Aller au contenu

« Félix Mangini » : différence entre les versions

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Contenu supprimé Contenu ajouté
Rexcornot (discuter | contributions)
ChoumX (discuter | contributions)
suite
Ligne 1 : Ligne 1 :
'''Félix Mangini''', né à [[Lyon]] en 1836, mort en août 1902 à [[Saint-Pierre-la-Palud]], est un ingénieur, [[Histoire des chemins de fer français|pionnier du chemin de fer en France]] et de l'[[habitat social]] à Lyon, et un homme politique français.
'''Félix Mangini''', né à [[Lyon]] en 1836, mort en août 1902 à [[Saint-Pierre-la-Palud]], est un ingénieur [[Histoire des chemins de fer français|pionnier du chemin de fer en France]], un [[Philanthropie|philanthrope]] pionnier de l'[[habitat social]] à Lyon, et un homme politique français.


== Biographie ==
== Biographie ==
Fils de Lazare Mangini, qui fut un collaborateur et ami précieux des pionniers du chemin de fer les frères Seguin, Félix Mangini suit les cours de l'[[École des mines de Paris]] entre 1858 et 1861. En 1863, son père s'installe dans la vallée de la [[Brévenne]], achetant une propriété au lieu-dit la Pérollière, sur la commune de [[Saint-Pierre-la-Palud]]. Félix Mangini la fera agrandir et lui fera adjoindre un château de style florentin, œuvre de l'architecte lyonnais [[Gaspard André]]<ref name=stpierrelapalud>{{Lien web|langue=fr|url=http://www.stpierrelapalud.mairies69.net/L-histoire-de-Felix-MANGINI|titre=L'histoire de Félix Mangini|id=|série=|auteur=|lien auteur=|coauteurs=|date=9 février 2009|site=www.stpierrelapalud.mairies69.net|éditeur=|page=|citation=|en ligne le=|consulté le=4 février 2014}}</ref>.
Fils de Lazare Mangini, qui fut un collaborateur et ami précieux des pionniers du chemin de fer les frères Seguin, Félix Mangini suit les cours de l'[[École des mines de Paris]] entre 1858 et 1861. En 1863, son père s'installe dans la vallée de la [[Brévenne]], achetant une propriété au lieu-dit la Pérollière, sur la commune de [[Saint-Pierre-la-Palud]]<ref name=stpierrelapalud>{{Lien web|langue=fr|url=http://www.stpierrelapalud.mairies69.net/L-histoire-de-Felix-MANGINI|titre=L'histoire de Félix Mangini|id=|série=|auteur=|lien auteur=|coauteurs=|date=9 février 2009|site=www.stpierrelapalud.mairies69.net|éditeur=|page=|citation=|en ligne le=|consulté le=4 février 2014}}</ref>. Félix Mangini la fera raser, reconstruire et lui fera adjoindre un château de style florentin en 1885, œuvre de l'architecte lyonnais [[Gaspard André]]. Le domaine, vendu par ses héritiers en 1942 à la Compagnie du gaz de Lyon, est désormais une propriété d'[[Électricité de France|EDF]]<ref name=saga>{{Lien web|langue=fr|url=http://www.amis-arbresle.com/article.php?id_article=194|titre=La saga Mangini - III - Le domaine de la Pérollière|id=|série=|auteur=Les Amis de l'Arbresle|lien auteur=|coauteurs=|date=|année=|mois=|site=www.amis-arbresle.com|éditeur=|page=|citation=|en ligne le=|consulté le=4 février 2014}}</ref>.


Il fait partie d'une bande d'amis, constituée de Joseph Gillet, Édouard Aynard et [[Auguste Isaac (député du Rhône)|Auguste Isaac]]. Avec [[Camille Rambaud]], ils constitue un groupe de bienfaiteurs et d'entrepreneurs qui investissent significativement dans les œuvres de bienfaisance de la région lyonnaise, dans la mouvance des « chrétiens modérés » de la fin du {{s-|XIX}} et du début du {{s-|XX}}<ref name="prévotat"/>.
Il fait partie d'une bande d'amis, constituée de Joseph Gillet, Édouard Aynard et [[Auguste Isaac (député du Rhône)|Auguste Isaac]]. Avec [[Camille Rambaud]], ils constitue un groupe de bienfaiteurs et d'entrepreneurs qui investissent significativement dans les œuvres de bienfaisance de la région lyonnaise, dans la mouvance des « chrétiens modérés » et du [[catholicisme social]] de la fin du {{s-|XIX}} et du début du {{s-|XX}}<ref name="prévotat"/>.

