Prélude et fugue en fa mineur (BWV 857)

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Le Clavier bien tempéré I

Prélude et fugue n°
BWV 857
Le Clavier bien tempéré, livre I (d)
Fa mineur
Fa mineur
Prélude
Métrique 4/4
Prélude.
noicon
Fugue
Voix 4
Métrique 4/4
Fugue.
noicon
Liens externes
(en) Partitions et informations sur IMSLP
(en) La fugue jouée et animée (bach.nau.edu)

Le prélude et fugue en fa mineur (BWV 857) est le douzième couple de préludes et fugues du premier livre du Clavier bien tempéré de Jean-Sébastien Bach, compilé vers 1722.

Le prélude est empreint d'une touchante mélancolie. La fugue à quatre voix est pathétique, inhabituellement longue et l'une des plus fortement pensées du recueil.



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  tagline = ##f
}

\score {
  \new Staff \with {
%fontSize = #-2
  }
<<
  \relative c' {
    \key f \minor
    \time 4/4

     %% INCIPIT CBT I-12, BWV 857, fa mineur
     << { s4*0^\markup{Prélude} f16 aes c f g, f' e g aes, c f e f4 } \\ { f,4 g aes f'16 c bes aes } >> \bar ".."

     \skip 8*1
     \override Staff.Clef.extra-offset = #'( -1 . 0 )
      \clef bass
     \relative c' { r4^\markup{Fugue} c4 des c b e f bes, a aes g2 
{ 
 % suppression des warnings :
 #(ly:set-option 'warning-as-error #f)
 #(ly:expect-warning (_ "stem does not fit in beam")) %% <= à traduire éventuellement
 #(ly:expect-warning (_ "beam was started here")) %% <= à traduire éventuellement
  \set stemRightBeamCount = #1
  f4*1/2[ s]
}
    }
  }
>>
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     \context { \Score \remove "Metronome_mark_engraver" 
     \override SpacingSpanner.common-shortest-duration = #(ly:make-moment 1/2) 
   }
  }
  \midi {}
}
En bas de page, le manuscrit autographe de l'incipit du prélude en fa mineur.

Prélude[modifier | modifier le code]

Le prélude, noté 4/4, comporte 22 mesures.

La première moitié du premier cahier du Clavier bien tempéré se conclut avec une imposante paire. Bach attachait visiblement beaucoup de prix à ce prélude, dont la gravité de la tonalité se rapproche de la cantate BWV 12 « Pleurer, gémir, souffrir, renoncer »[1].

C'est l'un des plus touchants préludes, d'une « mélancolie grise », constitué une polyphonique très libre du style brisé, en voix souvent virtuelle[2] et sans silences, chef-d'œuvre que certains ont vu destiné à l'orgue en raison de l'abondance des liaisons et la pédale de la coda. Il n'est pas écrit à quatre voix strictes, mais les noires tenues figurent cette voix supplémentaire[3]. Le thème réapparaît dans le ton, sur une pédale de dominante juste avant la coda[4].



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  tagline = ##f
}

Prallbeshp  = { \tag #'print { bes8.\prall } \tag #'midi { \times 2/3 { c32 bes c } bes8 }  }
Prallfhp    = { \tag #'print { f8.\prall } \tag #'midi { \times 2/3 { g32 f g } f8 }  }

upper = \relative c' {
    \clef treble 
    \key f \minor
    \time 4/4
    \tempo 4 = 52 % tempo de Keller
    \set Staff.midiInstrument = #"harpsichord" 

   %% PRÉLUDE CBT I-12, BWV 857, fa mineur
    << { f16 aes c f g, f' e g aes, c f e f4  | des4~ des16 des c bes aes8. bes16 \Prallbeshp aes32 bes c4 r16 des16 g, bes e,8. f16 \Prallfhp e32 f | g16 c bes des~ des des c bes a8. } \\ { f4 g aes f'16 c bes aes des aes g bes | e,4 f8 r8 s4 | c'16 aes e f des4 c8 r8 s4 g'4 e ees4*1/2 } >>
   
