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<---comment le nommer ? Cage de la Corriveau est-il péjoratif? c'est le plus usité. "gibet de fer de Marie-Josephte Corriveau serait le plus politiquement correct (gibet de Marie-Josephte Corriveau)


Le gibet de fer dans lequel le corps de Marie-Josephte Corriveau a été exposé après son exécution, photographié au début du XXe siècle.

La cage de la Corriveau est le gibet de fer dans lequel a été exposé en 1763 le corps de Marie-Josephte Corriveau, dite la Corriveau, une habitante de Nouvelle-France pendue pour le meurtre de son second époux et devenue, à compter du XIXe siècle, l'une des figures les plus populaires du folklore québécois.

Après l'exécution survenue à Québec, le , la dépouille est enfermée dans la fameuse « cage », c'est-à-dire une structure faite de bandes de métal épousant étroitement les contours du corps, puis transportée sur la rive sud pour être suspendue à une potence dressée à Pointe-Lévy...

Dénomination : cage ou gibet ?[modifier | modifier le code]


Historique[modifier | modifier le code]

"localisation buttes à nepveu

Richard Dee[modifier | modifier le code]

1851 - parcours[modifier | modifier le code]

Montréal[modifier | modifier le code]

  • « M. Fréchette dans la Patrie du 24 février dernier, a donné une description de la cage de la Corriveau et l'histoire du crime qui avait été la cause de son exécution. Cette cage a été mise en exhibition à Montréal par un nommé Angers, de Québec, dans l'hôtel de Leclère, rue St-Paul, en face du marché Bonsecours, pendant le mois d'août 1851. Quelque temps après, cette curiosité fut vendue au musée de Boston. »
    • en gras, détails n'apparaissant pas dans l'entrefilet de La Minerve. Berthelot a très probablement puisé ces infos dans un autre article de journal paru à Montréal en août 1851.
    • source : [Hector Berthelot], « Le Bon vieux temps : La Cage de la Corriveau - Une séance de l'Institut - Le baptême d'un réservoir », La Patrie, mercredi 18 mars 1885, page 4, 2e col [lire en ligne]



Texte article ----

Au début du mois de mai 1851, ainsi que l'attestent les journaux de l'époque[1], la « cage » de la Corriveau, contenant encore quelques ossements, est retrouvée par des fossoyeurs dans le cimetière de l'église Saint-Joseph-de-la-Pointe-Lévy. La fosse aurait été localisée du côté sud de l'église dans une section qui n'était pas délimitée par un mur et qui était située près de la sacristie et du chemin royal (l'actuelle rue Saint-Joseph).[réf. nécessaire] Quelque temps exposée dans la sacristie de l'église, où elle ne tarde pas à attirer érudits et curieux, elle tombe ensuite entre les mains d'entrepreneurs cherchant à en tirer profit. En août 1851, les publicités parues dans les journaux de l'époque permettent ainsi de suivre son périple : d'abord exposée au début du mois à Montréal, dans une maison située en face du marché Bonsecours[2], elle est ensuite exhibée à Québec dans la semaine du 17 août[3], avant de prendre le chemin de New York, où on la retrouve à la fin du mois exposée sur Broadway[4].

Dans cette dernière ville, la cage est acquise par le célèbre entrepreneur de spectacles P. T. Barnum qui dû l'exposer dans son American Museum, qui misait sur l'étrange, l'inédit et le rare pour attirer les foules. Peut-être endommagée lors de l'incendie qui ravage l'établissement en 1865, la cage tombe ensuite entre les mains d'un associé de Barnum, Moses Kimball (en) qui expose à son tour l'artefact dans son Boston Museum (en) (équivalent bostonien de l'American Museum).

un gibet de fer dans un boîte en verre
Gibet de Marie-Josephte Corriveau, exposé en novembre 2015 à la maison historique Chevalier.

En 1899, la cage est donnée par les héritiers de Kimball à l'Essex Institute (en) de Salem, qui continue d'exposer l'objet dans son musée au début du XXe siècle[5]. Lors de la fusion de l'Essex Institute avec le Peabody Museum de Salem en 1992, l'artefact passe dans les collections du tout nouveau Peabody Essex Museum ainsi nouvellement formé.

