Aller au contenu

Utilisateur:Maxwell G. Mill/sandbox

Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Apollo 2
Mission Apollo
Image illustrative de l’article Maxwell G. Mill/sandbox
Insigne de la mission.
Équipage
Commandant Pingu (Manchot Royal adulte mâle)
LMP Pinga (Manchot Empereur poussin femelle)
CMP Papa (Manchot Empereur adulte mâle)
Mission
Date lancement Dimanche 20 avril 1969
Objectif principal S'assurer du bon fonctionnement du lanceur Saturn V, premier dandinement sur la lune.
Vaisseau
Lançeur Saturn V
Module de commande CSM-107 "Columbia "
Module lunaire LM-5 "Eagle"
Sur la Lune
Date atterrissage Jeudi 24 avril 1969 (UTC)
Lieu Mer de la Tranquilité
Durée sorties extravéhiculaires 27 min
Atterrissage
Coordonnées Non renseigné
chercher sur une carte -
Date Dimanche 27 Avril 1969
Durée mission 177 h 54 min 23 s
Liens externes

Apollo 2 (ou AS-420 pour Apollo-Saturn) fut la cinquième mission du programme Apollo et la première emportant un équipage non pas humain ni hominidé, mais exclusivement constitué de manchots. Cette mission pittoresque, toutefois historique, fut proposée à la NASA par le fameux zoologue et ornithologue Isaac Francis Harell Jr. pour la première fois en 1967. Mise d'abord de côté car considérée comme peu sérieuse, elle fut néanmoins prise en considération pour la première fois par le président Lyndon B. Johnson en 1968 après l'échec cuisant d'Apollo 1, le 27 janvier 1967. À la fin du mandat présidentiel de Johnson, Richard Nixon fut celui qui prit le relais, lui aussi montrant un intérêt particulier pour ce projet. En 1968, trois manchots; un empereur mâle adulte, un empereur femelle encore poussin et un jeune royal mâle furent sélectionnés parmi une vingtaine de manchots après avoir été récupéré en antarctique par l'équipe d'Harell, contactée au préalable. Les trois manchots furent baptisés respectivement; Papa, Pinga et Pingu. L'entraînement pour la mission commença le 17 Novembre 1968 et fut pour la majorité constitué de séances de dressage intensives pour les trois manchots. La période d'entraînement fut supervisée par Harell lui-même.

Lancée le 20 avril 1969 depuis le centre spatial Kennedy la mission avait pour objectif de non seulement assurer la fonctionnalité du lanceur Saturn V mais également d'être la première mission ayant comme optique d'envoyer des êtres autres que des humains dirigée par la NASA. Il s'agit de la dernière mission incluant un animal lancée par la dite organisation. La mission fut majoritairement dirigée depuis Houston, car les manchots aussi intelligents qu'ils soient, ne peuvent pas piloter par eux-même ni le module de commande ni le module lunaire. Parmi les trois manchots de la mission, Papa fut sélectionné pour rester à bord du module de commande (CSM-107 "Columbia "). Les deux autres furent choisis pour aller sur la lune. Pingu et Pinga, après un atterrissage comportant quelques péripéties, séjournent 3 heures et 21 minutes à la surface de la Lune et effectuent une sortie extravéhiculaire exceptionnelle. Après un re-décollage et après avoir réalisé un rendez-vous en orbite lunaire avec le module de commande et de service, le vaisseau Apollo reprit direction vers la Terre etamerrit sans encombre dans l'océan Pacifique, concluant une mission qui aura duré 7 jours, 9 heures et 54 minutes.

La mission fut un succès monumental. Bien que la NASA décida de céder la place de l'humanité comme première espèce terrestre à marcher sur la lune, Apollo 2 fut une avancée considérable dans l'histoire humaine; malgré le fait que les acteurs concernés n'étaient que de simples manchots. Cette mission eut un impact considérable sur la culture des années 1960-1970 et fut un point tournant de la course spatiale menée par les États-Unis et l'URSS.