Sa fille, Hélène Mangini (1879-1958), se marie à [[Léon Eugène Bérard|Léon Bérard]], pionnier de la [[chirurgie]] thoracique. Ils construisent une extension du domaine de la Pérollière dans le même style que le bâtiment de Gaspard André, qu'ils baptisent du nom de « Villa Félix » en honneur de Félix Mangini<ref>{{Lien web|langue=fr|url=http://villafelix.monsite-orange.fr/page2/index.html|titre=Historique|id=|série=|auteur=|lien auteur=|coauteurs=|date=|année=|mois=|site=villafelix.monsite-orange.fr|éditeur=|page=|citation=|en ligne le=|consulté le=4 février 2014}}</ref>.


== Vie professionnelle ==
== Vie professionnelle ==
Ligne 16 : Ligne 18 :
* en 1886, il crée la Société des logements économiques, devenue par la suite Office public des HLM du Rhône puis OPAC du Rhône.
* en 1886, il crée la Société des logements économiques, devenue par la suite Office public des HLM du Rhône puis OPAC du Rhône.
* en 1891, il crée également la Société d'alimentation, avec le financement d'[[Édouard Aynard]]. Elle distribue des repas à bon marché dans deux restaurants sociaux, aux [[Les Brotteaux|Brotteaux]] et à [[la Guillotière]]<ref name="prévotat">{{ouvrage|langue=fr|prénom1=Jacques|nom1=Prévotat|lien auteur1=|prénom2=Jean|nom2=Vavasseur-Desperriers|lien auteur2=|titre=Les « chrétiens modérés » en France et en Europe (1870-1960)|sous-titre=|numéro d'édition=|éditeur=Septentrion|lien éditeur=Presses universitaires du Septentrion|lieu=|jour=|mois=|année=|volume=|tome=|pages totales=|passage=200-212|isbn=|lire en ligne=http://books.google.fr/books?id=EWqoAAAAQBAJ&pg=PA209&lpg=PA209&dq=f%C3%A9lix+mangini&source=bl&ots=g1jRWKTe0W&sig=r5NmZKmLsVMCL5Upe1jeHi3u7Xk&hl=fr&sa=X&ei=Hq_wUt7aN4PP0AXAv4CQAQ&ved=0CG4Q6AEwCDgU#v=onepage&q=f%C3%A9lix%20mangini&f=false|consulté le=4 février 2014}}</ref>.
* en 1891, il crée également la Société d'alimentation, avec le financement d'[[Édouard Aynard]]. Elle distribue des repas à bon marché dans deux restaurants sociaux, aux [[Les Brotteaux|Brotteaux]] et à [[la Guillotière]]<ref name="prévotat">{{ouvrage|langue=fr|prénom1=Jacques|nom1=Prévotat|lien auteur1=|prénom2=Jean|nom2=Vavasseur-Desperriers|lien auteur2=|titre=Les « chrétiens modérés » en France et en Europe (1870-1960)|sous-titre=|numéro d'édition=|éditeur=Septentrion|lien éditeur=Presses universitaires du Septentrion|lieu=|jour=|mois=|année=|volume=|tome=|pages totales=|passage=200-212|isbn=|lire en ligne=http://books.google.fr/books?id=EWqoAAAAQBAJ&pg=PA209&lpg=PA209&dq=f%C3%A9lix+mangini&source=bl&ots=g1jRWKTe0W&sig=r5NmZKmLsVMCL5Upe1jeHi3u7Xk&hl=fr&sa=X&ei=Hq_wUt7aN4PP0AXAv4CQAQ&ved=0CG4Q6AEwCDgU#v=onepage&q=f%C3%A9lix%20mangini&f=false|consulté le=4 février 2014}}</ref>.
* il participe à la création du sanatorium d’Hauteville aux côtés de [[Joseph Gillet]] et d'Aynard à nouveau, pour soigner et guérir les habitants de la région lyonnaise atteints de la tuberculose. Cet établissement faut aujourd'hui partie du centre hospitalier public d'Hauteville ou CHPH, à [[Hauteville-Lompnes]], dans l'Ain.
* en 1897, il fonde L'Œuvre lyonnaise des tuberculeux indigents, association reconnue d'utilité publique. Cette société participe à la création du sanatorium d’Hauteville aux côtés de [[Joseph Gillet]] et d'Aynard à nouveau, pour soigner et guérir les habitants de la région lyonnaise atteints de la tuberculose. Cet établissement de cent-vingt lits, ouvert le 23 août 1900, vient répondre à l'absence de prise en charge des tuberculeux dans la région lyonnaise. C'eest le premier des bâtiments qui constituent aujourd'hui le centre hospitalier public d'Hauteville ou CHPH, à [[Hauteville-Lompnes]], dans l'Ain<ref name=bugeyhisto>{{Lien web|langue=fr|url=http://bugey-historique.blogspot.fr/2012/02/les-anciens-sanatoriums-dhauteville.html|titre=Les anciens sanatoriums d'Hauteville|id=|série=|auteur=|lien auteur=|coauteurs=|date=19 février 2012|site=bugey-historique.blogspot.fr|éditeur=|page=|citation=|en ligne le=|consulté le=4 février 2014}}</ref>.
* Il est également administrateur des [[Hospices civils de Lyon]]<ref name=delib/>.
* Il est également administrateur des [[Hospices civils de Lyon]]<ref name=delib/>.


