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Marie-Ange Guilleminot
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Marie-Ange Guilleminot. Oursin, 2014 photographiée par Michel-Ange Seretti à Kyoto, Japon (Performance gestuelle)
Naissance
Nationalité
française
Activités
Performance, artiste plasticienne
Autres activités
Sculpture
Formation
Villa Arson
Mouvement
Performance gestuelle
Distinction
Mention d'honneur biennale de Venise 1997
Compléments
Chevalier des Arts et des Lettres
Marie-Ange Guilleminot. La Guirlande de Tsuru, 2003 vue de l'atelier de l'artiste, photographie par Michel-Ange Seretti, à Paris en avril 2011.
Au centre de la rotonde du musée Guimet.

Marie-Ange Guilleminot[1] est une plasticienne, sculptrice, vidéaste, performeuse née à Saint-Germain-en-Laye en 1960. Elle vit et travaille à Paris.

Très présente sur la scène artistique internationale[2] en Allemagne, au Brésil, au Canada, en Israël, en Italie, au Mexique, aux États-Unis, et au Japon, elle a participé à de grandes expositions[3] en France : notamment avec Le Paravent, 1997 au Centre d'arts plastiques contemporains de Bordeaux (1998), et pour « Jour de fête » en 2000 au Musée national d'art moderne Centre Georges Pompidou à Paris où sont montrées (2009 & 2010) plusieurs pièces importantes, appartenant aux collections du Musée, lors de l'exposition elles@centrepompidou.

Son travail tourne autour des notions de faire et de transformation liés à son propre corps. Il se présente sous forme d'œuvres, d'objets ou sculptures d'usage, de films ou de livres d'artiste qui témoignent de ses performances. Des textes critiques, notamment d'Ariella Azoulay, Camille Morineau, Sophie Duplaix ou Guy Tortosa ont pu souligner dans l'œuvre ce que l'attention à l'Autre dévoile du secret désir de l'artiste à l'égard du développement durable et de la place de l'art dans notre monde.

Elle a représenté la France dans de nombreux musées et à la Biennale de Venise en 1997[4] — elle y obtient la mention d'honneur pour son installation : Le Salon de transformation où des objets sculptures, à travers Cauris, 1994 y acquièrent des usages multiples.

Formation[modifier | modifier le code]

Marie-Ange Guilleminot sort diplômée de la Villa Arson en 1985, avec les félicitations du jury. Elle débute alors sa carrière où se mélangent la performance gestuelle, dans le droit fil de l'esthétique relationnelle, et la sculpture ou l'installation, au centre de sa pratique des arts plastiques.

Si elle obtient une reconnaissance rapide auprès des institutions françaises et étrangères, c'est au prix de nombreux voyages à travers le monde pour honorer, dès ses débuts, les invitations pour expositions, performances, workshops ou résidences, récoltant sa toute première acquisition emblématique aux États-Unis, pour les collections du Musée de Philadelphie en 1996[5]

De nombreuses propositions de travaux permettent à l'artiste d'impliquer, à ce jour, plus d'une centaine d'artisans[6][7] en faveur d'un double échange : permettant aux uns d'y exercer l'excellence d'un métier d'art, comme élaboration incessante de la perfection, pour se voir offrir en retour une réflexion sur la création nourrie par la recherche pure, comme ouverture des possibles.[Quoi ?] On peut citer, par exemple dans le domaine textile :

  • aussi bien les œuvres de Marie-Ange Guilleminot[8] : Kimono mémoire de Hiroshima, 1995-2005[9][10][11]nées au Japon en peinture sur soie grâce aux précieux conseils du Maître, trésor national vivant japonais, Kunihiko Moriguchi[12][13]
  • mais aussi 40 pièces réalisées pour Palais Galliera : Touchez-Voir, 2013-2016[14] avec de toutes remarquables interventions de mains d'or (broderies d'Ollivier Henry[15][16], coupes de Carmen Mateos[17] ou Claudine Lachaud, Caraco[18]...) pour n'en citer que trois parmi une longue liste honorant ses remerciements
  • ou encore 40 autres : in La Garde-Robe Marie-Ange Guilleminot, 2015[19][20] confectionnées en quatre mois avec les meilleurs intervenants artisanaux et industriels de la couture du Made in France[21][22], une commande privée du groupe Première Vision[23], montrée en 2016 lors des Salons au Carreau du Temple et à Paris-Villepinte.