}

lower = \relative c' {
    \clef bass 
    \key f \minor
    \time 4/4
    \set Staff.midiInstrument = #"harpsichord" 

    << { aes4 bes c aes bes g f16 aes c f g, f' e g | aes,8 r8 s4 c,16 e g c des, c' bes des  e,8 g c4 f,,16 } \\ { f'1~ f2 f4 g | aes bes c, des | e c'8 c, f, } >>
} 


 thePianoStaff = \new PianoStaff <<
    \set PianoStaff.instrumentName = #"BWV 857"
    \new Staff = "upper" \upper
    \new Staff = "lower" \lower
  >>

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  \keepWithTag #'print \thePianoStaff
  \layout {
    \context {
      \Score
      \remove "Metronome_mark_engraver"
      \override SpacingSpanner.common-shortest-duration = #(ly:make-moment 1/2) 
    }
  }
}

\score {
  \keepWithTag #'midi \thePianoStaff
  \midi { }
}

Fugue[modifier | modifier le code]

Caractéristiques
4 voix — 4/4, 58 mes.
⋅ fugue pathétique
⋅ 10 entrées du sujet
réponse tonale
⋅ deux contre-sujets, 8 entrées
⋅ 3 divertissements

La fugue à quatre voix, notée 4/4, longue de 58 mesures, est l'une des plus fortement pensées du recueil[5] et inhabituellement longue[6].

Le sujet, est presque un thème de choral figuré[7], il comprend dix notes chromatiques en noires, sur une octave et trois mesures et accompli le chemin de la dominante à la tonique. Avec la réponse qui ajoute le fa-dièse et le mi-bémol, toutes les notes de la gamme chromatique sont entendues. C'est un sujet tout à fait inhabituel et seulement comparable avec celui de la 24e fugue[1].

L'ornementation de l'avant-dernière note n'est que conjecture interprétative, car aucun signe d'ornementation ou trille (comme dans la fugue en si mineur), n'est authentique et dans certains cas impossible à réaliser, bien qu'un trille court puisse souligner la présence du sujet dans une voix intermédiaire (par exemple mesure 36)[8].



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  tagline = ##f
}

\score {
  \new Staff \with {

  }
<<
  \relative c' {
    \clef bass
    \key f \minor
    \time 4/4

     %% SUJET fugue CBT I-12, BWV 857, fa mineur
     r4 c4 des c b e f bes, a aes g2
{ 
 % suppression des warnings :
 #(ly:set-option 'warning-as-error #f)
 #(ly:expect-warning (_ "stem does not fit in beam")) %% <= à traduire éventuellement
 #(ly:expect-warning (_ "beam was started here")) %% <= à traduire éventuellement
  \set stemRightBeamCount = #1
  f4*1/2[ s]
}

  }
>>
  \layout {
     \context { \Score \remove "Metronome_mark_engraver" 
     %\override SpacingSpanner.common-shortest-duration = #(ly:make-moment 1/2) 
}
  }
  \midi {} 
}


Presque directement, s'enchaîne les deux contre-sujets qui se combinent systématiquement au sujet dans un renversement régulier. Le premier (mesures 4) oppose au sujet ses quatre incises et parcourt une octave. Cette figure appelée « soupirs » apparaît ensuite presque à chaque mesure de l'œuvre. Le saut d'octave vers le grave n'est présent que dans l'exposition, mais n'est pas maintenu ensuite[9].