Contexte[modifier | modifier le code]

Une NASA désemparée face à l'échec d'Apollo 1[modifier | modifier le code]

Après l'échec cuisant de la mission Apollo 1 qui se solda par la mort de son équipage suite à un incendie à l'intérieur du cockpit, la NASA décida (sous accord du président Lyndon B. Johnson) de momentanément clore le programme Apollo ayant pour but le premier alunissage humain. Cette décision fut prise dans l'optique de trouver une autre possibilité pour dépasser l'Union Soviétique lors de la course à l'espace et ce de plus, sans risquer la vie d'un astronaute compétent. Ceci est sans compter le fait que l'opinion publique devint fortement défavorable à la course à l'espace suite à l'incident d'Apollo 1.

Sous l'impulsion du président Johnson, la NASA fut demandée de trouver des initiatives alternatives afin de poursuivre la conquête de l'espace sans mettre au point des projets incluant un équipage humain. Naturellement, la NASA ayant déjà mise au point auparavant des mission spatiale ayant comme équipage des singes (notamment Ham lors de la mission Mercury-Redstone 2), celle-ci se retourna de nouveau vers une éventuelle mission spatiale pour hominidé. Cependant, le président Johnson n'approuva pas l'idée, n'y voyant pas un impact culturel assez conséquent. Celui-ci prit comme exemple les autres pays participants à la course à l'espace; les soviétiques avaient envoyé la chienne Laïka et les français avaient envoyés en 1963 Félicette la chatte. Selon Johnson, les américains devaient voir plus loin et plus original, afin d'envoyer un véritable message de suprématie envers les autres concurrent à la course.

C'est dans ce contexte que le zoologue et ornithologue Isaac Francis Harell Jr. présenta son projet au président.

Le Projet d'Harell[modifier | modifier le code]

Isaac Francis Harell Jr. zoologue et ornithologue de renommée et diplômé de l'université de Stanford, écrivit pour la première fois une lettre pour le président Johnson le 29 septembre 1967. Dans celle-ci, Harell propose au président une première esquisse d'un éventuel projet d'envoi sur la lune non pas d'un équipage d'humain, mais bel et bien d'un équipage de trois manchots qui auraient été dressés au préalable. Dans cette première lettre, Harell défend sa thèse comme quoi le manchot serait l'animal le plus apte à accomplir une telle mission de par sa résistance au froid. Cette première lettre ne fut pas retenue et il n'est pas possible de savoir quelle fut la réponse officielle du président ou de son bureau. Il est toutefois fort probable que cette lettre ne fut pas prise au sérieuse et qu'elle fut de ce fait laissée pour compte. Cependant Harell persista.

Après avoir mis au point un véritable projet sur papier, Harell envoya une nouvelle lettre à la maison blanche le 18 février 1968. Contre toute attente, Harell reçut une réponse de la part du bureau ovale. Le président montra un intérêt particulier pour cette proposition qui entra exactement dans la liste de ses attentes concernant une mission originale et marquante. Harell fut ainsi convoqué deux semaines plus tard à Washington pour un entretien avec le président et avec James E. Webb, l'administrateur actuel de la NASA.

Lors de cet entretien, Harell proposa son projet. Celui-ci serait séparé en quatre parties. Premièrement, il s'agirait de trouver les bons manchots adéquats pour une telle mission. Les espèces de manchots étant nombreuses, Harell défendit que des manchots empereurs ou royaux seraient davantage efficace pour une telle mission. Par ce fait, il serait alors question de trouver les bons individus dans la nature; en Antarctique. La deuxième étape de son projet serait l'entraînement, le dressage et l'analyse d'une vingtaine de concurrents potentiels afin d'en déceler trois qui seraient l'équipage final pour la mission. La troisième étape serait une deuxième vague d'entraînement et de dressage intensif sur une période de 5 mois minimum des trois manchots sélectionnés. La quatrième et étape finale serait une simulation à grande échelle de la mission afin d'avoir un dernier avis sur le projet.

