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Utilisateur:Jethro8/test Sirene

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ARTICLE[modifier | modifier le code]

Mythologie ancienne du Moyen-Orient[modifier | modifier le code]

Kulullû[modifier | modifier le code]

Des sceaux-cylindres mésopotamiens datant de la première dynastie de Babylone sont illustrés avec des créatures dont la partie supérieure est humaine et la partie inférieure est une queue de poisson, principalement mâles (kulullû (en) : Homme-poisson)[1]. Dans la culture néo-assyrienne, ils sont considérés comme protecteurs, et apparaissent aussi bien dans des sculptures monumentales que sur des petites figurines[2].

Déesse syrienne Dercéto[modifier | modifier le code]
La déesse Dercéto, poisson à tête de femme, sur le revers d'une pièce de Démétrios III.

Une déesse ressemblant à une sirène, identifiée par les écrivains grecs et romains comme Dercéto ou Atargatis, était vénérée à Ashkelon[3]. Au Ier siècle av. J.-C., Diodore de Sicile raconte le mythe de Dercéto, qui donne naissance à une fille hors mariage. De honte, elle l'abandonne dans le désert et va se noyer dans un lac, où elle se transforme en poisson à tête de femme. Sa fille, Sémiramis, devient reine de Babylone et épouse Onnes, un général de l'armée de Ninos roi de Ninive.

Certains chercheurs rapprochent Onnes du mythe mésopotamien d'Oannès et des sept sages hommes-poissons[4].

Les sirènes dans la littérature germanique[modifier | modifier le code]

Nibelungenlied[modifier | modifier le code]

Dans la chanson des Nibelungen (XXV), Hagen von Tronje rencontre deux ondines prophétiques, Sigelinde et Hadeburg, se baignant dans le Danube.

Ces deux créatures sont à l'origine des nixes développées dans la littérature germanique ultérieure[5].

Die Rabenschlacht[modifier | modifier le code]

Dans le poème épique du XIIIe siècle Die Rabenschlacht (de) (« La bataille de Ravenne »), c'est une sirène, Wâchilt, qui empêche le héros Dietrich de tuer le traître Wittich[6].

Ce passage existe également dans la Thidreksaga norvégienne du XIIIe siècle, où la créature est appelée sjókona[7], littéralement « Femme de la mer », et dans une adaptation suédoise du XVe siècle où elle est appelée haffru[8], nom donné aux sirènes en vieux suédois.

Folklore britannique et irlandais[modifier | modifier le code]

Sculpture de sirène sur un banc, Zennor, Angleterre, {{s-|XV}}.
Sculpture de sirène sur un banc, Zennor, Angleterre, XVe siècle.

La sirène est considérée comme un mauvais présage dans le folklore britannique, annonçant ou provoquant un désastre, ou signe de mauvais temps[9]. Elle est une créature sans âme, capable de remonter les rivières, et est parfois décrite comme dépassant les 600 mètres de long. La sirène peut parfois être bienveillante, enseignant aux humains des remèdes contre des maladies. Les tritons, sirènes mâles, sont décrits comme plus sauvages et plus laids que les femelles, avec peu d'intérêt pour les humains[10].

La chapelle normande du château de Durham, construite au XIe siècle, possède probablement la plus ancienne représentation d'une sirène en Angleterre[11]. On la voit sur un chapiteau orienté au sud, au-dessus de l'un des piliers en pierre normands d'origine[12].

Plusieurs variantes de la ballade de Sir Patrick Spens (en) mettent en scène une sirène s'adressant aux navires en péril, pour leur annoncer qu'ils ne reverront plus jamais la terre.

Dans la ballade du Clerk Colvill, la sirène séduit le personnage principal et prédit sa perte. Les chercheurs supposent que dans la version complète originale, l'homme aurait été puni pour l'avoir rejetée. Cependant, les variantes scandinaves de la même histoire mettent en scène une femme elfe ou une reine elfe plutôt qu'une sirène[13].

Dans une histoire, le Laird de Lorntie va secourir une femme qui semble se noyer dans un lac, mais son serviteur l'avertit qu'il s'agit d'une sirène qui aller le tuer[14].

