Utilisateur:Ftidiant/Brouillon

Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

La Faculté de traduction et d'interprétation (FTI) est une faculté de l’Université de Genève en Suisse (Europe).

Présentation[modifier | modifier le code]

Bâtiment Uni Mail de l'Université de Genève en Suisse. La FTI est située au dernier étage.
Journée d'information sur les filières à Uni Mail, Genève, Suisse

La Faculté de traduction et d'interprétation (FTI) de l’Université de Genève est située en ville de Genève. Elle est, dans son champ d’activités, l’un des plus anciens centres de formation et de recherche du monde. Fondée en 1941[1] sous le nom d’École d’interprètes de Genève (EIG), elle est devenue l’École de traduction et d’interprétation (ETI) en 1972[2], avec l’introduction d’un cycle d’études en traduction, puis la Faculté de traduction et d’interprétation (FTI) en 2011. Elle accueille plus de 600 étudiants du monde entier et compte plus d’une centaine d'enseignants et de chercheurs.

Installations et services[modifier | modifier le code]

Les étudiants ont accès à de nombreuses ressources informatiques et audiovisuelles, ainsi qu'à une bibliothèque spécialisée dans les domaines de la traductologie, de la traduction (théories, histoire, didactique, etc.), de l'interprétation consécutive et simultanée, de l'interprétation en langue des signes, de la linguistique computationnelle, de la terminologie et de la lexicologie.

Programmes de la FTI[modifier | modifier le code]

La Faculté propose les formations suivantes : Baccalauréat universitaire en communication multilingue, Maîtrise en traduction, Maîtrise en interprétation de conférence, Certificat complémentaire en traduction. Les étudiants choisissent leur combinaison linguistique parmi les langues de la Faculté, qui sont l’allemand, l’anglais, l’arabe, l’espagnol, le français, l’italien et le russe.

Les formations proposées donnent accès à tous les métiers langagiers de la communication multilingue, des relations publiques, des médias, de l'administration, du tourisme, des tribunaux et de la médiation linguistique, et bien entendu à la traduction et à l’interprétation de conférence, ou encore à l'enseignement et à la recherche.

Mobilité[modifier | modifier le code]

La FTI encourage et favorise la mobilité des étudiants et des enseignants. Elle a ainsi conclu des accords d’échange avec 70 universités dans plus de 20 pays du monde.

Recherche[modifier | modifier le code]

Groupes et axes de recherche[modifier | modifier le code]

Les groupes de recherche de la FTI mènent des projets financés par l’Union européenne ou le Fonds national suisse de la recherche scientifique. Ils couvrent entre eux les différents axes de la Faculté.

Doctorat[modifier | modifier le code]

La FTI prépare à l'obtention d'un doctorat assorti de l'une des mentions suivantes :

Relations internationales et services à la Cité[modifier | modifier le code]

Canton de Genève en Suisse
Ville de Genève

La FTI collabore avec la Genève internationale. Elle forme des spécialistes en traduction, en interprétation de conférence et en communication multilingue qui sont autant de médiateurs linguistiques et culturels au service de la Cité.

Formation continue[modifier | modifier le code]

Dans le cadre de la formation continue universitaire, la FTI dispense des cours de formation continue diplômante ou qualifiante en traductologie, méthodologie de la traduction, traduction (économique, juridique, technique, littéraire), rédaction (langue active ou passive), rédaction technique, traduction assistée par ordinateur (TAO), terminologie et interprétation.