C'est dans ce dernier musée qu'un artefact qu'on croit être la cage de la Corriveau, considérée jusqu'à tout récemment par les historiens québécois comme disparue aux États-Unis vers la fin du XIXe siècle, a été retracé en 2011 par Claudia Mendéz, guide touristique et membre du conseil d'administration de la Société d'histoire régionale de Lévis (maintenant nommé La Société d'histoire de Lévis depuis 2016)[6],[7]. À l'automne 2013, l'objet, prêté par le Peabody Essex Museum, a été temporairement rapatrié au Québec à l'initiative de la SHRL. Après avoir été brièvement présenté au public du 3 au 6 octobre 2013 lors d'une exposition temporaire au Centre de congrès et d’expositions de Lévis, l'artefact a pris le chemin du centre national de conservation et d’étude des collections des Musées de la civilisation à Québec afin d'être expertisé durant deux ans[8],[9],[10]. Le 26 octobre 2015, les Musées de la civilisation et la SHRL annoncent par communiqué que « l'objet en question serait bien celui ayant servi à exhiber le corps de Marie-Josephte Corriveau, en 1763 »[11],[12].

Folklore[modifier | modifier le code]

Le gibet de fer est omniprésent dans la tradition orale qui s'est développée autour de l'histoire de Marie-Josephte Corriveau. Parmi les quinze versions orales de la légende de la Corriveau recueillies au Québec entre 1953 et 1989, publiées par Nicole Guilbault en 1995, douze y font référence : neuf mentionnent une « cage »[13], alors que trois autres évoquent « une affaire en broche »[14], « un panier en broche »[15] ou « un genre d'étui, un genre d'armure »[16].

D'après neuf de ses quinze versions, la Corriveau aurait été encagée vivante, condamnée à être exposée aux éléments et à mourir de faim et de froid[17].



La cage : catalyseur de la légende[modifier | modifier le code]

  • c'est le châtiment post-mortem de la Corriveau, inconnu en Nouvelle-France, qui a marqué les imaginations et assuré la postérité de la Corriveau, transformant un fait divers en légende
    • comparaison avec d'autres cas où des gibets sont entrés dans le folklore
  • la découverte de la cage de la Corriveau en 1851 réactive la tradition orale, qui était peut-être en train de s'éteindre.
  • présence importante de la cage dans les versions orales, les oeuvres artistiques (littéraires et visuelles en lien avec la Corriveau
  • symbolique de la cage dans le mythe (oppression patriarcale (féminisme), oppression de l'occupant britannique (nationaliste))
  • châtiment de l'encagement vivant
baisse d'intérêt fin 20e / déb. 21e s.
  • remarque dans Louis-Philippe Bonneau (1988)
  • Aurélien Boivin, 2008 : « Récemment, j'ai donné une conférence devant des étudiants universitaires. À peu près personne ne savait qui était le personnage de la Corriveau. Je trouve dommage que notre histoire se perde. » (Aurélien Boivin, 2008) [18]
regain d'intérêt avec redécouverte de la cage
  • la redécouverte de la cage aux États-Unis semble encore une fois avoir été le catalyseur pour réactiver la légende qui était en train de devenir moins présente (remarques d'Aurélien Boivin et Bonneault)
  • « La redécouverte de sa cage à Salem en 2012, puis son rapatriement aux Musées de la civilisation, ravive l’inspiration »[19]

Symbole[modifier | modifier le code]

  • La couverture du livre L'Homicide conjugal au féminin[20] de la criminologue Sylvie Frigon figure une femme enfermée dans une cage... allusion à la Corriveau dans ce livre...
    • « La couverture de l’ouvrage représente une femme enfermée dans une cage, que l’auteure tenait à voir figurer pour illustrer le traitement particulier de l’homicide conjugal au féminin. Marie Josephte Corriveau est condamnée à mort en 1763 après avoir tué son époux. Pendue, son corps est exposé dans une cage à la croisée des routes, à titre d’exemple... » [21]
  • En 2017, la cage est qualifiée par la Ville de Lévis d'« objet identitaire pour Lévis »[22].