Il est maire de Saint-Pierre-la-Palud pendant trente-huit ans. Il est également conseiller général du Rhône et membre de la [[Chambre de commerce et d'industrie de Lyon|Chambre de commerce de Lyon]]<ref name=delib>{{PDF}} {{Lien web|langue=fr|url=www.lyon.fr/cs/blob?op=201301/delib/20135116.pdf‎|titre=2013/5116 - Dénomination d'une voie nouvelle à Lyon {{9e}} (ZAC du quartier de l'Industrie-Nord) : « rue Félix Mangini »|id=|série=|auteur=Conseil municipal de Lyon|lien auteur=|coauteurs=|date=21 janvier 2013|site=www.lyon.fr|éditeur=Ville de Lyon|page=|citation=|en ligne le=|consulté le=4 février 2014}}</ref>. Il meurt en 1902 dans sa commune, où il est inhumé<ref name=delib/>.
Il est maire de Saint-Pierre-la-Palud pendant trente-huit ans. Il est également conseiller général du Rhône et membre de la [[Chambre de commerce et d'industrie de Lyon|Chambre de commerce de Lyon]]. Il meurt en 1902 dans sa commune, où il est inhumé<ref name=delib>{{PDF}} {{Lien web|langue=fr|url=www.lyon.fr/cs/blob?op=201301/delib/20135116.pdf‎|titre=2013/5116 - Dénomination d'une voie nouvelle à Lyon {{9e}} (ZAC du quartier de l'Industrie-Nord) : « rue Félix Mangini »|id=|série=|auteur=Conseil municipal de Lyon|lien auteur=|coauteurs=|date=21 janvier 2013|site=www.lyon.fr|éditeur=Ville de Lyon|page=|citation=|en ligne le=|consulté le=4 février 2014}}</ref>.


