Discussion:Place des femmes en politique en France

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

Je vois pas ce que cet article apporte de plus par rapport à l'article féminisme qui parle déjà beaucoup de la France. Triton (d) 23 décembre 2009 à 13:27 (CET)[répondre]

Références insuffisantes[modifier le code]

Les deux publication suivantes :

  1. Les collections de L'Histoire, « Quand les femmes prennent le pouvoir », 2006
  2. Le Point-Historia, « 100 idées reçues sur les femmes dans l'Histoire », 2011

servent de référence au moins 70 fois dans cet article.
Ce ne sont pas des publications de qualité (l'une co-rédigée par deux journalistes, l'autre étant un "hors-série" du magasine Le Point qu'il serait abusif de considérer comme une référence universitaire). Alors qu'il existe sur le thème un nombre très important de publications scientifiques de grande qualité (auteurs, éditeurs, revues), il ne me parait pas souhaitable que cet article soit sourcé principalement par des publications médiocres qui ne sont en aucun cas des "publications de références". --Chansonnette (d) 31 décembre 2012 à 16:59 (CET)[répondre]

C’est fou, je vous retrouve partout Dame Eliane. Qu’importe le sujet sur lequel je contribue, vous intervenez pour remettre en cause systématiquement le travail que j’ai fourni où les avis que j’ai émis, souvent sur des articles où vous n’aviez d’ailleurs jamais mis les pieds et n’avez pas fait preuve d’intérêt particulier dans le passé (et on comprend pourquoi vu ce qui suit...). J’ai pu en effet constater que vous prenez beaucoup de temps à essayer de me suivre, voire de piocher dans les archives de ma PU pour essayer de me dresser un « profil » (j’ai ouï dire que vous avez écrit un article me concernant sur votre blog, j’ai été très touchée mais malheureusement je ne lis pas la presse people) et peu ou prou de saper ce que j’ai pu effectuer ; tant de temps, ça frise l’obstination à mon égard (j’en suis au passage toute émue Émoticône sourire). Rassurez-vous, je ne m’emploierai pas à effectuer la même chose pour vous, vous avez réussi toute seule à entamer ces dernières années votre crédit auprès d’une grande majorité de contributeurs. Alors, au lieu de critiquer des sources et de laisser des bombes sur des PdD où vos interventions servent plus à vous en prendre à X ou Y qu’à véritablement améliorer lesdits articles (on vous voit en effet rarement ajouter des informations ou vous servir des sources que vous brandissez en l’air), soyez constructive. Car, chère Madame, dans une revue comme L’Histoire, ce sont des universitaires qui écrivent les articles. Même, les ouvrages que vous citez ont servi à rédiger lesdits articles. C’est dire le peu de temps que vous avez passé sur le sujet, écartant des sources écrites par les mêmes personnes (Michelle Perrot par exemple) ! Cela vous dépasse peut-être, puisque engagée dans votre lutte, vous n’avez sans doute pas pris la peine de ne serait-ce que consulter cette presse. Vous parlez même (pour le coup, un POV collector) de publications médiocres (!!!) pour L’Histoire et Le Point, ce qui ne peut emporter que la consternation. Votre avis, s'il ne vise qu’à critiquer n’intéressera personne. Et le jour n’est pas encore levé où vous m’empêcherez de contributeur à partir de cette presse.
PS : demain je contribue sur des articles sur les Pokémons, je vous attends pour proposer des sources universitaires Émoticône. Et après demain je m’attaquerai à des articles sur des rosiers. Cordialement, Celette (d) 3 janvier 2013 à 02:05 (CET)[répondre]
Précision (1) : Le Point-Historia, « 100 idées reçues sur les femmes dans l'Histoire » (2011) n'est consultable dans aucune bibliothèque universitaire (cf. catalogue SUDOC).
Précision (2) : j'ai ajouté des publications (de références) sur la bibliographie.
Bien respectueusement --dame éliane alias chansonnette [causer avec la dame] 3 janvier 2013 à 02:24 (CET)[répondre]
Je découvre donc aujourd'hui qu’un titre doit obligatoirement être référencé au SUDOC pour pouvoir être utilisé sur Wikipédia (ou comment décréter des règles qui n’existent pas). C’est bête, il va donc falloir supprimer plus de la moitié de Wikipédia... Merci Dame Eliane pour ces lumineuses réflexions. Celette (d) 3 janvier 2013 à 04:45 (CET)[répondre]
Bonjour. Pour les sources, chère Celette, je ne fais que reprendre votre légitime exigence de sources de qualité. Comme vous l'avez si bien précisé par ces termes (en gras pour la lisibilité) : « Et je rappelle que Wikipédia ne se construit pas à partir d'expériences personnelles, mais à partir de la documentation de qualité en vigueur, écrite par des universitaires et enseignée en haut niveau (pas à partir de sources primaires comme des affiches ou des journaux de l’époque). »
Nous serons d'accord, n'est-ce-pas, qu'une publication absente du catalogue SUDOC – et donc de toutes les bibliothèques universitaires  – ne peut pas être considérée comme « écrite par des universitaires et enseignée en haut niveau », et donc répondre à votre propre critère de sources ? Bonne journée avec vos Pokémon et vos rosiers Émoticône. --dame éliane alias chansonnette [causer avec la dame] 3 janvier 2013 à 06:16 (CET)[répondre]
Reprendre des propos exprimés par moi sur une autre PdD, qui traite d’un sujet d’un tout autre bord et avec des critères différents et donc d’acceptabilité différentes au niveau des sources (on n’a pas la même exigence de sourcage lorsqu’on écrit un article sur un ministre népalais ou une histoire du communisme) est tout à fait fallacieux, mais bon, je suis habituée maintenant… On ne peut néanmoins, vous le soulignez, que se réjouir d'une amélioration des sources à partir d’ouvrages de meilleure qualité. Mais cela ne délégitime en rien le travail accompli jusqu’ici, et ce simplement parce tous les articles des revues citées ont été rédigés par des universitaires. Fin du débat pour ma part, Pikachu vous salue. Celette (d) 3 janvier 2013 à 15:17 (CET)[répondre]
Bonjour. Le sujet de la place des femmes en politique étant fort bien traité dans les recherches scientifiques, depuis plusieurs décennies, il n'y a aucune raison de vous appliquer concernant les sources des critères de qualité moindres que ceux que vous exigez légitimement pour l'article "Mao-Spontex".
Affirmer pour clore la discussion que pour vos deux sources principales « tous les articles des revues citées ont été rédigés par des universitaires », sérieusement, quels contributeurs sérieux pensez-vous convaincre avec de tels arguments ? Souhaitez-vous que je mette en ligne le sommaire de ces deux publications ? Respectueusement. --dame éliane alias chansonnette [causer avec la dame] 3 janvier 2013 à 17:03 (CET)[répondre]