\version "2.18.2"
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  tagline = ##f
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  \new Staff \with {
    \remove "Time_signature_engraver"
  }
<<
  \relative c {
    \clef bass
    \key f \minor
    \time 4/4

     %% CONTRE-SUJET fugue CBT I-12, BWV 857, fa mineur
     \partial 2 \parenthesize r16 b16^\markup{\tiny "Contre-sujet 1"} c d ees4 r16 c16 d ees f4 r16   ees16 f g aes4 r16 g16 a b c4~ c8 b16 a b4\prall 
{ 
 % suppression des warnings :
 #(ly:set-option 'warning-as-error #f)
 #(ly:expect-warning (_ "stem does not fit in beam")) %% <= à traduire éventuellement
 #(ly:expect-warning (_ "beam was started here")) %% <= à traduire éventuellement
  \set stemRightBeamCount = #1
  c4*1/2[ s]
}

  }
>>
  \layout {
     \context { \Score \remove "Metronome_mark_engraver" 
     %\override SpacingSpanner.common-shortest-duration = #(ly:make-moment 1/2) 
}
  }
  \midi {} 
}


Le second, énoncé une première fois à la fin de la mesure 7, renforce le premier. Les trois motifs réunis forment un ensemble plein de dissonances et de sévérité[10]. Bien que la conception soit un contrepoint renversable, toutes les combinaisons possibles du sujet et de ses contre-sujets ne sont pas utilisées. Les ponts également sont librement permutables, les deux premiers (mesures 10–13 et 16–19) fournissent le matériel pour les autres (cinq), sauf l'exception des mesures 37 à 40, inspiré du matériau du premier contre-sujet[9].



\version "2.18.2"
\header {
  tagline = ##f
}

\score {
  \new Staff \with {
    \remove "Time_signature_engraver"
  }
<<
  \relative c' {
    \key f \minor
    \time 4/4

     %% CONTRE-SUJET 2 — fugue CBT I-12, BWV 857, fa mineur
     \partial 8
     ees8^\markup{\tiny "Contre-sujet 2"} d ees16 f g f e d c4 \clef bass g16\rest bes16 aes g f4 r16 f16 g aes bes4. aes16 g aes4

  }
>>
  \layout {
     \context { \Score \remove "Metronome_mark_engraver" 
     %\override SpacingSpanner.common-shortest-duration = #(ly:make-moment 1/2) 
}
  }
  \midi {} 
}


L'exposition présente le sujet successivement au ténor, alto, basse (avec les deux contre-sujets dorénavant sauf mesure 40) et après trois mesures d'une marche harmonique, au soprano à qui Bach, hardiment confie le sujet (mesure 13) et non la réponse attendue[10]. Les entrées suivantes se font deux à deux pas plus : au ténor, à trois voix (mesures 19), basse (mesure 27) ; à l'alto en la-bémol majeur (mesure 34), ténor sans les contre-sujets (mesure 40) ; au soprano en mi-bémol majeur, trois voix (mesure 47) et à la basse (mesure 53). Le contours des voix est confus sur les deux portées, en raison des nombreux croisements de voix des différents motifs[6].

Notons que la basse s'interrompt par deux fois sur de longues mesures (19–27 et 47–53) avant de réapparaître en tant que sujet. Vers la fin du second développement (mesures 27–46), le ténor entre seul, sans les deux contre-sujets (mesure 40).

Cette fugue présente une absence de division claire entre l'exposition et les épisodes. Elle se compose d'entrées individuelles du sujet jointes par des ponts de quelques mesures, mais peu développés et jamais articulés en tant que passages distincts[9].



\version "2.18.2"
\header {
  tagline = ##f
}

Prallbq      = { \tag #'print { b4\prall } \tag #'midi { \times 2/3 { c32 b c } b16~ b8 }  }

Dux          = { e4\rest c4-\markup{Dux} des c b e f bes, a aes g2~ }
Comes        = { r4^\markup{  Comes} f4 aes g fis b c f, e ees d2 }

ContreSujetA = { b16_\markup{\tiny "Contre-sujet 1"} c d ees4 r16 c16 d ees f4 r16   ees16 f g aes4 r16 g16 a b c4~ c8 b16 a \Prallbq }

% le même avec *changement de portée*
ContreSujetAa = { \stemUp \change Staff = "lower" b16_\markup{\tiny "Contre-sujet 1"} c d ees4 e16\rest c16 d ees f4  \stemDown \change Staff = "upper" r16 ees16 f g aes4 \stemUp r16 g16 a b c4^~ c8 b16 a \Prallbq }

