Alexis Favre
| Alexis Favre | |
| Naissance | |
|---|---|
| Nationalité | Suisse |
| Profession | Journaliste |
| Médias actuels | |
| Pays | Suisse |
| Fonction principale | Journaliste, chroniqueur et producteur |
| Historique | |
| Presse écrite | Le Temps, Le Matin Dimanche, L'Hebdo |
| Télévision | RTS, La Télé |
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Alexis Favre est un journaliste, chroniqueur et présentateur de télévision suisse, né le .
Il présente l'émission de débats Infrarouge sur RTS Un depuis 2017, après avoir travaillé notamment pour Le Matin Dimanche, La Télé et Le Temps.
Biographie
[modifier | modifier le code]Origine et famille
[modifier | modifier le code]Alexis Favre naît le [1] dans une famille aisée[2]. Son père, Michel Favre, dont la famille est originaire de Vers-l'Église dans le canton de Vaud[3], est l'un des fondateurs de l'ancienne compagnie aérienne SATA Genève[1] ; sa mère est députée socialiste au Grand Conseil du canton de Genève[2].
Ses parents divorcent quand il est enfant[1]. Il a deux beaux-pères : Michel Barde, ancien directeur de la Fédération des entreprises romandes Genève[4], et le graphiste Roger Pfund[1].
Il est marié à la journaliste Jennifer Covo, avec qui il a un enfant[1].
Études
[modifier | modifier le code]Il suit ses études secondaires supérieures au Collège Sismondi à Genève[1], où il fait du théâtre[5],[6], puis s'inscrit à l'Institut universitaire de hautes études internationales dans l'idée de devenir journaliste[1], après avoir envisagé une carrière d'acteur[2].
Parcours professionnel
[modifier | modifier le code]Après avoir commencé sa carrière de journaliste RP au sein du magazine L'Hebdo, il intègre la rubrique économique du Matin Dimanche[7], où il travaille entre 2005 et 2009[réf. souhaitée].
Il rejoint ensuite la télévision privée suisse La Télé, de sa création en 2009[8] à [9]. Il y occupe le poste de rédacteur en chef adjoint et y coprésente notamment le direct quotidien d’actualité[7]. Il quitte La Télé pour le quotidien Le Temps[9], à la rubrique suisse. Il est nommé chef de la rédaction genevoise et reste à ce poste jusqu'en 2017[10].
Il est engagé par la Radio télévision suisse en comme producteur et coprésentateur aux côtés d'Esther Mamarbachi de l'émission de débats Infrarouge (RTS Un)[1],[7],[11]. Il en devient le seul présentateur un an plus tard[2]. Dans une chronique parue en dans le Matin Dimanche, le journaliste Christophe Passer estime qu'il est « ce qui est arrivé de plus irrésistible à la Télévision romande depuis, carrément, Darius Rochebin »[12].
Il est également chroniqueur au Temps[6].
Le 14 août 2024, Alexis Favre prend la décision de quitter la plateforme X (anciennement Twitter), estimant qu'elle est devenue nocive et dévoie la liberté d'expression en haine depuis sa reprise par Elon Musk[13].
Références
[modifier | modifier le code]- Patrick Baumann, « Portrait d'Alexis Favre, un journaliste aussi beau gosse que torturé », sur L'Illustré, (consulté le )
- Christophe Pinol, « Alexis Favre, à l’antenne tous les jours avec Antivirus, il a montré son grand savoir-faire. Portrait. », sur generations-plus.ch, (consulté le )
- Yvan Christen, « rencontre avec Alexis Favre », sur Canal 9 (Suisse), (consulté le )
- « Michel Barde, l'adieu aux patrons », Le Temps, (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
- Myriam Genier, « "En Suisse, le débat est partout" », Coopération, , p. 24 (lire en ligne)
- Bertrand Monnard, « Alexis Favre, l’orfèvre des débats », sur Paris Match suisse, (consulté le )
- « L'équipe d'Infrarouge », rts.ch, (lire en ligne, consulté le )
- Michel Danthe, « Ça débat ferme, mais courtois, sur La Télé », Le Matin Dimanche, , p. 19 (lire en ligne)
- L.A., « L'animateur vedette de La Télé rend l'antenne », 24 heures, , p. 23 (lire en ligne)
- « Je quitte Le Temps (mais je vous aurai à l'œil) », Le Temps, (lire en ligne, consulté le )
- « Alexis Favre : nouveau présentateur d'Infrarouge », sur rtsr.ch, (consulté le )
- Christophe Passer, « Alexis Favre », Le Matin Dimanche, , p. 28
- Sven Papaux, « Comment Elon Musk a convaincu Alexis Favre de la RTS de quitter X », sur Watson (site d'information),
Liens externes
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