Utilisateur:Ruyblas13/Collection paléontologique du musée de l'université de Tübingen

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Collection paléontologique du musée de l'université de Tübingen
Façade de l'instut de géologie et de paléontologie de l'université de Tübingen. Bâtiment situé au Sigwartstrasse 10 abritant la collection[1].
Informations générales
Nom local
Paläontologische Sammlung der Universität Tübingen
Type
Site web
Collections
Collections
Époque
Nombre d'objets
Environ 1 000 000[4],[5],[6]
Localisation
Pays
Land
Arrondissement
Adresse
Sigwartstraße 10 et Hölderlinstraße 12 Tübingen[1],[2],[3]
Coordonnées
Localisation sur la carte d’Allemagne
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Localisation sur la carte du Bade-Wurtemberg
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La collection paléontologique de l'[[université de Tübingen, également désignée sous l'acronyme GPIT, pour Geologisch-Paläontologisches Institut Tübingen[7],[8],[9]}}, est l'une des collections scientifiques du MUT[10],[11]


La collection paléontologique de l'université de Tübingen prend sa source vers la fin du XVIIIe siècle avec l'établissement d'une collection pédagogique. Elle a ensuite été enrichie par des membres de l'université ainsi que par des collections privées. Il comprend actuellement quelque 600 000 objets de tous les domaines de la paléontologie , de la micropalaéontologie à la paléontologie des vertébrés . Les salles d'exposition de la collection ont été entièrement rénovées en 2010 et 2011 et offrent une vue d'ensemble des fossiles du sud-ouest de l'Allemagne, de l'évolution de la vie et en particulier des reptiles marins tels que les ichthyosaures , les plésiosaures et les crocodiles marins , ainsi que du développement précoce des mammifères et des thérapides . La collection paléontologique de l'université de Tübingen est l'une des plus grandes collections universitaires en Allemagne et fait partie du musée de l'université de Tübingen .

Il convient de noter en particulier les activités de collecte des chercheurs suivants: Friedrich August Quenstedt , qui jeta les bases de la recherche paléontologique systématique sur le Jura souabe au XIXe siècle, les fossiles de vertébrés de la collection du paléontologue Friedrich von Huene , les collections d' ammonites d' Otto Heinrich Schindewolf , et la vaste collection de traces d' Adolf Seilacher . Parmi les microfossiles se trouve la collection du professeur de l'école de Reutlinger, Alfred Eisenack . Pas terrible -> transfert MUT, résumé

Situation[modifier | modifier le code]

Institut Géolo et Paléonto

Historique[modifier | modifier le code]

https://epub.ub.uni-muenchen.de/11945/1/zitteliana_2004_44_07.pdf Asteracanthus ornatissimus

Le géologuue et paléontologue Friedrich August von Quenstedt.
Le paléontologue Friedrich von Huene (ici, à gauche).

La collection de paléontologie — également désignée sous l'acronyme GPIT, pour Geologisch-Paläontologisches Institut Tübingen[7],[8],[9] —, débuté en 1477, avec la fondation de l'université de Tübingen et les premières analyses de roches (cf. Wertenburg). Elle commence a être constituée au cours du XVIIIe siècle (cf. Site off et book 1977).

La collection fait l'objet d'une première organisation systématique en 1837, par le géologue et paléontologue Friedrich August von Quenstedt[5],[6],[12].

Cette collection scientifique s'accroît avec les travaux de recherche sur des vertébrés du Trias, réalisés par Friedrich von Huene, puis par ceux d'Otto Heinrich Schindewolf (de) sur des ammonites datées du Jurassique et du Crétacé[5].

En 1902, un squelette de Plésiosaure s'ajoute à la collection[13]. En 1903, le corpus de fossiles paléontologiques est complété par un squellette d'Hybodus, acquis pour un montant de 2 700 marks[13]. Les travaux paléoichnologique d'Adolf Seilacher réalisés dans la seconde moitié du XXe siècle permettent à la collection de s'enrichir d'empreintes et de traces fossiles[14],[15],[16],[17].

