Utilisateur:Michel Abada/Proposition

Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Up

L'article en cours d'écriture: Jésus de Nazareth

Jésus est un prénom courant dans la Palestine de l'époque[1]. Il est par exemple attesté pour Jésus Ben Sira, l'auteur du Siracide, pour un fils d'Éliézer dans l'Évangile attribué à Luc[v 1] ou encore pour Barabbas, le chef de guerre libéré par Ponce Pilate selon certaines versions de l'Évangile attribué à Matthieu[2]. L'historien juif Flavius Josèphe cite plusieurs individus prénommés Jésus[3].

Jésus vient du grec Ἰησοῦς / Iēsoûs[3] qui désigne d'ailleurs Jésus de Nazareth dans les évangiles, qui ont été rédigés en grec. Vivant en Palestine et en particulier en Galilée, Jésus était appelé du nom hébraïque Yehoshou'a[4] ou Yeshou'a[3]. Étymologiquement, le nom Jésus vient de l'hébreu יהושע Yehoshua[5], à travers sa forme abrégée Yeshoua (hébreu : ישע). Yehoshua signifie : « Dieu (YHWH) sauve[6] » et Yeshoua signifie « Sauveur[7] » ou « il sauve »[8]. À l'époque de Jésus, la forme courte Yeshou'a était la plus fréquente[9],[10],[3]. La Septante, rédigée en grec au IIIe siècle av. J.-C., utilise également le nom de Iesoûs pour désigner Josué, lieutenant de Moïse[11].

Pessah et veille de Pessah[modifier | modifier le code]

Jésus meurt vraisemblablement dans l'après-midi du jour de la « parascève »[12] — jour de la préparation de la fête de Pessa'h — le 14 Nissan[13], ce qui correspond, compte tenu du calendrier hébreu usuel, pour la majorité des chercheurs au vendredi 7 avril 30

Notes et références[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. (he) Tal Ilan, Uriel Rappaport (dir.) et Israel Ronen (dir.), The Hasmonean State, Jérusalem, Yad Ben-Zvi, (ISBN 965-217-109-3), « Les noms hasmonéens à l'époque du Second Temple »
  2. B. Feldman, Barabbas and the Gospel of Yeshua the Galilean, American Imago New York, 1982, vol. 39, no 3, p. 181–193 et Jean-Paul Michaud, Barabbas, InterBible, 26 /09/003
  3. a b c et d Paul Barnett, Jesus & the Rise of Early Christianity: A History of New Testament Times, éd. Inter Variety Press, 2002, p. 99.
  4. The Oxford Dictionary of the Jewish Religion, Oxford University Press, 2011, p. 395 : « The name Jesus is the Greek form of the Hebrew name Yehoshu'a or Yeshu'a »
  5. Amy-Jill Levine et Marc Z. Brettler, The Jewish Annotated New Testament, éd. Oxford University Press, 2011, pp.4, 99, 167, extrait en ligne.Le débat sur le sens littéral du nom Yehoshua provient d'un débat grammatical. L'initiale peut être comprise comme une 3e personne de l'inaccompli du verbe YSh', mais, dans ce cas le sujet est absent. Le BDB-Thayer (version complète) complet termine le mot par un ayin à l'article Ab Yehoshuah`, qui ruine cette étymologie. Il en résulte que le débat est ouvert.
  6. Le Brown-Driver-Briggs, la référence des dictionnaires d'hébreu biblique, rapporte que le sens du nom peut également marquer l'« opulence » en plus de la salvation ; cf. Francis Brown, Samuel Rolles Driver et Charles Augustus Briggs, Hebrew and English lexicon of the Old Testament, éd. Clarendon Press, Oxford, 1939, p. 221, article en ligne
  7. Jennings Lexicon (1926, réédité en 2011 [1]), p. 97.
  8. (en) William Smith, Smith's Bible Dictionary : Rev Sub edition, Hendrickson Publishers, (ISBN 0917006240), « Jesus »
  9. David Flusser, Les sources juives du christianisme: Une introduction, éditions de l'éclat, Paris-Tel-Aviv, 2003, p. 28.
  10. Richard Bauckham, The Names on Ossuaries, in Buried Hope Or Risen Savior : The Search for the Jesus Tomb, B. & H. Publishing Group, Nashville, Tennessee, 2008, pp. 81-82.
  11. « Les pères de l'Église ne manqueront pas d'utiliser cette homonymie : c'est "Jésus" (Christ) qui assure la victoire finale sur Amalek », in Le Pentateuque. La Bible d'Alexandrie, Cécile Dogniez et Marguerite Harl (dir.), Gallimard, Folio Essais, 2003, p. 731, note.
  12. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Mattei_71
  13. Suivant l'évangile selon Jean. Pour une majorité de chercheurs, la date donnée par les évangiles synoptiques — vendredi 15 de Nisan — correspondant au jour de la Pâque, est inconcevable pour une exécution car cela aurait constitué une faute politique grave de la part des Romains ; cf. Michel Quesnel, « Jésus et le témoignage des évangiles » in Aux origines du Christianisme, éd. Gallimard/Le Monde de la Bible, 2000, p. 200.

