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Utilisateur:Polaert/Severino

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Biographie[modifier | modifier le code]

Jeunesse et formations[modifier | modifier le code]

Jean-Michel Severino naît le à Abidjan en Côte d’Ivoire[1], d’un père franco-italien cadre de la Banque internationale pour l'Afrique occidentale[2]. En 1967 sa famille quitte l’Afrique pour s’installer à Nice.

Severino, brillant élève, est diplômé de[3] :

L'ENA l'amène à intégrer en 1984 le ministère de l'Économie en tant qu’inspecteur des finances[4].

Argentier et « développeur » de l'administration[modifier | modifier le code]

Ministère de la Coopération (1988-1996)[modifier | modifier le code]

Resté attaché à l'Afrique, Jean-Michel Severino obtient en 1988 son affectation en tant que conseiller technique, dans le cabinet du ministre de la Coopération et du Développement Jacques Pelletier[4]. Au sein de ce ministère, il est promu en 1990 chef de la coordination géographique. Cette même année se tient le sommet franco-africain de La Baule. Les autorités françaises s'apprêtent à accompagner la démocratisation de l'Afrique francophone, non sans difficultés. En 1991, Jean-Michel Severino reçoit en pleine nuit, un appel au secours du fils de Nicéphore Soglo, le vainqueur de l'élection présidentielle organisée au Bénin. Nicéphore Soglo est victime d'un empoisonnement. Severino obtient que dans l'heure un avion à Cotonou le transporte en France. Sauvé, Soglo est investi président du Bénin[2].

Jean-Michel Severino a aussi été en charge des analyses macroéconomiques à la Coopération[3]. À cette époque, les gouvernements africains et sud-américains connaissent de graves problèmes de décaissements. Dans un contexte de récession, de fin de Guerre froide et de mise en place de la zone euro suite au traité de Maastricht, la France principale bailleur de fonds de la zone franc CFA, décide de « responsabiliser » financièrement son pré-carré africain[2]. Jean-Michel Severino est un des grands artisans de la dévaluation de 50% du franc CFA opérée le , avec :


« La dévaluation du franc CFA est un souvenir difficile et professionnellement intense. Elle a eu des coûts sociaux de court terme mais d'immenses bénéfices à moyen terme en permettant de relancer les économies, de créer de l'emploi et de remettre les pays sur le sentier de la croissance. C'était indispensable mais socialement pénalisant et politiquement compliqué à imaginer et à mettre en oeuvre »
Jean-Michel Severino[7]



Suite à l'opération, Jean-Michel Severino est promu directeur du développement au ministère de la Coopération[4].

Banque mondiale (1996-2000)[modifier | modifier le code]

En avril 1996, Jean-Michel Severino intègre le Groupe Banque mondiale basé à Washington DC. Il est nommé responsable des activités menées par le Groupe en Bosnie-Herzégovine, pays profondément affecté par la guerre civile yougoslave[8]. Un an après, il est propulsé à la tête de la vice-présidence[Note 2] de la Banque mondiale pour l'aire Extrême-Orient[2].

L'Asie du Sud-Est connaît alors une croissance forte grâce à des flux d'argent privés étrangers : en 1996 l'afflux net de capitaux est de l'ordre de 100 milliards de dollars[9]. À titre de comparaison, les fonds alors annuellement alloués par la Banque mondiale pour l'Extrême-Orient se limitent à 5 milliards de dollars[10]. Juillet 1997, la situation change. La Thaïlande puis toute l'Asie du Sud-Est connaissent une fuite massive de devises : entre juillet 1997 et juin 1998, quelques 115 milliards de dollars au total quittent la Corée du Sud, la Thaïlande, l'Indonésie, la Malaisie, les Philippines[11]. Incapables d'enrayer la panique, se retrouvant avec un manque de liquidités, les États asiatiques obtiennent le soutien financier du Japon, de l'Australie et préalablement celui des institutions de Bretton Woods (le FMI et la Banque mondiale)[11].