Une légende raconte qu'une sirène est venue au village de Zennor pour écouter un choriste[15]. Ils sont tombés amoureux et le choriste est allé vivre chez la sirène sur la côte, où l'on peut encore les entendre chanter ensemble. On peut admirer cette sirène sculptée au XVe siècle sur un banc de l'église de Zennor[16].

Dans la mythologie écossaise, une ceasg est une sirène d'eau douce, mais peu d'informations sont disponibles aujourd'hui[17].

Les sirènes de l'île de Man, connues sous le nom de ben-varrey, sont considérées comme plus favorables aux humains que celles des autres régions, avec divers récits d'assistance, de cadeaux et de récompenses. Une histoire raconte qu'une sirène a donné un trésor au pêcheur l'ayant sauvée après s'être échouée. Un autre histoire raconte qu'un bébé sirène a été réprimandé par sa mère pour avoir volé la poupée d'une petite fille, et qu'elle a dû lui apporter un collier de perles pour se faire pardonner. Une troisième histoire raconte qu’une famille de pêcheurs qui faisait régulièrement don de pommes à une sirène a été récompensée par des richesses[18].

La sirène irlandaise est appelée merrow dans des contes comme « The Lady of Gollerus » publié au XIXe siècle. Une histoire raconte que Lí Ban (sirène) (en) fut transformée en sirène, et fut baptisée trois siècles plus tard, une fois le christianisme arrivé en Irlande[19].

Folklore scandinave[modifier | modifier le code]

La margýgr et saint Olaf, Flateyjarbók, Islande, XIVe siècle.

Selon le linguiste Walther von Wartburg, le terme du vieux norrois haffrú désignant la sirène serait la source étymologique du mot normand havette[20], utilisé en normand pour désigner « une espèce d'ondine qui attire au fond des eaux »[21].

Une des premières descriptions des sirènes apparaît dans les écrits de l'évêque danois Pontoppidan au XVIIIe siècle[22], dans lesquels il précise qu'elles vivent dans la mer du Nord. Il était convaincu de leur existence.

La sirène scandinave est très belle, et peut être malicieuse et rancunière, comme le raconte l'histoire du marin qui coupa la main d'une sirène et qui fut puni par une tempête qui faillit le noyer[23]. Dans la ballade suédoise Hafsfrun[24], une sirène kidnappe une jeune fille, mais son frère la sauve. Dans d'autres histoires, c'est la sirène mâle qui capture des jeunes femmes qui se promènent au bord de l'eau[25].

Voir une sirène indique une tempête imminente[26], ou une mauvaise pêche[27]. Pour contrer ce mauvais présage, le marin qui a vu la sirène doit rester silencieux et produire une étincelle avec du silex[28].

La sirène peut également être bienveillante, récompensant de bonnes actions en répondant à trois questions[29].

Elle est parfois capable de prophétie. Les marins capturent ses enfants pour prédire le futur[23], mais doivent les relâcher sous 24h[22].

La littérature islandaise décrit une autre sorte de sirène, appelée margýgr, littéralement « Troll de la mer »[30], qui correspond plutôt à un monstre marin[31]ou une ogresse de mer[32], décrite comme une femme blonde au corps de poisson en-dessous de la taille, qui entraîne les marins imprudents dans les profondeurs de la mer[33].

Dans une version de la Saga de Saint Olaf, le roi rencontre une margýgr dont le chant endort les voyageurs et les force à se noyer, et dont les cris aigus rendent fous[34]. Elle est décrite ainsi : « Elle a une tête de cheval, avec les oreilles dressées et les naseaux distendus, d'énormes yeux verts et une mâchoire effrayante. Elle a des épaules comme un cheval et des mains à l'avant ; mais derrière elle ressemble à un serpent »[35]. Elle est de couleur grise et couverte de fourrure comme un phoque[36].

Folklore d'Europe occidentale[modifier | modifier le code]

Le roman de Mélusine, Jean d'Arras, XVe siècle.

À l'époque romane, les sirènes étaient souvent associées à la luxure[37].

Mélusine est une femme victime d'une malédiction qui la transforme en serpent à partir de la taille[38]. Elle est parfois représentée avec une queue de poisson, et son nom est associé à la sirène de l'héraldique.

Au XVIe siècle, l'alchimiste Paracelse a avancé l'idée qu'un élémentaire d'eau pouvait obtenir une âme immortelle en se mariant avec un humain, dans Le livre des nymphes, des sylphes, des pygmées, des salamandres et de tous les autres esprits (en). Cette idée a été reprise par l'écrivain Friedrich de la Motte-Fouqué dans le conte Ondine et par Andersen dans le conte La Petite Sirène[39].

