Discussion:François Pérol

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Réorganisation[modifier le code]

Pour plus de clarté, réorganisation de la partie carrière en ordre chronologique. Certains aspects de sa bio était perdue dans la rubrique controverse et ont été réintégrées dans le corps de sa bio. Il y avait aussi la question de la date de la présidence de BPCE qui n'était pas claire. En effet, elle datait d'avant la création du groupe lui-même. A mon sens, on peut supprimer le "bandeau pertinence", à voir.

--LeoTheLion (discuter) 12 août 2014 à 18:56 (CEST)[répondre]


Polémique[modifier le code]

Les titres "Polémiques" sont à proscrire de WP, car vides de sens, mettant en exergue un point d'une bio qui n'est pas obligatoirement plus importante que le reste, et sont le lit les sources factuelles de presse. On ne fait pas une revue de presse, ni une compil de citation. Ici, on se fout de savoir que Hamon crie quand Charasse applaudit, que Lefebvre s'offusque quand Bayrou dénonce. Ce qui importe et qu'il soit nommé, que l'opposition souligne le risque de pantouflage. Ce qui se résume en 1 ou 2 paragraphes. Et le reste de sa bio est à étoffer en revanche, car c'est pas un perdreau de l'année, et ca fait longtemps qu'il a un poids non négligeable dans l'économie et la politique francaise. Là on vers dans le myopie journalistique non encyclopédique. HaguardDuNord (d) 28 février 2009 à 21:16 (CET)[répondre]

J'ai donc réduit la partie sur la polémique. A regret, car la rédaction était plutot de bonne qualité, mais comme je le disais, cela devenait trop précis, trop descriptif, trop journalistique (sans péjoration). 3 paragraphe pour un événement qui aura duré 1 semaine peu encore paraître beaucoup, mais je ne pense pas qu'on puisse faire moins tant qu'on a pas plus de recul en terme de sources. J'ai également complété l'avant polémique, car son influence n'est pas nouvelle. Cordialement. HaguardDuNord (d) 1 mars 2009 à 18:22 (CET)[répondre]

Censure politique sur Wikipédia ?[modifier le code]

HaguardDuNor, vous semblez ne pas vouloir d'info référencées sur les questions juridiques posés par ce pantouflage. La suppression ne semble pas très conforme aux règles de wikipédia (que je ne connais pas très bien). Supprimer les textes sources, dont ceux des membres des commissions de déontologie ? Je ne comprends pas. Vraiment.

Pourtant, c'est bien une question importante selon divers juristes (pas pour tous). Les opinions sont partagées, mais pourquoi ne pas indiquer ces problèmes ? Vive la page blanche ?

Par ailleurs, la polémique politique doit pouvoir aussi être expliquée (et la bourde du président). Avec les options diverses. Et les propos précis.

Pour l'instant, cela donne l'impression que c'est pour des raisons partisanes que vous supprimez les infos. Mais je me trompe peut-être. Pour moi, le principal intérêt dans l'affaire Pérol est cette question. Même le medef a souhaité je crois que la commission de déontologie se prononce (à vérifier). Sinon, cela ne fait qu'un énarque de plus directeur d'une grande banque, et cela, ce n'est guère original. Jean - 1 mars 2009 à 22:04

Monsieur, apprenez les règles de Wikipédia avant de les invoquer et de crier à la censure. Rassurez-vous, on m'a accusé d'être partisan autant sur les pages liées au PS que sur celles liées à l'UMP. J'ai longuement expliqué ci-dessus la raison mais je peux reprendre. Wikipédia est une encyclopédie (ou cherche à l'être), pas un site d'information. Pour le moment, ce qui est certain, c'est que la nomination fait polémique, il faut donc la traiter. En revanche, l'illégalité ou les problèmes déontologiques ne sont pas avérées. S'il y a une action en justice d'actionnaire, si la commission est finalement sollicité, on verra ce qui est dit, mais en attendant, on n'a pas ici à faire une revue de presse de l'avis de chacun. Si vous ne comprenez pas qu'un paragraphe sur une polémique d'une semaine, qui pour l'instant n'a aucun impact sur la politique ou l'économie française (la nomination s'est faite malgré tout, pas de démission prévue malgré le bruit médiatique...) n'a pas à être plus long que le reste de ses 20 ans de carrière, je ne sais pas comment l'expliquer. Simplement qu'il faut nous extraire du prisme de l'actualité pour ne garder que ce qui est certain et durable (qui n'apparaitra pas anecdotique dans 10 ou 15 ans). Cordialement. HaguardDuNord (d) 1 mars 2009 à 23:59 (CET)[répondre]


