Utilisateur:Emeltet/Préhistoire du bassin d'Arudy

Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

La préhistoire du bassin d'Arudy est étudiée depuis plus d'un siècle, de nombreux vestiges archéologiques y ont été découverts. Huit grottes ont mis en évidence des traces d'occupation humaine datant d'un période située entre 18000 cal BP et 15000 cal BP[1] (magdalénien moyen et supérieur), les artefacts découverts sont surtout constitués d’objets sculptés en bois de renne. Contrairement à d’autres régions pyrénéennes proches, l'art pariétal est peu présent dans le bassin d’Arudy, seule une petite grotte située sur le territoire de la commune de Sainte-Colome en témoigne.

Toutes ces grottes sont situées au débouché de la vallée d’Ossau, sur le pourtour du bourg d'Arudy, à une altitude moyenne de 450 m.

Géologie[modifier | modifier le code]

Les grottes magdaléniennes se situent toutes dans le calcaire de l'aptien supérieur[2].

Paysages et végétation[3][modifier | modifier le code]

Recul des glaciers[modifier | modifier le code]

Durant la dernière glaciation, le glacier d’Ossau mesurait 38 km de long, il se terminait, au nord, dans le bassin d’Arudy en s'étalant vers Buziet et vers Sévignacq[4], de nombreux arcs morainiques caractéristiques des dépôts du front glaciaire sont visibles au nord de Bescat sur la carte géologique de la région[2].

L'extension maximale des glaciers des Pyrénées lors de la dernière glaciation se situerait aux environs de 60000 ans BP[3], ils auraient commencé à se retirer à partir de 44000 - 41000 cal BP. A la fin du XXe siècle , les scientifiques pensaient que les vallées étaient libres de glace vers 30000 - 23500 cal BP[5],[6] mais ces hypothèses ont été remises en cause après 2006, on considère maintenant que les glaciers étaient encore présents dans les vallées à une altitude 400 m vers 17500 - 15000 cal BP[7].

Evolution de l'environnement naturel durant la préhistoire[modifier | modifier le code]

L'analyse pollinique de dépôts glacio-lacustres et tourbeux s'étageant de 30000 à 16900 cal BP mettent en évidence des conditions climatiques glaciaires :

  • formation steppique à Poacées, armoises (Artemisia) et chenopodiacées (indiquant la relative sécheresse du climat[8]) avec quelques traces de végétation de type toundra, présence du pin (Pinus) et du genévrier (Juniperus) [8] ;
  • paysages très ouverts, faune constituées de chevaux, rennes, bisons, bouquetins, isards ;
  • entre 24000 et 18000 cal BP (la phase la plus froide du dernier épisode glaciaire) la température moyenne est estimée à - 5°C, les précipitations moyennes 300 mm.

Le maximum glaciaire se situerait vers 20000 BP[8], le climat se réchauffe peu à peu à partir de 17 000 cal BP.

De 16900 à 14700 cal BP, le climat reste froid, les populations d'armoise et de genévrier s'accroissent[8], le couvert forestier reste faible, le pin représente 25 % des pollens[6], les populations de chênes et de bouleaux bien que présentes, restent faibles[6], le genévrier domine (probablement Juniperus thurifera, Juniperus communis, Juniperus sabina).

A partir de 14700 cal BP, le climat se réchauffe, les glaces fondent, le niveau de la mer remonte (période Bölling : 14700 - 14075 cal BP) :

  • genévriers, bouleaux et pins se développent en premier accompagnés de Saules et d'argousier (Hippophae rhamnoides), toutes espèces héliophiles et colonisatrices[6] ;
  • les herbacées steppiques se raréfient ;

Vers 14 000 BP, la couverture forestière, surtout constituée de pins[6], s'accroit, bouleaux, genévriers et poacées déclinent, les chênes caducifoliés apparaissent[8] (période Alleröd : 14075- 12895 cal BP).

Vers 11700 cal BP, les espèces héliophiles se raréfient, remplacées par des feuillus caducifoliés (chêne et noisetier), c'est le début de l'holocène.

Du mésolithique au néolithique (8200 - 5100 cal BP), l'environnement forestier est dominé par le noisetier (Corylus) s'enrichissant peu à peu en chêne (Quercus). Les céréales apparaissent au néolithique moyen[9].

