Delly-Mô
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Delly-Mô
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Delly-Mô est une chanteuse et artiste de café-concert de la Belle Époque, puis chanteuse d'opérettes.
Biographie
Elle débute en concert à La Pépinière en 1891[2]. Elle chante à La Fourmi en 1895[3], aux Ambassadeurs en 1896[4] et à la Scala[5],[6].
Dans les années 1920, elle passe du café-concert à l'opérette. Elle fait partie de la troupe du théâtre Graslin à Nantes pour la saison 1927/28[7]. En 1929, elle est engagée au Trianon-Lyrique[8].
Théâtre, revues
- 1892 : Le Marchand de Lapins, vaudeville, à La Pépinière[9].
- 1893 : La Maison hantée, vaudeville de Millot, à La Pépinière[10].
- 1893 : Ah ! la pé …, la pé …, la Pépinière, revue d'Albert Pajol et Adolphe Couturet, à La Pépinière[11],[12].
- 1895 : Paris Fin de sexe, revue de P.L. Flers, à la Scala[5],[13].
- 1896 : Ohé l'Amour !, revue de Léon Xanrof et Albert Cellarius, à la Scala[14],[15],[16],[17].
- 1896 : À nous les femmes !, revue de P.L. Flers, à la Scala[18],[19],[20].
- 1898 : Ko-Ko-Ri-Ko, revue de P.L. Flers, à la Scala.
- 1898 : Psst ! Psst !, revue de Jules Oudot et Henri de Gorsse, à la Scala[21],[22].
- 1903 : Je vais le dire à ta mère, revue de Charles Mougel et Guy de Terramond, à La Pépinière[23],[24].
- 1921 : Ollé ! Ollé !, revue de Charles Cluny, au Casino-Montparnasse[25].
Opérettes
- 1922 : Les Surprises d'une nuit d'amour, d'Eugène Joullot, musique de Gustave Goublier, au théâtre Moncey : Frédégonde[26].
- 1923 : Les Trois Don Juan ou La Maison des voluptés, livret de Claude Roland et Georges Léglise, musique d'Henri Bresles, au Moulin Bleu : Faustine[27],[28].
- 1927 : Miss Helyett, au théâtre Graslin[29].
- 1927 : Fortunio, au théâtre Graslin[30].
- 1927 : Un beau garçon, au théâtre Graslin[30].
- 1927 : Amour Tzigane, de Franz Lehar, au théâtre Graslin[31].
- 1928 : Le Voyage en Chine, au théâtre Graslin[32].
- 1928 : La Fille de Madame Angot, au théâtre Graslin[33].
- 1929 : Rêve de Valse, opérette de Léon Xanrof et Jules Chancel, musique d'Oscar Strauss, au Trianon-Lyrique : Frédérique[34].
- 1929 : Le Voyage en Chine, d'Eugène Labiche et Delacour, musique de François Bazin, reprise au Trianon-Lyrique : Mme Pompéry[35].
- 1929 : Lakmé, reprise au Trianon-Lyrique : Mrs Benson[36].
- 1929 : Rigoletto, reprise au Trianon-Lyrique : Johanna.
- 1929 : Les Mousquetaires au couvent, reprise au Trianon-Lyrique.
- 1930 : La Fille du tambour-major, opéra-comique de Jacques Offenbach, reprise au Trianon-Lyrique.
- 1930 : Les Saltimbanques, opérette de Maurice Ordonneau et Louis Ganne, reprise au Trianon-Lyrique.
Répertoire
- Le Vieux Lettré.
- Je cherche un petit jeune homme.
- Youk ! hé Youk !, paroles de Héros, Cellarius, musique de Del, Fragson.
- Printemps-maboul.
- Chic nouveau-siècle.
- La Danse du gâteau.
- La marche des hommes (1904)[37].
- Vous en aurez, paroles de Jean Daris ; musique de François Perpignan et J. Daris (1907)[38].
- Tout en rose.
- C'est un locataire.
- Mélina.
- Voila pourquoi.
- Les yeux des hommes.
- La Tizi-Ouzou.
- Totor.
- C'était une Espagnole ![39].
Iconographie
Ses photos sont publiées dans le catalogue, La référence des portraits contemporains, publié par la Librairie Nilsson, en 1897[40] et 1899[1].
Notes et références
Notes
Références
- La référence des portraits contemporains, Paris, Librairie Nilsson, (lire en ligne).
- « La Jeune garde », sur Gallica, (consulté le )
- « Le XIXe siècle », sur Gallica, (consulté le )
- « L'Europe artiste », sur Gallica, (consulté le )
- « Le Guide du café-concert », sur Gallica, (consulté le )
- « Le XIXe siècle », sur Gallica, (consulté le )
- « Comoedia », sur Gallica, (consulté le )
- « Le Figaro », sur Gallica, (consulté le )
- « La Jeune garde », sur Gallica, (consulté le )
- « Le Mirliton », sur Gallica, (consulté le )
- « Gil Blas », sur Gallica, (consulté le )
- « Le Mirliton », sur Gallica, (consulté le )
- « Gil Blas », sur Gallica, (consulté le )
- « Le XIXe siècle », sur Gallica, (consulté le )
- « Le Monde artiste », sur Gallica, (consulté le )
- « Gil Blas », sur Gallica, (consulté le )
- « L'Art lyrique et le music-hall », sur Gallica, (consulté le )
- « Le Figaro », sur Gallica, (consulté le )
- « Le Journal », sur Gallica, (consulté le ).
- « Le XIXe siècle », sur Gallica, (consulté le )
- « Gil Blas », sur Gallica, (consulté le )
- « Le Journal », sur Gallica, (consulté le ).
- « Le Matin », sur Gallica, (consulté le )
- « Cosmopolis », sur Gallica, (consulté le )
- « La Rampe », sur Gallica, (consulté le )
- « Comoedia », sur Gallica, (consulté le )
- « "Les Trois Don Juan" », sur ECMF (1918-1944) (consulté le )
- « Le Matin », sur Gallica, (consulté le )
- « Comoedia », sur Gallica, (consulté le )
- « Comoedia », sur Gallica, (consulté le )
- « Comoedia », sur Gallica, (consulté le )
- « Comoedia », sur Gallica, (consulté le )
- « Comoedia », sur Gallica, (consulté le )
- « Le Figaro », sur Gallica, (consulté le )
- « Larousse mensuel illustré », sur Gallica, (consulté le )
- « Lyrica », sur Gallica, (consulté le )
- « La marche des hommes », partition, (lire en ligne, consulté le )
- « Vous en aurez : chansonnette créée par Lucy Nanon et Delly-Mo », partition, (lire en ligne, consulté le )
- Georges Villard et Plébus, C'était une Espagnole ! Chansonnette. Paroles de G. Villard et Plébus. Musique de A. Baudard, E. Guéprotte, (lire en ligne)
- La référence des portraits contemporains, Paris, Librairie Nilsson, (lire en ligne)
