Utilisateur:RSVartanian/Brouillon
Liste des noms de lieux[modifier | modifier le code]
(Par ordre alphabétique du nom de la ville)
, est le quatrième et dernier enfant d'une famille de paysans arméniens catholiques[10].
C'est cet orphelinat qui sera renommé Tchernots Pouyn et dirigé à partir de 1928 par Maria Jacobsen[n 1], « auxiliaire féminin »[n 2] de la filiale danoise de la Société des missions chrétiennes à l'étranger (en) qui, en , supervise avec son assistante mennonite Nellie Miller-Mann l'accueil à Beyrouth des orphelins évacués d'Aïntab.
- « À Châtenay-Malabry, le lycée polyvalent va changer de nom pour devenir le lycée « Missak et Mélinée Manouchian » » , sur iledefrance.fr, (consulté le )
- « Inauguration d'un square Missak-Manouchian » , sur leparisien.fr, (consulté le )
- Ariane Chemin 2024.
- Léo Purguette, « Benoit Payan : « Marseille aura une école Manouchian » » , sur lamarseillaise.fr, (consulté le )
- Sylvain Pignol, « Manouchian au Panthéon : Benoît Payan "demande aux gens du RN de rester chez eux" » , sur laprovence.com, (consulté le )
- Mathilde Ceilles, « Marseille aura une école nommée Mélinée et Missak Manouchian en 2025 » , sur lefigaro.fr, (consulté le )
- « La ville de Rennes rend hommage à Missak Manouchian et Mélinée » , sur le-chiffon-rouge-morlaix.fr, (consulté le )
- « Allée Mélinée et Missak Manouchian » , sur wiki-rennes.fr (consulté le )
- « Rue Missak Manouchian - 93110 Rosny-sous-Bois » , sur acam-france.org (consulté le )
- Benoît Rayski, L’affiche Rouge, Paris, Éditions du Félin, , 121 p. (ISBN 978-2866455385), p. 39.
Erreur de référence : Des balises <ref>
existent pour un groupe nommé « n », mais aucune balise <references group="n"/>
correspondante n’a été trouvée