Folklore grec byzantin et ottoman[modifier | modifier le code]

Dans l'empire byzantin, le terme de sirène a longtemps désigné aussi bien des créatures à moitié poisson qu'à moitié oiseau. Entre le IIe et IVe siècle, le Physiologus privilégie la forme à moitié poisson[40], mais de façon surprenante, la traduction arménienne la décrit ainsi : « Le corps de ces enchanteresses est celui d'une femme, jusqu'aux mamelles ; le reste tient de l'oiseau, ou de l'âne, ou du taureau », sans mentionner le poisson[41]. Au Xe siècle, l'encyclopédie grecque Souda décrit encore la sirène comme à moitié oiseau[42].

Une légende grecque, issue du Roman d'Alexandre au IIIe siècle, raconte que Thessaloniké, la soeur d'Alexandre le Grand, fut transformée en sirène quand elle mourut, et continua à vivre dans la mer Égée. Elle demandait à tous les bateaux qu'elle croisait si Alexandre était toujours en vie. Si la réponse était positive, elle calmait la mer et laissait le bateau repartir, sinon, elle provoquait une terrible tempête et coulait le bateau[43].

Europe de l'Est[modifier | modifier le code]

Sadko, par Ilya Repin, 1876.
Sadko, par Ilya Repin, 1876.

Dans la mythologie slave, la roussalka est une créature proche de la sirène. Elle est l'incarnation d'une âme non baptisée, d'un enfant mort-né, d'une suicidée ou d'un meurtre par noyade. Elle ressemble à une jolie jeune femme aux yeux pâles et aux longs cheveux vert clair, rappelant les herbes au fond des rivières[44]. Elle habite en eau douce, et danse la nuit sous la lune, attirant les jeunes hommes pour les noyer.

L'un des opéras les plus connus d'Antonín Dvořák est Rusalka, composé en 1901, inspiré du folklore tchèque mettant en scène des éléments similaires aux contes de Friedrich de la Motte-Fouqué dans Ondine et d'Andersen dans La Petite Sirène.

Dans la légende russe Sadko, le riche marchand Sadko est contraint de vivre dans la cour sous-marine du tsar des mers pour ne pas lui avoir payé tribut. Après avoir divertit la cour en jouant de la musique pendant plusieurs jours, le tsar lui offre sa fille en mariage et il peut finalement rentrer chez lui[45]. Le conte a inspiré le poème Sadko de Tolstoï, l'opéra Sadko composé par Nikolai Rimsky-Korsakov et le tableau Sadko d'Ilya Repin.


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folklore chinois[modifier | modifier le code]

Une race d'ondins appelée le Di people (merfolk) (en)</link> sont décrits comme peuplant leur propre nation dans la compilation Shanhaijing ( Classique des montagnes et des mers ) de la géographie et de la mythologie chinoises, datant du IVe siècle avant JC. Les travaux anciens incluaient également plusieurs types de poissons à tête humaine, comme le chiru</link> ou « poisson rouge ru » ; ainsi qu'une créature avec des qualités humaines comme le renyu (人魚</link>) ou "homme-poisson".

Notez qu'ils ne sont pas d'un sexe spécifique, ils ne sont donc pas vraiment propices à être appelés « sirènes », bien que certains écrivains anglais (européens) puissent utiliser « sirène » comme raccourci.

Il y a aussi un récit du hairenyu (en) (海人魚</link>; littéralement « poisson humain de mer »), donné dans la compilation Taiping guangji, tirée de l'ouvrage intitulé Qiawenji (洽聞記</link>). La femelle de son espèce avait une tête de belle femme, avec des cheveux comme une queue de cheval, et une peau blanche comme du jade sans écailles, couverte de poils duveteux multicolores (ou duvet de pêche ), et sans pattes. Le mâle et la femelle avaient des organes sexuels comme les humains, de sorte que les veufs et widowers les gardaient dans leurs étangs, et les créatures pouvaient avoir des rapports sexuels normalement comme le ferait un humain.

