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Famille de Suremain[modifier | modifier le code]

famille subsistante de la noblesse française[modifier | modifier le code]

Famille de Suremain
Image illustrative de l’article SuremainTree/Brouillon
Armes de la famille de Suremain

Blasonnement D’azur au chevron d’or accompagné en pointe d’une main dextre d’argent appaumée et posée en pal
Devise Certa manus certa fides (Main sure, foi sure)
Branches Suremain, Suremain de Flammerans, Suremain de Flammerans de Varennes de Sonnotte de Ste Marie-sur-Ouche et de Pont-de-Pany, Suremain de Missery, Suremain de Saiserey, Lanoue de Suremain
Période XVIe siècle-XXIe siècle
Pays ou province d’origine Bourgogne
Allégeance au roi de France
Charges maire, vicomte-mayeur, juge-consul, avocat au Parlement de Bourgogne, membres du Parlement de Bourgogne, receveur des impôts, conseiller du roi, secrétaire du roi, ambassadeur, conseiller d’ambassade, Lieutenant du roi
Fonctions militaires Lieutenant général des armées (Ancien Régime), général (Ancien Régime et XXème siècle), gouverneur militaire de Lubeck (Allemagne)
Fonctions ecclésiastiques Mère supérieure de l'Abbaye Notre-Dame de Jouarre
Récompenses militaires Ordre royal et militaire de Saint Louis (ordre de l’Ancien Régime supprimé en 1830)

Officier de l'Ordre du Lys

Officier de l'Ordre Espagnol de Saint-Ferdinand

Commandeur de l'Ordre de Malte (XVIIème siècle)

Chevalier, commandeur et grand-croix de l'Ordre de l’épée de Suède

Grand-croix de l'Ordre de Sainte Anne de Russie

Chevalier de l'Ordre de Saint-Wladimir (Russie) titre de noblesse héréditaire

Officier, chevalier et commandeur de la Légion d’honneur

Croix de guerre 1914-1918 (mort pour la France sur le champ de bataille en 1914)

Croix de guerre 1939-1945 (héros de la France Libre)

Croix de guerre des opérations extérieures

Ordre national du mérite

Croix de Guerre Belge

Origines[modifier | modifier le code]

La famille de Suremain est une famille subsistante de la noblesse Française, implantée en Bourgogne depuis le XVème siècle. On trouve ses origines à Belcaire en Sault à côté de Montségur, en plein pays cathare. Différentes écritures apparaissent dans les archives de Narbonne dès 1250.

Histoire[modifier | modifier le code]

Avec son arrivée à Auxonne au XVème siècle, la famille de Suremain s’est ensuite enracinée en Bourgogne. Ses branches s’étendent depuis la région de Dijon vers le Chalonnais. La ville d’Auxonne fut rattachée à la couronne de France en 1477 sous Louis XI.

Auxonne, ville française du département de la Côte-d’Or, anciennement ville frontière, fut longtemps le théâtre de tensions et d’invasions entre les différentes puissances depuis le Moyen-Age. Au XVème siècle, le roi Louis XI fit construire la forteresse d’Auxonne afin d’éviter toute tentative de rébellion des sujets auxonnais.

Par la suite, le roi Charles VIII se rapprochant du Duché de Bretagne par son mariage avec Anne, héritière de Bretagne et avec le traité de Senlis de 1493, Auxonne redevint une ville frontière. Ses remparts servaient à protéger le royaume de France contre l’empire germanique des Habsbourg.

Sous le roi Louis XIV, avec la conquête de la Comté, la ville perdit définitivement sa place-frontière stratégique.

Auxonne est restée célèbre suite aux deux séjours de Napoléon Bonaparte à l’école royale d’artillerie entre 1788 et 1791 où il apprit l’essentiel de son métier de militaire.

Au long des siècles, des personnages de la famille de Suremain ont souvent dirigé les mœurs par des charges politiques et judiciaires dans l’administration royale de Bourgogne et ensuite au plus haut niveau.