Problèmes juridiques posés par sa nomination (texte supprimé par HaguardDuNor le 1er mars)[modifier le code]

Sa nomination comme président des deux groupes suscite des interrogations sur la légalité de celle-ci, sachant qu'il a été notamment en charge à l'Élysée du processus de fusion entamé entre les Caisses d'Épargne et des Banques Populaires[1]. Selon le Nouvel Observateur, c'est de plus dans son « bureau de l'Elysée que le sort de ces deux banques privées et mutualistes, où le pouvoir est censé appartenir aux sociétaires, aura été scellé. « Pérol y a organisé une bonne dizaine de réunions », imposant aux banquiers participants d'annoncer leur mariage pour le 26 février, date de publication des résultats. »[2] Le Figaro a pu même parler d'« ultimatum de l'Élysée aux Caisses d'épargne et aux Banques populaires »[3].

Suite à un début de polémique suivant l'annonce de la nomination de François Pérol, Nicolas Sarkozy déclare le 24 février, à l'issue du 27e sommet franco-italien, à Rome : « La commission de déontologie a eu l'occasion de donner son point de vue [sur la nomination de François Pérol], ce point de vue a été communiqué aux deux banques et il sera rendu public. [...] Vous verrez en l'occurrence la différence entre une polémique et un problème, et de problème il n'y en a pas. »[4] Cependant le président de la République s'est prévalu à tort et semble-t-il par erreur, de l'avis de la commission de déontologie de la fonction publique, alors que celle-ci ne s'était pas réunie, ce qui a amplifié par la suite les mises en cause et les réactions.

Si Olivier Fouquet, président de la commission de déontologie de la fonction publique, consulté par Claude Guéant, secrétaire général de la présidence de la République, s'était déclaré, à titre personnel, non opposé à la nomination de François Pérol [5], la commission de déontologie n'avait en réalité pas rendu d'avis ni même n'avait été officiellement saisie.

Selon Olivier Fouquet, si M. Pérol « a exercé les fonctions qui lui étaient confiées dans les conditions habituelles d’exercice de leurs fonctions par les membres des cabinets ministériels », alors sa nomination est légale et la saisine de la commission n'est pas « obligatoire »[6]. Dans un courriel aux membres de la commission, il a précisé : « Je n'ai pas préjugé du cas personnel de M. Pérol que je ne connaissais pas. »[7] Selon Le Point[8], il a en revanche démenti les propos que lui avait prêtés le journal Le Monde[9], qui écrivait sur la saisine de la commission  : « Si l'Etat ne ne le fait pas, c'est "à ses risques et périls", signale M. Fouquet. Si la saisine de la Commission n'était pas réclamée alors qu'elle le devrait, l'intéressé risque deux ans d'emprisonnement et 30 000 euros d'amendes. "C'est un délit pénal", rappelle M. Fouquet. » Dans Le Monde daté du 28 février 2009, il ajoute que la commission peut encore être saisie : « ... il n'est pas trop tard, insiste-t-il, nous sommes prêts à recevoir sa demande aujourd'hui, demain, dans quinze jours... »[10]

Michel Bernard, ancien président de la commission de déontologie, a pour sa part une position plus réservée encore. Il indique dans un entretien au journal La Croix du 26 février 2009 : « Dans [le cas] de M. Pérol, qui serait nommé à la tête de la Caisse d’épargne-Banque populaire, la question est de savoir s’il a été chargé de surveiller ou de contrôler ces deux banques, ou leur filiale commune, Natixis. S’il apparaissait que oui, en principe, il ne pourrait pas aller travailler dans ces entreprises. » Il ajoute, un peu plus loin : « Je ne connais pas le dossier, ni les faits. La presse dit, et il n’y a aucune raison d’en douter, que François Pérol recevait toutes les semaines dans son bureau les dirigeants des Caisses d’épargne et des Banques populaires, et qu’il suivait le dossier. Si tout cela est vrai, il semblerait qu’il a effectivement été chargé de surveiller ou de contrôler ces deux banques... »[11].

Le sénateur centriste Jean Arthuis, président de la Commission des Finances du Sénat, avait estimé dans un entretien publié lundi 23 février par Aujourd’hui en France/Le Parisien que « l’éventuelle nomination » de François Pérol serait « choquante ». « Je ne crois pas que François Pérol puisse être nommé à la tête de cette nouvelle entité. Tout simplement parce que les règles déontologiques ne l’autorisent pas ». Elles « proscrivent aux responsables d’une administration qui ont eu à connaître très directement d’un dossier d’être nommés à la tête de l’entreprise au coeur de ce dossier »[12].