En six mois Jean-Michel Severino lève 16 milliards de dollars auprès des bailleurs de la Banque mondiale[10]. L'aide est certes moins conséquente que celle accordée par le Fonds monétaire international (FMI) mais elle a ses avantages. Alors que le FMI exige des gouvernements touchés par la crise une réduction drastique des dépenses publiques sans se soucier des troubles sociaux pouvant en résulter, Jean-Michel Severino négocie avec le FMI et les États concernés que les fonds débloqués par la Banque mondiale servent à maintenir les programmes sociaux et les importations de produits alimentaires de base[10]. Jean-Michel Severino institutionnalise cette orientation de la Banque mondiale en 1999 avec le New Social Agenda for East Asia fixant comme priorité le financement de programmes pro-pauvre[12].

Février 2000, Jean-Michel Severino quitte Washington DC. Il réintègre la fonction publique française à l'Inspection générale des finances[13]. Il est alors pressenti pour succéder soit :

Agence française de développement (2001-2010)[modifier | modifier le code]

Prémices : la campagne[modifier | modifier le code]

Le nom de Severino pour diriger l'AFD est évoqué depuis 1996[15]. Seulement Pouillieute espère être reconduit dans un troisième mandat[16]. Afin de consolider la position de Severino, le président du Haut Conseil de la coopération internationale (HCCI), le député socialiste Jean-Louis Bianco le nomme en août 2000 rapporteur de l'étude Globalisation, gouvernance et développement[17]. Cette étude plaide pour que l'Union européenne s'émancipe du carcan idéologique défendu par les austères institutions de Bretton Woods. L'étude soutient qu'un « contrat social planétaire »[18] est possible et implique :

  • un rééquilibrage des voix plus équitable pour les pays du Sud dans les institutions internationales ;
  • une régulation au moins a minima des marchés mondiaux afin de créer un environnement « moins risqué » favorable à la croissance et au développement[19].

Cette étude est censée également donner au Premier ministre socialiste Lionel Jospin, candidat à l'élection présidentielle française de 2002, une vision sur des thèmes relatifs à la mondialisation ou au développement[20]. En parallèle de sa campagne, Jean-Michel Severino est missionné par la Côte d'Ivoire pour négocier les conditions de l'ajustement structurel requises par le FMI pour l'obtention d'un prêt[21].

Finalement le , Jean-Michel Severino est nommé en Conseil des ministres, à la tête du Groupe Agence française de développement[22] c'est-à-dire :

  • directeur général de l'Agence française de développement, ayant autorité sur les activités menées avec le secteur public ;
  • président du conseil d'administration de Proparco, la filiale de l'AFD en charge des activités élaborées avec le secteur privé.
Expansion de l'AFD[modifier | modifier le code]
Transparence accrue et déliement de l'aide[modifier | modifier le code]

Avec Jean-Michel Severino à sa tête, le groupe AFD a gagné considérablement en transparence. Dès 2002, un comité d'audit est mis en place[23]. Il est chargé de vérifier la véracité des informations fournies, notamment comptables. Les rapports d’activités et les comptes arrêtés annuellement par l’agence à partir de 2002 sont rendus publics et consultables sur le site de l'AFD[24].

Jean-Michel Severino a également opéré le déliement de l'aide au sein du groupe AFD conformément à la volonté émise le 14 février 2002 par le Comité interministériel de la coopération internationale et du développement (CICID). Dès lors, le groupe AFD ne peut plus imposer aux maîtres d'ouvrage (entités bénéficiant de l'aide) le choix des maîtres d’œuvre (opérateurs, entrepreneurs).

Démultiplication des engagements de l'AFD[modifier | modifier le code]

Jean-Michel Severino a bénéficié de la gestion rigoureuse laissée par ses prédécesseurs. Si en 2001 l’encours de la dette de l’AFD est supérieur à €8 milliards, le groupe a de solides actifs. Entre 2002 et 2007, il est possible d'estimer que le groupe AFD a perçu environ €11 à €12 milliards de titre de créances arrivées à échéance[Note 3].

Cette manne a permis à Severino et à son équipe de doubler en six années, les engagements du groupe à l’international. Si en 2002 le groupe AFD a déboursé €1.65 milliard, en 2007 le montant des engagements s’est élevé à 3.65 milliards d’euros.