OK puisque vous insistez. Le lecteur de passage pourra donc comprendra pourquoi Dame Eliane ici présente considère le magazine L’histoire comme étant une « publication médiocre », et que la simple idée de l'utiliser pour cet article ne pourra « convaincre [personne] avec de tels arguments ». Je me suis donc payé une bonne tranche de rire en reprenant la revue. Listons donc les - sans doute pour Dame Eliane - auteurs médiocres qui ont rédigé es articles de ce numéro, puisque c’est ainsi que Dame Eliane l’a défini (sans l’avoir lu, mais bon, avec le temps, j’ai compris que les méthodes de cette contributrice qui critiquait des ouvrages dont elle n’a pas soulevé la couverture étaient pour le moins étranges) :

  • Jack Goody, professeur au St John’s College (université de Cambridge) ;
  • Maurice Sartre, professeur à l’université de Tours ;
  • (de:Thomas Späth), directrice du master en études culturelles de l’Antiquité à l’université de Bâle ;
  • Stella Georgoudi, directrice d’études à l’École pratique des hautes études ;
  • Philippe Contamine, professeurs aux universités de Nancy II, Paris X et Paris IV ;
  • (de:David Loades), directeur de recherches à l’université de Sheffield ;
  • Arlette Lebigre, professeur aux universités de Paris-Sud et Clermont-Ferrand ;
  • Laurent Theis, président de la Société de l'histoire du protestantisme français ;
  • François Lebrun, professeur à l’université de Rennes II ;
  • Marie-Pierre Rey, professeur à l’université Paris I ;
  • Mona Ozouf, directrice de recherches au CNRS (tiens…) ;
  • Sylvie Chaperon, maîtresse de conférence à l’université Toulouse-Le Mirail ;
  • Michèle Riot-Sarcey, professeur à l’université Paris VIII ;
  • Mariette Sineau, directrice de recherche au CNRS (encore…) ;
  • Philippe Chaissaigne, professeur à l’université de Tours ;
  • Gabriel Martinez-Gros, professeur à l’université Paris VIII ;
  • Et clou du spectacle : Michelle Perrot, professeur à l’université Paris VII, dont tout le monde sait qu’elle ne connaît strictement rien à l’histoire des femmes.