Notamment :

  • Hugues Suremain (1503-1587), premier personnage et source connus de la famille, Maire d’Auxonne de 1562 à 1587 et Juge-Consul en 1567.
  • François de Suremain (1589-1663), vicomte-mayeur d’Auxonne, avocat au Parlement de Bourgogne, Maire d'Auxonne.
  • Hugues de Suremain (1612-1678), vicomte-mayeur d’Auxonne, avocat au Parlement de Bourgogne, receveur des impositions du bailliage d’Auxonne, receveur des deniers royaux.
  • Jean-Baptiste Suremain de Flammerans (1658-1743),
    Jean-Baptiste Suremain de Flammerans
    seigneur de Flammerans, d’Athée et de Magny, receveur des imposition du bailliage d’Auxonne, avocat au Parlement de Bourgogne, secrétaire du roi de la Grande Chancellerie (1701-1724).
  • Hugues de Suremain de Flammerans (1690-1763) écuyer, trésorier des Etats de Bourgogne et receveur des impositions au bailliage d’Auxonne. Il est nommé en 1711 lieutenant au Régiment Royal Comtois et fit les guerres d’Espagne sous le maréchal de Berwik.
  • Jean-Baptiste de Suremain (1692-1765), lieutenant au Régiment d’Infanterie, receveur des impositions du baillage d’Auxonne, conseiller du roi.
  • Jean-Baptiste-Claude Suremain de Missery (1724-1810), seigneur de Flammerans, d’Arcey[1], de Saiseray, de Varennes, de Sonnotte, de Ste Marie-sur-Ouche et de Pont-de-Pany[2], conseiller laïque au Parlement de Bourgogne. Il fit reconstruire le château de Missery dans sa forme actuelle.
Château de Missery

Dès 1789, la Révolution française fut une période de profonds bouleversements pour la famille en proie à des événements tragiques : émigrations, déplacements forcés, disparitions, exécutions,…

  • Hugues Claude Suremain de Flammerans (1747-1823) et son épouse Etiennette Perreney de Baleure ont émigré en Russie pour fuir le climat de violence.
  • François Alexandre de Suremain (1755-1794), militaire guillotiné durant la période de la Terreur pour des raisons politiques.
  • Charles de Suremain (1762-1835) a émigré en Suède pour se mettre au service du royaume de Suède contre les guerres révolutionnaires et napoléoniennes.

Personnalités marquantes[modifier | modifier le code]

Traditionnellement corps militaire en France et aussi à l’étranger, nombreux sont les hommes qui ont immortalisé la devise familiale (certa manus certa fides) sur les champs de bataille :

  • Augustin de Suremain (1695-1755)

La diplomatie, la défense et le secours

Fils de Jean Baptiste de Suremain (secrétaire du roi). Reçu chevalier de l'Ordre de Malte à l’âge de vingt ans, il fait ses vœux au Grand Prieuré de Bulesmes en 1719, puis finit commandeur de Braux[3]. L’Ordre de Saint-Jean de Jerusalem, fondé en 1099 par un gentilhomme français nommé Gérard pour être au service des pauvres et des pèlerins dans l’hôpital de Saint-Jean de Jérusalem, s’installa ensuite à Malte entre 1530 et 1798. A travers le secours aux pauvres et la défense de la foi chrétienne, cet ordre religieux hospitalier devint aussi rapidement un ordre militaire pour défendre les Etats latins menacés par la contre-offensive musulmane. C’est sur mer que les chevaliers l’ont combattue pendant trois siècles et fait régner l’ordre chrétien en Méditerranée[4].

Les familles nobles européennes, majoritairement françaises, y plaçaient le surplus de leurs jeunes garçons afin d'y recevoir une formation honorable[5].

L’ordre de Malte a ainsi contribué à une définition commune de la noblesse au XVIIème siècle en Europe dans un espace complexe de traditions cosmopolites mais aussi à fournir un dispositif pour la valider. L’admission et l’appartenance à l’Ordre constituaient la marque mémorable de noblesse d’un homme et de sa famille.

  • François Alexandre de Suremain (1755-1794)[1]

Militaire et homme politique condamné à mort en 1794 pour un projet de constitution considéré comme subversif

Fils de Jean Baptiste de Suremain (conseiller du roi). Officier au Corps Royal du Génie, subdélégué de l’intendance de Bourgogne à Auxonne, il siège à l’assemblée de la Noblesse en 1789. Il fut maire d’Auxonne en 1790 et administrateur du district de Saint-Jean-de-Losne en 1791.

Rédacteur d’un projet de nouvelle constitution en 1790 considéré comme subversif par le régime de la Terreur, il fut exclu de ses fonctions en tant que noble et parents d’émigrés puis condamné à mort par Fouquier-Tinville, accusateur public du tribunal révolutionnaire[6] et responsable de la période de la « Grande Terreur ». Il périt sous l’échafaud le 1er prairial an II (le 20 mai 1794) à l'âge de 38 ans. Marié à Marguerite Royer (1761-1815).

