Fabienne Audéoud

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Fabienne Audéoud
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Fabienne Audéoud, née en 1968 à Besançon est une artiste plasticienne et musicienne française.

Biographie[modifier | modifier le code]

En 1991, Fabienne Audéoud est inscrite à l’École supérieure de commerce de Paris. En 1993 et 1994, elle étudie la composition auprès de Simon Bainbridge à la Guildhall School of Music and Drama à Londres. Puis de 1996 à 1998, elle étudie les arts plastiques à la Goldsmiths University à Londres. Elle travaille sur des performances vocales a cappella et collabore avec des musiciens d'improvisation[1].

Elle vit une dizaine d'années à Londres[2]. Depuis 2000, Fabienne Audéoud collabore avec l'artiste anglais John Russell[3], membre fondateur du groupe BANK. Elle présente notamment en 2019, dans une exposition collective à la Villa d'Arson à Nice intitulée Tainted Love Club Edit, une série de posters réalisés avec lui[4].

Elle développe une pratique artistique pluridisciplinaire intégrant la musique, la peinture, la performance, l’écriture, la vidéo et la danse[5].

En 2012, elle participe au Salon de Montrouge[6].

Albums[modifier | modifier le code]

  • Read my lips, Believe / Colonial Groove, 2009
  • Sont-ils?, musique du documentaire, Believe / Colonial Groove, 2011
  • Playing the Piano, 5 CDs, Believe / Colonial Groove, 2011
  • F.CK me, Believe / Colonial Groove, 2011
  • Les suffragettes, bande originale du film, Believe / Colonial Groove, 2012
  • Praying for north korea in cork, Believe, 2014

Expositions[modifier | modifier le code]

  • Pourquoi les femmes aiment-elles l’enfer ?, hétérospective avec John Russell, Le Confort Moderne, Poitiers, 2005[7]
  • Vous qui entrez ici, abandonnez tout espoir, avec Renaud Bézy, La Générale, Sèvres, 2009
  • Oysters and Goats, Komplot, Bruxelles, 2011
  • Black Mariah, Cork, 2014
  • No To Crucifixions, Karst, Plymouth, 2014
  • Le Bien, La Salle de bains, Lyon, 2016[8]
  • Musée Sainte-Croix, Poitiers, 2017[9]
  • Le magasin de pulls. Un opéra de genre, Komplot, Bruxelles, 4 rue Pierre Semard, Sète, Arto-o-Rama, Marseille, 2021

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. (en-GB) « Fabienne Audeoud », sur New Contemporaries, (consulté le )
  2. « Visages de la scène artistique française au Palais de Tokyo », sur Beaux Arts, (consulté le )
  3. Anaïd Demir, « Mouvement perpétuel », sur Le Journal Des Arts, Le Journal des arts, (consulté le )
  4. « L'art d’interpréter le risque de Fabienne Audeoud », sur France Culture, (consulté le )
  5. « La belle revue - «Fabienne Audéoud : Le Bien» », sur labellerevue.org, (consulté le )
  6. Pedro Morais, « Fabienne Audéoud : L’Enfer, c’est moi », sur Le Quotidien de l'Art, (consulté le )
  7. Anaïd Demir, « Mouvement perpétuel », sur Le Journal des Arts, (consulté le )
  8. « La belle revue - Entretien avec Fabienne Audéoud », sur labellerevue.org (consulté le )
  9. « François Édouard Zier / Fabienne Audéoud », sur Agrégation, (consulté le )

Liens externes[modifier | modifier le code]