L'artiste illustre ainsi le caractère de constellation sans cesse mouvante d'une formation artistique rhizomatique, dont la carte se dessine à partir d'expériences[24][25] et de rencontres sans cesse approfondies par les créations successives.

Carrière[modifier | modifier le code]

  • 2001 : Marie-Ange Guilleminot, Projet exposition personnelle présentée au musée des Beaux-Arts et de la Dentelle de Calais du 14 décembre 2001 au 17 février 2002 marque la première synthèse rétrospective des thèmes et préoccupations majeures de l'artiste. Elle fait suite à sa résidence à l'Atelier Calder, Saché. Ce séjour dans la Loire lui aura également permis de créer la pièce Oursin, 1999 ø 12 m qui sera plus tard déployée dans la Salle des Chevaux de Marly au Louvre, filmée par le cinéaste Gilles Coudert, lors de l'exposition et des performances de Marie-Ange Guilleminot répondant à l'invitation de Marie-Laure Bernadac : « Contrepoint, l’art contemporain au Louvre » Musée du Louvre, Paris, France (12 novembre 2004 – 10 février 2005)
  • 2012 : Dans la grande rotonde panoramique du Musée Guimet, Marie-Ange Guilleminot a installé Le Salon blanc de transformation 1999 qui appartient au Fonds National d'Art Contemporain, en dépôt à l'Espace de l'art concret de Mouans Sartoux, prêté pour l'exposition "I went" (2012-2013). Activée lors de la Nuit blanche de 2012, cette œuvre rencontre l'adhésion du public et de jeunes artistes qui se sont associé(e)s avec elle pour donner, en actes, une vision transversale de la déclinaison des différentes pièces concernées par Marie-Ange Guilleminot[26]
  • 2013 : Le Musée de la Manufacture de Sèvres lui a consacré une exposition personnelle qui a manifesté l'ineffable d'une présence de l'artiste (concert, film, performances...) pour honorer ses réalisations : Le Livre de Seuil, 2008, - Gamme de couleurs du Nuancier, 2003 déployée par Aurore Thibout - Danser ou mourir, 1997 livre ouvert par Marie-Ange Guilleminot - Nuancier, 2003 lithographies tenues par Manon Gignoux, Légendes lues par Samuel Nicole - Danser ou mourir (version origami), 2000 entre les mains de Fanny Terno - L’éternité chatouillée texte de Pierre Giquel lu par l’auteur - Le Salon de transformation blanc, 1999 - Iko, kimono et obi, mémoire de Hiroshima, 2005. À l'issue de l'exposition a été tourné le film Mouvement. Lecture simultanée à huit mains et deux voix, pour Danser ou mourir.

Œuvres vidéo[modifier | modifier le code]

  • Mes poupées 1993
  • La Démonstration du Chapeau-Vie 1995
  • Mouvement. Lecture simultanée à huit mains et deux voix, pour Danser ou mourir 2013

Art urbain / Commande publique[modifier | modifier le code]