Le Hêtre déjà présent vers 7300 - 6800 BP se répand fortement à partir de 4000-3800 BP grâce à une nébulosité favorable à son développement. Le Sapin ne colonisera les Pyrénées occidentales que vers 4900-4800 cal BP[6]. Les premiers châtaigniers apparaissent vers 4500 BP, le noyer vers 2000 BP[6].

Etude palynologique[10] : Mise évidence de l’évolution de la végétation depuis le retrait glaciaire Würm jusqu’à l’antiquité :

  • 7000 BP : phase à Corylus (noisetier), Quercus (Chêne), Ulmus (Orme), Pinus (Pin)
  • Alnus (Aulne) en développement avec apparition du Frêne (Fraxinus) puis du tilleul (Tilia) vers 5750 BP.

Végétation à la protohistoire[modifier | modifier le code]

Du néolithique final au bronze moyen (5100 - 3650 cal BP), les boisements restent dominés par le noisetier, des indices de feux apparaissent, la proportion de noisetier et de chêne diminue au profit des céréales et des herbes de pâturage[9].

Du bronze moyen à l'age du fer (3650 - 2250 cal BP), on constate un impact anthropique croissant (feux pastoraux et écobuages), la fréquentation par le bétail apparait au bronze final[9].

Occupation humaine durant la préhistoire[modifier | modifier le code]

Magdalénien[modifier | modifier le code]

L’occupation magdalénienne du bassin d’arudy a été mise en évidence lors de nombreuses fouilles qui se sont déroulées depuis la deuxième moitié du XIXe siècle jusqu’à présent. Les groupes qui se sont installés dans cette région l’ont fait aux magdalénien moyen et supérieur ( de 18 000 BP à 15 000 BP). Beaucoup d’œuvres d’art ont été découvertes (grotte d’Espalungue et de Saint-Michel) mais peu d’art pariétal.

Installation des premiers hommes à l'époque magdalenienne[11].

Datation des objets découverts par le projet Magdatis[12][13]

Projet Magdatis[14]

Les grottes se situent entre 450 et 500 mètres d’altitude[1] :

  • grotte d’Espalungue (fouilles Garrigou et Martin en 1864, fouilles d'Edouard Piette en 1907, Marsan 1985, puis autres chercheurs)
    • harpons plats perforés en ramure de cerf et ramures de rennes, aiguilles, pointes à base fourchue, spatules, gravures à contours découpés, gravures de têtes de cheval enchevêtrées, rondelles, objets en ivoire, sculptures en ronde bosse[15]
    • fouilles du marquis de Nadaillac de 1874 à 1884[15]
    • pointe de sagaie 16500 BP[16])
    • trois pièces d'art mobilier de la grotte d'Espalungue à Arudy[17]
    • contour découpé et incisive taillée de cheval : les contours découpés en tête de cheval apparaissent dans d'autres gisements (Mas d'Azil, Lortet, Gourdan, Labastide, Lourdes-Espélugues, Arudy-Saint-Michel, Isturritz) et plus largement dans des gisements situés entre Loire et Pyrénées, ils sont caractéristique du magdalénien moyen évolué[18]
    • Baguette demi-ronde décorée posant le problème des relations entre sculpteurs de Dordogne et sculpteurs de Pyrénées[15]
    • cloturé en 1985[19]
    • occupation humaine néolithique et magdalénienne[19]
      • abondance de matériel lithique magdalénien (microéclats, lamelles, chutes de burins, grattoirs, racloirs, lamelles à dos, etc.) taillé sur place
      • faune tardi-glaciaire (cheval, renne, bouquetin, présence du cerf, grand bovidé, isard))
      • datation du niveau magdalénien en 1986 : 13000 BP[19]
  • grotte de Saint Michel (fouilles Mascaraux 1910)
    • propulseur 16000 BP[20]
    • Industrie osseuse de la grotte Saint-Michel d'Arudy : inventaire de la collection Félix Mascaraux[21]
      • fouilles réalisées par Félix Mascaraux à partir de 1888
      • petite grotte ouverte vers le N-N.E dans massif calcaire
      • description et plan de la grotte (12 m de large, boyau débouchant sur deux salles et une salle basse dénommée "le puits"
      • ossements de cheval, de bœuf, de renne, de renard
      • sculpture représentant une tête d'équidé publiée par Edouard Piette en 1907 (planche LXXXVIII n° 1)[22] découverte dans le puits
      • première salle : harpons, aiguilles, flèches à base fourchue, pointes de trait à base en double biseau, andouillers de cervidés débité et silex taillés
      • deuxième salle : belles pointes de javelines, pointe cylindrique avec gravure en champlevé, armatures de sagaie, omoplates à rondelles découpées, tête de cheval découpée et gravée, rondelles d'os gravées, statuette en bois de renne, sagaies à petites barbelures (voir planches LVII à XCIII de l'album d'Edouard Piette[22])
      • les déchets de fabrication analysés par Geneviève Marsan démontrent que les objets ont été sculptés sur place
      • en conclusion datation objets aux magdaléniens moyen et supérieur
  • grotte de l’ermite (P. de Mortillet 1912, p 127)
  • deux grottes de Malarode (fouilles Fonteneau 1922, fouilles de G Laplace, Marsan 1985)
    • datation 14000-13000 BP (datation 1986 du niveau magdalénien)[19]
  • grotte du Poeymaü (fouilles de G Laplace 1953, Livache et al 1984)
    • foyers magdaléniens et aziliens, dépôt à Helix découvert en 1958 (Sauveterro-Arudien) par G. Laplace[23];
    • datation du niveau magdalénien en 1986 : 12000 bp[19]
  • abri du Bignalats (découverte en 1967, sondée en 1968 par G. Laplace, fouilles de G Laplace 1981, Altuna et Marsan 1986, Marsan 1988)[23]
    • dépôts à Helix, néolithique tardif (céramique) industrie microlithique
  • grotte Laa 2 (Dumontet et Pétillon 2012) et 3 7,8 ,9 : la séquence la plus complète[24] [25][26]
    • angle NE du massif de Garli, entrée au Nord, à 100 m au sud de la grotte Laplace (grotte sépulcrale) restes de faune des 26e et 24e siècles BC
    • occupation néolithique final (3ème millénaire avant notre ère) second age du fer et période antique
    • Travaux de Geneviève Marsan : http://www.revue-pyrenees.com/spip.php?rubrique147 Grotte d’Habarra : nombreux restes animaux (https://paleo.revues.org/1362)

