Utilisateur:Regeneration vegetale/Gestion holistique des territoires

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Gestion holistique des territoires

Cadre
But Mettre à disposition un outil de planification au service des hommes et de l’environnement
Fondation
Fondateur Fabien Tournan
Origine Répondre au besoin éducatif, écologique, sociétale vers une sécurité alimentaire.
Fusion de Brigades Vertes, Radiant Design, Régénération Végétale
Identité
Personnages clés

Edgar Morin André Voisin Allan Savory Célestin Freinet Christian Du Tertre

Bill mollison

Un outil de planification au service des hommes et de l’environnement.[Quoi ?]

Edgar Morin et Fabien Tournan

Historique[modifier | modifier le code]

La gestion Holistique des Territoires une méthodologie issue de différents courant, de pensée, économique, écologique et holistique. Il est né de la rencontre de Fabien Tournan et Edgar Morin lors d’un projet Socio-Agricole et d’une collaboration de 1 an.

Elle met en symbiose des outils d’action de changement de paradigme comme « l’économie de la fonctionnalité et de la coopération » « l’apprentissage par l’action » « les école de production » les « eco-pôle alimentaire  » « la Permaculture»  « l’agroécologie » et « les pédagogies alternatives »  

Le fil conducteur est un jardin, à la fois de productions alimentaires mais aussi d’échanges de savoir et de savoir-faire, créateur de coopération et de lien entre les hommes d’un même territoires. Il peut prendre diverses formes telles qu’un jardin en milieu scolaire, en milieu universitaire,  un jardin pilote de formation, sous forme aussi de jardins  aux parcelles de production en bio-intensif et ou en Permaculture. La voilure du projet est déterminée par l’espace disponible, les heure de présence possibles, les différents acteurs  impliqués d’un territoire tout en  respectant le rythme de la nature. Ainsi le jardin relie toutes les strates de la société et signe le point de départ d’une aventure collective, libre, participative et animée par des objectifs communs.

Éléments structurelles[modifier | modifier le code]

La gestion holistique des territoires un type de mode opératoire de l’économie de la fonctionnalité et de la coopération par les méthodes d’apprentissage par l’action.

Ce mode opératoire permet de répondre aux enjeux sociétaux, économiques et environnementaux actuels. C’est une méthodologie globalisante  d’accompagnement des acteurs économiques, des collectivités et de la société civile  vers davantage de sécurité alimentaire.

Elle repose sur un outil de planification  qui fait émerger  un fil conducteur pour gagner des pourcentage d’autonomie en termes de sécurité alimentaire et énergétique.

Levier de changement[modifier | modifier le code]

La gestion holistique des territoires poursuit un objectif de résilience à la fois par l’optimisation des acteurs et des ressources en présence mais également par la relocalisation des surfaces de production alimentaire sous forme de micro-fermes pouvant répondre aux besoins primaires des hommes de façon plus autonome vis-à-vis des énergies fossiles et ainsi réduire la fragilité de nos modèles.

En filigrane cette approche nécessite  pour la pérennité des projets engagés de sensibiliser et de former la jeunesse à davantage de résilience et de capacité à coopérer dans des environnements complexes. Ainsi la gestion holistique des territoires revêt une dimension éducative incontournable se traduisant par la mise en œuvre de projet de jardin pilote au sein des établissements scolaires et des universités. Elle  offre des outils simples, accessibles et facilement duplicables aux services des enseignants, animateurs et personnels encadrants.

Elle propose un réaménagement de la société civile par étape, se basant sur les citoyens, les réseaux associatifs, les étudiants, les élèves de tous niveaux, les parents d’élèves, les enseignants, les artisans, les personnelles territoriaux, les personne âgées retraités.

L’objectif[modifier | modifier le code]

L'objectif est de réintégrer la société civile (énoncé ci-dessus) auprès des producteurs (Agriculteurs/éleveurs) et les artisans afin de soutenir et rendre possible une relocalisation des agriculteurs et acteurs des nécessité premières (alimentation/habitat/médecine) dans le paysage sociétale nécessaire à la souveraineté de toute région dépendant des approvisionnements de semi-remorque et de bateaux parcourant des milliers de km.  

Économie circulaire, économie de la résilience[modifier | modifier le code]

La "Gestion Holistique des Territoire" s’articule autour de plusieurs axes, don celui de transformer une économie linéaire (produire, consommer, jeter)  vers une économie circulaire dans laquelle certaines externalités d’apparence négatives (déchets, Co2 etc) deviennent des ressources tangibles réutilisables. Aussi cette approche nécessite que l’ensemble des acteurs du paysage social et économique se fédèrent et a pour conséquence la création de valeurs certes économiques (économies d’énergie, production alimentaires, transformation des déchets en ressources) mais également de valeur sociale (création d’emplois, liens intergénérationnels, coopération et collaboration d’horizons qui semblent de prime abord s’opposer) et enfin de la valeur environnementale en limitant l’impact des activités humaines sur l’écosystème.

Éthique et acteurs du changement[modifier | modifier le code]

Fabien Tournan, pionnier et concepteur de cette méthodologie fruit d’une approche empirique de plus de 20 ans en France et à l’international met à disposition des feuilles de route opérationnelle offrant une grille de lecture adaptable  aux situations spécifiques de chaque territoire afin d’en extraire les ingrédients  de son écosystème sociale, économique et climatique. A partir de là commence un puzzle pour construire la première pierre.

Cette approche  promeut  une vision globale de gestion des  territoires en interconnectant l’ensemble des acteurs qui les composent.  En créant de la valeur de la sociétale, la gestion holistique des territoires apporte un sentiment de joie reposant  sur la réappropriation de sa liberté à subvenir à une partie de ses besoins primaire de façon autonome à travers une dynamique d’échanges et de partage.

Les techniques agricoles d’antan améliorées par le savoir-faire d’aujourd’hui ne suffisent pas, il convient de faire cohabiter la production alimentaire en milieu urbain avec celle des milieux ruraux d’où l’enjeu d’apprendre à travailler en coopérations nourris par une vision globale commune et habités par des valeurs de solidarité, de résilience et de partage.

Influences - courant d’inspiration[modifier | modifier le code]