Charles Jean-Baptiste de Suremain

Une aventure diplomatique et militaire auprès du roi de Suède[7]

Fils de Jean Baptiste de Suremain, entré au Corps Royal d’Artillerie en 1780, il fut capitaine au Régiment de La Fère où Napoléon Bonaparte avaient été nommé lieutenant en 1785. La Révolution progressant, il partit en Suède en 1792 combattre dans l’Armée des émigrés puis enseigna en 1794 l’art de la guerre au jeune roi Gustave IV Adolphe de Suède. Nommé major en 1795, il devint le favori du régent Charles. Suite au combat dans la guerre de Finlande, il est fait lieutenant général par le roi Charles XIII de Suède.

Il intervint secrètement auprès de l’empereur Napoléon Ier pour l’informer du coup d’état de 1809. Charles de Suremain démissionna de l’armée Suédoise lorsque, commandée par le Prince Bernadotte (futur roi de Suède Charles XIV), elle dut marcher contre la France et son armée napoléonienne (1813). Le général de Suremain ne souhaitant pas combattre contre ses compatriotes, il fut alors nommé gouverneur militaire de la ville de Lübeck (Allemagne). Il est décoré par Alexandre 1er le Tsar de toutes les Russies, de toutes les grandes décorations Russes qui lui confère un titre de noblesse héréditaire.

S’opposant au prince Bernadotte, il prit la décision de démissionner de l’armée suédoise pour rentrer au service de la France à la Restauration. Il fut fait chevalier de Saint-Louis et lieutenant du roi à Metz. Il obtint sa retraite et finit sa vie dans son domaine en Bourgogne. Marié à Marie Madeleine Françoise Burger (1776-1857) à son retour.

  • Antoine Bénigne Suremain de Missery (1767-1852)
Fichier:Antoine-benigne-suremain-de-missery.jpeg
Antoine Bénigne Suremain de Missery

Un militaire condisciple de Bonaparte devenu un scientifique reconnu

Fils de Jean-Baptiste Claude de Suremain (seigneur de Flammerans et conseiller au parlement de Bourgogne). Il fit de brillantes études de mathématiques et de physique. Élève et condisciple de Bonaparte à l’école militaire de Paris, il est nommé officier au Corps Royal d’Artillerie.

Ancien élève de Gaspar Monge, comte de Péluse (mathématicien auteur d’une œuvre considérable, homme politique, fondateur de l’Ecole de polytechnique), Antoine de Suremain devint mathématicien et physicien, correspondant de l’académie des sciences. Auteur de plusieurs ouvrages sur l’algèbre, les sons, le langage, la géométrie, la philosophie et la religion, il fut aussi l’un des membres fondateurs de la Société d’Histoire, d’Archéologie et de Littérature de Beaune, et son premier président en 1851. Marié à Alexandrine Emilie Viénot de Vaublanc (1770-1825).

  • Pierre Alexandre de Suremain (1787-1855)
Pierre Alexandre de Suremain

Une longue carrière militaire en France et à l’étranger

Fils de François Alexandre de Suremain (guillotiné). Chef d’Escadron de Cavalerie, il fut membre de l’ordre de Saint Louis et décoré officier de la légion d’honneur[8], de l’ordre Espagnol de Saint Ferdinand et du Lys. Il fut capitaine commandant aux chasseurs à cheval de la Garde Royale et à la Garde du corps du roi.

Il épousa Adèle de Rosily-Mesros[9] (1796-1878) fille du renommé amiral François Etienne de Rosily-Mesros [10](1748-1832)[11], comte de Mesros, seul personnage de l’histoire de France avec le Maréchal Kellermann à détenir aussi bien la Grand-croix de Saint-Louis (la plus prestigieuse distinction de l’ancien régime) que la Grand-croix de la légion d’honneur. Il fut aussi comte de l’Empire et décoré Grand-croix de l’Ordre royal de Dannebrog. L’amiral de Rosily-Mesros a notamment combattu sur l’ensemble des océans du globe, sauvé la flotte Française après la défaite de Trafalgar en 1805 et découvert les Iles Kerguelen en 1772. Il fut également membre de l’Académie des Sciences et Président du Conseil des constructions navales. Son nom est gravé en colonne 18 du pilier est de l’Arc de Triomphe. Il est l’ancêtre d’une branche de la famille de Suremain et des marquis de la Fressange actuels descendants de la première fille de l'amiral, Emilie de Rosily-Mesros.

  • Pierre Jean Charles Suremain de Flammerans (1787-1854)

Fils de Hugues Claude de Suremain de Flammerans. Adjudant major au Régiment de Hussard de la Garde. Chevalier de la Légion d’honneur[8].