== Postérité ==
== Postérité ==
Ligne 30 : Ligne 32 :
== Annexes ==
== Annexes ==
=== Bibliographie ===
=== Bibliographie ===
* {{ouvrage|langue=fr|prénom1=Édouard|nom1=Aynard|lien auteur1=Édouard Aynard|titre=La vie et les œuvres de Félix Mangini|sous-titre=Conférence|numéro d'édition=|éditeur=A. Storck|lien éditeur=|lieu=|jour=|mois=|année=1903|volume=|tome=|pages totales=|passage=|isbn=|lire en ligne=|consulté le=}}
* {{ouvrage|langue=fr|prénom1=Frédéric|nom1=Dumarest|lien auteur1=|titre=L'Œuvre lyonnaise des tuberculeux indigents et le sanatorium Félix Mangini à Hauteville, résultats médicaux et sociaux après cinq années de fonctionnement|sous-titre=Communication au Congrès international de la tuberculose|numéro d'édition=|éditeur=A. Rey|lien éditeur=|lieu=Paris|jour=|mois=octobre|année=1905|volume=|tome=|pages totales=13|passage=|isbn=|lire en ligne=|consulté le=}}
* {{ouvrage|langue=fr|prénom1=Frédéric|nom1=Dumarest|lien auteur1=|titre=L'Œuvre lyonnaise des tuberculeux indigents et le sanatorium Félix Mangini à Hauteville, résultats médicaux et sociaux après cinq années de fonctionnement|sous-titre=Communication au Congrès international de la tuberculose|numéro d'édition=|éditeur=A. Rey|lien éditeur=|lieu=Paris|jour=|mois=octobre|année=1905|volume=|tome=|pages totales=13|passage=|isbn=|lire en ligne=|consulté le=}}


Ligne 44 : Ligne 47 :
[[Catégorie:Enterré dans le Rhône]]
[[Catégorie:Enterré dans le Rhône]]
[[Catégorie:Ancien conseiller général du Rhône]]
[[Catégorie:Ancien conseiller général du Rhône]]
[[Catégorie:Philanthrope français]]
[[Catégorie:Logement social en France]]

Version du 4 février 2014 à 13:05

Félix Mangini, né à Lyon en 1836, mort en août 1902 à Saint-Pierre-la-Palud, est un ingénieur pionnier du chemin de fer en France, un philanthrope pionnier de l'habitat social à Lyon, et un homme politique français.

Biographie

Fils de Lazare Mangini, qui fut un collaborateur et ami précieux des pionniers du chemin de fer les frères Seguin, Félix Mangini suit les cours de l'École des mines de Paris entre 1858 et 1861. En 1863, son père s'installe dans la vallée de la Brévenne, achetant une propriété au lieu-dit la Pérollière, sur la commune de Saint-Pierre-la-Palud[1]. Félix Mangini la fera raser, reconstruire et lui fera adjoindre un château de style florentin en 1885, œuvre de l'architecte lyonnais Gaspard André. Le domaine, vendu par ses héritiers en 1942 à la Compagnie du gaz de Lyon, est désormais une propriété d'EDF[2].

Il fait partie d'une bande d'amis, constituée de Joseph Gillet, Édouard Aynard et Auguste Isaac. Avec Camille Rambaud, ils constitue un groupe de bienfaiteurs et d'entrepreneurs qui investissent significativement dans les œuvres de bienfaisance de la région lyonnaise, dans la mouvance des « chrétiens modérés » et du catholicisme social de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle[3].

Sa fille, Hélène Mangini (1879-1958), se marie à Léon Bérard, pionnier de la chirurgie thoracique. Ils construisent une extension du domaine de la Pérollière dans le même style que le bâtiment de Gaspard André, qu'ils baptisent du nom de « Villa Félix » en honneur de Félix Mangini[4].

Vie professionnelle

Associé à son frère Lucien Mangini, il entreprend dans un premier temps dans le secteur des houillères. Mais il s'oriente bientôt dans l'ingénierie ferroviaire, en disciple de Marc Seguin, dont il épouse la fille Marie-Pauline[5]. Il dirige les travaux de construction de la ligne de chemin de fer de Lyon à Montbrison[1], dont l'exploitation leur est concédée en 1869[6].

Toujours avec son frère Lucien, il prend la tête de la Compagnie des Dombes et des chemins de fer du Sud-Est dont les deux frères assurent à la fois les rôles d'ingénieurs, de constructeurs et d'administrateurs[5]. Sous leur direction, de grands travaux sont entrepris pour le déploiement de leur réseau, dont l'un des plus importants est la construction de la gare Saint-Paul, entre 1872 et 1875, avec une façade de l'architecte Louis Sainte-Marie-Perrin[6]. Félix quitte toutefois la société, après la vente de ses lignes à la compagnie PLM en 1883.

