Konstantínos Kondarínis

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Konstantínos Kondarínis
Le miracle de Sainte-Lucie, le sauvetage de Spyridon Voulgaris.
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Konstantínos Kondarínis, en grec moderne : Κωνσταντίνος Κονταρίνης, 1679 – 1738, également appelé Konstantíno Kondaríni est un peintre baroque grec, éminent de l'école de l'Heptanèse. Il est fortement influencé par les œuvres de Théodore Poulakis. Ses contemporains de l'époque sont Stéphanos Tzangarólas et Panagiótis Doxarás. Son travail marque une transition entre l'école crétoise et l'école de l'Heptanèse, plus raffinée. Kondarínis suit clairement la maniera greca traditionnelle.

Son art est fortement influencé par le style vénitien. Il a influencé les œuvres d'innombrables peintres grecs et italiens, notamment Spyrídon Sperántzas (en) et Nikólaos Kallérgis. Selon la Fondation nationale de la recherche hellénique, quatre-vingt-cinq de ses œuvres ont survécu. Son œuvre la plus remarquable est l'icône portable composée de Scènes de la Genèse. Elle est exposée au musée byzantin et chrétien d'Athènes, en Grèce[1],[2],[3],[4].

Galerie[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • (en) Nano M. Hatzidakis, Icons, the Velimezis Collection : Catalogue Raisonné, Athènes, Musée Benaki, . Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • (en) Manolis Hatzidakis et Eugenia Drakopoulou, Greek painters after the fall (1450-1830), vol. B, Athènes, Center for Modern Greek Studies E.I.E, . Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • (en) Myrto G. Verra, Holy Passion, Sacred Images : The Interaction of Byzantine and Western Art in Icon Painting, Athènes, S.U.N.Y. The University of Binghamton, , 121 p. (ISBN 978-9-6021-4257-8). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Verra 1999, p. 33.
  2. (el) « Konstantínos Kondarínis », sur le site pandektis.ekt.gr (consulté le ).
  3. Hatzidakis et Drakopoulou 1997, p. 104–106.
  4. Hatzidakis 1998, p. 336.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]