Réseaux européens et internationaux[modifier | modifier le code]

La FTI est membre de plusieurs réseaux européens et internationaux, dont :

Innovation technologique[modifier | modifier le code]

La FTI travaille sur des projets d’innovation technologique en collaboration avec la Cité. Un exemple en est le projet BabelDr, développé en collaboration avec les Hôpitaux Universitaires de Genève (HUG) et qui a reçu le prix Innogap 2015.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. S. Stelling-Michaud, Histoire de l’Université de Genève, Georg, , « L’École d’interprètes de 1941 à 1956 », p. 317
  2. Claude Namy, « La réforme de l’École d’interprètes de Genève », L’interprète, vol. 28, nos 2-3,‎ , p. 5

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Université de Genève

Lien externe[modifier | modifier le code]

http://www.unige.ch/fti



Nombre d'étudiants[modifier | modifier le code]

Année d'études Nombre d'étudiants
1941-1942 19[1]
1942-1943 -
1943-1944 -
1944-1945 -
1945-1946 -
1946-1947 -
1947-1948 -
1948-1949 -
1949-1950 -
1950-1951 -
1951-1952 -
1952-1953 -
1953-1954 -
1954-1955 -
1955-1956 386[2]
1956-1957 402[2]
1957-1958 473[2]
1958-1959 535[2]
1959-1960 607[2]
1960-1961 614[2]
Année d'études Nombre d'étudiants
1961-1962 682[2]
1962-1963 671[2]
1963-1964 656[2]
1964-1965 625[2]
1965-1966 600[2]
1966-1967 705[2]
1967-1968 684[2]
1968-1969 582[3]
1969-1970 574[3]
1970-1971 560[3],[4]
1971-1972 483[3]
1972-1973 399[3]
1973-1974 -
1974-1975 -
1975-1976 -
1976-1977 334[4]
1977-1978 346[4]
1978-1979 374[4]
1979-1980 362[4]
1980-1981 375[4]
Année d'études Nombre d'étudiants
1981-1982 -
1982-1983 -
1983-1984 331[5]
1984-1985 331[5]
1985-1986 345[5]
1986-1987 366[6]
1987-1988 356[6]
1988-1989 356[6]
1989-1990 368[6]
1990-1991 359[7]
1991-1992 357[7]
1992-1993 336[7]
1993-1994 384[7]
1994-1995 366[7]
1995-1996 395[7]
1996-1997 373[7]
1997-1998 380[7]
1998-1999 398[8]
1999-2000 431[8]
2000-2001 439[8],[9]
Année d'études Nombre d'étudiants
2001-2002 416[8],[9]
2002-2003 451[8],[9]
2003-2004 449[8],[9]
2004-2005 425[8]
2005-2006 417[8]
2006-2007 428[10]
2007-2008 472[10]
2008-2009 468[10]
2009-2010 503[10]
2010-2011 564[10]
2011-2012 626[11]
2012-2013 609[11]
2013-2014 559[12]
2014-2015 524[12]
2015-2016 521[12]
2016-2017
2017-2018
2018-2019
2019-2020
2020-2021


  1. Duret 1998, annexe G.
  2. a b c d e f g h i j k l et m Duret 1998, p. 19.
  3. a b c d et e Duret 1998, p. 29.
  4. a b c d e et f Annuaire statistiques universitaires 1980/81, Université de Genève
  5. a b et c Annuaire statistiques universitaires 1987/88, Université de Genève
  6. a b c et d Annuaire statistiques universitaires 1989/90, Université de Genève
  7. a b c d e f g et h Base de données interne du Bureau des statistiques de l'Université de Genève
  8. a b c d e f g et h Bureau des statistiques, « Statistiques universitaires 2005-2006, partie 1 » [PDF], sur www.unige.ch/dadm/stat/, Université de Genève, (consulté le ), p. 23
  9. a b c et d Bureau des statistiques, « Statistiques universitaires 2007-2008 » [PDF], sur www.unige.ch/dadm/stat/, Université de Genève, (consulté le ), p. 19
  10. a b c d et e Bureau des statistiques, « Statistiques universitaires 2010-2011 » [PDF], sur www.unige.ch/dadm/stat/, Université de Genève, (consulté le ), p. 160
  11. a et b Bureau des statistiques, « Statistique universitaire 2012-2013 » [PDF], sur www.unige.ch/dadm/stat/, Université de Genève, (consulté le ), p. 156
  12. a b et c Bureau des statistiques, « Statistiques 2015 » [PDF], sur www.unige.ch/dadm/stat/, Université de Genève, (consulté le ), p. 13