  • Edme Marie Louis Suremain de Missery (1806-1896)

Fils d’Antoine Bénigne de Suremain de Missery. Conservateur des forêts. Décoré de la Légion d’honneur[8].

  • Frédéric Alexandre Etienne de Suremain (1821-1883)[12]

Fils de Pierre Alexandre de Suremain. Il fut enseigne de vaisseau et fit partie de l’état-major de la Belle-Poule. Il était sur cette frégate, avec le prince de Joinville, lorsqu’elle ramena le corps de Napoléon Ier de Sainte-Hélène. Il participa aux campagnes d’Asie, d’Afrique, d’Amérique et de Crimée. Il a aussi contribué à la prise de Bomarsund. Président des écoles catholiques. Chevalier de la Légion d’honneur[13].

  • Paul Gabriel de Suremain (1833-1911)

Fils de Charles Victor de Suremain. Entré à Saint-Cyr en octobre 1853. Devenu Lieutenant au 2ème Régiment de chasseurs à cheval, il participa à la campagne d’Italie. Décoré de la Légion d’honneur[8].

  • Albert Marie Guillaume de Suremain (1865-1914)
Albert Marie Guillaume de Suremain

Fils de Charles François Auguste de Suremain. Capitaine au 8ème Régiment de chasseurs à cheval (d’Orléans). Chevalier de la Légion d’honneur[14]. Mort pour la France sur le champs de bataille.

  • Louis Marie de Suremain (1898-1986)

Fils d’Albert de Suremain. Officier d’infanterie (chasseur à pied). Chevalier de la Légion d’honneur[8], Croix de Guerre Belge.

  • Le général Michel Marie Henri de Suremain (1923-2014)

Une carrière militaire au sein de la légion étrangère

Fils cadet d’Edouard de Suremain, Michel de Suremain fut un ancien élève de l’Ecole Spéciale Militaire de Saint-Cyr et de l’Ecole de guerre et général de brigade. Après une longue carrière militaire à l’étranger et en France en tant qu’officier d’infanterie à la Légion Etrangère, il devint président des amitiés Charles de Foucaud qui fut béatifié par l’église. Il se passionnait pour le Sahara. Commandeur de la Légion d’honneur et Croix de guerre des Théâtres des opérations extérieures.

  • Christian de Suremain (1922-2008)

Fils de Louis de Suremain. Officier d’infanterie de la Légion Etrangère. Chevalier de la Légion d’honneur[8].

Dans la même aventure du dévouement et du service, une figure se distingue :

  • Mère Aguilberte II Paule de Suremain (1920-2017)[15]

Une vie consacrée à la foi et à son prochain

Fille d’Edouard de Suremain et soeur aînée de Michel de Suremain. Mère Aguilberte II, née Paule de Suremain, mère supérieure de l’Abbaye Notre Dame de Jouarre de 1966 à 1995 en région Parisienne, fut en charge de diriger l’une des plus ancienne et importante Abbaye de France.

Elle fut également Présidente de la fédération des monastères consacrés au Cœur immaculé de Marie de 1974 à 1987.

Représentation à l'étranger[modifier | modifier le code]

La famille de Suremain rayonne dans toute la France mais aussi dans de nombreux pays du monde entier grâce à deux personnalités qui ont œuvré avec leur diplomatie et leur volonté de soutenir le développement des populations en difficulté.

  • Son excellence Philippe de Suremain (1940-)

Un diplomate spécialiste de l’Europe de l’Est

Ministre plénipotentiaire hors classe.

Ex-ambassadeur de France en Ukraine, Lituanie, Iran, il a consacré l’essentiel de sa carrière à l’Europe de l’Est. Il est décoré chevalier de la Légion d’honneur et officier de l’Ordre national du mérite.

  • Emmanuel de Suremain (1940-2017)

Economiste à la Banque Mondiale, spécialiste des pays en voie de développement. Il a notamment vécu en Iran, au Brésil, au Maroc, à Haïti et réalisé de nombreuses missions dans d’autres pays afin de contribuer à leur développement économique. Sportif accompli, avec une grande expérience de la montagne, il est décédé dans un accident de planeur.

En Bourgogne[modifier | modifier le code]

Il subsiste encore un fort ancrage de la famille en Bourgogne notamment inscrit par :

  • Edouard de Suremain (1872-1947)

Un engagement fort pour le terroir bourguignon et pour son domaine viticole de Mercurey

Propriétaire récoltant à Mercurey au château du Bourgneuf. Le domaine familial produit du vin depuis 1870. Edouard de Suremain fut le créateur de l’AOC Mercurey (appellation d’origine contrôlée) en 1936. Il a favorisé le développement de cette appellation en France et à l’international.