Notes[modifier | modifier le code]

Déblocage ChTr

Stockage[modifier | modifier le code]

Bérénice[modifier | modifier le code]

En 79 , après Vespasien et Titus est mort devint empereur, Bérénice revint à Rome [38] . Peu de temps après, il envoya Tite Bérénice vers le royaume frère Agrippa, à continuer de soutenir les gens », même si elles désirent" [36] . Selon Green, Bérénice Retour à l'esprit du judaïsme et le royaume du Nord a servi de refuge pour les réfugiés de la rébellion.

Selon Greene, a été placé dans Athènes statue de Bérénice, quand il appelé «la grande reine filiale Julius Agrippa le grand roi." Selon Klausner , il ya l'honneur d'adresse adopté Athènes que l'on appelle "les rois de race greffons grands, qui étaient des actes justes de la ville» [39] .

Bien qu'il n'y ait aucune information à son sujet ou sa progéniture après l'an 79, il ya des chercheurs qui relient sa fille Julia Brnyakianos Krisfina mentionnés dans les archives de la C "afiskofos" - supervise les neveux orphelinat de seconde cellule de son défunt mari. Julia Krisfina représenté en 131 - 130 . J.-C. les orphelins et leurs tuteurs dans un procès contre la cellule et les chercheurs suggèrent était une petite-fille de Bérénice, la structure Brnyakianos[1] [40]

Dans les archives de Babatha[modifier | modifier le code]

Il n'existe plus d'information au sujet de Bérénice ou de sa progéniture dans la littérature antique, après la mention de Dion Cassius en 79. Toutefois, certains chercheurs estiment que sa fille pourrait être Julia Crispina (Julia Brnyakianos Krisfina) mentionnés dans les papyrus en grec découverts par Yagel Yadin, issue probablement des archives de Babatha archives de la C "afiskofos" et dans les . Julia Bérénice est le même nom que celui de Bérénice, Brnyakianos renvoie à Berenicianus, un des deux fils que Bérénice a eue avec Hérode de Chalcis. En 132-133, au début des hostilités de la Révolte de bar Kokhba, Julia Krispina est venue se réfugier en Égypte. On dispose aussi d'informations sur Juli Kri - pour qu'elle supervise les neveux orphelins du second époux défunt de Babatha. Julia Crispina a représenté en 130 - 131, les orphelins et leurs tuteurs dans un procès civil contre Babatha et les chercheurs suggèrent qu'elle était une petite-fille de Bérénice, la structure Brnyakianos[2].

Julia Crispina petite fille de Bérénice[modifier | modifier le code]

Il n'existe plus d'information au sujet de Bérénice ou de sa progéniture dans la littérature antique, après la mention de Dion Cassius en 79. Toutefois, certains chercheurs estiment que sa petite-fille pourrait être Julia Crispina (Julia Brnyakianos Krisfina) mentionnés dans les papyrus en grec découverts par Yigaël Yadin, issues probablement des archives de Babatha. Julia Bérénice est le même nom que celui de Bérénice, Brnyakianos renvoie à Berenicianus, un des deux fils que Bérénice a eue avec Hérode de Chalcis. On dispose de manuscrits documentaires de Julia Crispina qui montrent qu'elle vivait en Égypte en 133. C'est en 132-133, au début des hostilités de la Révolte de bar Kokhba, que Julia Crispina semble être venue se réfugier en Égypte. En analysant les archives de Babatha, des chercheurs sont parvenus à la conclusion que la Julia Crispina qui a été nommé pour superviser les neveux orphelins du second époux défunt de Babatha, est la petite fille de Bérénice. Julia a représenté en 130 - 131, alors qu'elle vivait encore en Palestine, les orphelins et leurs tuteurs dans un procès civil contre Babatha[3].

Véronique
  1. Tal Ilan, "Integrating Women Into Second Temple History" (Mohr Siebeck, Germany 1999), Part 3: Women and the Judaean Desert Papyri, Chapter Eight: Julia Crispina: A Herodian Princess in the Babatha Archive, Pages 217-233.
  2. Tal Ilan, "Integrating Women Into Second Temple History" (Mohr Siebeck, Germany 1999), Part 3: Women and the Judaean Desert Papyri, Chapter Eight: Julia Crispina: A Herodian Princess in the Babatha Archive, p. 217-233.
  3. Tal Ilan, "Integrating Women Into Second Temple History" (Mohr Siebeck, Germany 1999), Part 3: Women and the Judaean Desert Papyri, Chapter Eight: Julia Crispina: A Herodian Princess in the Babatha Archive, p. 217-233.

Babatha[modifier | modifier le code]

en:Babatha
Babatha

Babatha fille de Simon était une propriétaire prospère morte de faim dans la grotte aux lettres située près d'Eingadi au cours de la révolte de Bar Kochba. Les romains semblaient accorder une importance particulière à sa mort ou à celle de ceux qui l'accompagnaient — pourtant des femmes et des enfants — car ils avaient installé deux camps sur la falaise juste au dessus des deux grottes où ce groupe s'était réfugié.

Bien qu'il y ait un personnage historique important, les documents d'archives laissées dans la grotte sont une source primaire importante pour la compréhension de la vie quotidienne, économique et juridique dans cette région. Ses archives l'ont fait connaître comme un exemple de l'indépendance de la femme dans le monde juif antique.


Talmud en français[modifier | modifier le code]