Webb ne fut pas du tout charmé par ce projet et ne manqua pas à vivement critiquer Harell, le qualifiant de «Charlatan de malheur ayant trop consommé et cherchant à faire couler la NASA». De l'autre côté, le président Johnson fut intrigué par cette idée, et notamment par le coût d'une telle entreprise. Finalement, le président Johnson décida d'autoriser le commencement de cette mission, le tout sous les critiques furieuses de administrateur Webb qui posa sa démission la même année afin de ne pas être assimilé au projet. Le Dr. Thomas O. Paine prit le relais en tant qu'administrateur de la NASA et se montra comme un grand admirateur du projet de Harell, le considérant comme « Le projet le plus américain depuis le Maccarthysme ».

Les préparations du projet commencèrent le 14 mars 1968 sous le nom de code Black and white Grace.

Première étape du projet[modifier | modifier le code]

Dès le 15 mars 1968, Harell quitta les États-Unis pour l'antarctique avec une équipe de 8 scientifiques dans l'optique de trouver les candidats adéquats pour la mission. Après une période de recherche de deux semaines dans les environs de la base scientifique de McMurdo, l'équipe d'Harell trouva 5 manchots empereurs considérés comme potentiellement convenable pour le projet. Parmi ces 5, on peut compter le futur "Papa", qui fut trouvé sur la banquise vraisemblablement perdu loin de sa colonie (voir photo ci-contre).

Cependant après plusieurs semaines infructueuses de recherche en Antarctique, et l'hiver antarctique approchant, Harell fut forcé de trouver une alternative à la chasse au manchot en Antarctique. C'est alors qu'il se tourna vers un ami d'études, Heini Hediger, directeur à ce moment du Zoo de Zürich afin d'éventuellement y prendre quelques manchots royaux.

Harell revint aux États-Unis le 2 avril 1968 avec 21 manchots: 5 empereurs et 16 royaux du Zoo de Zürich.

Deuxième étape du projet[modifier | modifier le code]

La deuxième étape du projet se déroula d'avril 1968 à mai de la même année au centre de recherche de Cap Canaveral en Floride. Cependant, les hautes température de la Floride forcèrent la NASA à investir dans un immense complexe climatisé à des températures glaciales qui fit tomber un grand nombre de chercheurs malades. Durant ce mois de recherches, beaucoup des manchots sélectionnés se montrèrent que peux coopératifs face aux demandes leurs étant imposées; la plupart n'écoutant plus d'une fois que du poisson leur était donné. Au final trois manchots empereurs sur les cinq furent désignés comme inapte, et 14 royaux sur 16 furent désignés de même. Harell se retrouvait alors avec quatre individus intéressant; chiffre beaucoup plus bas que ce qu'il espérait. Cependant, les quatre manchots restant se montrèrent très compétant, accomplissant avec aise les tâches leurs étant demandées; telles que de prendre avec leurs becs des poignées ou appuyer sur des boutons en suivant un ordre spécifique. Après deux semaines supplémentaires d'examens, un dernier manchot royal fut éjecté du groupe, laissant désormais Harell avec son trio.

Troisième étape du projet[modifier | modifier le code]

La troisième étape du projet se déroula d'avril 1968 à février 1969, soit le double de la durée initialement proposée par Harell; ce pour but de s'assurer du bon déroulement de l'opération ainsi que de la coopération des manchots. Ceux-ci furent d'ailleurs baptisés au commencement des entraînements: le plus âgé, un manchot empereur mâle fut nommé Papa, le seul manchot royal (un jeune adulte mâle) fut baptisé Pingu et finalement, la dernière (un poussin femelle empereur) fut nommée Pinga. Ces trois noms furent trouvés par Harell lui-même. La période d'entraînement se déroula sans encombre et fut partiellement supervisée par Thomas O. Paine, sous le regard attentif du président Johnson.

Quatrième étape du projet[modifier | modifier le code]

La quatrième et dernière étape du projet se déroula particulièrement bien. Étendue de février 1969 jusqu'à avril, les simulations prouvèrent une fois pour toute que le projet avait une véritable chance de réussir. De plus, le président Johnson ayant refusé de venir pour un second mandat, Richard Nixon lui succéda dans la supervision du projet. Nixon se montra particulièrement enjoué par le projet et se lia d'amitié à l'occasion avec Harell.

