Discussion:Jacques Anquetil

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Autres discussions [liste]

Discussion[modifier le code]

Jacques Anquetil n'est pas vraiment reconnu par les jeunes journalistes il a gagné à 9 reprises le grand prix des nations et a ecrasé le jeune Eddy Merckx en 1966, mais personne ne le dit. Des instances on meme en souvenir de celui qui a le plus marqué cette épreuve cycliste décidées de nommer la grand prix des nations le "grand prix Jacques Anquetil" mais personne ne parle du grand prix Jacques Anquetil

l'épreuve de vérité que constitue une épreuve contre la montre démontre que Jacques Anquetil demeure le plus grand rouleur de tous les temps. Le grand prix des nations ne s'appelait pas le championnat du monde contre la montre mais cette épreuve constituant la plus grande course du monde on peut dire que Jacques Anquetil a été 9 fois champion du monde du contre la montre,et invaincu dans cette épreuve.

Qui dit mieux ! il est exact de dire que jacques reste le plus grand rouleur de tous les temps, avec son style et sa tenue machine inégalée .En son époque Jacques était bien une star et il serait bien d'en parler plus souvent au travers des médias .

  • Oui, et alors? Il ne faut pas confondre wikipédia avec un site de fan... Anquetil est un très grand coureur, mais il lui même avoué qu'il se dopait ; alors... En face, Poulidor ne se dopait pas... Et au lieu d'afficher vos états d'âme, veillez donc plutôt à soigner la création de vos articles et des ajouts fait sur les articles existants. Ca comme à être gonflant d'avoir à systématiquement repasser derrière vos IP... Clio64 14 mai 2005 à 01h43 cet
  • En 1966, Merckx en était à sa première saison de professionnel ...

maitre JACQUES[modifier le code]

Non je ne pense pas en faire trop non plus en disant la vérité . OUi j.ANQUETIL a été le plusgrand ( de sa génération ) et particulièrement dans les épreuves contre la montre . meme dopé , mais il s le sont tous , on ne peut comparer les 140 km d alors et les banals 40 voir 50 km d aujourd hui. Devant cet 'oubli' j aurais aimé que l on puisse revoir soit a la télé ou en DVD , comme cela les non fans ne seraient pas importunés , quelques images de ce champion , notamment cestentaives du record de l heure que j ai pu voir en 1967 sur la UNE ! Si quelqu un possède ces images je suis preneur . BLAESY67@AOL.com

Lien externe mort[modifier le code]

Bonjour,

Pendant plusieurs vérifications automatiques, un lien était indisponible. Merci de vérifier si il est bien indisponible et de le remplacer par une version archivée par Internet Archive si c'est le cas. Vous pouvez avoir plus d'informations sur la manière de faire ceci ici. Les erreurs rapportées sont :

Eskimbot 31 janvier 2006 à 05:18 (CET)[répondre]

Lien du palmarès[modifier le code]

Bonjour,

Les liens internes des années du palmarès pointent vers les pages des années et non des éditions des courses. Si je trouve le courage, je ferai les corrections, mais si quelqu'un d'autre veut le faire il est le bienvenu.

Ramzan (d) 25 juillet 2012 à 14:13 (CEST)[répondre]

Christopher[modifier le code]

Bonjour, me voilà de retour sur Wikipédia sous mon pseudo même si j'avais fait qq modifs mineures (ortho, et gram) sous IP. Est ce que qq un est capable de m'expliquer et de corriger la phrase suivante. "Un autre enfant, Christopher, dont la mère était l'ex-femme de son beau-fils, Alain, qui verra le jour en 1986."

Elle est un peu bancale grammaticalement, et en plus je ne la comprends toujours pas même en l'ayant lu trois fois. Voilà DamienTerrien (d) 8 octobre 2012 à 05:43 (CEST)[répondre]

Grammaire corrigée et informations sourcées.--Claude noblet (d) 8 octobre 2012 à 07:03 (CEST)[répondre]

Dans son après carrière, il est mentionné une interview qu'il aurait donné en 1992. Or, il est mort en 1987.