Dans la culture[modifier | modifier le code]

  • La redécouverte de la cage à Salem et son rapatriement à Québec n'ont pas tardé à capturer l'imagination des romanciers jeunesse
    • 2015 : La Corriveau, roman jeunesse de Jean-Nicholas Vachon[23]
    • "Il reprend d’abord les faits entourant la redécouverte de la cage, son arrivée au musée et le travail fait par des archéologues pour l’identifier. Il extrapole ensuite le vol de l’objet et l’enquête menée par le journaliste Félix St-Clair. Il mêle chasse aux sorcières et pratiques vaudou, le tout dans un syncrétisme brulant." (Marie Fradette, La Corriveau : entre mythe et réalité, p. 73)
    • 2018 : La Vengeance de Lucifer (Chasseurs de légendes : tome 2), de Pierre-Alexandre Bonin[24]
    • résumé : Sophie a déjoué les plans du Diable aux Chutes Montmorency, mais des phénomènes surnaturels continuent d'agiter le Québec. Lucifer est furieux et entend prendre sa revanche contre l'adolescente et les Chasseurs de légendes. Il fait appel à deux alliés de poids pour assouvir sa vengeance : la Corriveau et le Bonhomme Sept heures. La Confrérie doit alors faire face à deux nouvelles menaces : une série d'enlèvements d'enfants et des agressions au Musée de la Civilisation.

Filmographie[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Études[modifier | modifier le code]

  • Nicole Guilbault (dir.), Il était cent fois La Corriveau : anthologie, Québec, Nuit blanche, coll. « Terre américaine », , 192 p. (ISBN 292105342X et 9782921053426, OCLC 35874386)
    Anthologie contenant quinze versions orales de la légende de la Corriveau, différents textes littéraires s'étant inspirés du thème et quatre études.
  • Luc Lacourcière, « Le destin posthume de la Corriveau », Les Cahiers des Dix, no 34,‎ , p. 239–271 (ISSN 0575-089X, lire en ligne)
  • Luc Lacourcière (édition préparée par Bertrand Bergeron et Jean-Pierre Pichette), La Corriveau : La formation d'une légende, Presses de l'Université Laval, coll. « Les Archives de folklore » (no 32), (ISBN 978-2-7637-3792-8). [présentation de l'éditeur]
    Réédition des études de Luc Lacourcière sur Marie-Josephte Corriveau
  • (en) Sarah Tarlow et Emma Battell Lowman, « Hanging in Chains », dans Sarah Tarlow et Emma Battell Lowman, Harnessing the Power of the Criminal Corpse, Palgrave Macmillan / Springer International Publishing, coll. « Palgrave Historical Studies in the Criminal Corpse and its Afterlife », (ISBN 9783319779072, DOI 10.1007/978-3-319-77908-9_6, lire en ligne), p. 151–190

<----- articles de la Seigneurie de Lauzon et de sociétés historiques locales (à voir si apporte du nouveau, virer plus tard si non utilisé) ----

