Laboratoire de mécanique de Lille

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est une version archivée de cette page, en date du 6 janvier 2022 à 18:24 et modifiée en dernier par Dom (discuter | contributions). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.
LML
Histoire
Fondation
1985
Dissolution
Scission dans
LaMcube, LMFL et UML
Cadre
Code
UMR CNRS 8107
Type
Domaine d'activité
Siège
Pays
Coordonnées
Organisation
Chercheurs
69
Doctorants
92
Organisations mères
Affiliation
Site web
Carte

Le Laboratoire de mécanique de Lille regroupait les équipes de recherche en mécanique et génie civil du centre de Lille d'Arts et Métiers ParisTech, de l'École centrale de Lille et de l'Université de Lille. Il a été créé en 1985[1]. Le laboratoire regroupait plus de 200 personnes.

Cette unité de recherche a disparu fin 2017 et a donné naissance à trois nouveaux laboratoires :

Héritage

L'enseignement supérieur en mécanique et en génie civil constitue une tradition plus que centenaire à Lille. L'université conserve des cours de professeurs de mécanique des milieux continus (fluides, turbulence, mécanique des sols), tels que Joseph Boussinesq et Alfred-Aimé Flamant, remontant aux années 1870, soit une vingtaine d'années après la création de la faculté des sciences de Lille. L'enseignement pour ingénieurs et la recherche se sont étendus avec l'expansion de l'Institut industriel du Nord fin du XIXe siècle, puis la constitution du centre lillois des Arts et métiers au début du XXe siècle.

Axes de recherches et d'enseignement

Associé à l'École doctorale des sciences pour l'ingénieur (ED-SPI 72), le laboratoire de mécanique de Lille est le plus gros laboratoire de recherche technologique de la région lilloise avec plus de deux cents chercheurs[2] dans trois domaines non corrélés[3] :

Installations et équipements

Le laboratoire dispose d'équipements lourds pour mener à bien ses recherches dans chacun de ses domaines. Une soufflerie de 20 m permet l'étude des couches limites des écoulements[4]. Pour les essais mécaniques, une machine de sollicitation multi-axiale, d'une capacité de 10 tonnes par axe, et d'une micro-machine d'essais de fatigue[5]. Les simulations numériques sont réalisées grâce à un cluster de calcul de 288 cœurs.

Livres

Comptes rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des sciences

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Références