  • 2009 : Intégration de l’art dans les bâtiments publics, réflexion sur l’école et commande d’une œuvre faisant l’objet d’une formulation spécifique, établie de concert entre la cellule artistique et les directions d’écoles. Projet réalisé pour l’école Sint-Ursula à Laken avec l’architecte Tom Thys, Vlaams Bouwmeester, Bruxelles, Belgique.
  • 2004-2005: Le Lieu de mémoire accompagné du Livre infini. Commande Publique réalisée avec le concours de la DRAC Île-de-France en hommage aux anciens combattants et aux victimes des trois guerres. Ce dispositif évolutif implique les jeunes générations : chaque année à travers une nouvelle rencontre choisie, les écoliers se donnent le relais pour concevoir avec un artiste contemporain, différent, le prolongement, sans fin, de ce grand livre d’artiste, dès lors sans cesse renaissant… À partir de cet événement perpétuel, les acteurs du lieu de mémoire s’engagent dans le processus de ces cérémonies commémoratives instaurées, avec la possibilité de mieux en comprendre la portée. Marie-Ange Guilleminot: "J’ai conçu et réalisé l’interactivité de cet espace spatiotemporel dans la ville en lui consacrant un cycle complet de développement, architecturé par mes soins, afin d’y respecter les divers intervenants présents dans ce cadre, pour Magny-les-Hameaux." Document[27] édité et site web : pour visualiser le jardin créé et la symbolique associée à travers l’usage du nombre d’or, la plantation de l’arbre Gingko Biloba. Premier tracé le 31 mai 2005[28] à Magny-les-Hameaux, France.
  • 2014-2015 : La Mar(g)elle commande pour la création d’une œuvre itinérante destinée à porter la mémoire et la proposition d'une valorisation du patrimoine, à l'issue d'une résidence de l'artiste en juillet 2014 et pour répondre à l'invitation de Sophie Brossais à qui on doit l'initiative de l'ensemble du projet dont un aboutissement est : l'exposition personnelle Destine-moi une Maison (27 juin - 25 octobre 2015) au Centre d’art La Chapelle Jeanne d’Arc, Thouars, France.
  • 2013-2016 : Touchez-voir, commande d’une installation pour le Palais Galliera destinée aux publics non-voyant, Musée de la mode de la Ville de Paris. Invitation d’Olivier Saillard. Projet mécéné par Conny-Maeva Charitable Foundation.
  • 2013-2017: L’Espace entre ! Tout un monde à portée de main par Marie-Ange Guilleminot. Commande d’une œuvre pour le CMPEA, Centre médico-psychologique pour enfants et adolescents de Gaillac, sur une invitation de Valérie Cudel, dans le cadre de l'action Les Nouveaux commanditaires, soutenue par la Fondation de France (étude 2013-2015) réalisation 2016. Présentation en février 2017.

Sculpture[modifier | modifier le code]

  • Point commun. Vues de l'intérieur 1992. 79 moulages de nombril en plâtre 14,5 x 14,5 cm - 50 3/4 x 50 3/4 inches (chacun) effectués entre 1990 et 1992[29].
  • La Rotateuse 1995. Structure pliable en métal, moteur électrique, résine, bonbon gomme, vidéo de démonstration, couleur, 6'24' 220,8 x 170 x 149 cm
  • Mes poupées
  • Cauris™ (créé à Bilbao en 1995 pour les besoins de la performance Le Manteau de lumière, sorte de course au bout de la nuit pour conjurer les mauvais sortilèges de la vie à la mort... En laissant derrière soi une simple trace phosphorescente, présence dans la nuit, disséminée à travers les mailles textiles de cette œuvre portée par l'artiste)
  • Le Manteau de lumière
  • Mes robes
  • La Structure géodésique
  • L'Oursin version ø12m [30]
  • ...du meuble spirale au meuble infini... [31] [32] Marie-Ange Guilleminot crée cette sculpture en même temps qu'elle se projette pour "habiter" la villa Savoye/Le Corbusier lors d'une exposition-performance dont Sophie Brossais assure le commissariat. Cette pièce est ensuite exposée en 2014 à la villa Noailles/Mallet-Stevens,[33] dans une subtile analogie formelle avec la lampe Shade de Man Ray grâce aux commissaires[34] de l'exposition permanente en hommage aux grands mécènes Marie-Laure et Charles de Noailles. Marie-Ange Guilleminot y côtoie les objets et le sens déposés en ces lieux depuis les années trente avec les réminiscences de la présence forte de ces fantômes qu'emporte la spirale de l'art à travers les nombreuses évocations de ceux qui peuplèrent l'endroit et l'envers d'un décor aussi urgent que l'attention qu'on lui porte... De Sonia Delaunay à Man Ray en passant par Raoul Dufy... la vaisselle étoilée de Sol Lewitt... La Joie de vivre de Jacques Lipchitz envolée...[35]

Films[modifier | modifier le code]

  • Oursin, film de Guillaume Blanc tourné en complicité et à la demande de l'artiste, à l'Atelier Calder à Saché
  • L'oursin, film de Gilles Coudert (8 min / 2005 / a.p.r.e.s production) Captation de la performance de l’artiste Marie-Ange Guilleminot dans le cadre de l’exposition Contrepoint au Musée du Louvre.

