Port Diélette
Construction |
1997 |
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Tirant d'eau |
2,50 |
Activités |
plaisance commerce |
Places |
420 |
Équipement |
porte abattante ponton d'attente |
Coordonnées | |
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Pays |
France |
Région | |
Département | |
Commune (France) |
Diélette est le port de deux communes (Flamanville et Tréauville). Il s'agit d'un ancien village de pêcheurs typique.
Inauguré en 1997, un nouveau port nommé Port-Diélette a été adjoint à l'ancien petit port de pêche. Port-Diélette est partagé entre les communes de Flamanville et Tréauville.
Liaisons maritimes vers les îles anglo-normandes
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Le port de Diélette fut bâti au XVIIIe siècle par les seigneurs de Flamanville[1].
Le routier de René Bougard fait état du « nouveau port » achevé en 1732 où une jetée met les navires « à couvert des vents d'ouest ».
Pendant les guerres du Premier Empire, le port servit de refuge[1].
Géographie
[modifier | modifier le code]La Diélette[2] est le nom du fleuve côtier qui prend sa source sur la commune de Grosville et coule sur une quinzaine de kilomètres avant de se jeter dans le bassin de Port-Diélette.
Une mine de fer dite de la Cabotière y a été exploitée. Le minerai était très riche en fer, mais les galeries s'étendant sous la mer rendaient l'exploitation difficile du fait des infiltrations. La mine est fermée en 1962.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 252.
- Sandre, « La Diélette ».
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- M. de Saint-Amant, Ports maritimes de la France, vol. 3 : De Cherbourg à Argenton, Paris, (lire en ligne), « Port de Diélette », p. 71.
Liens externes
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- Ressource relative à l'architecture :
- Le port-Diélette
- Présentation du port
- Mine de Diélette