Grotte Samson (Mortillet 1912 p 127, Minvielle 1970 p 307)

Dessin des objets : Édouard Piette, L'art pendant l'âge du renne , Paris, Masson, 1907.[22]

L’art pariétal[1][modifier | modifier le code]

La grotte Tastet de Sainte Colome fait l’objet d’un projet de recherche depuis 2007, d’autres sites du bassin d’Arudy sont étudiés dans le cadre du projet Magdatis, ces études permettront d’affiner la chronologie de l’occupation magdalénienne dans cette région[1].

Voir

L'occupation tardiglaciaire de la basse vallée d'Ossau http://traces.univ-tlse2.fr/accueil-traces/equipes-et-poles-de-recherche/equipe-smp3c-societes-et-milieux-des-populations-de-chasseurs-cueilleurs-collecteurs/la-grotte-tastet-a-sainte-colome-220026.kjsp

Azilien[modifier | modifier le code]

Grotte d'Espalungue (Piette 1907)

Poeymaü (Laplace 1953, Marsan 1979b)

Bignalats (Marsan 1988)

Mésolithique[27][modifier | modifier le code]

Azilien attesté en grotte d’Espalungue (assise à harpons plats perforés en ramure de cerf)[1], au Poeymaü et probablement au Bignalats

La grotte d’Espalungue a également révélé des traces d’occupation humaine de culture azilienne puis prénéolithique (10000 BP – 6800 BP), en particulier sur les sites de Poeymaü et du Bignalats

Le site de Poeymaü a été découvert en 1922 par Bassier, il est fouillé clandestinement dans les années 1930 et les fouilles scientifiques ne démarreront réellement qu’en fin des années 1940 et durant les années 1950, elles seront effectuées sous la direction de Georges Laplace. Il met en évidence trois niveaux stratigraphiques rattachés au mésolithique. Les fouilles reprennent de 1968 à 1973 et surtout à partir de 1978, jusqu’en 1987, période durant laquelle l’équipe de Michel Livache effectue une datation précise des artefacts découverts. Il met ainsi en évidence 6 niveaux stratigraphiques mésolithiques et 3 niveaux néolithiques.

Le site du Bignalats a été découvert en 1968 par M. Fabre, maire d’Arudy, il est fouillé de cette date à 1973 par Geneviève Marsan.