Une anecdote jugée pertinente concerne un renyu (« poisson humain ») qui aurait été aperçu par le navire transportant Zha Dao (査道</link>), et émissaire en Corée. Elle avait une coiffure négligée et une crinière écarlate s'étendant jusqu'à l'arrière de ses coudes. Zha a ordonné à l'équipage de la faire monter à bord avec des perches, mais elle s'est échappée. Zha a expliqué qu'elle était une renyu, adepte de la fornication avec les humains, et qu'elle était un type d'humain habitant dans la mer. L'anecdote du Cuyiji perdu (« Records of Bygone Extraordinay Things ») de la période des Song du Nord, survit entre guillemets, par exemple dans la compilation de leishu Gujin tushu jicheng (古今圖書集成</link>"Recueil complet d'illustrations et de livres, anciens et modernes").

folklore coréen[modifier | modifier le code]

La Corée est bordée par la mer sur trois côtés. Dans certains villages proches de la mer en Corée, on raconte des histoires mystérieuses sur les sirènes. Les sirènes ont des caractéristiques semblables à celles des humains. Kim Dam Ryeong, maire de la ville , a sauvé quatre sirènes capturées par un pêcheur, comme enregistré dans les Eou yadam ( histoires non officielles ). Sur l'île Dongabaek de Busan se trouve l'histoire de la princesse Hwang-ok de Naranda, un royaume sous-marin mythique de sirènes ; ce conte est basé sur le récit historique Heo Hwang-ok d' Inde . Une autre histoire concerne une sirène nommée Sinjike ( coréen : 신지끼 </link> ) qui avertissait les pêcheurs des tempêtes imminentes en chantant et en jetant des pierres à la mer depuis l'île de Geomun . Les habitants de l'île la considéraient comme une déesse de la mer et qu'elle pouvait prédire la météo.

folklore japonais[modifier | modifier le code]

IMAGE : "Ningyo no zu" : Un aviateur représentant une sirène, daté du cinquième mois de Bunka 2 (1805).

L'équivalent japonais est ningyo (人魚?, literally "human-fish") . Selon un dictionnaire, ningyo fait souvent référence à une « créature fabuleuse mi-femme mi-poisson », c'est-à-dire une sirène, mais pas nécessairement une femme, c'est-à-dire qu'elle inclut des tritons.

Bien que le dictionnaire indique qu'elle a l'apparence d'une femme mi-poisson, la créature a été représentée plutôt comme un être avec une tête de femme humaine assise sur un corps entièrement semblable à celui d'un poisson (voir fig. de droite).

Chair de Ningyo

La chair du ningyo était censée être un élixir et sa consommation conférait une longévité remarquable.

Une célèbre légende ningyo concerne le Yao bikuni (en) qui aurait mangé la chair d'un ondin, aurait atteint une longévité miraculeuse et aurait vécu pendant des siècles. On ne peut pas discerner si la chair était une femelle ; deux traducteurs l'appellent « chair de sirène » dans un livre, mais simplement « poisson étrange à visage humain » dans un autre.

En tant que yōkai

Un ningyo peut être considéré comme un yōkai puisqu'il est inclus dans la série Hyakki Yagyō de Toriyama Sekien . Le genre n'est pas clair, car il est uniquement décrit comme un être avec « un visage humain, un corps de poisson ». Cependant, la photo ningyo de Sekien représente en réalité un « poisson-humain » qui vit dans l'ouest de la Chine, également connu sous le nom de peuple Di Diren Diren|(en), selon l'inscription imprimée à côté. Ils sont décrits dans le Classique des Montagnes et des Mers et traduits par « Peuple Bas » ou « Peuple Di ».

folklore indien[modifier | modifier le code]

Stray ref from trad[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

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  2. (en) Jeremy A. British Museum, Anthony Green et Tessa Rickards, Gods, demons, and symbols of ancient Mesopotamia: an illustrated dictionary, Published by British Museum Press for the Trustees of the British Museum, (ISBN 978-0-7141-1705-8, lire en ligne), p. 131-132
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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • (en) Katharine Mary Briggs, An Encyclopedia of Fairies, Hobgoblins, Brownies, Boogies, and Other Supernatural Creatures, (lire en ligne).
  • (en) Benjamin Thorpe, Northern Mythology, Comprising the Principal Popular Traditions and Superstitions of Scandinavia, North Germany and the Netherlands, (lire en ligne).