Utilisateur:Louis-garden/Selections

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La Torre copie de la tour d'Arnolfo du Palazzo Vecchio de Florence (1546)

Le Castello di Montegufoni est un château du centre de la Toscane, près de Florence qui a appartenu à plusieurs familles au cours des siècles : les Ormanni, citée par Dante dans la Divine Comédie,les Acciaiuoli, les Baracchi. En 1909, les Sitwell en font un important centre culturel fréquenté par des écrivains et des artistes américains et anglais. Pendant la Seconde Guerre mondiale, l'Adorazione dei Magi de Domenico Ghirlandaio, le Printemps de Botticelli et la Vierge d'Ognissanti de Giotto ont été cachées à Montegufoni, puis ensuite restituées à la Galleria degli Uffizi. Depuis 1972, Sergio Posarelli l'a restauré pour faire un centre d'hébergement touristique renommé, typique avec ses multiples terrasses fleuries et ses citronniers en pots, ses figuiers, ses plantations d'oliviers et ses propres vignobles dans les alentours immédiats.

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Santa Cecilia e storie della sua vita, tableau des Offices.

Le Maestro della Santa Cecilia (« Maître de sainte Cécile ») est un peintre italien anonyme du XIIIe siècle qui fut actif entre 1290 et 1348 à Florence et en particulier à Assise où il peignit trois des derniers panneaux de la Vie de saint-François sur les croquis de Giotto dans l'église supérieure de la basilique Saint-François d'Assise.

Biographie[modifier | modifier le code]

Œuvres[modifier | modifier le code]

  • Sainte Cécile en majesté et huit épisodes de sa vie (vers 1304), tempera sur bois, 85 × 181 cm, Galerie des Offices, Florence.
  • Terminaison du cycle delle Storie di San Francesco, église supérieure de la basilique Saint-François d'Assise :
    • Guarigione dell'uomo di Ilerda,
    • Confessione della donna resuscitata
    • San Francesco libera l'eretico Pietro di Alife
  • Madonna col Bambino, 1290-1295, tableau, Getty Museum, Los Angeles
  • Fragment de fresques de la Chapelle Rucellai, Santa Maria Novella, Florence
  • Madonna col Bambino in trono, Galleria dell'Accademia de Florence
  • Santa Margherita e storie della sua vita et Madonna col Bambino, chiesa di Santa Margherita a Montici, Florence
  • Madonna delle Grazie, oratoire di Santa Maria delle Grazie, Florence
  • San Pietro in cattedra (1307), chiesa dei Santi Simone e Giuda, Florence
  • Madonna in trono e i Santi Lorenzo e Stefano (atelier), chiesa di San Michele a Castello, Florence
  • Chapelle San Jacopo, Abbazia dei Santi Salvatore e Lorenzo a Settimo, Scandicci

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • La Peinture gothique italienne, collectif, Editeur De Lodi, 2011 (ISBN 9782846903745) p. 154

Notes et références[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

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Catégorie:Peintre italien du XIIIe siècle Catégorie:Maître anonyme italien Catégorie:Peintre d'art sacré


Catégorie:Date de naissance non renseignée (XIIIe siècle) Catégorie:Date de décès non renseignée (XIVe siècle)

Léda Spiridon

Rodolfo Siviero (1911 -1983), est un Italien, historien de l'art, connu sous le sobriquet de « détective de l'art » dû à son parcours pendant et après la Seconde Guerre mondiale. Après des études d'art à Florence, il les poursuit à Berlin en 1937, mais il s'agit d'une couverture car il y est envoyé comme officier de renseignements du Servizio Informazioni Militari italiano pour collecter des informations sur le potentiel militaire nazi. Jeune il avait adhéré au fascisme, mais la publications des lois raciales le fait basculer dans une aversion au nazi-fascismo. Avec l'occupation allemande, le transfert des œuvres vers l'Allemagne devient une véritable razzia, motivé par le Kunstschutz, mais en fait destiné alimenter des musées privés, ceux de Goering et d'Hitler. Rangé définitivement avec les forces antifascistes, son activité d'agent secret passe à la collaboration avec le Commando Militaire Allié, et il leur signale les transferts des chef-d'œuvres d'art. Après la Libération, choisi par le nouveau Gouvernement Italien pour traiter le problème de la restitution des œuvres d'art spoliées, il accomplira sa tâche jusqu'à sa mort en 1983. Il retrouva ainsi la Léda Spiridon de l'école de Léonard de Vinci. Aujourd'hui sa maison et ses collections privées sont devenues, par son legs, un musée : la Casa museo Rodolfo Siviero.

