Bonjour !

Je suis une wikipédienne débutante, et en ce moment, je travaille sur la Polynésie française, et j'essaye notamment de compléter l'article Tahiti.

Pourquoi la Polynésie française ?

Parce que je me suis aperçue que la plupart des articles sur le sujet méritaient à peine le statut d'ébauche...
Parce que c'est un sujet méconnu (la PF c'est pas juste une carte postale avec un lagon turquoise et un plage de sable blanc !)
Parce que j'y ai vécu et travaillé pendant 3 ans
Parce que ça me plait !

À mon regret, il n'existe pas pour le moment de projet Polynésie française. Par la force des choses, je contribue donc au projet Océanie, qui comprend le portail Polynésie française. Je ne désespère cependant pas de trouver des volontaires pour développer le thème de la PF sur Wikipedia...

Je m'intéresse aussi à beaucoup d'autres sujets (il faut varier les plaisirs !) tels que :

l'histoire
la littérature
la gastronomie
l'hôtellerie
le marketing et la communication
les nouvelles technologies
et bien d'autres !

Pour finir cette petite page de présentation, je parlerais de mes motivations pour contribuer à Wikipedia. Disons que je contribue à Wikipedia pour développer un accès facile à des informations fiables et pertinentes, écrites dans un style agréable. Tout un programme...

Brouillon article PF[modifier | modifier le code]

Géographie[modifier | modifier le code]

Géographie Physique[modifier | modifier le code]

La Polynésie Française se caractérise par une multitude de petites îles, qui s'étendent sur un territoire maritime aussi vaste que le continent européen. En effet, les 4 167 km² de territoires émergés sont répartis sur 118 îles, dispersées sur 2,5 millions de km2. Le territoire est composé de 5 archipels : la Société, les Gambier, les Tuamotu, les Australes et les Marquises.

Les îles de Polynésie sont issues de l’activité volcanique de points chauds situés à l’intersection de failles sismiques. Chaque archipel s’est créé sur un axe de formation de chaîne volcanique, suivant le mouvement de la plaque océanienne (qui se déplace vers le nord ouest). La variété des formes d’île s’explique par les différences d’ancienneté de leur création, et de l’action de l’érosion.

L’Archipel des Australes, long de plus de 1 500 km, a commencé à se formé à partir de Rimatara, au nord de l’archipel, il y a plus de 19,5 millions d’années^[1]. On notera le cas spécifique de l’île Rurutu, qui s’est elle formée il y a 12 millions d’années, puis a été surélevé par une nouvelle activité volcanique il y a 1,5 millions d’années.

L’Archipel de la Société, caractérisé par des îles hautes entouré d’un lagon, s’étend sur un axe de 500 km. Il s’est formé à partir de Maupiti, qui a émergé il y a 4,34 millions d'années^[1]. L'île de Tahiti, étant située au Sud-Est de cet archipel, est celle qui s'est créée le plus tardivement (sa formation a commencé il y a 1,37 millions d’années, et s'est poursuivie jusqu'à il y a environ 850 000 ans)d’années^[2]. Les vestiges des deux volcans continuent à culminer à des hauteurs respectables (2 241 m pour l’Orohena, le plus haut mont de Polynésie française) autour de larges vallées et plaines alluvionnaires fertiles et sur les flancs desquelles se sont formés par endroits des massifs coralliens. Les côtes, protégées par les massifs coralliens sont faiblement érodées par la mer en raison d’un très faible marnage, et offrent de longues plages basaltiques. Tahiti et les autres îles du Vent voisines sont en effet situées, de façon unique au monde, sur un point océanique où l’effet de marée causé par la Lune est quasiment nul sauf en début d'austral (pleine lune de la Toussaint).

Les Marquises, pour leur part, forment une chaîne de 355 km de long avec des îles datant de 5.33 à 1.61 millions d’années^[1]. La jeunesse de ces îles explique les structures volcaniques faiblement érodées, qui offrent ainsi un paysage montagneux abrupt, plongeant directement dans l'océan, et constellé de vallées étroites aboutissant à des plages de galets peu étendues.

Les Tuamotu offre un paysage totalement différent, puisque les îles sont formées d'un étroit banc de sable (partiellement émergé) recouvrant une double barrière de corail formée sur l’atoll d’un ancien volcan (formé également à partir d’un point chaud), dont le cratère central s’est effondré mais dont les pentes internes et externes ont vu naître les récifs coralliens.

L'Archipel des Gambier se caractérise également par des îles basses.