Le corpus de fossiles paléontologiques a été également assemblée grâce aux travaux et collectes d'Erwin Auer[18], de Wilhem von Branco[19],[20],[21],[22], de Ferdinand Broili[23], de Ludwig Bronn[24],[25],[26],[27],[28], d'Oskar Fraas [29],[30],[31],[20], de Bernhard Hauff[13],[32], d'Oskar Heer[33], d'Edwin Hennig[34],[35],[36], de Jaeger, Koken, Naef, Pompeckj, Schindewolf, Schlegelmilch, Seilacher, Westphal, Wiedmann et Zittel[5],[9]. (à contextualiser chronologiquement) https://books.google.fr/books?id=3_IGDAAAQBAJ&pg=PA176&lpg=PA176&dq=Otto+Schindewolf+T%C3%BCbingen&source=bl&ots=9KUGCiTvNb&sig=ACfU3U0OEAJfg6XHwQ21PDlemNITy2da7Q&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwjnreT67IziAhXKA2MBHfEKB-U4ChDoATAMegQIBhAB#v=onepage&q=Otto%20Schindewolf%20T%C3%BCbingen&f=false searchers

La collection paléontologique comprenait environ 600 000 pièces dans la première moitié des années 2010[37] et approximativement un million dans la seconde moitié des années 2010[5],[6]. Elle est en partie composée de collections privées[12],[38]. + remaniement expo permanente en 2010-2011 (cf. Wertenburg) https://uni-tuebingen.de/fakultaeten/mathematisch-naturwissenschaftliche-fakultaet/fachbereiche/geowissenschaften/arbeitsgruppen/palaeobiologie/forschungsbereich/terrestrische-palaeoklimatologie/aktuelles/wiedereroeffnung-der-sammlung/ https://idw-online.de/de/attachmentdata11997.pdf https://www.researchgate.net/publication/321037563_Biodiversitat_-_mehr_als_ein_politisches_Konzept Myriam Hönig[4],

Dans la première moitié du XXe siècle, Friedrich von Huene crée la collection de fossiles de sauriens[39].

Composition de la collection[modifier | modifier le code]

ammonites
https://books.google.fr/books?id=t9gjBAAAQBAJ&pg=PA2&dq=Geologisch-Pal%C3%A4ontologisches+Institut+T%C3%BCbingen+entstand&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwiRuaiB24niAhVhDmMBHRYrD70Q6AEIEjAC#v=onepage&q=Geologisch-Pal%C3%A4ontologisches%20Institut%20T%C3%BCbingen%20entstand&f=false

Fossiles de reptiles[modifier | modifier le code]

Le corpus de fossiles de reptiles comporte un squelette de Steneosaurus bolensis, spécimen mis en évidence dans la formation lithostratigraphique de Holzmaden[40],[41] ; un squelette de Plateosaurus engelhardti, restes d'un dinosaure retrouvé à Trossingen lors d'une campagne de fouilles conduite par Friedrich von Huene dans les années 1921-1923[42],[43],[44],[45] ; le squelette d'un Stahleckeria (en), un spécimen de dicynodontes mesurant approximativement 3 m et exhumé par Huene et Rudolf Stahlecker (en) en 1928-1929, au sein d'une formation lithostratigraphique de Santa Maria, dans le Rio Grande do Sul[46],[47],[48].

Fossiles de céphalopodes[modifier | modifier le code]

Le corpus de fossiles de céphalopodes compte des exosquelettes de plusieurs espèces de Gyraulus — genre appartenant à la famille des Planorbidae[49] — : de Gyraulus elegans[50], de Gyraulus intermedius[51], de Gyraulus oxystoma[52], de Gyraulus planorbiformis[53], de Gyraulus salcotus[54] et de Gyraulus trochiformis[55]. Le musée possède également un arbre phylogénétique établissant les liens de parentés des Gyraulus (antérieurement désignés sous le nom binominal Planorbis multiformis)[56],[57]. Cet arbre de relations phylogénétiques a été construit par Franz Martin Hilgendorf (en) et résultant des travaux du paléontologues sur ce type de gastropodes durant la seconde moitié du XIXe siècle[56],[57],[58].

Fossiles d'arthropodes[modifier | modifier le code]

Fossiles d'amphibiens[modifier | modifier le code]

Fossiles de mammifères[modifier | modifier le code]

Le corpus de fossiles de mammifères se compose d'un crâne de mammouth[59].

Fossiles d'échinodermes[modifier | modifier le code]

Le corpus de fossiles d'échinodermes une empreinte de Seirocrinus subangularis (de) mise au jour par Friedrich August von Quenstedt en 1868 dans le sous-sol du village d'Ohmenhausen (ville de Reutigen)[60],,[41].