Mais que sont allés faire tous ces rigolos dans cette galère, cette revue que vous qualifiez bien de « publication médiocre » ? Le moindre étudiant en histoire sait au contraire qu’elle est une publication de qualité, non seulement parce qu’une grande partie du corps des historiens français et parfois étrangers y écrivent, et parce qu’elle est utilisée comme point d’appuis pour l’enseignement jusqu’à un certain niveau universitaire. Bref, je pense que vous vous êtes assez ridiculisée comme cela, à parler et critiquer un ouvrage que vous n’aviez pas lu. La liste ci-dessus devrait vous inviter, et je le dirai le plus courtoisement du monde, à clore la discussion. J’y ai peut-être passé quelques minutes pour vous l’expliquer, mais ça valait le coup. Je vous conseille simplement à l’avenir de ne pas intervenir lorsque vous ne savez pas : ça vous évitera des situations inconfortables comme celle-là. Très cordialement, Dame Celette (d) 5 janvier 2013 à 02:36 (CET)[répondre]

Ah ? votre référence était ce numéro spécial du mensuel de vulgarisation L'Histoire ? daté de janvier/mars 2007 ?
http://www.sudoc.fr/146641728
avec ces belles images en couverture ?
Cela change tout : il est présent dans une bibliothèque universitaire.
Je ne pouvais pas deviner que vous aviez travaillé avec cette publication, étant donné que dans vos références, vous n'avez précisé ni le nom des auteurs des articles ni les titres des articles, vous avez daté de 2006, et vous n'avez pas fourni la référence biblio précise (avec l'ISSN ou l'URL pérenne SUDOC).
Je me suis effectivement gouré, j'ai pensé que votre référence était cet ouvrage au titre homonyme daté de 2006
http://www.sudoc.fr/110697758
Voilà à quoi servent les référencements précis d'une publi : à éviter les erreurs d'homonymie, et à permettre les vérifications Émoticône ; effectivement, je n'ai pas lu cette publi de vulgarisation, mais j'aurais pu l'emprunter sans problème à ma bibliothèque municipale (à défaut d'aller à la BU de Clermont-Ferrand
Je vous présente mes plus humbles excuses Émoticône ; j'espère que vous daignerez les accepter. Cordialement. --dame éliane alias chansonnette [causer avec la dame] 5 janvier 2013 à 03:16 (CET)[répondre]
Et le point-historia ? Quels sont les universitaires ayant publié dans ce numéro ? --dame éliane alias chansonnette [causer avec la dame] 5 janvier 2013 à 03:18 (CET)[répondre]
OK pour les excuses, on en reste là. J’espère néanmoins que mon petit coup de colère vous amènera à être plus vigilante. Je chercherai le numéro d’Historia demain dans ma bibliothèque, mais comme vous vous en doutez, Historia étant à L’Histoire ce qu’une berline Citroën est à une berline Mercedes, la qualité sera moindre. Celette (d) 5 janvier 2013 à 05:11 (CET)[répondre]

Bonjour. Bon, il y a un peu de tout, mais c’est quand même mieux que ce que je pensais :

  • Catherine Salles, professeur à l’université Paris X ;
  • Laurent Vissière, maître de conférence à l’université Paris IV ;
  • Joëlle Chevé, historienne et écrivain (a publié une biographie de Marie-Thérèse d’Autriche) ;
  • Pascal Marchetti-Leca, chargé de cours à l’université de Corse (a publié plusieurs livres) ;
  • Rémi Kauffer, professeur à Sciences Po Paris ;
  • Charles Giol, normalien, agrégé d’histoire (a publié plusieurs livres).

Cordialement, Celette (d) 5 janvier 2013 à 14:20 (CET)[répondre]

Terme de féminisme de 1871[modifier le code]

Pour mémoire - Fourier n'en a pas la paternité. Voir la naissance du mot en fin d'article http://susaufeminicides.blogspot.fr/2012/06/rosier-pourpre.html --78.250.163.116 (discuter) 31 août 2014 à 01:35 (CEST)Christine Gamita[répondre]

Blog ===> pas une source acceptable. Celette (discuter) 31 août 2014 à 21:36 (CEST)[répondre]