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HISTOIRE DE L'ARMEE FRANÇAISE

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Infanterie française sous l'Ancien Régime[modifier | modifier le code]

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Naissance de l'infanterie nationale[modifier | modifier le code]

Règne de Louis XIV[modifier | modifier le code]

XVIIIème siècle[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]


Régiment Hohenlohe (Restauration)[modifier | modifier le code]

Sous la Seconde Restauration, le régiment de Hohenlohe était un régiment d'infanterie de l'armée royale française dont les effectifs étaient constitués de soldats étrangers souhaitant servir la France. Le rgt est dissous en janvier 1831, ceux de ses soldats qui souhaitent servir la France et qui sont naturalisés ou en voie de l'étre seront versés dans le XXIéme régiment d'infanterie.


Historique[modifier | modifier le code]

Le régiment Hohenlohe fut mis sur pied le 6 septembre 1815. A sa création, l'unité fut connue sous le nom de Légion royale étrangère, étant constituée par l'amalgame des effectifs de huit régiments étrangers levés pendant les Cent-Jours puis dissous après la seconde abdication de Napoléon Bonaparte[1]. In February 1821, it was renamed the Régiment de Hohenlohe after its founder and then commanding officer Colonel-Prince Louis Aloysius de Hohenlohe.[2] The Hohenlohe Regiment participated in the French intervention in Spain of 1823 as part of Colonel-Prince Hohenlohe's 4th Corps of the Armée des Pyrénées. In 1829, the namesake of the regiment, Colonel Hohenlohe, died.[2]

Other than during the French intervention in Spain, the Hohenlohe Regiment's service was largely uneventful as they were primarily used as a garrison force in various provincial towns around France. This was in marked contrast to the service of the other notable foreign regiments of the era: detachments of Swiss Guards had traditionally been stationed at Versailles as part of the Maison du Roi — with the bulk of the Regiment of Swiss Guards garrisoned just outside Paris for the purpose of maintaining royal authority in the city. Swiss regiments continued to perform this role under the restored Bourbon kings.[2] With the Swiss troops occupying such a high profile role enforcing the authority of the Bourbon kings, the Hohenlohe Regiment largely escaped the notice of the Provisional Government during the July Revolution. While their counterparts in the Swiss regiments were disbanded by order of the government on August 14, 1830,[2] the Hohenlohe Regiment, stationed in the port city of Marseille far from the Paris events of July 1830,[2] escaped this immediate fate.

This relative isolation did not last for long, as the newly established July Monarchy intended to honor the constitutional prohibition forbidding the use of foreign mercenaries on French soil. As result, on December 12, 1830, the regiment received orders to prepare to be deployed to Greece in the vicinity of Patras to support the Morea Expedition, a French interventionist effort supporting the Greek independence movement.[2] On January 5, 1831, however, the Hohenlohe Regiment received orders to disband from King Louis Phillippe.[3] Those members of the regiment who wished to continue to serve in the French army were transferred into the 21st Line Infantry Regiment.[3]

Legacy[modifier | modifier le code]

As an infantry regiment composed of foreigners, the Hohenlohe Regiment constituted one of the forebears of the French Foreign Legion. An immediate legacy was passed onto the Foreign Legion in the form of some of the Hohenlohe Regiment's commissioned and non-commissioned officer cadre, who were credited with forming the newly raised Legion into a functional fighting force. In its original form, the Legion's 1st and 2nd Battalions were composed of veterans of the former Swiss regiments and the Hohenlohe Regiment.[4]


Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. British Troops in Service of France, and the Regimental System.(1855). In Ainsworth, William H. (Ed.), The New Monthly Magazine (p. 378).
  2. a b c d e et f Porch, Douglas (1991).The French Foreign Legion: The Complete History of the Legendary Fighting Force, pp. 3–5. HarperCollins, New York. (ISBN 0-06-092308-3)
  3. a et b Jordan, David (2005). The History of the French Foreign Legion: From 1831 to Present, p. 8. Lyons Press, London. (ISBN 1-59228-768-9).
  4. Lepage, Jean-Denis G. G. (2008). The French Foreign Legion: An Illustrated History. p. 13. MacFarland & Sons, Jefferson. (ISBN 978-0-7864-3239-4).