Fossiles d'Ichthyosauria[modifier | modifier le code]

Le corpus de fossiles d'Ichthyosauria comprend le squelette d'un Stenopterygius quadriscissus, restes retrouvés au sein du groupe lithostratigraphique du Jura noir (de), étage du Toarcien, et datés d'environ 182 M années[61],[41].

-> sections à scinder (essentiellement reptiliens et céphalopodes)

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • (de) Ernst Seidl (dir.), Sammlungen der Universität Tübingen MUT, (lire en ligne [PDF]). Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (de) Manuel Flecker, « Sehnen, Sehen, Sammeln und Erinnern. Kavaliersreise und Grand Tour als Motor der Antikenrezeption zwischen dem 16. und 19. Jh. », dans Johannes Lipps et Anna Pawlak (dirs.), Antike im Druck. Zwischen Imagination und Empirie, vol. 17, Tübingen, Université Eberhard Karl de Tübingen, , 38-43 p. (lire en ligne). Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (de) Wolf von Engelhardt et Helmut Hölder, Mineralogie, Geologie und Paläontologie an der Universität Tübingen von den Anfängen bis zur Gegenwart, vol. 20, Franz Steiner Verlag, , 292 p. (lire en ligne). Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (de) I. Werneburg, « Die Paläontologische Sammlung. », dans Seidl E. (dir.), Museen + Sammlungen der Universität Tübingen. Schriften des Museums der Universität Tübingen MUT, vol. 14, , 92-97 p. (lire en ligne).
  • (en) Ingmar Werneburg et Madelaine Böhme, chap. 52 « Tübingen: The Palaeontologial Collection of Tübingen », dans Paleontological Collections of Germany, Austria and Switzerland, Springer, , 505-512 p. (lire en ligne [PDF]). Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (de) Markus Walz (dir.), Handbuch Museum : Geschichte, Aufgaben, Perspektiven, Berlin Heidelberg, Springer-Verlag, (ISBN 978-3-476-02375-9, lire en ligne).
  • (de) « Museum der Universität Tübingen MUT - Alte Kulturen - Sammlungen im Schloss Hohentübingen », Magazin Museum.de, no 23,‎ (lire en ligne, consulté le ).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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  1. a et b (en) « Palaeontological Collection », sur le site de l'Université Eberhard Karl de Tübingen (consulté le ).
  2. (de) « Lagepläne - Karte B », sur le site de l'université de Tübingen (consulté le ).
  3. « Institut für Geowissenschaften », sur la base de données géographiques OpenStreetMap (consulté le ).
  4. a et b Myriam Hönig, « Wiedereröffnung der Paläontologischen Sammlung der Universität Tübingen - Neugestaltung der weltweit bedeutenden Sammlung », Newsletter der Eberhard Karls Universität Tübingen,‎ (lire en ligne [PDF], consulté le ).
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  6. a b et c (de) I. Werneburg, « Die Paläontologische Sammlung. », dans Seidl E. (dir.), Museen Sammlungen der Universität Tübingen. Schriften des Museums der Universität Tübingen MUT, vol. 14, , 92-97 p. (lire en ligne).
  7. a et b (en) « Loan », sur le site de l'Université Eberhard Karl de Tübingen (consulté le ).
  8. a et b (en) Theagarten Lingham-Soliar, chap. 9 « Reptile return to the Sea », dans The Vertebrate Integument, vol. 1 : Origin and Evolution, Springer Science & Business Media, , 268 p. (lire en ligne).
  9. a b et c (de) « Sammlung - Willkommen bei der Paläontologischen Sammlung der Universität Tübingen », sur le site de l'Université Eberhard Karl de Tübingen (consulté le ).
  10. (de) « Paläontologische Sammlung », sur la base de données de l'Universitätssammlungen in Deutschland, (consulté le ).
  11. (de) « Paläontologische Sammlung - Evolution », sur la base de données Wissenschaftliche Sammlungen in Deutschland (consulté le ).
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  14. (en) « Palaeontological Collection », sur le site de l'Université Eberhard Karl de Tübingen (consulté le ).
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  17. (en) David Sepkoski et Michael Ruse, The Paleobiological Revolution : Essays on the Growth of Modern Paleontology, University of Chicago Press, , 584 p. (lire en ligne).
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  20. a et b Engelhardt 1977, p. 38.
  21. Engelhardt 1977, p. 201.
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  23. (en) Vincent L. Morgan et Spencer G. Lucas, « Walter Granger, 1872-1941, Paleontologist », Bulletins du Musée d'histoire naturelle et des sciences du Nouveau-Mexique, no 19,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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  38. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Seidl2
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