Aller au contenu

Utilisateur:De la Roche-Guyon/Brouillon

Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Jean-Réole Halluin (née le à Béziers, à Béziers en France métropolitaine) est une personnalité de l'ombre du Tahoeraa Huiraatira[1] depuis le .


Origines[modifier | modifier le code]

Issu d'une famille militaire du Nord qui sert la France traditionnellement depuis des générations, sous la République, sous l'Empire jusqu'au Royaume de France, après la seconde guerre mondiale, le rapprochement de sa famille par union de la noblesse du Sud-Ouest[2] lui donne une éducation ancienne-France. La mobilité de la fonction militaire de son père l'amène à se déplacer à travers toute la France sans lui donner d'origine géographique fixe, si ce n'est celle ancestrale.

Scolarité, études et formation[modifier | modifier le code]

Dès le primaire étonne ses professeurs pas son intérêt de la lecture. Il déclare aujourd'hui l'exemple de son père par sa bibliothèque qui a été son inspiration et la première collection qu'il lut fût l'ensemble des œuvres de Jules Verne justement en cette bibliothèque, il avait à peine huit ans.

Au secondaire, la lecture d'un livre par semaine surprends le bibliothécaire qui après quelques mois lui donne accès à la bibliothèque des professeurs. Il pratique successivement plusieurs arts martiaux comme le Karate, le Ju-Jitsu, au rythme des changements de domicile caractéristiques de la carrière de son père, qui lui amène des ceintures pour chaque mais aucune progression nette dans un art spécifique.

À 14ans il fait également du fleuret, arrive 4e à sa première compétition, départementales, puis, surclassé par son club, monte aux championnats de France pour s'arrêter en 8e de finale. Une fois de plus un déménagement sonne la fin d'une activité sportive.

Il entre sur dossier à l'École Royale et Militaire de Sorèze[3][4], école abbaye de l'ordre Dominicain. Il s'implique dans le club d'Histoire tenu par le Directeur de l'école Fabre de Massaguel, dans le club de stratégie et dans la fanfare comme clairon. Il reprend le fleuret, fait également de l'épée ancienne et du sabre et se remet aux arts martiaux. Il obtient l'accès à la bibliothèque des Pères où il étudie la théologie et la démonologie avec un Père et fait également une retraite.

Choisi comme gradé il refuse la représentation de ses camarades de classe à l'avantage d'un ami pour se consacrer à ses autres activités tout en conseillant l'élève gradé.

Il passe un baccalauréat scientifique avec mention simultanément à des brevets de secourismes AFPS, AFCPSAM et le Brevet National de Sécurité et Sauvetaque Aquatique. Il est par la suite diplômé en aéronautique dans une formation de pilote de ligne.

On le retrouve en formation préparative au Brevet d'Educateur d'État Sportif aux Activités de la Natation simultanément à une préparation au concours d'officier de l'Aéronavale où il a déjà passé les entretiens préliminaires et en préparation à l'entrée dans une école de pilotage américaine formant pour des compagnies outre-atlantique. Contre toute attente il intègre l'Armée de l'Air laissant en cours l'ensemble de ces préparations.

Une carrière militaire imprécise[modifier | modifier le code]

Une grande inconnue dans son profil est son parcours militaire. Des sources diverses donnent trop d'incohérences. Les seuls certitudes sont qu'il a été présent à Rochefort, école des Fusiliers Commandos de l'Air et également à Salon-de-Provence, école des officiers pilotes de l'Armée de l'Air et qu'il a le brevet parachutiste. On le retrouve ensuite toujours dans l'Armée de l'Air en Corne de l'Afrique lors de la guerre Éthiopie/Érythrée. Il a également suivi une formation de survie en République de Djibouti dite "Scorpion du désert" et une formation en synergologie suivant les techniques du docteur Paul Ekman.

Plus d'informations n'ont pas été possibles, jusqu'à la base de sa dernière affectation qui a été démantelée.

Son départ de l'Armée de l'Air fut avec une formation de réinsertion de Détective Privé à la United European Detective Highchool de Bruxelles[5].

Après une courte carrière il quitte en l'an 2000 pour la Polynésie française, bien qu'en 2003 on le voit notifié comme Agent de Recherche à l'ambassade de France d'Addis Ababa en Éthiopie.