Armée française sous la Monarchie de Juillet (1830-1848)[modifier | modifier le code]

L'arrivée de la Monarchie de Juillet de Louis-Philippe Ier voit une légère augmentation du nombre des régiments d'infanterie - on passe à 75 régiments de ligne et 25 légers - et surtout l'apparition de nouvelles unités issues de la colonisation de l'Algérie, à savoir deux régiments de Zouaves, des bataillons de tirailleurs et une légion étrangère qui forme dès 1835 deux régiments. Parallèlement, le Duc d'Orléans crée avant sa mort une nouvelle infanterie légère, les chasseurs à pied qui forment des bataillons non enrégimentés.

Charte du 7 août 1830, les troupes étrangères n’ont plus le droit de servir au sein de l’armée française, adoption du drapeau tricolore. Étienne Maurice Gérard devient ministre de la Guerre du nouveau gouvernement. A la mi-novembre 1830, Nicolas Jean de Dieu Soult, un des maréchaux de Napoléon qui servit également sous la Restauration, fut nommé ministre de la Guerre. Gilbert du Motier de La Fayette commande la Garde nationale, fonction dont il se démettra après le procès des ministres de Charles X fin décembre 1830 pour être remplacé par le général Georges Mouton.

Itinéraire militaire de Louis-Philippe[modifier | modifier le code]

Louis-Philippe, duc d'Orléans, en uniforme de colonel-général des Hussards sous la Restauration, d'après Horace Vernet.

Proche, comme son père Louis Philippe Joseph des milieux progressistes, Louis-Philippe sert au sein des armées révolutionnaires sous Kellermann à Valmy, puis sous Dumouriez à Jemapes









Infanterie[modifier | modifier le code]









Cavalerie[modifier | modifier le code]









Artillerie, génie et divers[modifier | modifier le code]









Troupes coloniales et Légion étrangère[modifier | modifier le code]

Zouaves[modifier | modifier le code]

En octobre 1830, le nouveau commandant du corps expéditionnaire français en Algérie Clauzel créa le corps des zouaves, alors fort de deux bataillons, en s'inspirant des auxiliaires Zouaouas d'origine kabyle au service des Ottomans. Leur uniforme s'inspire du style vestimentaire des populations kabyles de l’époque

Chasseurs d'Afrique et spahis[modifier | modifier le code]

Légion étrangère[modifier | modifier le code]

Uniformes, équipement et drapeaux[modifier | modifier le code]





Uniformes[modifier | modifier le code]





Armement[modifier | modifier le code]






Drapeaux[modifier | modifier le code]





Campagnes[modifier | modifier le code]

Belgique (1831-1832)[modifier | modifier le code]

Algérie[modifier | modifier le code]

Les Français, sous le commandement de Louis Auguste Victor de Ghaisne, comte de Bourmont, s’étaient emparés d’Alger le 4 juillet 1830, puis de Bône, d'Oran et de Blida. Suite à la révolution de juillet 1830, le nouveau ministre de la Guerre Gérard, communiqua les nouvelles de Paris au comte de Bourmont. Ce dernier, décidant de rester fidèle aux Bourbons, fut alors remplacé par le général Bertrand Clauzel.

Maroc[modifier | modifier le code]

Mexique[modifier | modifier le code]

Personnalités militaires de la Monarchie de Juillet[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Références[modifier | modifier le code]













Armée française sous le Second Empire[modifier | modifier le code]

Garde impériale[modifier | modifier le code]

Infanterie[modifier | modifier le code]

De Régiment:
Napoléon III en 1854 supprima la distinction entre l'infanterie de ligne et légère, donnant naissance à 100 régiments d'infanterie, ceux de Zouaves étaient maintenant au nombre de quatre, auxquels s'ajoutaient trois de tirailleurs algériens et deux de légion étrangère. Ces régiments sont composés de trois bataillons à six compagnie de guerre et une de dépôt.

Cavalerie[modifier | modifier le code]

Artillerie[modifier | modifier le code]

Génie et divers[modifier | modifier le code]

Légion étrangère[modifier | modifier le code]

Campagnes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Henri Ortholan, L'armée du Second Empire 1852-1870, 2009, Paris,Soteca, 368 pages, (ISBN 978-2-9163-8523-5).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Références[modifier | modifier le code]

DOC & MATOS[modifier | modifier le code]

Histoire militaire de la Restauration et de la Monarchie de Juillet (1814-1848)[modifier | modifier le code]

Ministres de la Guerre et politique militaire sous la Restauration et la Monarchie de Juillet[modifier | modifier le code]

L'occupation alliée (1815-1818)[modifier | modifier le code]

Occupation étrangère 1815-1818 : Congrès d’Aix la Chapelle (septembre à octobre 1818.), les puissances européennes décidèrent d’évacuer totalement le territoire français. Le départ des troupes étrangères fut fixé à la fin novembre 1818. la France fut autorisée à rejoindre la Sainte Alliance, coalition de monarchies conservatrices chargée de lutter contre les mouvements révolutionnaires. C'est sur cette base que France intervient en Espagne en 1823.