Finalement, le lundi 14 avril 1969, Harell, Nixon et Paine s'accordèrent à autoriser le feu vert pour la mission. Le décollage se déroulerait le dimanche 20 avril à 13:00 UTC.

Déroulement de la mission[modifier | modifier le code]

Un lancement largement médiatisé[modifier | modifier le code]

La NASA décida d’annoncer officiellement le 14 avril, qu'ils enverraient sur la lune un trio de manchots empereurs dès la semaine suivante. Cette nouvelle, qui fut gardée jusqu'alors top secrète, provoqua une réaction très forte chez le public américain. Très vite, le public se montra très investi dans cette nouvelle mission spatiale et l'opinion publique concernant la conquête spatiale grimpa en flèche en l'espace de la semaine précédant le lancement. Par ailleurs, le peuple américain tomba vite amoureux de ses trois mascottes de la conquête spatiale; Pingu, Pinga et Papa devenant rapidement un emblème de la puissance spatiale américaine. Richard Nixon déclara par ailleurs, sur un ton comique, que «Harell était alors certainement le plus grand génie du marketing du 20ème siècle ».

Rapidement, toutes les chaînes de télévisions du monde s'arrachèrent les dernières nouvelles de la NASA et de leur projet fou, dont beaucoup se montrèrent sceptique. Cependant, alors que la date fatidique du 20 avril approchait, il semblait de plus en plus clair qu'il s'agissait une véritable mission et non d'un leurre mis en place pour duper les soviétiques.

Lancement[modifier | modifier le code]

Le dimanche 20 avril 1969, à 7:30 am UTC, Harell accompagne ses trois manchots pour une dernière série de photos. À 11:30 am UTC, les manchots sont attachés et placés à bord du module de commande afin d'être parés pour le lancement de 13 heures.

À 13:00 pm UTC, devant le regard d'une foule d'environ 25'000 personnes réunies à Cap Canaveral, ainsi que devant le regard du pays tout entiers regardant l'évènement à la télévision en direct, la fusée Saturn V équipée du module de commande abritant les trois manchots, décolle quittant l'atmosphère terrestre dans un angle de 72,058°.

L'arrêt des moteurs du premier étage (S-IC) intervient 2 minutes et 24 secondes après le décollage, les moteurs du deuxième étage S-II sont alors allumés. Enfin, après 9 minutes et 8 secondes de vol, le troisième étage S-IVB entre à son tour en service . Douze minutes après son lancement, Apollo 2 et le troisième étage sont placés sur une orbite terrestre circulaire.

Transit entre la terre et la lune[modifier | modifier le code]

Le module de commande se met alors en période de transit en orbite de parking autour de la terre afin d'attendre l'angle idéal afin de se rediriger vers la lune. Après une rotation et demie autour de la terre, et le tout sous la direction du Space Center de Houston au Texas, la capsule de commandement se propulse à environ 3,05 km/s afin de se diriger vers la lune le tout en se défaisant de l'attraction terrestre.

Une fois assez proche de la lune, Houston prend alors le contrôle de la capsule de commandement afin de la faire faire une rotation de 180° dans le but de s'amarrer au module lunaire. Après une procédure particulièrement délicate et difficile, Houston vérifie l'amarrage du module ainsi que les niveaux de pressurisation et, une fois fait, fait décrocher les ceintures des sièges des trois manchots. Ceux-ci ayant déjà été habitués à l'effet de zéro gravité, Pingu, Pinga et Papa se dirigent alors vers le module lunaire. La procédure se déroula comme durant les entraînements et se déroulèrent sans accrochages.

Après une période transitoire d'environ 25 minutes, le module lunaire se détache du module de commande afin d'entamer son alunissage.

Alunissage[modifier | modifier le code]

Le module lunaire, surnommé "Eagle", atterrit à 18 heures 39 min 40 s UTC le jeudi 24 avril 1969, sur la mer de la tranquillité. L’atterrissage fut particulièrement délicat à contrôler depuis Houston mais fut dirigé avec brio.