Collections Publiques[modifier | modifier le code]

Fonds Municipal d’Art Contemporain (FMAC), Paris / Fonds National d’Art Contemporain (FNAC), Paris / Musée National d’Art Moderne - Centre Georges Pompidou, Paris / Musée d’art contemporain de Lyon / Médiathèque du Limousin / Frac des Pays de la Loire / Frac Provence Alpes Côtes d'Azur (PACA) / Espace de l'Art Concret, Mouans-Sartoux / Frac Languedoc-Roussillon / Médiathèque François Mitterrand, Poitiers / Frac Haute-Normandie / Musée de Philadelphie / The Fabric Workshoop and Museum, Philadelphie, États Unis / Musée du Grand Duc, Luxembourg / Musée d’Israël, Jérusalem

Livres d'artiste, Éditions[modifier | modifier le code]

  • Marie-Ange Guilleminot. Mes poupées, Edition Frac des Pays de la Loire, 1996 [36]
  • Marie-Ange Guilleminot. Danser ou mourir,Edition La Boîte,Paris, 1997[37]
  • Marie-Ange Guilleminot. Cauris, Paris 1997-2012[38]
  • Marie-Ange Guilleminot. Le livre du Chapeau-Vie,Edition La Boîte et Michaël Gordon, Paris,1998 [39]
  • Marie-Ange Guilleminot. La Montre blanche,Edition La Boîte et Setegaya Museum of Art Tokyo, Paris, 1999[40]
  • Marie-Ange Guilleminot. Le vol blanc, 1999 [41]
  • Marie-Ange Guilleminot. Shoe/Chaussure 1:1 . Toronto, 2001[42],
  • Marie-Ange Guilleminot. Danser ou mourir (version Origami), Edition Ikon Gallery, Birmingham & Fonds régional d’art contemporain PACA, Marseille, 2000 [43]
  • Marie-Ange GUILLEMINOT. Shoe/Chaussure 2002. La Boîte et Michael Gordon, Paris/Tel Aviv, 2002 [44]
  • Marie-Ange GUILLEMINOT. Kimono Kara.Edition Kyoto Art Center,Kyoto, 2005 [45]
  • Marie-Ange Guilleminot. Nevers-Hiroshima. La Boîte et Hiroshima Museum, Paris/Hiroshima,Edition La boîte & Hiroshima City,Museum of Contemporary Art, 2006[46]
  • Marie-Ange Guilleminot. Les photographeurs,Edition La Boîte, Musée départemental du Sel, Marsal, Centre d’art contemporain la Synagogue de Delme, 2007 [47]
  • Marie-Ange Guilleminot. Il n'y a d'urgent que le décor, Edition La Boîte et la ville de Poitiers, Paris 2008 [48]

Expositions personnelles[modifier | modifier le code]