Label AdQ ?[modifier le code]

Vérification d’une référence[modifier le code]

Dans le paragraphe Anquetil et la question du dopage, il est indiqué « Il indique ainsi dans un entretien accordé au magazine Miroir du cyclisme, en octobre 1992… », ce qui est bizarre car Jacques Anquetil est mort en 1987. Je suppose, ce qui semble confirmé par la rédaction originale, que l’article en question est une rétrospective, 5 ans après sa mort, de son parcours, mais ça serait mieux de confirmer cela avec ce magazine et probablement réécrire la phrase actuelle. (@William Jexpire) ~ Seb35 [^_^] 10 septembre 2016 à 11:31 (CEST)[répondre]

Équipes professionnelles[modifier le code]

Bonjour,

Je vois certaines erreurs sur la fiche de présentation concernant ses équipes professionnelles. Il est écrit qu'il n'était dans l'équipe Bic qu'en 1966 alors qu'il termina sa carrière avec celle-ci en 1969.

De plus, il est écrit qu'il fut à la Bianchi en 1956. Ce fut plus complexe : Anquetil comme André Darrigade firent des piges pour la Bianchi cette année-là pour des courses italiennes à la demande l'année précédente de Fausto Coppi (d'ailleurs Darrigade gagna le Tour de Lombardie 1956 avec ce maillot devant... Coppi qui avait changé d'équipe à l'intersaison). Mais le reste de l'année, Anquetil courait bien pour Helyett.

Athanatophobos 9 janvier 2017, 15:00 CEST

Victoire d'étape au Tour d'Espagne 1962 et caféine non sourcée...[modifier le code]

Le palmarès de Jacques Anquetil mentionne une victoire d'étape à la Vuelta 1962, victoire non mentionnée quand il s'agit du résumé récapitulatif sur les « grands tours ».

Pourtant il a bien remporté la 5e étape de la Vuelta 62. Il s'agissait d'un contre-la-montre par équipes à Benidorm sur 23,500 km. L'équipe ACBB-Saint Raphaël Helyett termine 1re en 25 min 55 sec. (Altig, Anquetil, Geldermans, Elliott[alors maillot jaune], Annaert, Marcel Janssens, Stablinski, Graczyk, Stolker) l'emportait de 49 secondes sur l'équipe Ferrys, 2e (Perez-Frances, Iturat, Diaz, Bertran, etc.) et d'un minute 57 secondes l'équipe Kas 3e (Gabica, Pacheco, Segu, Velez, etc.). Pourquoi n'est-elle pas reprise dans le récapitulatif ?

Question de détail sans aucun doute, mais cela intrigue l'ex anquetiliste qui sommeille ici, sereinement,

Moins sereinement par contre :

Quant à l'aveu du-dit Anquetil se piquant à la caféine, aveu qu'il aurait lâché dans Miroir du cyclisme en 1962. Je viens justement, nostalgie nostalgie... de compulser toute l'année 1962 du Miroir en question et n'ai pas trouvé trace de cela.

En juin 1962 (N° 19) il y a un article de Jacques Perillat, alias Pierre Chany qui interroge en retranscrivant un entretien, présumé vrai, avec Anquetil sous le titre « Le Tour, une bouée de sauvetage pour Jacques Anquetil ? » : allusion à sa méforme du printemps 1962, mais rien sur des piqûres de caféine ou autre substance maléfique !

En août, rien, le Miroir (et Antonin Magne parlent plutôt de Poulidor ; en septembre que dalle (les vedettes sont Stablinski, nouvel "arc-en-ciel" et Bobet nouveau retraité; en octobre un article d'Abel Michéa sur 5 pages demande « Que penser de l'avenir du sport cycliste ? », occasion en or pour parler du "doping" comme cela s'appelait alors, mais que nenni, rien sur des piqûres, pastilles et ingrédients chimiques divers !

En novembre Altig et Anquetil font la Une en souriant, mais toujours pas de trace de piquouses, et en décembre le même Abel Michéa a beau titrer « Faut-il croire au père Noël ? », rien non plus au fil des pages.