Implication culturelle[modifier | modifier le code]

Dès 2000 il devient l'agent du chanteur Polynésien Louis Tinirau [6] et fait la rencontre de Michel Bardy, auteur compositeur de renom avec qui il tisse une solide amitié.

Afin de soutenir le concours de chants Fetia[7] de Michel Bardy il créé l'Association des Artistes du Paficique dont il sera le président. Cette association est une première en Polynésie française avec le support de plus de 300 commerçants sur l'île de Tahiti et dans les îles, dont la carte de membre à l'avantage d'être aussi une carte de réduction auprès de chacun de ces commerçants.

C'est avec Michel Bardy qu'il organise en 2003 la première et unique venue des Platters en Polynésie française.

En 2005, il suspend l'association, étouffée par le manque de subventions du au changement de politique de la Polynésie française un an auparavant.

Implication sociale[modifier | modifier le code]

Très rapidement accueilli par les Polynésiens après son arrivée, il se voit donné par des jeunes femmes Marquisiennes le prénom Tehei que les locaux lui garde alors, bien qu'il soit aussi appelé Réole, JR ou Metua pour l'écoute et les conseils qu'il donne. Au cœur de la vie Polynésienne il se retrouve confronté à certaines réalités sociales que lui confient des locaux comme la disparition ou la fugue d'adolescentes et de pré-adolescentes.

Par investigations privées il retrouve chacune des concernées. Pour certaines les ramènent au domicile et aide les parents au contact avec les services sociaux et pour d'autres informe les autorités de la Direction de la Sécurité Publique[8] permettant notamment la récupération par les forces d'intervention de deux adolescentes dans la chambre d'hôtel d'un délinquant, tête d'un kikiri[9]. Le fruit de ses investigations amènent le démantèlement d'un réseau de prostitution de mineures, de pédophilie et de pédopornographie, l'arrestation des responsables et l'arrêt de professer au titre d'hôtellerie de l'hôtel le Shogun[10].

Implication politique[modifier | modifier le code]

Arrivé en Polynésie française avec un principe apolitique typiquement militaire, l'arrivée des indépendantistes au pouvoir lors des élections du lui font abandonner sa réserve.

Auparavant beaucoup sollicité par des Tahoeraas il revient vers eux pour prendre position. Cependant aucun de ses contacts ne donne suite, le il entre dans les locaux du parti politique Gaulliste Polynésien, le Tahoeraa Huiraatira et clame à l'étonnement des personnes présentes qu'il veut adhérer.

Il est alors intégré à la Fédération spécifique Fédération Socioprofessionnelle de ce parti politique, rattaché au comité communal de la ville de Pirae. À 28ans il est le plus jeune socioprofessionnel engagé de ce parti politique. Sa fidélité lui fait gravir rapidement les échelons.

Il devient Responsable de la communication du comité communal de Pirae, puis Trésorier. Puis au niveau fédéral, sous la responsabilité alors de Georges Puchon devient Responsable fédéral de la communication.

Il se démarque encore par la réponse à une interrogation du président de Fédération "Comment rendre concurrentielles nos productions Polynésiennes à l'export ?" par un dossier qu'il a construit seul sur les nouvelles technologies, pour lui la recherche et le brevet étant la production au plus bas coût d'export possible.

Ce dossier présentant des solutions à courts, moyens et longs termes vaut que lorsque Georges Puchon quitte le Tahoeraa Huiraatira, le dossier le suive.

Il prend encore des échelons en devenant membre du Grand Conseil[11] du Tahoeraa Huiraatira et garde toujours la confiance des présidents de Fédération qui suivront Teva Rohfritsch puis Edouard Fritch.

Depuis 2004 le pouvoir étant aux indépendantistes, malgré le départ de beaucoup de membres du parti ou leur mise en réserve, il reste présent et impliqué. Avec le premier vice-président de la Fédération Michel Dudes, ils sont les deux piliers qui jusqu'à ce jour ont tenus la cohésion de cette Fédération.

Sa fidélité au Tahoeraa Huiraatira lui vaut dès 2005 du harcèlement moral dans l'entreprise où il travaille jusqu'à son licenciement en 2008, quelques mois après avoir refusé une nouvelle fois de quitter son parti.

Ayant le principe de ne jamais demander, il cache son statut, vite découvert par des proches et amis du parti qui feront pression pendant six mois sur le président de la Fédération alors Ministre pour lui trouver un poste à durée déterminée dans l'administration. Ces six mois furent surtout comme son profil atypique font hésiter à quelle fonction le placer ?