  • 1992 Point commun, vues de l'intérieur, moulages du nombril, 1992 invitation Pierre Leguillon « Cinq appartements » Paris, France
  • 1994 La Robe de mariée, 1993 Vitrine de la Teinturerie Huguet, Paris, France
  • 1995 Galerie Chantal Crousel, Paris, France La Démonstration du Chapeau-Vie, Ramat Gan, 1995 invitation Suzanne Landau Salle Maremont et Salle d'art précolombien, Israël Museum, Jérusalem, Israël La Démonstration du Chapeau-Vie, Musée d'Israël, intervention avec La Robe grains de beauté et Le Chapeau-Vie couleur chair, Jérusalem, Israël Le Manteau de Lumière, 1995 performance filmée d’une déambulation nocturne invitation Jérôme Delormas « Nuits blanches » Institut Français Bilbao, Espagne La Démonstration du Chapeau-Vie à Venise, 1995 invitation Marc Pottier, Venise, Italie « Shopping », dans la vitrine (Robe n°2) et au rayon jouets (Robe n°4 bis), invitation de Jérôme Sans, capc Musée, Galeries Lafayette, Bordeaux, France « fémininmasculin. Émotions contenues » invitation de Marie-Laure Bernadac et Bernard Marcadé, Centre Georges Pompidou, Paris, France « Show must go on » Les soirées nomades, Fondation Cartier et bdv, Paris, France
  • 1999 Brèves rencontres, invitation d'Hervé Mikaëloff, Caisse des dépôts et consignations Le salon de transformation, Cauris™, avec l'Atelier des enfants du Centre Pompidou, Galerie Chantal Crousel, Paris,
  • 1998 Le Paravent, Le Miel du Paravent invitation de Marie-Laure Bernadac, capc Musée d'art contemporain, Jardin Botanique, Bordeaux, France Le Salon de transformation, Cauris™ collant/sac-à-dos, sac-à-dos/collant, Masataka Hayakawa Gallery, Tokyo, Japon Le Livre de mouchoirs, 1993 et Le Mariage de Saint-Maur à Saint-Gallen, 1994 Médiathèque de Poitiers, France Le Livre du Chapeau-Vie, 1998 Michael Gordon Edition, Passage de Retz Le Livre de mouchoirs, 1993 Lecture du poème de Pierre Giquel par Gilles Tiberghien, Librairie Michèle Ignazi, Paris,
  • 1999 Le Salon de transformation blanc, 1999 Santa Monica Museum of Art, États-Unis Oursin, 1997 ø 120 cm et ø 400 cm vidéos, San Francisco Art Institute, États-Unis
  • 2000 Oursin, 1997 ø 120 cm et ø 400 cm vidéos The Fabric Worshop and Museum, Philadelphie, États-Unis Le Salon de transformation blanc, 1999 Ikon Gallery, Birmingham, Angleterre
  • 2001 Atelier Calder, Saché, France (24 mars) Shoe/Chaussure 1:1 1999-2002 Les Vêtements blancs d’Hiroshima, 1998… Projet, 2001… Musée des Beaux-Arts et la Dentelle, Calais, France (14 décembre – 17 février 2002)
  • 2002 Galerie Erna Hecey, Luxembourg Art Metropole, Toronto, Canada The Bata Shoe Museum, Toronto, Canada
  • 2004 Shoe / Chaussure 1:1 Galerie Masataka Hayakawa, Tokyo, Japon Nuancier Artothèque de Pessac, Gironde, Bordeaux, France
  • 2005 Hiroshima City Museum of Contemporary Art, Hiroshima, Japon
  • 2006 Kyoto Art Center, Kyoto, Japon
  • 2007 Marie-Ange Guilleminot, Shoe/Chaussure 1:1, 1999-2002, Musée de Sérignan, France Marie-Ange Guilleminot présente Absalon, Cellules, 1992 DRAC Picardie Amiens, France (catalogue)
  • 2009 Le Livre de Seuil, 2009 Musée du feutre, Mouzon, France (18 avril –20 septembre) Mes Robes, 1992 Galerie Éphémère, Le 104, Paris, France (16 mai – 30 sept) Il n’y a d’urgent que le décor, 2009 Galerie Louise Michel, Poitiers, France (14 janvier-24 février)
  • 2010 Animal de bibliothèque, Bibliothèque des Arts décoratifs, Paris (9 février – 9 avril)
  • 2011 Marie-Ange Guilleminot. Le Livre de Seuil, 2009-2011 Galerie Daviet-Thery, Paris
  • 2012 Marie-Ange Guilleminot. De la fragilité du seuil, si intense qu'il soit, 2012 installations Villa Savoye Le Corbusier, Poissy, France (27 mai - 30 septembre)
  • 2013 Voyage (Touchez-Voir en cours) Made in Town, Paris (25 octobre-23 novembre) Laps, installations à la Cité de la céramique, Sèvres, France (20 février-22 avril)
  • 2015 Destine-moi une Maison (exposition 27 juin - 25 octobre 2015) suite à résidence en juillet 2014 et à la création d’une œuvre itinérante : La Mar(g)elle, 2015 mémoire et valorisation du patrimoine, Centre d’art La Chapelle Jeanne d’Arc, Thouars, France
  • 2016 La Garde-Robe, 2015 Made in France, Carreau du temple, Paris, France (6-7 mars) Transformation parlor, 2016 PremièreVision Paris Villepinte, France (13-15 septembre)
  • 2017 L’Espace Entre ! Tout un monde à portée de main par Marie-Ange Guilleminot, 2013-2016 Commande du CMPEA, Gaillac, France (installation permanente le 28 février 2017)