Grotte de Poeymaü : ensemble mésolithique à niveaux riches en microlithes. Découverte de poteries du néolithique (grotte de Poeymaü : gisement de référence des Pyrénées occidentales du Magdalénien à l’age des métaux).

Présence d’escagotières (Helix)

Abri du Bignalats : occupation magdalénienne (G. Laplace) puis occupation mésolithique : industrie microlithique et laminaire. Les matériaux (silex, chert noir) proviennent des sédiments glaciaires et fluvio-glaciaires du massif des Eaux bonnes et des gorges du Bitet, crital de quartz de la vallée d’Ossau.

Sites du bassin d’Arudy comparables au site d’Ithelatseta à Aussurucq (Ebrard, 1980) et au site d’Aizpea (Zerain?) en Navarre

Conclusion : « phase ancienne à lamelles à dos, protogéométriques et géométriques, phase moyenne à enrichissement en double dos tronqués, triangles et trapèzes, phase finale prénéolithique (Livache 2008) à «triangles de Coincy », «trapèzes de Châteauneuf» et géométriques sur lamelles larges ».

  1. a b c d et e Diego Garate, Olivia Rivero, Raphaelle Bourrillon et Jean-Marc Pétillon, « L'art pariétal de la grotte Tastet (Sainte-Colome, Pyrénées-Atlantiques) : au carrefour des traditions artistiques tardiglaciaires. », Paléo, Revue d'Archéologie Préhistorique, Société des amis du Musée national de préhistoire et de la recherche archéologique - SAMRA, no 24,‎ , p. 103-120 (lire en ligne)
  2. a et b « Infoterre », sur http://infoterre.brgm.fr (consulté le )
  3. a et b Jalut, G. et Turu i Michels, La végétation des Pyrénées françaises lors du dernier épisode glaciaire et durant la transition Glaciaire-interglaciaire (Last Termination), Puigcerda, (lire en ligne)
    in J.M. Fullola, N. Valdeyron et M. Langlais (dir.), Els Pirineus i les àrees circumdants durant el Tardiglacial. Mutacions i filiacions tecnoculturals, evolució paleoambiental. Homenatge Georges Laplace. XIV Col·loqui internacional d'arqueologia de Puigcerdà, 10-11 XI 2006, Institut d'Estudis Ceretans.
  4. Andrieu-Ponel Valérie, Hubschman Jacques, Jalut Guy et Hérail Gérard, « Chronologie de la dégladation des Pyrénées françaises. Dynamique de sédimentation et contenu pollinique des paléolacs ; application à l'interprétation du retrait glaciaire. », Bulletin de l'Association française pour l'étude du quaternaire, vol. 25, nos 2-3,‎ , p. 55-67 (lire en ligne)
  5. G. Jalut, D. Galop, J.M. Belet, S. Aubert, A. Esteban Amat, A. Bouchette, J.J. Dedoubat et M. Fontugne, « Histoire des forêts du versant nord des Pyrénées au cours des 30000 dernières années », J. Bot. Soc. Bot. Fr. 5,‎ , p. 73-84 (ISSN 0181-1789, lire en ligne)
  6. a b c d e f et g Guy Jalut, « Les principales étapes de l'histoire de la forêt pyrénéenne française depuis 15000 ans », Monografias del Instituto Pyrenaico Ecologia, Jaca,‎ , p. 609-615 (lire en ligne)
    Homenaje a Pedro Montserrat 4
  7. Guy Jalut et Valentin Turu i Michels, « Le dernier cycle glaciaire-interglaciaire dans les Pyrénées : englacement, climat, végétation », Colloque Pyrénées d'hier et d'aujourd'hui organisé à l'Université de Pau et des Pays de l'Adour,‎ , p. 145-162 (lire en ligne)
    Colloque Pyrénées d'hier et d'aujourd'hui organisé à l'Université de Pau et des Pays de l'Adour
  8. a b c d et e Jalut G., Montserrat Marti J., Fontugne M., Delibrias G., Vilaplana J.M. et Julia R., « Glacial to interglacial vegetation changes in the northern and southern Pyrénées : déglaciation, végétation cover and chronology », Quaternary Science Reviews, vol. 11,‎ , p. 449-480 (lire en ligne)
