Place Saint-André (Grenoble)

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Place Saint-André
Image illustrative de l’article Place Saint-André (Grenoble)
Place Saint-André Grenoble en 2006
Situation
Coordonnées 45° 11′ 34″ nord, 5° 43′ 41″ est
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Ville Grenoble
Quartier(s) Notre-Dame (Grenoble)
Morphologie
Type place piétonne
Géolocalisation sur la carte : Grenoble
(Voir situation sur carte : Grenoble)
Place Saint-André
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Place Saint-André
Géolocalisation sur la carte : Isère
(Voir situation sur carte : Isère)
Place Saint-André

La place Saint-André est une place publique de la commune française de Grenoble, dans le département français de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Caractéristiques[modifier | modifier le code]

Au milieu de la place se trouve la statue du chevalier Bayard.

Situation et accès[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

En partant du nord, et dans le sens des aiguilles d'une montre, la place donne accès aux voies suivantes, selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[1]. :

Accès[modifier | modifier le code]

La place, positionnée dans la zone piétonne de la ville, non loin des quais de l'Isère, est accessible aux passants depuis n'importe quel point de la ville.

La place est desservie par les ligne A et ligne B du réseau de tramway de l'agglomération grenobloise. La station la plus proche se dénomme Hubert Dubedout - Maison du Tourisme.

Origine du nom[modifier | modifier le code]

La place tire son nom tire de l’église et de la collégiale Saint-André que le Dauphin Guigues VI de Viennois fit construire, au début du XIIIe siècle[2].

Historique[modifier | modifier le code]

Moyen Âge et Renaissance[modifier | modifier le code]

La collégiale Saint-André est fondée au XIIIe siècle

En 1453, le roi Louis XI transforme le Conseil delphinal en cour souveraine de justice appelée Parlement du Dauphiné, troisième Parlement établi en France, après ceux de Paris et Toulouse[3].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Lors de la Révolution française, le Parlement du Dauphiné est dissous et devient un palais de justice. la justice y sera rendue jusqu'en 2002.

Durant la Seconde Guerre mondiale, le café de la Table Ronde est devenu un lieu de rencontres des résistants. Le journaliste Jean Pain connu pour ses opinions anti-allemandes y est arrêté le durant de la Saint-Barthélemy grenobloise et fut exécuté par les forces d'occupation le lendemain.

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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