  • « La découverte de la cage de la Corriveau par la SHRL », La Seigneurie de Lauzon, Société d'histoire régionale de Lévis, no 123,‎ , p. 4 (ISSN 0229-074X) (entrefilet annonçant la découverte, 3 nov. 2011)
  • Alain G. Boies, « La marque de la sorcière », La Seigneurie de Lauzon, Société d'histoire régionale de Lévis, no 123,‎ , p. 8 (ISSN 0229-074X) (article ayant suscité la recherche iconographique en question)
  • Claudia Méndez, « La cage de la Corriveau », La Seigneurie de Lauzon, Société d'histoire régionale de Lévis, no 124,‎ , p. 14-17 (ISSN 0229-074X) (récit de la visite au Peabody Essex et premiers résultats)
  • Claudia Méndez, « La cage de la Corriveau », Histoire Québec, vol. 19, no 2,‎ , p. 27-29 (ISSN 1201-4710 et 1923-2101, lire en ligne) (récit de la visite au Peabody Essex et premiers résultats)
  • « La cage de la Corriveau : photos inédites », La Seigneurie de Lauzon, Société d'histoire régionale de Lévis, no 125,‎ printemps-été 2012, p. 30-31 (ISSN 0229-074X) (photos de la cage + dimensions)
  • Yvan M. Roy, « Le 18 avril 1763, Marie-Josephte Corriveau entre dans la légende », La Seigneurie de Lauzon, Société d'histoire régionale de Lévis, no 128,‎ , p. 5-12 (ISSN 0229-074X, lire en ligne)
  • Evelyne Fortier, « Le rapatriement de la cage de la Corriveau en lien avec le patrimoine et le développement durable à la ville de Lévis », La Seigneurie de Lauzon, Société d'histoire régionale de Lévis, no 128,‎ , p. 12-15 (ISSN 0229-074X)
  • Vincent Couture, « L'emplacement de la cage (ou gibet) de la Corriveau », La Seigneurie de Lauzon, Société d'histoire régionale de Lévis, no 128,‎ , p. 16-17 (ISSN 0229-074X)
  • Pierre Prévost, « L’étonnante histoire de la Corrivaux et de sa cage », Au fil des ans, Société historique de Bellechasse, vol. 26, no 1,‎ , p. 10-14 (lire en ligne).
  • Joël Leblanc, « Encagée pour l'éternité », sur Curium, (consulté le ). (intégration de l'image de la cage avec résultats d'expertise de ThingLink, d'après les données du Musée de la Civilisation; expertise de Jérôme Morissette)
    • version papier Curium No 18, mai 2016, p. 34-35 (pdf téléchargé)


  • (en) Eric Grundhauser, « The Hanging Cage That Held An Infamous Québec Murderess », sur Atlas Obscura, (consulté le ). (D'abord publié sous le titre The Long Travels of La Corriveau’s Cage, jusqu'aux modifications du 15 octobre 2020) (entrevue avec conservateurs, voir si nouveaux apports)
  • Diane Tremblay, « La cage de «la Corriveau» retrouvée », sur Journal de Québec et TVA Nouvelles, 30 juillet 2012 (usage du nom Dodier et St Vadier pour expliquer pourquoi elle n'a pas été retrouvée avant)

Sources littéraires[modifier | modifier le code]

Liens web[modifier | modifier le code]

  • « Gibet de fer », Notice du gibet de fer de Marie-Josephte Corriveau, sur Collections MCQ, Musée de la Civilisation (consulté le )
  • « Gibet de fer », Notice du gibet de fer de Marie-Josephte Corriveau, sur base de données Info-Muse, Société des musées du Québec, (consulté le )


<----à intégrer dans les notes ---

  • Publications BLD, « Le gibet de la Corriveau », image annotée interactive d'après les données des Musées de la Civilisation, sur ThingLink, (consulté le ). (image de la cage avec résultats de l'expertise)
  • La Corriveau, présentation de l'exposition à la Maison Chevalier, avec photos, vidéos...

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes[modifier | modifier le code]