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Couverture de Le Vite

Giorgio Vasari (1511 - 1574) est un peintre, un architecte et un écrivain italien qui vécut à Florence, mais il est plus connu comme un des premiers historiens de l'art, l'auteur des Vies : Le Vite de' più eccellenti pittori, scultori e architettori. Il a œuvré pour les Médicis à Florence au palazzo Vecchio, mais aussi à Rome à Naples et à Arezzo. Ses actions sont plus celles d'un organisateur (préparation du Studiolo de François Ier) ou d'un directeur des productions artistiques (fondation de l'Académie de dessin de Florence en 1563, avec le grand-duc et Michel-Ange - conception en 1565, pour le mariage de François de Médicis, le devenu fameux Corridoio). Son grand-œuvre reste Le Vite, un recueil de biographies, d'une importance majeure, car il pose les bases des premières approches méthodologiques (historique et biographique) de l'histoire de l'art, où il rassemble des données, sur les artistes et sur leurs œuvres (enquêtes biographiques, catalogues des œuvres, anecdotes et légendes). Il est le premier à utiliser le terme Renaissance pour qualifier son époque (rinascimento de la bella maniera) et c'est aussi de Vasari que viendrait le terme « gothique », comparant l'étrange architecture du Moyen Âge avec la barbarie du peuple des Goths.

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Sainte Hyacinthe

L'Académie bolonaise des Incamminati (Accademia degli Incamminati en italien) est une des écoles italiennes de peinture issue d'une famille d'artistes italiens formée par les trois frères Carrache, Annibale, Ludovico et Agostino, au XVIe siècle, à Bologne, qualifiés de pré-baroque. Les Incamminati (« les acheminés » ou « les progressifs »), expriment leur réaction stylistique et idéologique au maniérisme qui repose sur le retour aux formes antiques (qui donna naissance au classicisme et au baroque du XVIIe siècle) en alliant l'observation de la nature, le réalisme et à l'imitation des meilleurs maîtres. Ils s'imposent des figures simples et claires utiles à la dévotion prônée par la contre-réforme.

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Emilio Scanavino (Gênes, 1922 - Milan, 1986) est un peintre et un sculpteur italien qui fait partie des représentants importants de l'art abstrait après la Seconde Guerre mondiale. Après avoir parcouru les lieux où se développe la vie artistique, (Paris, Venise, Milan, Londres, ...), il installe son atelier à Calice Ligure en 1962, où ensuite se réunissent, à partir de 1970, de nombreux artistes contemporains dont le Belge Jean Raine issu du groupe CoBrA et Théodore Kœnig, fondateur de la revue Phantomas. Ses nombreuses notes et photographies permettront en 2005 d'éditer La leggenda degli Artusti di Calice Ligure. Après une délicate opération chirurgicale en 1971, il guérit et donne le départ à une nouvelle phase créatrice de sa peinture, accomplit des voyages en Belgique, France et Allemagne tout en continuant à vivre et à travailler à Calice Ligure, et meurt à Milan en 1986.

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Ponte Vecchio entre la rive de l'Oltrarno et les quais Lungarno

Le Ponte Vecchio, est le seul des ponts de Florence sur l'Arno qui a traversé la Seconde Guerre mondiale intact. C'est un pont habité avec des boutiques et le Corridor de Vasari, qui le surmonte, permettait aux Médicis de circuler entre leurs palais sans escorte, en traversant une galerie d'art. Trois fenêtres panoramiques percées en 1939 pour permettre à Hitler de le visiter et d'admirer la ville, mais ce n'est pas pour cette raison que le pont fut épargné par les Allemands lors de leur retraite en 1944 : La largeur du pont n'était pas suffisante pour le passages des chars d'assaut des troupes alliées, a contrario de tous les autres ponts.

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