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Utilisateur:PaulDzn/Brouillon

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1945-1952 : les premières années à l'épreuve des rivalités Est-Ouest.[modifier | modifier le code]

1953-1961 : le tournant Hammarskjöld.[modifier | modifier le code]

1962-1988 : les Nations unies freinées par la guerre froide et l'échec de l'ONUC.[modifier | modifier le code]

U Than 3e secrétaire (3 novembre 1961-31 décembre 1981.

Embargo sur les armements contre l'Afrique du Sud. Retrait du mandat d'adminsitation du Sud-Ouest africain (actuelle Namibie). Sanctions contre la Rhodésie (actuel Zimbabwe).

Forces de maintien de la paix à Chyperes.

Création du PNUD (voir pactes de NY)

Résolution 242 après la guerre des six jours 1967.

TNP 1968.

Javier Pérez de Cuéllar le 1er janvier 1982 jusqu'au 31 décembre 1991.

Convention sur le droit de la mer 1982.

Création du Bureau des opérations d'urgence en Afrique face aux famines des années 1980 en Somalie.

Protocole de Montréal : premier accord mondial de protection de l'environnement.

En 1989, l'ONU assiste l'organisation des premières élections en Namibie après le retrait de l'Afrique du Sud.

1988-2003 : l'ONU affirme sa légitimité dans un monde multipolaire.[modifier | modifier le code]

En 1993, l'ONU surveille les élections au Cambodge et supervise le référendum d'indépendance de l'Érythrée ; l'année suivante, elle surveille les premières élections libres au Mozambique.

Publication de l'agenda pour le développement. 1994.

1996 : traité d'interdiction complète des essais atomiques.

2003-2011 : l'ère du doute.[modifier | modifier le code]

Le 19 août 2003, une attaque terroriste détruit le bureau des Nations unies à Bagdad, tuant 22 personnes - dont 15 membres du personnel onusien[1].

Le Sommet mondial 2005 rassemble plus de 170 chefs d'État et de gouvernement. À son issue, le document sur la R2P est adopté.

17 octobre 2005 : Commission Volcker sur la question relative au Programme pétrole contre nourriture.

Le 15 mars 2006 : Conseil des droits de l'homme.

Le 11 décembre 2007, une voiture piégée détruit les bureaux du PNUD et endommagé ceux du HCR, tuant 17 membres du personnel des Nations unies[2].

Le 16 octobre 2006, Ban-Ki Moon est élu Secrétaire général par l'Assemblée générale. Son mandat débute le 1er janvier 2008.

30 janvier : obtient le déploiement des casques bleus au Soudan.

Le bureau des Nations unis en Haïti s'effondre, tuant 101 membres du personnel[3]. Augmente les forces de maintien de la paix mais se retrouve incapable de coordonner l'assistance humanitaire.

Le 14 juillet 2011 : Soudandu Sud est admis à l'ONU.

Depuis 2011 : retour des rivalités entre les États-Unis et la Russie.[modifier | modifier le code]

Le 10 janvier 2014, M. Ban constate "l'ampleur de la destruction" y compris le bombardement d'installations de l'ONU. Il lance un appel à la comm inter pour la reconstruction.

Déploiement de la première Mission sanitaire d'urgence (MINUAUCE) pour endiguer l'épidémie d'Ébola en Afrique de l'Ouest.

14 juillet 2015 : accords sur le nucléaire iranien. AIEA

12 décembre : adoption de l'accord de Paris.

Échec syrien.

Enlisement en Ukraine.

Blocage : Syrie, Ukraine, Yémen. Retour d'un antagonisme US/Russie.

Échec mission de paix.

Antonio Guterres.

  1. « Bagdad - En mémoire des disparus », sur www.un.org (consulté le )
  2. « Alger - En mémoire des disparus », sur www.un.org (consulté le )
  3. « In Memoriam - En mémoire des membres de la famille des Nations Unies qui ont perdu la vie dans le tremblement de terre qui a secoué Haïti le 12 janvier 2010 », sur www.un.org (consulté le )

BOSNIE


Officiellement, la guerre débute le 6 avril 1992 avec le début du siège de Sarajevo.


Néanmoins, la première opération de nettoyage ethnique a lieu le 1er et 2 avril Bijeljina : au moins 48 civils non-Serbes sont tués par des miliciens serbes.



En 1992, les Serbes de Bosnie, qui ont pris pour capitale Pale, à proximité de Sarajevo, entreprennent donc un long et violent siège de la ville,

le lendemain de la déclaration d'indépendance. Sarajevo est soumise à un blocus complet. Les convois de nourriture et de médicaments sont bloqués sur les routes, l'eau et l'électricité sont coupés. Le siège de Sarajevo devient une guerre d'usure.

L'armée des Serbes de Bosnie est commandée par Ratko Mladić et principalement formée par les unités bosno-serbes de l'Armée fédérale yougoslave (JNA). Elle s'empare progressivement des principales villes (en dehors de Sarajevo) et des zones peuplées par des Serbes au début de la guerre et pratique une méthode dite d'épuration ethnique contre la population bosniaque.

Les efforts de la communauté internationale pour mettre fin au conflit et protéger les populations civiles sont sans résultats, malgré l'envoi de plus de 38 000 militaires aux couleurs de l'ONU. 167 hommes de la Forpronu sont tués et plus de 700 d'entre eux sont blessés, dont environ la moitié appartenant à l'armée française.

En mars 1994, un accord est signé entre les dirigeants croates et musulmans de Bosnie, sous la pression de la communauté internationale, surtout celle des États-Unis envers le président croate Tudjman. Opposées depuis près d'un an, d'avril 1992 (notamment lors des combats durant lesquels fut détruit le pont ottoman du XVe siècle de Mostar) à mai 1993, les deux communautés forment dès lors un front commun contre les Serbes de Bosnie.