Expédition de Morée (1828-1833)[modifier | modifier le code]

Conquête de l'Algérie (1830-1847)[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Références[modifier | modifier le code]


Histoire militaire du Second Empire[modifier | modifier le code]

Guerres et campagnes européennes[modifier | modifier le code]

Guerre de Crimée[modifier | modifier le code]

Campagnes d'Italie[modifier | modifier le code]

Intervention au Liban[modifier | modifier le code]

Guerres coloniales[modifier | modifier le code]

Afrique du Nord[modifier | modifier le code]

Cochinchine[modifier | modifier le code]

La guerre franco-prussienne de 1870[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Complot du Bazar français[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

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Références[modifier | modifier le code]

Catégorie:Opposition à la Restauration

Demi-solde[modifier | modifier le code]

La Terreur blanche de 1815 et l'épuration de 1816[modifier | modifier le code]

Activisme et complots politiques sous la Restauration et la Monarchie de Juillet[modifier | modifier le code]

Demi-soldes et Charbonnerie[modifier | modifier le code]

Second Empire[modifier | modifier le code]

La médaille de Sainte-Hélène[modifier | modifier le code]

Demi-soldes célèbres[modifier | modifier le code]

Demi-soldes ayant réintégré la carrière militaire[modifier | modifier le code]

Autres[modifier | modifier le code]

Memorabilia[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Catégorie:Opposition à la Restauration

Charbonnerie[modifier | modifier le code]

Restauration et Monarchie de Juillet (1815-1848)[modifier | modifier le code]

La Charbonnerie se répandit en France vers 1818. De type politique, rassemblant des républicains, des bonapartistes et, en général tous les mécontents, elle s'opposa à la Restauration, organisant des complots pour la renverser. La police française estima leur nombre à 20 000 pour la seule ville de Paris et ils étaient répandus sur 25 départements.

Le conseil suprême de la société secrète était nommé Haute-Vente. Il se composa d’abord des membres suivants : Bazard, Flottard, Buchez, Dugied, Cariol et Limpérani, fondateurs de la Charbonnerie ; en 1820, ils furent rejoints par La Fayette et son fils, par Dupond de l'Eure, Voyer d'Argenson, Manuel, de Corcelle père, François Mauguin, Barthe, Mérilhon, Beauséjour, Jean-Jacques Koechlin et de Schonen. Pendant l'été 1820, la conspiration dite du bazard français impliquant La Fayette est découverte avant son déclenchement. Le gouvernement modère la répression afin de ne pas susciter une mobilisation trop forte[1].

Cette Haute-Vente dirigeait les Ventes particulières composées de vingt membres. Ce mouvement était cloisonné, ceux des ventes inférieures ne connaissaient pas ceux des ventes supérieures et les ventes étaient inconnues les unes aux autres. Chaque membre versait une cotisation mensuelle d'un franc germinal et devait se pourvoir d'un fusil et de cinquante cartouches. Chaque vente devait se tenir prête à obéir sans discussions aux ordres de la vente supérieure.

Très active de 1820 à 1823 mais ne produisant que des coups de mains sans importance, elle se signale notamment lors de l’affaire des quatre sergents de La Rochelle. La conspiration militaire qu'elle préparait finira par échouer. La dispersion de ses chefs en 1822 lui fut fatale ; plusieurs de ses membres influents se rallièrent au gouvernement de Louis-Philippe Ier en 1830 et d'autres fondèrent la Charbonnerie démocratique selon les théories de Babeuf[2].

  1. Isabelle Backouche, La Monarchie parlementaire de Louis XVIII à Louis-Philippe Pygmalion 2000, p.83
  2. « Charbonnerie », in Jules Trousset (dir.), Nouveau dictionnaire encyclopédique universel illustré, t.1 (A-Char), Paris, 1885, p. 798-799.