Michel Viala

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Michel Viala
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Biographie
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Décès
Sépulture
Nom de naissance
Claude Michel TissotVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activités
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Vue de la sépulture.

Michel Viala, né Claude Michel Tissot à Genève le et mort à Céligny le [1], est un écrivain, poète, acteur et dramaturge genevois.

Biographie[modifier | modifier le code]

Michel Viala fait sa scolarité au collège Calvin et suit les cours de l'École des beaux-arts de Genève, puis il se forme à plusieurs métiers du domaine artistique. Il voyage ensuite pendant plusieurs années en Afrique et en Asie avant de se mette à écrire pour la radio et le théâtre où il met également en scène plusieurs pièces. Il a également coécrit le scénario du film L'invitation de Claude Goretta[2].

Il met plusieurs pièces en scène, tant en Suisse qu’à l’étranger. Il devient par la suite scénariste de cinéma et de télévision et comédien, en particulier pour créer ses propres œuvres[3]. Ses textes ont presque tous été joués ou réalisés. Certains ont été traduits en plusieurs langues. Il a reçu le prix SACD en 1984 pour l’ensemble de son œuvre[4].

Comédien[modifier | modifier le code]

Michel Viala en tant qu'acteur a participé aux réalisations suivantes.

Théâtre[modifier | modifier le code]

Cinéma[modifier | modifier le code]

Télévision[modifier | modifier le code]

  • 1980 : Talou de Jean-Louis Roy ... Le magicien
  • 1980 : Le dernier regard de l'aigle (série Aéroport) ... Le poète (et co-réalisateur)
  • 1986 : Piège à flics (série Série noire) ... L'indic
  • 2012 : Michel Viala - Le bruit de mon silence (documentaire TSR)

Mises en scène[modifier | modifier le code]

Œuvres littéraires[modifier | modifier le code]

Pièces de théâtre[modifier | modifier le code]

  • 1971 : Le Bunker. Création le 24 février 1971 dans une mise en scène de l'auteur (voir plus haut)[7].

Scenarii[modifier | modifier le code]

Traductions[modifier | modifier le code]

Publications[modifier | modifier le code]

Il est l'auteur d'une cinquantaine de pièces de théâtre traduites dans plusieurs langues et jouées en Suisse, en France, en Russie, au Canada et en Hongrie[9]. Plusieurs de ses textes ont été publiés, parmi lesquels :

Références[modifier | modifier le code]

  1. « L'écrivain genevois Michel Viala est décédé », La Tribune de Genève,‎ (lire en ligne)
  2. « Résumé », sur michelviala.ch (consulté le )
  3. Alexandre Demidoff, « Michel Viala, vie d’un écorché », Le Temps,‎ (lire en ligne)
  4. « Michel Viala, hors système », Swissinfo,‎ (lire en ligne)
  5. Joël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN 978-2-8399-0379-0), p. 295Voir et modifier les données sur Wikidata
  6. a et b Joël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN 978-2-8399-0379-0), p. 302Voir et modifier les données sur Wikidata
  7. a et b Joël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN 978-2-8399-0379-0), p. 305Voir et modifier les données sur Wikidata
  8. « Maret », dans Giovanni Lista (Ed.), La scène moderne. Encyclopédie mondiale des arts du spectacle dans la seconde moitié du XXe siècle, Paris/Arles, Éditions Carré/Actes Sud, , p. 676.
  9. « Viala, Michel », sur campiche.ch (consulté le )

Liens externes[modifier | modifier le code]