Les sommes engagées annuellement par le groupe AFD sous les mandats de J-M Severino
en millions d'euros
Source:

2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010
Total 1 651 2 102 1 859 2 538 3 183 3 655 4 469 6 225 6 840
Sommes engagées par l’AFD 1 390,2 1 830,6 1 642 2 167 2 780 3 056 3 679 5 115 5 783
Sommes engagées par Proparco 260,8 271,4 217 370 402 598 789 1 085 1 058

À partir de 2008, suite à la crise des subprimes, Severino opère un changement. Les conditions d’emprunt pour les pays du Sud sur le marché des capitaux privés se durcissent. Au contraire pour le groupe AFD, les conditions d'emprunt ne cessent de s'améliorer. En tant qu'entité publique française, le groupe bénéficie de taux historiquement très faibles. La priorité est désormais d'apporter même modestement, la contribution du groupe AFD au soutien de la croissance mondiale. Entre 2008 et 2010, le groupe AFD injecte dans les pays du Sud €17.53 milliards. Pour ce faire, le groupe AFD emprunte davantage sur le marché des capitaux qu'il ne rembourse. L'encours de la dette du groupe augmente en trois ans de 58%, passant de €7.24 milliards en 2007 à €11.48 milliards en 2010.

Stock de dettes de l’AFD sous les mandats de J-M Severino
en millions d'euros
Source: Les rapports annuels d'activités de l'AFD parus de 2002 à 2010

2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010
Encours total des dettes de l'AFD 8 172 8 070 7 982 7 961 7 405 7 383 7 242 8 076 9 208 11 485
Encours auprès du marché 6 019 5 939 5 788 5 721 5 120 5 017 4 848 5 623 6 693 9 004
Encours auprès du Trésor français 2 153 2 131 2 194 2 240 2 285 2 366 2 394 2 453 2 515 2 481
Élargissement de la zone d'intervention[modifier | modifier le code]

Zones d’engagements du groupe AFD sous les mandats de J-M Severino
en millions d'euros

Source:

2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010
Fonds engagés pour de nouveaux projets 1 651 2 102 1 859 2 538 3 183 3 655 4 469 6 225 6 840
Outre-Mer français 598,2 593,2 720 860 881 811 1 041 973 957
Afrique subsaharienne 565,4 467,8 508 724 1 202 1 209 1 299 2 074 2 162
Méditerranée et Moyen-Orient 231,5 805,7 456 383 585 777 820 1 152 1 367
Asie et Pacifique 153 142,9 149 533 400 352 771 1 061 952
Amérique et Caraïbes 21,3 32,2 19 16 26 84 248 622 1 279
Autres 81,6 60,2 7 22 89 422 290 343 123


Si à son arrivée à la tête de l'AFD, l'action du groupe était essentiellement concentrée dans les collectivités françaises d'Outre-Mer et en Afrique subsaharienne, au cours de ses mandats, le champ d'intervention de l'AFD s'est considérablement étendu. Le CICID du a autorisé Severino à intervenir dans six nouveaux pays de la Méditerranée (l'Égypte, la Jordanie, la Syrie, la Turquie) et de l'Asie du Sud-Est (la Thaïlande, la Chine). En , il convainc le CICID de la nécessité d'agir dans :

  • l'ensemble des pays africains (sauf la Libye) pour des activités de prêts ;
  • les pays émergents que sont l'Inde, le Brésil, l'Indonésie, le Pakistan pour des prêts non concessionnels ou très faiblement bonifiés afin de contribuer au financement de projets relatifs aux biens publics mondiaux comme la lutte contre le changement climatique, la préservation de la biodiversité, la lutte contre les maladies émergentes et transmissibles.

Le , le CICID donne mandat à Severino pour œuvrer au niveau mondial à une « croissance verte et solidaire ». Cela se traduit par le financement d'actions favorisant les énergies renouvelables et l'amélioration de l'accès aux services publics dans une dizaine de nouveaux pays d'Asie et d'Amérique latine : le Mexique, la Colombie, le Bangladesh, la Malaisie, les Philippines, le Sri Lanka, le Kazakhstan, l'Ouzbékistan et la Mongolie[25].

Même si la zone d'intervention du groupe s'est élargie, l'Afrique subsaharienne est restée avec Severino la première zone d'intervention de l'AFD.