ContreSujetB = { ees8_\markup{\tiny "Contre-sujet 2"} d ees16 f g f e d c4 g16\rest bes16 aes g  \stemUp \change Staff = "lower"  f4 r16 f16  \stemDown \change Staff = "upper" g aes bes4. aes16 g aes4 }

% le même avec *changement de portée*
ContreSujetBb = { ees8_\markup{\tiny "Contre-sujet 2"} d ees16 f g f e d c4 \stemUp \change Staff = "lower" c16\rest bes16 aes g  f4 d'16\rest f,16  g aes bes4. aes16 g aes4 }

upper = \relative c'' {
  \clef treble 
  \key f \minor
  \time 4/4
  \tempo 4 = 56
  \set Staff.midiInstrument = #"harpsichord" 

   %% FUGUE CBT I-12, BWV 857, fa mineur
   << { s1*12 \Dux g8 } \\ { R1*3 \stemUp \Comes c8 c16 d e8 d16 e \stemDown f \transpose b e \relative c' { \ContreSujetAa } f8 f16 g aes8 aes16 bes c4^~ c16 bes aes g | f4  } \\ { s1*6 s2 s8 \relative c' { f4 \ContreSujetB } b,4\rest b8\rest \stemDown c16 des ees4_~ | ees8 des16 ees f8 f16 g aes4~   \stemUp aes16 ges f ees | des4 s4 f2~ f8 e16 f \stemDown g4_~ g8 f4 \ContreSujetBb } >>

}

lower = \relative c' {
  \clef bass 
  \key f \minor
  \time 4/4
  \set Staff.midiInstrument = #"harpsichord" 
    
   << { \Dux f8 f16 g aes8 aes16 bes c \relative c { \ContreSujetA } \stemDown \change Staff = "upper" c8 \stemUp \change Staff = "lower" g c bes aes    s4 s1*3 s2.   | \stemDown \change Staff = "upper" aes16 bes c4_~ c8 bes16 c des8 des16 ees f,8\rest f16 g aes8 aes16 bes  c8 \stemUp \change Staff = "lower" g c bes aes16 r16 r8 r16 c,16 d ees f4 r8 g8 aes r8  \stemDown \change Staff = "upper"  c8\rest bes8 c4 c8\rest c8 des c16 bes c4_~ c4   } \\ { R1*6 \relative c { \Dux f4 r8 f'16 g aes8 aes16 bes c8 c, des4 r8 des16 ees f8 f16 g aes8 aes, bes4 r8 bes16 c des8 des16 ees f8 f, c' c16 d e8 d16 e f } \transpose b e \relative c { \ContreSujetA } f,4 } >>
    
} 


 thePianoStaff = \new PianoStaff <<
    \set PianoStaff.instrumentName = #"BWV 857"
    \new Staff = "upper" \upper
    \new Staff = "lower" \lower
  >>
\score {
  \keepWithTag #'print \thePianoStaff
  \layout {
    \context {
      \Score
      \remove "Metronome_mark_engraver"
      %\override SpacingSpanner.common-shortest-duration = #(ly:make-moment 1/2) 
    }
  }
}

\score {
  \keepWithTag #'midi \thePianoStaff
  \midi { }
}


Intercalées entre chaque retour du sujet, les ponts/divertissements en marches (mesures 22–25 ; 31–33 ; 50–52) apportent la détente dans un traitement parfaitement diatonique. C'est donc le support de l'opposition et du contraste, avec le sujet chromatique et tendu, formant « deux principes ». La forme de cette fugue évoque ainsi le rondo[10]. Pour ménager le registre où se présente le sujet, ces divertissements sont à trois voix, excepté le dernier (mesures 43–47). Mais dans ce divertissement le soprano use que de son registre le plus grave, ce qui donne l'impression d'une autre voix lors du retour du sujet[11].

Le motif rythmique en dactyles est emprunté au premier pont entre le sujet et le premier contre-sujet. Ce rythme, très utilisé dans les cantates, est appelé par Albert Schweitzer « le motif de la joie », mais il est ici plein de sérénité et empreint de la paix de l'âme[10].