Le Miroir, et tous les journaux et journalistes du vélo et du sport en général respectent, à cette époque, l'omerta et vendent le rêve...Bref la source à laquelle se réfère la notice sur « maître Jacques » ne semble pas réelle, même si les faits sont sans doute vrais. Peut-être faudrait-il rectifier la page, fut-elle élue "Bon article" ou plutôt parce que "bon article". Amicalement --christian (Céach) (discuter) 14 décembre 2017 à 00:44 (CET)[répondre]

J'ai mal lu la référence: il s'agissait d'un numéro d'octobre 1992 ! J'ai sous les yeux ce numéro (N° 460 de Miroir du cyclisme en bon et vieux papier) et n'y trouve aucune trace du docteur de Montdenard dedans, même en incidence d'un autre article, rien sur le dopage, et a fortiori aucune allusion à Jacques Anquetil. Rien non plus en septembre, novembre ou décembre 1992. Il semble que la source citée par wikipedia cite elle-même une source, qui cite une source, etc. Rien d'autre à ajouter. --christian (Céach) (discuter) 14 décembre 2017 à 11:52 (CET)[répondre]
Bonjour Notification Céach ! J'ai un autre livre de Jean-Pierre de Mondenard, Dopage, l'imposture des performances (2006), dans lequel on trouve la même citation. La référence est cependant la suivante : « Miroir du cyclisme, 1967, n°92, octobre, p. 12 ». Je modifie la date de la citation dans l'article. N'hésite pas à signaler ici si la référence te semble toujours erronée (ou à la confirmer).Vlaam (discuter) 14 décembre 2017 à 23:49 (CET)[répondre]
Notification Vlaam Merci de m'avoir lu et ... En plein dans le mille. Référence confirmée. Ce numéro 92 de Miroir du cyclisme titre en Une au dessus d'une photo de Jacques Anquetil en pleine action au Vigorelli de Milan : « Jacques Anquetil - L'heure- le doping ». Il présente un dossier de 15 pages sur le "doping" , article éditorial de Maurice Vidal titré « sur Anquetil, sur le doping... » 3 pages), 5 pages titrées « Quo vadis... sport cycliste » où deux toubibs donnent leur point de vue (lié aussi à l'affaire Désiré Letort, champion de France déclassé pour dopage), 1/2 page laisse la parole à Michel Scob, président ou secrétaire de l'Union des cyclistes professionnels, et 4 pages « Ce qu'ils pensent de la loi et du doping », où sollicités par Émile Besson et Claude Parmentier (tout le Miroir s'y est mis ce qui nuance mon expression abrupte sur les journalistes sportifs !) s'expriment en "number one" Jacques Anquetil, puis Roger Pingeon, Raymond Poulidor, Jean Stablinski, Jan Janssen, Bernard Guyot, Eddy Merckx, des directeurs sportifs (A. Magne, G. Plaud, M. Bidot) des anciens coureurs (Louison Bobet, Gilbert Bauvin), etc et même un abbé (nommé Lesage, cela ne s'invente pas...), commissaire à la FFC !

Pour en revenir à Jacques Anquetil la phrase citée est exacte, mais elle s'insère dans tout un contexte (1/4 de page format magazine) car il poursuit juste après : « j'exerce un métier exigeant et qui exige beaucoup de sacrifices. Cela depuis 14 ans et mon médecin peut se porter garant de mon état de santé (...). Dans une course récente j'avais du mal à respirer et j'ai pris un cachet. Aussitôt je me suis senti mieux et j'ai pu courir sous la pluie, et une pluie battante près de 225 km. Qu'avais-je à gagner, à risquer ma santé dans cette épreuve où je risquais purement et simplement de compromettre mes chances dans le record de l'heure ? (...) Si un ouvrier prend un cachet le matin pour aller à l'usine, on le félicite pour sa conscience professionnelle, nous, coureurs on nous traite de tricheurs (...) Je suis contre le doping mais aussi contre des procédés dégradants (i.e. les modalités des contrôles) (...)». Le "syndicaliste" (formule de moi, non labellisée !) Anquetil accuse aussi la « sacro-sainte morale sportive » qui pousse les jeunes coureurs à vouloir « franchir trop rapidement les étapes parce que la société est ainsi faite et que le sport cycliste est un moyen de promotion sociale. » Il était prêt, ce que pourrait dire l'article wiki, à suivre le Tour de France comme commentateur pour L'Humanité en 1969 ou 1970 (il faudrait vérifier les dates) avec Abel Michéa et Roland Passevant...

Mes excuses pour la longueur de ces notes, mais cela permet de mieux situer son propos. --christian (Céach) (discuter) 15 décembre 2017 à 01:18 (CET)[répondre]

Proposition d'anecdote pour la page d'accueil[modifier le code]

Une anecdote fondée sur cet article a été proposée ici (une fois acceptée ou refusée, elle est archivée là). N'hésitez pas à apporter votre avis sur sa pertinence ou sa formulation et à ajouter des sources dans l'article.
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