Secteurs financés et impacts[modifier | modifier le code]

Lors de sa prise de fonction en 2001, le groupe AFD finance essentiellement des actions tournées vers les infrastructures, notamment les télécoms, l'énergie et les transports[26]. Sans rompre avec cette politique, Severino ambitionne de faire avec l'AFD la « promotion d’un développement économique stable et efficace, respectueux de l’environnement et plus soucieux de cohésion sociale »[27]. Le volet « environnement » connaît ainsi un essor à partir de 2006. Il s'agit pour l'essentiel de financements relatifs à des projets d'infrastructures concernant des énergies renouvelables afin d'accompagner la transition énergétique de pays émergents comme la Chine[28].

Si les infrastructures sous les mandats de Severino sont restées le premier poste de décaissements, l'appui à des structures financières pour le développement du crédit bancaire a également concentré une large part des engagements du groupe AFD. Il est estimé que pour les années 2007 et 2008, le financement de structures financières par le groupe AFD a facilité l'accès au crédit de quelques 82 000 entreprises dans les pays en développement et 35 000 dans les collectivités d'Outre-Mer[29].

Enfin environ 15% (€4.7 milliards) des sommes décaissées par le groupe AFD sous les mandats de Severino ont servi à couvrir des besoins essentiels en eau, santé, et éducation dans les pays en développement. Il est estimé qu'en 2007 et 2008, le groupe AFD a contribué à[29] :

  • fournir un accès à une source d'eau potable améliorée pour 3.3 millions d'individus et un système d'assainissement amélioré pour 2.5 millions de personnes ;
  • scolariser 11.5 millions d'enfants dont 5.6 millions de filles ;
  • vacciner 1.7 millions d'enfants ;
  • soigner quelques 2.2 millions d'individus infectés par le sida, le paludisme ou la tuberculose.

Structures financées par le groupe AFD sous les mandats de J-M Severino
en millions d'euros
Source: Le rapport "Système d'information stratégique" publié en 2009

2004 2005 2006 2007 2008
États 634 847 1 274 1 338 1 597
Collectivités locales 204 197 273 195 454
Entreprises publiques 170 278 257 528 468
Entreprises privées 352 464 510 653 771
Banques et institutions financières 497 747 827 897 1 156
ONG 2 5 39 44 22




Contribution à l'aide publique au développement (APD)[modifier | modifier le code]

Le groupe AFD génère un profit. L'Etat français est l'actionnaire unique de l'Agence. En 2004, pour la première fois, l'AFD verse un dividende à l'Etat[30].

Seulement si l'OCDE considérait que sur les €14.98 milliards injectés entre 2002 et 2007, 70% environ était de l'aide publique au développement (APD), sur les €17.53 milliards décaissés entre 2008 et 2010, seuls 55 à 60% pouvaient être considérés comme telle.

Promoteur de l'entrepreneuriat social[modifier | modifier le code]

Forum Convergences[modifier | modifier le code]

Jean-Michel Severino est au panel des personnes éminentes du Secrétaire Général des Nations Unies en charge de la redéfinition de l'agenda pour le développement après 2015

Investisseurs & Partenaires[modifier | modifier le code]

  • Gérant de la SARL française Investisseurs et Partenaire (I&P)
  • Président du conseil d'administration d'I&P Gestion, société de gestion d’investissements de droit mauricien
  • Administrateur d'I&P Afrique Entrepreneurs, société de droit mauricien

source : p.15 http://www.ecobank.com/upload/20140905060837174528K6PTpU7Zmh.pdf

Administrateur de sociétés[modifier | modifier le code]

  • administrateur, président du comité d’audit et membre du comité de responsabilité sociale et environnementale de Danone depuis juillet 2011 ;
  • administrateur, membre du comité de gouvernance et membre du comité de responsabilité sociale et environnementale d'Orange depuis juillet 2011 ;
  • administrateur de Phitrust Impact Investors depuis avril 2012 ;
  • président du conseil d'administration du Critical Ecosystem Parternship Fund (CEPF) depuis janvier 2013 ;
  • président du conseil d'administration d'Ecobank International (EBI) depuis mai 2013

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Severino est issu de la promotion Louise Michel de l’ENA à l’instar de Pierre Moscovici ministre sous les gouvernements Jospin et Ayrault.
  2. Les vice-présidences sont des cellules du Groupe Banque mondiale. Chaque vice-présidence correspond à une région du monde ou à un domaine spécialisé. Chaque vice-président est responsable devant le directeur général voire exceptionnellement devant le président.
  3. Une estimation déduite du fait que sur cette période : ce sont quelques €14.98 milliards qui ont été injectés par l’AFD dans les pays du Sud ; la contribution du gouvernement français (dons) a été de l'ordre de 4 milliards d'euros ; le groupe s'est désendetté. L’encours de la dette est passé de €8.17 milliards en 2002 à €7.24 milliards en 2007.