Son parachutage dans un service le fait être mal vu et considéré comme un espion du Ministre. Cependant son impartialité et son professionnalisme amène un revirement de l'opinion et le soutien et la motivation des agents de ce service à la préparation aux concours administratifs.

Il passe alors en 2010 les concours de la fonction publique territoriale où se battent plus de 1400 candidats pour moins de 30 places. Concours qu'il réussit et n'hésite pas à dire être grâce au soutien de ses anciens collègues de travail et de son ancienne chef de service.

Campagnes politiques effectuées:

- élections partielle de l'assemblée de Polynésie française de 2005,

- élections présidentielles de 2007 au soutien du candidat UMP, Nicolas Sarkozy

- élections législatives 2007,

- élections territoriales 2008,

- élections municipales 2008,

- élections législatives 2012,

- élections territoriales 2013

Un profil atypique et anachronique[modifier | modifier le code]

Issu de l'aéronautique, du cadre militaire, avec une expérience dans le privé sans aucun lien avec sa formation de base et variée aux fonctions également sans lien les unes avec les autres (commercial, responsable commercial, investigateur privé, acheteur, comptable, gestionnaire de stock, rédacteur, assistant de Direction) son profil ne laisse pas de marque de spécialisation. Son profil toutefois évoque la recherche de prise de responsabilités, de coordination et de management.

À ce profil vient se rajouter une personnalité anachronique: "Bobo XVIIIe" comme s'amusent à le décrire certains membres de sa Fédération, par son éloquence au vocabulaire et tournures plutôt anciens, mais aussi comme "un chevalier ou un samurai qui a raté son époque" comme le disent d'autres pour ses principes de fidélité et sa posture toujours droite. Quoi qu'il en soit l'unanimité est à le déclarer comme "l'allié éternel" tel que le décrit un jour le vice-président de la Fédération. Il est vu aussi comme une force calme et diplomate, en mesure d'atténuer les tensions lors de vifs désaccords mais également comme une personne ressource pour l'organisation ou la stratégie de propagande.

Un souhait de représentation[modifier | modifier le code]

L'approche des échéances électorales des municipales 2014 fait déjà parler des socioprofessionnels qui verraient en lui, à la ville de Pirae, où il est résident, une représentation de la communauté métropolitaine et de la communauté socioprofessionnelle. Un reproche fait au Tahoeraa Huiraatira est le peu d'élus communaux d'origine métropolitaine et jeune à presque 40 ans, il serait un renouveau de la classe politique de la droite locale et une marque d'écoute de cette communauté considérée comme peu écoutée. Bien que les tractations soient tenues confidentielles, à ce jour son nom n'est pas évoqué dans la composition de la liste des communales du parti orange à Pirae représenté par Edouard Fritch pourtant président de la Fédération socioprofessionnelle.

Citations[modifier | modifier le code]

Sa carte de visite témoigne directement de l'homme par "L'honneur, c'est la poésie du devoir." d'Alfred de Vigny.

Il répète souvent "Il n'y a pas de problème, il n'y a que des solutions.".

Et lorsqu'on le laisse parler il prend plaisir à compléter "...et quand on pense qu'il n'y a pas de solution est qu'on a pas regardé dans la bonne direction."

Hobbies[modifier | modifier le code]

Fervent adepte d'Arts martiaux. Durant son séjour en Corne de l'Afrique, son professeur de Karate d'origine japonaise, exilé du Japon depuis la reddition de 1945, lui enseigne un art martial japonais peu connu, le Ninpo, de l'école Fuma ryu ainsi que l'histoire du clan japonais Hojo dont il s'imprègne, on le retrouve en 2011 à Odawara au Japon, ville d'origine de ce clan.

Hormis le sport pour lequel il peu passer plus de 3h par jour, il affectionne toujours la lecture, il est également membre de la communauté scientifique en ligne Zooniverse[12] et de la communauté française à l'humour décalé FrogSwarm[13] sous le pseudonyme "Ayperos". Il fait partie des rares personnes impliquées en politique à ne pas cacher faire à temps perdu du simulateur de char et de vol de la seconde guerre mondiale en ligne World of Tanks et War Thunder.


Notes et références[modifier | modifier le code]