Il est le fondateur ou le collaborateur de plusieurs sociétés et fondations :

  • en 1864, il participe à la création de la Société d'enseignement professionnel du Rhône aux côtés du soyeux Arlès-Dufour, dont il sera le président de 1865 jusqu’à sa mort.
  • en 1885, il lance la construction des « maisons Mangini  », quai Pierre-Scize à Lyon, sur un emplacement qu'il avait proposé pour la construction de la faculté de droit et des lettres. Leur gestion est reprise par la société suivante[6].
  • en 1886, il crée la Société des logements économiques, devenue par la suite Office public des HLM du Rhône puis OPAC du Rhône.
  • en 1891, il crée également la Société d'alimentation, avec le financement d'Édouard Aynard. Elle distribue des repas à bon marché dans deux restaurants sociaux, aux Brotteaux et à la Guillotière[3].
  • en 1897, il fonde L'Œuvre lyonnaise des tuberculeux indigents, association reconnue d'utilité publique. Cette société participe à la création du sanatorium d’Hauteville aux côtés de Joseph Gillet et d'Aynard à nouveau, pour soigner et guérir les habitants de la région lyonnaise atteints de la tuberculose. Cet établissement de cent-vingt lits, ouvert le 23 août 1900, vient répondre à l'absence de prise en charge des tuberculeux dans la région lyonnaise. C'eest le premier des bâtiments qui constituent aujourd'hui le centre hospitalier public d'Hauteville ou CHPH, à Hauteville-Lompnes, dans l'Ain[7].
  • Il est également administrateur des Hospices civils de Lyon[8].

Il est maire de Saint-Pierre-la-Palud pendant trente-huit ans. Il est également conseiller général du Rhône et membre de la Chambre de commerce de Lyon. Il meurt en 1902 dans sa commune, où il est inhumé[8].

Postérité

  • L'une des voies principales d'Hauteville-Lompnes porte son nom, l'avenue Félix-Mangini.
  • Depuis 2013, une voie du 9e arrondissement de Lyon porte également son nom, la rue Félix-Mangini[8].

Notes et références

  1. a et b « L'histoire de Félix Mangini », sur www.stpierrelapalud.mairies69.net, (consulté le )
  2. Les Amis de l'Arbresle, « La saga Mangini - III - Le domaine de la Pérollière », sur www.amis-arbresle.com (consulté le )
  3. a et b Jacques Prévotat et Jean Vavasseur-Desperriers, Les « chrétiens modérés » en France et en Europe (1870-1960), Septentrion (lire en ligne), p. 200-212
  4. « Historique », sur villafelix.monsite-orange.fr (consulté le )
  5. a et b Paul Lemonnier, « Félix Mangini (1836-1902) », Bulletin de l'Association des Anciens élèves de l'Ecole des Mines de Paris,‎ (lire en ligne)
  6. a b et c « Maurice Berthault - La construction de la gare Saint-Paul et l'aménagement des abords », sur www.archives-lyon.fr (consulté le )
  7. « Les anciens sanatoriums d'Hauteville », sur bugey-historique.blogspot.fr, (consulté le )
  8. a b et c [PDF] Conseil municipal de Lyon, « 2013/5116 - Dénomination d'une voie nouvelle à Lyon 9e (ZAC du quartier de l'Industrie-Nord) : « rue Félix Mangini » », sur www.lyon.fr, Ville de Lyon, (consulté le )

Annexes

Bibliographie

  • Édouard Aynard, La vie et les œuvres de Félix Mangini : Conférence, A. Storck,
  • Frédéric Dumarest, L'Œuvre lyonnaise des tuberculeux indigents et le sanatorium Félix Mangini à Hauteville, résultats médicaux et sociaux après cinq années de fonctionnement : Communication au Congrès international de la tuberculose, Paris, A. Rey, , 13 p.