Décorations[modifier | modifier le code]

  • Chevalier des Arts et des Lettres

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Marie-Ange Guilleminot - Projet, ouvrage rétrospectif montrant toutes les facettes du travail de Marie-Ange Guilleminot. Texte de Alfred Pacquement, Pierre Gicquel et Frédéric Mathieu, franco-anglais. Musée de la dentelle, Calais, 2001.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Marie-Ange Guilleminot · blog », sur www.ma-g.net (consulté le )
  2. « marie-ange guilleminot (1960) », sur www.sevresciteceramique.fr (consulté le )
  3. « Marie-Ange Guilleminot | Centre Pompidou », Centre Pompidou, Paris : La Rotateuse, 1995,‎ évènement en 2009 : une œuvre de 1995 (lire en ligne, consulté le )
  4. « La Biennale de Venise | Technikart », Technikart,‎ (lire en ligne, consulté le )
  5. Philadelphia Museum of Art, « Philadelphia Museum of Art - Collections Object : Navels », sur www.philamuseum.org (consulté le )
  6. « Marie-Ange Guilleminot Exploration des savoir-faire - Made in Town », sur www.made-in-town.com (consulté le )
  7. « Marie-Ange Guilleminot, dialogue avec les savoir-faire. Article signé par Pascal Gautrand. », Maison d'exceptions. Première Vision,‎ (lire en ligne)
  8. « Marie-Ange Guilleminot, dialogue avec les savoir-faire - Maison d'Exceptions », Maison d'Exceptions,‎ (lire en ligne, consulté le )
  9. « Marie-Ange Guilleminot. Le Bol, une métaphore du monde. Article signé par Carole Andreani. », La Revue de la céramique et du verre nº190,‎ , p. 36-39 (lire en ligne)
  10. « Marie-Ange Guilleminot. Les Vêtements blancs de Hiroshima, 1998 (présentation dans l'exposition elles@centrepompidou », sur Centre Pompidou, Paris,
  11. « Les vêtements blancs de Hiroshima – 1998 », sur camlux.blogspot.fr (consulté le )
  12. Maison de la Culture du Japon à Paris, « Kunihiko Moriguchi - Agenda - Maison de la Culture du Japon à Paris », sur Maison de la Culture du Japon à Paris (consulté le )
  13. Philippe Pons, « Kunihiko Moriguchi, peintre de kimonos, s’expose à Paris », Le Monde.fr,‎ (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le )
  14. « Voyage Marie-Ange Guilleminot - Made in Town », sur www.made-in-town.com (consulté le )
  15. « L'envie de partager Ollivier Henry Point de détails - Made in Town », sur www.made-in-town.com (consulté le )
  16. « Sidonie Boiron et Laura Guibert ESAA Duperré Point de Détails - Made in Town », sur www.made-in-town.com (consulté le )
  17. « Carmen Mateos Costumière Point de détails - Made in Town », sur www.made-in-town.com (consulté le )
  18. « Atelier Caraco Les coulisses du spectacle Point de détails - Made in Town », sur www.made-in-town.com (consulté le )
  19. « Marie-Ange Guilleminot, La Garde-Robe, 2015 Made in France »
  20. « La Garde Robe Made In France de Marie-Ange Guilleminot — Le Fashion Post », Le Fashion Post,‎ (lire en ligne, consulté le )
  21. « Marie-Ange Guilleminot, La Garde-Robe, 2015 », Made in France, Première Vision,‎ (lire en ligne)
  22. « La garde-robe à la française Made in Town hors-les-murs - Made in Town », sur www.made-in-town.com (consulté le )
  23. « La Garde-Robe, Marie-Ange Guilleminot, 2016 - Made In France Première Vision », Made In France Première Vision,‎ (lire en ligne, consulté le )
  24. « Marie-Ange Guilleminot, dialogue avec les savoir-faire - Maison d'Exceptions », Maison d'Exceptions,‎ (lire en ligne, consulté le )
  25. Première Vision, « Marie Ange Guilleminot, Maison d'Exceptions », (consulté le )
  26. Les références biographiques et documentaires sont issues du site officiel de l'artiste « http://www.ma-g.net/blog/ », sur officiel, (consulté le )