Une fois au sol, Houston fait ouvrir la capsule du module lunaire et laisse la libre voie pour les trois manchots astronautes. Ceux-ci, hésitent pendant bonnement 14 minutes avant que Pingu décide de finalement prendre les avants. À 18 heures 53 min et 13 secondes, Pingu est le premier être terrien à fouler ses pattes sur la lune. On parle alors du premier dandinement sur la lune. Étant donné qu'aucune caméra n'était présente durant cet évènement, personne n'eut l'occasion d'assister à ce moment historique, cependant il existe des extraits audios des communications radios de Houston avec l'équipage d'Apollo 2. Alors que Pingu se dandina sur le sol lunaire, il exclama «ÆǢœ̃љ»; mots qui restèrent gravés dans l'histoire de l'aérospatiale.

La sortie extravéhiculaire dura 27 minutes et 16 secondes, avant que les trois manchots aient été donnés l'ordre de retourner au module lunaire. Houston s'assura du retour de l'équipage, en faisait ouvrir dans le module une boite de friandise au poisson, ce qui attira l'équipage à l'intérieur. Après quelques heures sur la surface de la lune, le module lunaire quitta la surface de notre satellite.

Retour sur Terre[modifier | modifier le code]

Le module lunaire, toujours contrôlé depuis Houston, s'amarre à nouveau à Columbia (le module de commande) le 26 avril à 08 heures 34 min. Houston lance alors une deuxième fois un contrôle de la pression des modules avant d'ouvrir l'accès entre ceux-ci. C'est alors que Pinga, Pingu et Papa quittent le module lunaire pour rejoindre leur places respectives dans le module de commande. Ce comportement exemplaire est bien entendu le résultat des longues et excessives périodes de dressage dirigées par Harell durant les 10 mois ayant précédé la mission.

Après quelques jours de patience, gravitant autour de la terre, une trajectoire de retour est enfin affirmé par Houston. Le module de commandement démarre alors ses moteurs et entame ses dernières réserves de kérosène pour se diriger vers l'océan pacifique. Le dimanche 27 avril 1969, à 12:56 minutes, la capsule de commandement franchit l'atmosphère terrestre. Les flammes causées par la friction de l'air suite à l'entrée violente de la capsule dans notre atmosphère cause l'équipage à sombrer dans la panique; un comportement qui à faillit causer une catastrophe sans pareille mais qui fut tout de même finalement évitée. Quelques minutes plus tard, la capsule ouvre ses parachutes et amerrit dans l'océan pacifique. Columbia sera repêchée par le porte-avion USS Hornet quelques heures plus tard.

Le succès d'une mission impossible[modifier | modifier le code]

Un retour triomphal aux États-Unis et un impact conséquent sur la presse[modifier | modifier le code]

Après avoir passé deux jours en décontamination dans une cellule de quarantaine, Pingu, Pinga et Papa sont finalement relâchés et mis en liberté dans un enclos du centre de recherche de la NASA à Cap Canaveral. Ils y resteront pendant une période d'un mois avant de participer à une parade triomphale à Washington D.C.

Le peuple américain est en extase, personne ne croyait que la NASA aurait put être capable d'envoyer, si ce n'est un être humain, des oiseaux sur la lune.

Cette réussite sans précédents, marque une période décisive dans la course à l'espace; elle marque le dépassement américain face aux soviétiques.


La presse du monde entier s'empara du sujet. Bien naturellement, il était assez insolite de savoir que notre satellite venait d'avoir été colonisé par un trio de manchots à la solde de la NASA.








Apollo 2 dans la Culture Populaire[modifier | modifier le code]

À cause de la nature bien extraordinaire de cette mission spatiale, Apollo 2 inspira de nombreuses œuvres issues de la culture populaire. De grands exemples seraient "First Waddles", un film biographique sur Pingu dirigé par Steven Spielberg, la chanson "Space Oddity" de David Bowie dont les paroles "Ground control to Major Pinga" furent ouvertement inspirée par la mission.

Mais certainement le meilleur exemple d'adaptation de cette mission dans la culture est son adaptation en livre: "Pingu sur la lune", elle même adaptée en livre pour enfant par Fanny Joly.