  9. a b et c Carole Cugny, Apports des microfossiles non-polliniques à l'histoire du pastoralisme sur le versant nord Pyrénéen : entre référentiels actuels et reconstitution du passé, Toulouse, Université Toulouse 2, (lire en ligne), p. 220-224, 240-244
    Thèse de doctorat en Géographie
  10. Geneviève Marsan, « Les gisements mésolithiques d'Arudy (vallée d’Ossau, Pyrénées nord occidentales) », Monografías Arqueológicas,‎ , p. 256-278 (ISBN 978-84-92522-07-1, lire en ligne)
  11. Jean-MarcPétillon et al, « The human occupation of the northwestern Pyrenees in the Late Glacial: New data from the Arudy basin, lower Ossau valley », sur https://www.sciencedirect.com, (consulté le )
  12. https://anr.fr/Projet-ANR-11-BSH3-0005
  13. « Magdatis project », sur http://univ-tlse2.academia.edu (consulté le )
  14. Véronique Laroulandie, Sandrine Costamagno, Mathieu Langlais et Jean‑Marc Pétillon, « L’œuf ou la poule ? Retour sur le projet Magdatis « Le Magdalénien de la façade atlantique face aux changements environnementaux » », Quaternaire, vol. 28, no 2,‎ (lire en ligne)
  15. a b et c
    Marsan Geneviève et Blanc Claude, « Note sur une baguette demi-ronde décorée de la grotte d'Espalungue à Arudy (Pyrénées Atlantiques) », Cahiers du Groupe Archéologique des Pyrénées occidentales, no 3,‎ , p. 77-83 (ISSN 0753-0323, archeolandes.com/documents/gapo3.pdf)
    Dessins de Pierre Laurent
  16. http://www.culturecommunication.gouv.fr/Regions/Drac-Occitanie/Ressources-documentaires/Galeries-de-videos/Biographie-s-d-objet-s-date-s
  17. Geneviève Marsan, « Trois pièces d'art mobilier de la grotte d'Espalungue (Pyrénées atlantiques) », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 77, no 6,‎ , p. 181-187 (lire en ligne)
  18. Marsan Geneviève et Blanc Claude, « Note sur un contour découpé et une incisive de cheval taillée découverts récemment dans la grotte d'Espalungue à Arudy (Pyrénées Atlantiques) », Cahiers du Groupe Archéologique des Pyrénées occidentales, no 3,‎ , p. 69-76 (ISSN 0753-0323, www.archeolandes.com/documents/gapo3.pdf)
    Dessins de Pierre Laurent
  19. a b c d et e Rigaud Jean Philippe, « Aquitaine », Gallia préhistoire, vol. 29,‎ , p. 252-255 (ISSN 2109-9642, lire en ligne)
  20. http://www.culturecommunication.gouv.fr/Regions/Drac-Occitanie/Ressources-documentaires/Galeries-de-videos/Biographie-s-d-objet-s-date-s
  21. Marsan Geneviève, « L'industrie osseuse de la grotte magdalénienne de Saint-Michel d'Arudy (Pyrénées Atlantiques) : essai d'inventaire de la collection Félix Mascaraux », Cahiers du Groupe Archéologique des Pyrénées occidentales, no 3,‎ , p. 41-68 (ISSN 0753-0323, www.archeolandes.com/documents/gapo3.pdf)
    Nombreux dessins de fragments de sagaie, de harpons, d'aiguilles, ...
  22. a b et c Edouard Piette, L'art pendant l'age du renne, Paris, Masson, (lire en ligne)
  23. a et b Bordes François, « Aquitaine », Gallia préhistoire, vol. 15,‎ , p. 495-496 (ISSN 2109-9642, lire en ligne)
  24. François Réchin et Patrice Dumontier, « Arudy – Grotte de Laà 2 », ADLFI. Archéologie de la France - Informations, Aquitaine,‎ (lire en ligne)
  25. François Réchin, Patrice Courtaud et Patrice Dumontier, « Arudy – Grotte de Laà 2 », ADLFI. Archéologie de la France - Informations, Aquitaine,‎ (lire en ligne)
  26. Dumontier Patrice, Normand Christian, Pétillon Jean-Marc et Réchin François, « Arudy Laa 2 », Bilan Scientifique Régional Pyrénées Atlantiques,‎ , p. 143-145 (lire en ligne)
  27. Geneviève Marsan, « Les gisements mésolithiques d’Arudy (vallée d’Ossau, pyrénées nord occidentales) », El Mesolítico Geométrico en la Península Ibérica, Monografías Arqueológicas, no 44,‎ , p. 259-278 (ISBN 978-84-92522-07-1, lire en ligne)