  1. « Reliques », Le Journal de Québec, mardi 13 mai 1851, p. 2 [lire en ligne]; The Morning chronicle and commercial and shipping gazette, mercredi 14 mai 1851, p. 2 [lire en ligne]. Ces journaux précisent que la découverte aurait eu lieu « la semaine dernière », ce qui placerait l'événement dans la semaine du 5 au 11 mai 1851.
  2. « Curieuse exhibition », La Minerve, jeudi 7 août 1851, p. 3 [lire en ligne], signalé par Hervé Gagnon, « Divertissement et patriotisme : la genèse des musées d’histoire à Montréal au XIXe siècle », Revue d'histoire de l'Amérique française, vol. 48, no 3, hiver 1995, p. 321.
  3. Le Canadien, vendredi 15 août 1851, p. 2 [lire en ligne] et lundi 18 août 1851, p. 3 [lire en ligne]
  4. New York Tribune, vol. XI, no 3231, mardi 26 août 1851, p. 1. [lire en ligne].
  5. Visitors' guide to Salem, Salem, Essex Institute, 1902, p. 38. [lire en ligne]; Visitors' guide to Salem, Salem, The Essex Institute, 1908, p. 49 [lire en ligne]; Handbook of the Essex Institute, Salem, 1908, p. 9 [lire en ligne]; Visitor's guide to Salem, Salem, The Essex Institute, 1916, p. 77-78 [lire en ligne]; Visitor's guide to Salem, Salem, The Essex Institute, 1922, p. 80 [lire en ligne]
  6. Raphaël Dallaire Ferland, « La cage de la Corriveau retrouvée ? », Le Devoir, 1er août 2012
  7. Claudia Méndez, « La cage de La Corriveau », Histoire Québec, vol. 19, no 2,‎ , p. 27-29 (ISSN 1201-4710 et 1923-2101, lire en ligne)
  8. Marie-Pier Duplessis, La cage de « La Corriveau » de retour au Québec, Le Soleil, 30 septembre 2013 (page consultée le 10 janvier 2014).
  9. Baptiste Ricard-Châtelain, « La cage de la Corriveau, un artéfact « unique » dont l'authenticité fait peu de doutes », Le Soleil, 1er octobre 2013 (page consultée le 10 janvier 2014).
  10. Musées de la civilisation, « Une cage pouvant être celle de la Corriveau expertisée par les Musées de la civilisation », communiqué de presse, 1er octobre 2013 (page consultée le 10 janvier 2014).
  11. Musées de la civilisation, « Invitation à la presse : La cage de la Corriveau. De la noirceur à la lumière », communiqué de presse, 26 octobre 2015 (page consultée le 25 novembre 2015).
  12. Isabelle Porter et Dave Noël, « La cage de fer de La Corriveau est bel et bien authentifiée », Le Devoir,‎ (lire en ligne).
  13. Guilbault 1995, p. 19.
  14. Guilbault 1995, p. 25.
  15. Guilbault 1995, p. 33.
  16. Guilbault 1995, p. 39.
  17. Guilbault 1995 : « Variante avec six maris », p. 21-23; « Variante avec trois maris », p. 31-32 ; « Variante avec sept maris » p. 35; « Variante avec un mari », p. 37-38 ; « Variante avec sept maris », p. 39-40; « Variante avec un mari », p. 43-44; « Variante avec deux maris », p. 45-46; « Variante avec deux maris », p. 47-49; « Variante avec deux maris », p. 51-52.
  18. Citation d'Aurélien Boivin, rapportée dans Renée Larochelle, « Pour la suite du monde », entrevue avec Aurélien Boivin [archive du ], Au fil des événements, (consulté le )
  19. Marie Fradette, « La Corriveau : entre mythe et réalité », Lurelu, vol. 39, no 1,‎ , p. 73 (ISSN 0705-6567 et 1923-2330, lire en ligne)
  20. Sylvie Frigon, L'Homicide conjugal au féminin : d'hier à aujourd'hui, Éditions du remue-ménage, (ISBN 978-2-89091-211-3, présentation en ligne).
  21. Christelle Lebreton, « L'Homicide conjugal au féminin » (compte rendu de l'ouvrage de Sylvie Frigon (2003)), Bulletin d'information de l'Institut de recherches et d'études féministes (IREF), Université du Québec à Montréal, vol. 44,‎ hiver/printemps 2004, p. 8-9 (lire en ligne, consulté le ).
  22. Ville de Lévis, « Prix du patrimoine 2017 : Lumière sur le patrimoine de Lévis », communiqué de presse, sur Ville de Lévis, (consulté le ) - « lien archivé » (version du sur Internet Archive)
  23. Jean-Nicholas Vachon, La Corriveau, Waterloo, Éditions Michel Quintin, coll. « Minuit 13 » (no 4), (ISBN 9782894357385 et 9782894359396, présentation en ligne)
  24. Pierre-Alexandre Bonin, La Vengeance de Lucifer, Bayard Canada, coll. « Chasseurs de légendes » (no 2), (ISBN 978-2-89770-134-5 et 2-89770-134-X)