  27. « Le Lieu de Mémoire », sur Ville de Magny-les-Hameaux, (consulté le )
  28. Musée de Saint-Quentin-en-Yvelines
  29. nombrils différents et identifiés, furent intégrés dans l’exposition "l’Empreinte" du Centre Georges Pompidou en 1997, voir Catalogue de l'exposition, et 75 figurent aujourd’hui dans la collection permanente du musée de Philadelphie
  30. créée par l'artiste lors de sa résidence à l'Atelier Calder, Saché, d'octobre 2000 à mars 2001)
  31. (première présentation en 2012 à la Villa Savoye/Le Corbusier, puis en 2013 au Centre National de la Danse sur l'invitation de René-Jacques Mayer lors de Designer's days avec le suivi de Scott Longfellow
  32. voir site de Marie-Ange Guillemot - http://www.ma-g.net/blog/?paged=2
  33. dirigée par Jean-Pierre Blanc avec la toute bienveillante attention aux fantômes qui l'habitent aux yeux avisés d'Alexandre Mare & Stéphane Boudin-Lestienne)
  34. (fr + en) commissariat Alexandre Mare et Stéphane Boudin-Lestienne, « Man Ray, Sonia Delaunay, Marie-Ange Guilleminot. Les fantômes de nos actions passées », Villa Noailles, Hyères,‎ (lire en ligne)
  35. (en + et + fr) Alexandre Mare et Stéphane Boudin-Lestienne, « MAN RAY, SONIA DELAUNAY, MARIE-ANGE GUILLEMINOT Les fantômes de nos actions passées », Catalogue. Villa Noailles, Hyères, France,‎ , p. 1-12 et 185-195 (lire en ligne)
  36. Édité à 1000 exemplaires
  37. Édité à 500 exemplaires dont 89 avec papier orange
  38. Collant sac à dos - sac à dos collant, Etiquette (nylon blanc) mode d’entretien et schéma de transformation du sac, Edition ouverte
  39. Enveloppe dodécagonale diam.27cm plié et 52 cm déployée contenant divers documents sous forme de livrets et d’images. Édité à 1000 exemplaires
  40. Boîte en carton blanc 25,5 x 5,5 cm x 1,5 cm, contenant une montre accompagnée du texte de Pierre Gicquel "Le Vol blanc" traduit dans cinq langues et imprimé sur papier japon. Edition de 600 exemplaires
  41. Papier de soie blanc imprimé noir, texte Pierre Giquel, traduit dans cinq langues 34,7 x 34,7
  42. 48 x 48 cm, en feuille reliées par un fil, présenté roulé. : Photographies noir et blanc à l'échelle 1/1 de la collection de chaussures du musée de Toronto de l'antiquité à nos jours. Offset noir et blanc.
  43. 16 x 15 cm, bloc de feuilles imprimées façon papier japonais destinées aux origamis et texte de Pierre Gicquel "Le vol blanc" + texte historique "Le Monument des enfants à la paix en mille grues de papier" relié par un lien de raphia. Tirage à 2000 exemplaires, offset couleur.
  44. 25 x 25 cm, relié, offset noir et blanc et couleurs. Photographies de la collection du musée Bata de la Chaussure de Toronto. Texte de Yam Lau, édition bilingue français/anglais.
  45. 20 x 15 cm, 14 feuilles dont 2 patrons et une pliée en accordéon sous chemise à 4 rabats en papier blanc imprimé, 1000 exemplaires
  46. 14,8 x 10,8 cm, 136 p., broché dos carré sous jaquette photographique et papier imprimé en argent sur papier blanc. Reprenant le format des livres de poche japonais, Marie-Ange Guilleminot nous présente tous ses travaux réalisés au japon ces dernières années. Texte de Philippe Forest, Nevers-Hiroshima (vues de l’exposition) Marie-Ange Guilleminot, une biographie raisonnée japonaise (1995 – 2005). Trilingue français-anglais-japonais. Marie-Ange Guilleminot & Yves Jammet
  47. Jeu sans règle Édité à 200 exemplaires
  48. Édité à 1000 exemplaires dont 60 numérotés et signés

Liens externes[modifier | modifier le code]

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