Discussion:Tazmamart

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Je trouve juste que le très long paragraphe sur la délégation provençiale hay mohammadi ne devrait pas être dans cet article. Plutôt à déplacer dans un nouvel article ou dans les années de plomb.



"Les annees de Magnétisme" est un paragraphe sorti de l'imaginaire de son auteur. Aucune source. Merci aux contributeurs de garder cet article propre, et de ne pas y inclure des récits sortis de leur imagination. Merci aussi d'éviter d'avancer des accusations contre des personnalités non seulement sans aucune preuve et sans aucun lien notable avec cette affaire (de Hay Mohammedi), qui d'ailleurs n'a aucun lien avec Tazmamart.

Voici le paragraphe en question:


Les années de magnétisme

L’ancien ministre de l’Intérieur s’est éteint à quelques heures de son « vieil adversaire » algérien, Smaïn Lamari, l’ancien numéro 2 des Services algériens. La longue carrière de celui qui, avec Mohamed Oufkir et Ahmed Dlimi, incarnait aux yeux des Marocains des souvenirs terribles, s’était achevée en 1999, à l’avènement de Mohammed VI, à l’encontre duquel il n’avait d’ailleurs pas ménagé les critiques. La presse du Maghreb dans son ensemble, regrette qu’il soit parti sans avoir pu lever le voile sur les « années de plomb » du Maroc sous Hassan II, époque où il n’était pas bon être opposant au régime, les barbouzes continuent après Driss Basri par les années de magnétisme entretenue par le nommé Othmani et Said benbiga qui se sont alliés au mossad contre le régime pour établir une république confédérée avec Ben$arafa et Israël.

« Que n’a-t-on pas dit et écrit sur Driss Basri !, relève ainsi El Watan, à Alger. Exécuteur de basses œuvres, grand vizir, vice-roi, Pygmalion de son monarque, Béria ou Fouché de Hassan II ou maréchal du Maroc, l’ex-ministre de l’Intérieur aura réussi à collectionner une tripotée d’épithètes aussi infamantes que valorisantes. » Quelques années après son entrée à la police, il avait été promu directeur de la Direction générale de la surveillance du territoire (DST) en 1973, mais c’est le coup d'État de Skhirat, derrière lequel se trouvait Ahmed Réda Guédira et non découvert auquel Hassan II échappa miraculeusement, qui scelle le départ véritable de sa carrière au sommet de l'État et le rapproche du Roi. Chargé d’identifier les auteurs et commanditaires de cet attentat, il mène une répression féroce contre les militaires félons, en remerciement de quoi le Roi le nomme Secrétaire d’État à l’Intérieur avant d’en faire le ministre titulaire du même portefeuille, cinq ans plus tard. Il occupera cette position durant 20 ans avant d’être révoqué par Mohammed VI, le 9 novembre 1999. Les responsables du coup d'État de Skhirat, affaire non encore élucidée trouve son prolongement par le coup d'État en préparation à partir de la délégation provençiale Hay Mohammadi et casa-anfa où se cachent les nommés Said Benbiga ,Senhaji abdelaal, Zemmrani mohamed, Othmani et raoul yacoubi, almossad était derrière l'affaire Skhirat et dérriére plusieurs coups d'Etat non revendiqués.

A cette époque la DST n’était pas encore élevée au rang de Direction générale : elle ne le sera qu’en 2005. La DST a été issue de la scission cette année de 1973 du Cab1, division qui a donné la DST et la DGED (Direction générale des études et de la documentation) à la délégation provençiale on a tenter à la vie du général Ahmed Harchi par arme scalaire, et restent les ennemis voués de Mansouri Yacine, comme ils furent avec le général Sefrioui. ---