. 19
- Journal officiel de la République française 9 novembre 1925
- Fayat se renforce en construction métallique
- Avis de décès de Jacques Jouffrieau
- Notice du site de la S.A. Jouffrieau dans l'inventaire général du patrimoine culturel
- La nature a repris ses droits sur la ligne de Fret entre Sens et Troyes
- Jouffrieau dans le giron de Fayat Compagnie Financière