Benoît Hamon, porte-parole du parti socialiste, a pour sa part déclaré que « le choix du numéro deux de l'Elysée, c'est-à-dire un ami personnel de Nicolas Sarkozy, à la tête du deuxième groupe bancaire [...] participe d'une stratégie d'influence du président de la République dans les milieux économiques »[13]. Michel Sapin, secrétaire national du PS à l'économie, ancien ministre de l'Economie et des Finances (1992-1993), qui fut à l’origine de la loi de 1993 créant la commission de déontologie, juge que cette nomination est « parfaitement scandaleuse par rapport à l’esprit et à la lettre du droit, qui a été appliqué avec beaucoup plus de rigueur à des gens qui étaient moins impliqués »[14].

Interrogé par le journal Le Monde du 26 février, François Bayrou, le président du MoDem, a, quant à lui, confirmé ses propos précédents : « Il y a donc violation de la loi. Non seulement je l'affirme, mais je le maintiens, et le souligne. M. Pérol ne représente d'ailleurs pas l'Etat, puisqu'il a été désigné intuitu personæ »[15]. Le lendemain, dans l'émission "Parlons Net" de France Info, François Bayrou réaffirme l'illégalité de cette nomination[16] en citant l'article 432-13 du Code Pénal[17].

En revanche, selon François Pérol, la sollicitation de l’avis de la commission de déontologie de la fonction publique était facultative et sa nomination est tout à fait régulière. Il indique, dans un entretien au Journal du Dimanche du 1er mars, avoir consulté à ce sujet un avocat ainsi que le secrétariat général du gouvernement. Enfin, la commission de déontologie, qu'il a demandé à pouvoir saisir, ne pouvait se réunir avant le 11 mars.

Sujets vides[modifier le code]

Je viens de faire une passe sur le texte pour améliorer la mise en forme. Il y a deux éléments anecdotiques pour lesquels j'ai des doutes quant à leur utilité dans cet article. Les voici ci-dessous:

  • Il a participé à la 56e édition du Groupe Bilderberg qui s’est déroulée du 5 au 8 juin 2008 dans un hôtel de luxe à Chantilly, dans l’État de Virginie[2].
  1. Gérard Davet, « François Pérol, aux manettes », Le Monde, 14 novembre 2008
  2. [3] Secrets bien gardés à Bilderberg par Eric Chol, dans l'express du 19/06/2008

--Adamsandle (d) 16 août 2012 à 17:42 (CEST)[répondre]

Dans la partie sur la nomination à la BPCE, toute la partie suivante contient de sliens brisés:

La commission a alors « envisagé une démission collective »[1], mais seuls les deux membres représentants la Cour des comptes rendent leur mandat[2].

En l'état, je retire l'information invérifiée, en attente de meilleures sources.

Ensuite, il est évoqué des plaintes contre Mediapart et l'ouverture d'une information judiciaire, procédures qui semblent ne pas avoir eu de suites pour l'instant:

De nombreuses plaintes ont été déposées contre Mediapart, journal qui a révélé quelques faits sur le sujet, mais ont toutes été abandonnées avant le procès[1]. Le , la Cour de cassation, sur requête des syndicats CGT et Sud de la banque, ordonne l'ouverture d'une information judiciaire pour prise illégale d'intérêts à l'encontre de François Pérol[1].

  1. a et b Laurent Mauduit, Pérol: la Cour de cassation ordonne l'ouverture d'une information judiciaire, Mediapart, 25 juin 2012.

Les plaintes ont manifestement été abandonnées (je ne suis pas abonnés à Mediapart, je n'ai pas pu vérifier l'exactitude des informations), et l'information judiciaire ne semble pas s'être concrétisée pour le moment, je retire l'information jusqu'à ce que cette procédure gagne en substance.