Références[modifier | modifier le code]

  1. WPC 2012, p. 1
  2. a b c et d Cochez 2010
  3. a et b « Jean-Michel Severino », sur http://www.ietp.com/
  4. a b et c « Jean-Michel Severino », sur http://www.africultures.com/
  5. a b et c Subtil 1994
  6. « Le retour des Mitterrand's boys » dans La lettre du continent, n°368, 18 janvier 2001, p.1.
  7. Meyer 2013, p. 67
  8. Serageldin et Martin-Brown 1999, p. 213
  9. Jean-Michel Severino, « Speech Delivered at the International Development Day Event », http://web.worldbank.org/, 15 avril 1999
  10. a b et c Chatignoux et Crouïgneau 1998
  11. a et b Severino 1998
  12. Jean-Michel Severino, « The World Bank and the New Social Agenda for East Asia », http://web.worldbank.org/, 28 juillet 1999
  13. WPC 2012, p. 2
  14. « Bras de fer entre les deux Quais pour la Coopération » dans La lettre du continent, n°343, 22 décembre 1999, p.1.
  15. a et b « Jean-Michel Severino » dans La lettre du continent, n°342, 9 décembre 1999, p.8.
  16. « Antoine Pouillieute (AFD) déjà en campagne » dans La lettre du continent, n°356, 6 juillet 2000.
  17. « "Ces messieurs Afrique" en séminaire d'été à Dourdan » dans La lettre du continent, n°358, 24 août 2000, p.3.
  18. Bianco et Severino Tome I, p. 51
  19. Bianco et Severino Tome II, p. 85-86
  20. « Strauss-Kahn contre Attali ! » dans La lettre du continent, n°373, 29 mars 2001, p.2.
  21. « "Experts" français à tous les étages » dans La lettre du continent, n°373, 29 mars 2001, p.4.
  22. « Le dispositif "africain" du candidat Jospin » dans La lettre du continent, n°375, 26 avril 2001, p.1.
  23. AFD, Rapport d'activités 2002, Paris, juin 2003, p.4.
  24. Les rapports annuels d'activités de l'AFD parus de 2002 à 2010
  25. Jean-Claude Peyronnet et Christian Cambon, « L'AFD : un opérateur bilatéral à la croisée des chemins » dans Projet de loi de finances pour 2013 : Aide publique au développement, Rapport législatif du Sénat français, novembre 2012
  26. AFD, Système d'information stratégique : analyse de l'activité dans les pays étrangers et dans les collectivités d'Outre-Mer sur la période 2004-2008, 2009, p.14 et 46
  27. « Enfin la "lettre de mission" ! » dans La lettre du continent, n°389, 6 décembre 2001, p.3.
  28. AFD, Rapport d'activités 2005, Paris, avril 2006, p.7.
  29. a et b AFD, Système d'information stratégique : analyse de l'activité dans les pays étrangers et dans les collectivités d'Outre-Mer sur la période 2004-2008, 2009, p.8
  30. AFD, Rapport d'activités 2004, Paris, mai 2005, p.5.
  • Marie-Pierre Subtil, « Les relations entre la France et l'Afrique, la victoire des énarques », Le Monde, 20 janvier 1994
  • Jean-Michel Meyer, « Jean-Michel Severino, le financier du développement », Forbes Afrique, décembre 2013 - janvier 2014
  • Ismail Serageldin, Joan Martin-Brown, Partnerships for Global Ecosystem Management, World Bank Publications, 1999
  • Catherine Chatignoux, Françoise Crouïgneau, « Jean-Michel Severino, vice-président de la BIRD : 'La tourmente asiatique oblige la Banque mondiale à repenser son aide' », Les Echos, 16 avril 1998
  • Jean-Michel Severino, « Speech at the International Herald Tribune Summit », web.worldbank.org, 16 juin 1998