\version "2.18.2"
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  tagline = ##f
}

\score {
  \new Staff \with {
    \remove "Time_signature_engraver"
  }
<<
  \relative c' {
    \key f \minor
    \time 4/4

     %% Divertissements — fugue CBT I-12, BWV 857, fa mineur
     << { f8 \[ f16 g aes8 aes16 bes c4~ \] c16 bes aes g | f4 r4 aes4~ aes16 ges f ees |des4 } \\ { r2 r8 c16 des ees4~ ees8 \[ des16 ees f8 f16 g r8 \] aes,16 bes c4~ c8 bes16 c } >>

  }
>>
  \layout {
     \context { \Score \remove "Metronome_mark_engraver" 
     \override SpacingSpanner.common-shortest-duration = #(ly:make-moment 1/2) 
}
  }
  \midi {} 
}

Relation[modifier | modifier le code]

Le prélude « laisse pressentir dans l'ombre » le sujet en notes très allongées (coda, mesures 16–20)[5].


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  tagline = ##f
}

\score {
  \new Staff \with {
    \remove "Time_signature_engraver"
  }
<<
  \relative c' {
    \clef bass
    \key f \minor
    \time 4/4
    \tempo 4 = 56

     %% PRÉLUDE CBT I-12, BWV 857, fa mineur — Coda
     << { s1*2 b2 e f4 bes,! aes2 g f } \\ { c2 des c1~ c~ c~ c } >>

  }
>>
  \layout {
     \context { \Score \remove "Metronome_mark_engraver" 
     %\override SpacingSpanner.common-shortest-duration = #(ly:make-moment 1/2) 
}
  }
  \midi {} 
}


Genèse[modifier | modifier le code]

La première version connue par une copie de Forkel du prélude, s'arrête à la mesure 15 de la version définitive et ajoute quatre mesures conclusives.



\version "2.18.2"
\header {
  tagline = ##f
}

\score {
  \new Staff \with {
    \remove "Time_signature_engraver"
  }
<<
  \relative c'' {
    \key f \minor
    \time 4/4
    \tempo 4 = 56

     %% PRÉLUDE CBT I-12, BWV 857, fa mineur — version Forkel
     << { bes16 des c8 aes8. g16 f4 e f1 } \\ { e8. f16~ f f e8 r16 des b c r16 bes des c < c aes >1 } >>

  }
>>
  \layout {
     \context { \Score \remove "Metronome_mark_engraver" 
     %\override SpacingSpanner.common-shortest-duration = #(ly:make-moment 1/2) 
}
  }
  \midi {} 
}


La seconde version quasi définitive du prélude, est dans le Clavierbüchlein de Wilhelm Friedemann Bach (no 24, onzième prélude).

Postérité[modifier | modifier le code]

Emmanuel Alois Förster (1748–1823) a réalisé un arrangement pour quatuor à cordes de la fugue, interprété notamment par le Quatuor Emerson[12].

Théodore Dubois en a réalisé une version pour piano à quatre mains[13], publiée en 1914.

Reinhard Huuck en a réalisé un arrangement pour quatuor de saxophone, enregistré pour la première fois par l'ensemble Ferio, pour le label Chandos (2018, CHAN 10999)[14], avec le prélude et fugue BWV 885.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Keller 1973, p. 91.
  2. Sacre 1998, p. 204–205.
  3. Keller 1973, p. 92.
  4. Tranchefort 1987, p. 29.
  5. a et b Keller 1973, p. 93.
  6. a et b Gray 1938, p. 48.
  7. Tranchefort 1987, p. 30.
  8. Schulenberg 2006, p. 225–226.
  9. a b et c Schulenberg 2006, p. 225.
  10. a b c et d Keller 1973, p. 94.
  11. Keller 1973, p. 95.
  12. (OCLC 920354122)
  13. [lire en ligne]
  14. (OCLC 1107137416)

Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]