--Adamsandle (d) 25 août 2012 à 10:00 (CEST)[répondre]

J'ai réintroduit un paragraphe qui donne des détails sur les derniers développements de l'affaire. DocteurCosmos (d) 20 novembre 2012 à 09:47 (CET)[répondre]

traitement proportionné de la la prise illégale d’intérêt[modifier le code]

cela reste la principale sourde d'information et de débat sur lui, et elle est noyée dans sa bio... je ne sais pas s'il s'agit d'une manip volontaire d'une agence de gestion de l'image, mais je tente de lui donner un traitement proportionné (en parler en intro, mettre ce débat dans une section spécifique) --Ofol (moi . ) 7 janvier 2014 à 08:29 (CET)[répondre]

Totalement contre. C'est un développement disproportionné : l'intro ne parle que de ça, pas des ses fonctions. "Particulièrement connu" : par qui ? Par les lecteurs des Unes de la presse quotidienne ? Certes, mais je ne crois pas qu'une encyclopédie soit une simple restitution de la présence médiatique. Il est notable pour ses postes, il est notable pour ses actions, il est notable pour ce pantouflage, il est notable pour sa citation dans l'affaire Tapie. Pas beaucoup plus l'un que l'autre. On a maintenant une section entière, sur cette affaire qui a disparu peu ou prou des médias, plus grosse que son action à l’Élysée et à la BPCE réunie. A-t-il eu des articles sur lui avait la polémique : oui. En a-t-il eu après : oui. Les articles sur lui "après" parlent ils à chaque fois de cette affaire ? Non. Donc faire une section spécifique est un POV (même le titre "débat" est mauvais àmha). Ce qui ne semble pas être le cas : on parle a priori plus souvent de son parachutage que du soupçon de prise illégale d’intérêt. HaguardDuNord (discuter) 7 janvier 2014 à 12:07 (CET)[répondre]
Je plussoie très fortement HaguardDuNord et Fredehos, en particulier sur la question de la neutralité de point de vue. SM ** ようこそ ** 20 janvier 2014 à 14:22 (CET) + précision le 20 janvier 2014 à 14:24 (CET)[répondre]
il suffit de lire les nombreuses sources dispo : quelles que soit votre POV là-dessus, on a une situation parfaitement couverte par la presse et bien documentée. La NPOV c'est la représentations proportionnée des sources et on a des sources abondantes et crédibles, par exemple celle que je vient d'ajouter et que vous avez reverté sans prendre le temps de la lire --Ofol (moi . ) 20 janvier 2014 à 14:31 (CET)[répondre]
Justement : cela n'a rien de proportionné, surtout en introduction. De toute façon, comme le souligne HaguardDuNord, la pertinence encyclopédique reste encore à démontrer par des sources de qualité démontrant un impact durable. SM ** ようこそ ** 20 janvier 2014 à 14:42 (CET)[répondre]
rien de proportionné ? Soyons honnête, fait une recherche en biblio ou sur le net : si on parle de FP dans la presse, voire dans les attendus de diverses instances, dont la Commission de déontologie de la fonction publique, c'est pour sa carrière HEC-ENA, pour sa naissance au Creusot ? Si oui, l'intro existante est appropriée, si non (et merci de prouver le contraire), l'intro existante ne donne pas un image sincère des raisons pour lesquelles il est devenu un cas d'école du débat sur les conflits d’intérêts. Une intro doit résumer l'article pas noyer le poisson par un gentil "Malgré des soupçons de conflits d'intérêt à l'annonce de sa nomination". Un traitement proportionné, c'est tout ce que la NPOV exige --Ofol (moi . ) 20 janvier 2014 à 22:54 (CET)[répondre]
On ne prouve pas ce qui n'est pas, c'est sophistique comme raisonnement. C'est à vous de produire des sources au minimum secondaire, analytiques et centrées, prouvant que cet événement est le plus important de sa carrière, justifiant qu'il prenne 80% de l'introduction. En l'état, c'est totalement disproportionné, donc non-conforme à la NPOV. En plus d'être non-pertinent en soi. SM ** ようこそ ** 20 janvier 2014 à 22:57 (CET)[répondre]
Que la Commission de déontologie traite de Pérol par le seul aspect sur lequel on n'a interrogé, c'est assez logique, non ? Mais qu'est ce que ça justifie ? La question n'est pas (seulement) le bruit médiatique à un instant T, puisque l'article n'est pas consacré à la seule nomination à la tête de BPCE, mais ce qu'il reste à l'aulne de la carrière de Pérol, ce qu'il reste de cela dans les portraits d'aujourd'hui. Or, ça n'a pas disparu, mais ce n'est pas l'essentiel de ce qui reste. Si cette affaire est "un cas d'école" sur le débat des conflits d'intérêt, pourquoi pas, mais ça me semble difficile à sourcer avec des articles sans recul, et l'article des Echos n'en parle pas dans son résumé des épisodes précédents. Et judiciairement, rien n'est tranché. HaguardDuNord (discuter) 21 janvier 2014 à 00:05 (CET)[répondre]