Géographie Administrative[modifier | modifier le code]

Îles Marquises :
- Commune de Nuku Hiva (chef-lieu)
- Commune de Fatu Hiva
- Commune de Hiva Oa
- Commune de Tahuata
- Commune de Ua Huka
- Commune de Ua Pou

Îles du Vent :
- Commune de Papeete (chef-lieu)
- Commune de Arue
- Commune de Faa‘a
- Commune de Hitia’a O Te Ra
- Commune de Mahina
- Commune de Moorea-Maiao
- Commune de Paea
- Commune de Papara
- Commune de Pirae
- Commune de Punaauia
- Commune de Taiarapu-Est
- Commune de Taiarapu-Ouest
- Commune de Teva I Uta

Îles sous le Vent
- Commune de Uturoa (chef-lieu)
- Commune de Bora-Bora
- Commune de Huahine
- Commune de Maupiti
- Commune de Tahaa
- Commune de Taputapuatea
- Commune de Tumaraa

Îles Tuamotu-Gambier (dont Papeete est le siège administratif provisoire) :
- Commune de Anaa
- Commune de Arutua
- Commune de Fakarava
- Commune de Fangatau
- Commune de Gambier
- Commune de Hao
- Commune de Hikueru
- Commune de Makemo
- Commune de Manihi
- Commune de Napuka
- Commune de Nukutavake
- Commune de Puka Puka
- Commune de Rangiroa
- Commune de Reao
- Commune de Takaroa
- Commune de Tatakoto
- Commune de Tureia

Îles Australes
- Commune de Tubuai (chef-lieu)
- Commune de Raivavae
- Commune de Rapa
- Commune de Rimatara
- Commune de Rurutu

Bibliographie, notes et références[modifier | modifier le code]

Généalogies commentées des Arii des Îles de la Société, Société des études océaniennes

Notes et références[modifier | modifier le code]

↑ ^{a b et c} Alain Bonneville, Le volcanisme de point chaud de l’océan Pacifique Sud, IPGP
↑ A. Hildenbrand et P.Y. Gillot, évolution géologique de lîle de Tahiti-Nui (Polynésie Française) : de la construction volcanique à l’érosion tardive. LGMT

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Ouvrages généraux

Guides touristiques

Articles

Olivier Bon, « L’insoutenable développement urbain de l’île de Tahiti : politique du "tout automobile" », Les Cahiers d’Outre-Mer, n^o 230,‎ Avril-Juin 2005 (lire en ligne)

liens externes[modifier | modifier le code]

Suivi personnel des articles sur le thème de la PF[modifier | modifier le code]

Articles généraux et îles de la société
	Ébauche	Bon début	B ou A
Polynésie française		X
Tahiti			X
Moorea		X
Bora Bora		X
Raiatea		X
Tahaa	X
Huahine	X
Maupiti	X

Articles généraux transversaux la Polynésie Française
	Ébauche	Bon début
Économie de la Polynésie française	X
Histoire de la Polynésie française		X
Géographie de la Polynésie française	X
Politique de la Polynésie française		X
Démographie de la Polynésie française	X
xxx
xxx
xxx

Articles sur l'histoire de la Polynésie Française
	Ébauche	B ou A
Histoire de la Polynésie française		X
Pomare	X
Pomare Ier	X
Pomare II	X
Pomare III	X
Pomare IV	X
Pomare V	X
xxx

Articles sur l'économie de la Polynésie Française
	Ébauche	B ou A
Économie de la Polynésie française	X
Brasserie de Tahiti		X
tourisme en Polynésie française	X
communications en Polynésie française	X
transports en Polynésie française	X
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xxx
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notes pour d'autres articles[modifier | modifier le code]

traduction 'Oro (en)

'Oro est un dieu du pantheon Polynésien. La vénération de Oro, bien que pratiquée de façon inégale dans les îles, était un culte majeur dans les Îles de la Société au 17^e et 18^e siècle, et notamment à Tahiti et à Raiatea.

Origine[modifier | modifier le code]

Quatre dieux majeurs étaient vénérés dans les Îles de la Société : Ta’aroa, à l’origine Dieu de la mer et de la pêche, Tane, dieu de la forêt et de l’artisanat, Tu, dieu de la guerre et Ro’o, dieu de l’agriculture et de la météo. Ces quatre dieux étaient également vénérés sur les autres îles Polynésiennes.

En 2002, 37 % des actifs de Taiarapu-Est travaillent dans l'agglomération de Papeete.^[1]

http://60gp.ovh.net/~jeromenp/files/CCPF/Etat%20des%20lieux%20web.pdf Citation : Avagliano E. & Petit J.N. 2009. État des lieux sur les enjeux du changement climatique en Polynésie française. Ministère de l’Environnement de la Polynésie française, Direction de l’Environnement de la Polynésie française, Station Gump, UC Berkeley.

http://www.ieom.fr/IMG/pdf/ra2008_pf.pdf Rapport annuel de l'IEOM sur la Polynésie française, 2008

http://hirofarepote.wordpress.com/2009/05/03/air-tahiti-nui-plus-de-30-milliards-de-f-cfp-daides-publiques-consommees/

↑ Olivier Bon, L’insoutenable développement urbain de l’île de Tahiti : politique du "tout automobile", Les Cahiers d’Outre-Mer n^o 230, Avril-Juin 2005

[IPGP-1] {a b et c} Alain Bonneville, Le volcanisme de point chaud de l’océan Pacifique Sud, IPGP

[LGMT-2] A. Hildenbrand et P.Y. Gillot, évolution géologique de lîle de Tahiti-Nui (Polynésie Française) : de la construction volcanique à l’érosion tardive. LGMT

[3] Olivier Bon, L’insoutenable développement urbain de l’île de Tahiti : politique du "tout automobile", Les Cahiers d’Outre-Mer n^o 230, Avril-Juin 2005

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