  • Yves et Loïc de Suremain continuent à valoriser la terre de leurs ancêtres au Château du Bourgneuf à Mercurey, exprimant leur passion du vin à travers un domaine viticole qui se transmet depuis sept générations. Le respect de la nature est une priorité dans leurs procédés.
  • Eric de Suremain perpétue également un savoir ancestral dans son domaine viticole et les caves du Château de Monthelie, une passion transmise d’une génération à l’autre depuis 1746 (construction du château). Il est respectueux de la tradition et de la culture biologique pour la plus grande joie des sens.
  • Clarisse de Suremain, ancienne pianiste professionnelle, est revenue s’installer dans sa Bourgogne natale pour produire des vins biologiques dans les bas de Pommard et de Volnay. Sa détermination dans cette surprenante reconversion et son tempérament passionné subliment ses vins.

Alliances[modifier | modifier le code]

Les principales alliance de la famille de Suremain sont les familles Buttard des Montots, Loppin de Pontoux, Pelleterat de Borde, de la Croix, Bourrée de Corberon, de La Forest-Divonne (ancêtre commune Anne Françoise Suremain de Flammerans), Seguin de la Mothe, Perreney de Baleure, Rosily de Mesros (éteinte en ligne masculine depuis le XIXème siècle), Caussin de Perceval, Brunet de Monthelie, Carrrelet de Loisy, Bernard de Montessus de Rully, Masson d’Autume, de Grasset, Brac de La Perrière, Launay du Coedic de Kergoaler, Lefevre de Saint Germain, La Cropte de Chantérac, Le Bœuf de Valdahon, Thomas-Tassin de Moncourt, Monroe of Foulis (Noblesse Britannique immémoriale), Mareschal de Charentenay, Bastard de Saint-Denis, Thibaut de Ménonville, Teste d’Armand, et de nombreuses autres familles.

Fichier:Anne Françoise de Suremain.jpg
Anne Françoise Suremain de Flammerans (1748-1773) mariée avec Pierre François de La Forest-Divonne (1730-1806)

Sources et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b MM. Louis de La Roque et Édouard de Barthélemy, Catalogue des gentilshommes de Bourgogne, Bresse, Bugey, Valromey et de la principauté de Dombes : qui ont pris part ou envoyé leur procuration aux assemblées de la noblesse, pour l'élection des députés aux États généraux de 1789 / publ. d'après les procès-verbaux officiels., Paris, E. Dentu et A. Aubry, (lire en ligne)
  2. « Ouvrages » [Pdf.], sur Geneanet
  3. « Augustin de Suremain »
  4. « Que sont devenus les chevaliers de Malte ? », L'Histoire,‎ (lire en ligne)
  5. Emanuel Buttigieg et Rachel Caruana, « La « fleur de la chrétienté ». L’ordre de Malte et la noblesse européenne au XVIIème siècle. »
  6. « Archives nationales (site de Paris) Tribunal révolutionnaire 1792 à an III - W 369, affaires jugées. -2 prairial an II. Dossiers : 823 »
  7. Charles de Suremain, La Suède sous la République et le premier empire : mémoires du lieutenant général de Suremain (1794-1815). Publié par un de ses petits-neveux., Librairie Plon, (lire en ligne)
  8. a b c d e et f « Base de données Léonore aux archives nationales de France - Légion d'honneur »
  9. Louis Grall, Histoire d’une Trève de Bretagne : Le Moustoir en Châteauneuf-du-Faou, Gourin (Cornouaille), Editions des Montagnes Noires, , 126 p. (ISBN 2-913953-24-7)
  10. Contre-amiral Jean Cornuault, Un panorama de la marine de Louis XV à Charles X par un témoin essentiel l’amiral François de Rosily-Mesros, Paris, L'Harmattan, (ISBN 978-2-296-05821-7)
  11. La Maison de Rosily est une ancienne famille de la noblesse bretonne dont le plus ancien ancêtre connu est Roland de Rosily contemporain de Saint-Louis au XIIIème siècle. La famille de Rosily est éteinte en ligne masculine depuis le XIXème siècle.
  12. http://ecole.nav.traditions.free.fr/officiers_desuremain_frederic.htm
  13. « Base de données Léonore aux archives nationales de France - Légion d'honneur »
  14. « Base de données Léonore aux archives nationales de France - Légion d'honneur »
  15. https://www.abbayejouarre.org/les-grands-evenements/les-grands-evenements-deces/149-mere-aguilberte-7-janvier-2017

Voir aussi[modifier | modifier le code]