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Utilisateur:Emilien renouf/Brouillon

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MAX CATRIN

Max Arthur Hector Catrin, né le à Résigny (Aisne), est un homme politique français.

Biographie[modifier | modifier le code]

Carrière professionnelle[modifier | modifier le code]

Né le 17 décembre 1921 à Résigny, dans l’Aisne, docteur en médecine, Max Catrin a exercé jusqu'à la fin de sa carrière comme oto-rhino-laryngologisteet est décédé le 2 mai 2014..

Carrière politique[modifier | modifier le code]

Membre du Centre national des indépendants et paysans, Max Catrin a été maire de La Garenne-Colombes de 1975 à 2001, il exerça trois mandats successifs jusqu'en 2001.[1].

Conseiller général des Hauts-de-Seine (canton de la Garenne-Colombes), il présida au sein du Département, la Commission de l'Équipement et de l'Environnement. Il fut également vice-président de l'office départemental HLM, aux côtés de Jean-Paul Dova, et assura la présidence du Satese (Service d'assistance technique aux exploitants de stations d'épuration), un organisme de contrôle des usines à risques quant à la pollution des eaux . Il fut à l’origine de nombreux aménagements locaux : le gymnase Marcel-Payen dans l’enceinte du stade Léo-Lagrange (1981), la Résidence pour personnes âgées (RPA) des Champs-Philippe (1981), le Calase, carrefour d’animations, de loisirs et d’activités socio-éducatives (1983), la piscine municipale (1984).

C'est sous ses différentes mandatures, que la ville de La Garenne-Colombes deviendra une cité résidentielle appelée souvent le petit Neuilly . En deux décennies cependant, cette commune a vu disparaître la quasi-totalité de ses activités industrielles au profit d'un boom immobilier.

En 1995, Jérôme Rivière présente sa propre liste soutenue par le RPR face à celle de la majorité municipale qu'il rallie pourtant au soir du premier tour[2][3]. La succession de Max Catrin en 2001 fut l'occasion de joutes inhabituelles dans cette commune. C'est Philippe Juvin conseiller municipal depuis 1983, puis maire-adjoint jusqu'en 2001 qui lui succèdera sous fond d'affaires et de polémique.[4],[5].

Prises de position et polémiques[modifier | modifier le code]

En 1991, Max Catrin fera débaptiser une des places centrales de la ville, qui portait le nom de Jean Baillet (1908-1941), résistant et communiste exécuté au Mont Valérien au profit du nom Place du Souvenir français.

En 1999 Max Catrin rejoindra les maires de France refusant de délivrer des PACS[6].

Lors de la construction de logements HLM par le Conseil Général, dans la rue commerçante de la ville, des élus et des personnes proches de la présidence du Conseil Général obtinrent des appartements lors de la mise en vente du programme. Peu de temps après, les HLM étaient requalifiés en immeubles de standing ce qui permit à beaucoup d'acquéreurs de les revendre à bon prix. [7]

Décorations[modifier | modifier le code]

  • Chevalier de l’Ordre national du Mérite
  • Chevalier de la Légion d'honneur, le

Notes et références[modifier | modifier le code]



https://books.google.fr/books?id=0V0_AQAAQBAJ&pg=PT45&dq=max+catrin&hl=fr&sa=X&redir_esc=y#v=onepage&q=max%20catrin&f=false

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Membre du Centre national des indépendants et paysans, il fut élu maire de La Garenne-Colombes en février 1975 et exerça trois mandats successifs jusqu’en mars 2001. Il fût aussi Conseiller général des Hauts-de-Seine (canton de La Garenne-Colombes) et présida, au sein du Département, la Commission de l'Équipement et de l'Environnement. Il a su accompagner le développement de La Garenne dans un contexte difficile marqué par une évolution démographique importante et la densification urbaine des Hauts-de-Seine. Son mandat fut ainsi marqué par la création de nombreux équipements témoignant de son attachement à offrir aux Garennois des services publics de qualité et, par la même occasion, un cadre de vie agréable : le gymnase Marcel-Payen dans l’enceinte du stade Léo-Lagrange (1981), la Résidence pour personnes âgées (RPA) des Champs-Philippe (1981), l’agrandissement du Foyer des Arts et Loisirs (1982), la création du Calase, carrefour d’animations, de loisirs et d’activités socio-éducatives (1983), ou encore la piscine municipale (1984). Il fut aussi un homme de paix et d’ouverture. Il contribua à renforcer l’amitié franco-allemande en signant l’acte de jumelage entre notre commune et la Ville de Wangen im Allgäu, en 1980. Fait Chevalier de l’Ordre national du Mérite puis Chevalier de la Légion d’honneur, le 14 juillet 1994, Max Catrin a su préserver, grâce à une gestion prudente et avisée, le visage à taille humaine de La Garenne. Il fut un grand défenseur de cet esprit village qui a permis à notre commune de trouver ce difficile, mais si précieux équilibre entre la tradition d’une part et la modernité d’autre part. En préservant l’avenir, il nous laisse cet héritage de grande valeur dont l’ensemble des Garennois peut être fier aujourd’hui et qu’il nous appartient de faire vivre