Utilisateur:Bordeaux3/Option histoire contemporaine de 1914 à 1945

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Mémoire de la Guerre[modifier | modifier le code]

Une volonté d'oublier, ruine, atrocité, etc : volonté de reconstruire et repartir. Mais volonté également d'en tirer les leçon.

Les monuments aux morts[modifier | modifier le code]

Sont des monuments funéraires, patriotiques, symboles de l'effort passé, servent à commémorer les morts aux combats. Idée apparue déjà dès 1870. Mais il se fait ici à une échelle beaucoup plus grande. Chaque commune de France (36 000 en 1918) a un monument aux morts qui est édifié d'abord spontanément, puis officialisé et encouragé par l'état, avec des subventions fonction de l'effort de glorification patriotique.
S'inscrivent dans une frénésie commémorative des années 20 (plaque commémorative dans entreprise, maison, etc).
Diversité de formes : stèle, pyramide, obélisque, statut de soldat, coq, allégorie de Marianne, de l'ange de la victoire, de civils (femmes, enfants). Généralement accompagné d'un épitaphe rendant compte du désastre (Gloire à nos Héros/Morts/Sacrifiés) et liste alphabétique ou chronologique : l'ordre hiérarchique n'est pas retenu, les hommes sont morts ensemble et mêlés. Généralement placé sur la place communale, mairie, cimetière : un point symbole de la communauté.
Diversité régionale : Sévène, sobre, une plaque. Dans le nord, plus touché, les monuments sont beaucoup plus expressifs, souvent traitant des civils touchés; au sud des soldats. Mais aussi des "pacifiques" ("Maudite soit la guerre"). Ce sont des œuvres (d'art ?) au souvenir de la guerre.

Célébration de la victoire[modifier | modifier le code]

La première célébration se fait le 14 juillet 1919. Mais spontanément, des cérémonies se font le 11 novembre à 11 heures. Puis, les années 20 décident de faire un jour férié pour célébrer la victoire, ce sera le 11 novembre (choisi en 1922).

Les soldats inconnus : L'on souhaite dédier quelque chose aux soldats perdus, mais anonyme enterré. Un corps de Verdun, le 11 novembre 1920, est déplacé et posé sous l'Arc de Triomphe.

Circuits touristique de champs de bataille[modifier | modifier le code]

En 1916, l'État décide d'organiser des circuits touristiques des champs de bataille majeur dit "Pélerinage" (ex : Guide Michelin des champs de bataille, 1917). L'objectif est multiple : patriotique, montrant à l'arrière l'effort national ; mais aussi partisan, encourageant au pacifisme (1918) ; redynamiser les régions locales (reconstruire les infrastructures). Une proposition de préserver les ruines est finalement repousser par les municipalités locales (volonté de reconstruire), comme à Verdun.
Cette idée de tourisme s'effondre d'elle-même : les gens se dirigeant spontanément vers le soleil, plutôt que la nostalgie d'une guerre trop longue.

Les Anciens-combattants[modifier | modifier le code]

Vont s'organiser pour défendre leur intérêts, ex L'UNC Union Nationale des Combattants (plutôt droite), et l'union Association républicaine des Anciens combattants ARAC, Obtenir des pensions de guerre, et se constituer en groupe de pression (politique étrangère plus pacifiste). Dans la société, ils se mutent en "prêtre commémoratif de la guerre", formant à une éducation pacifique.

La mémoire de la guerre hante l'esprit des français, expliquant leur pacifisme viscérale de 20-40 ; mais pacifisme patriote, ne reniant nullement la guerre, mais en tirant les leçons.

Crise et résistance de la république française de l'entre deux guerres[modifier | modifier le code]

Connaitre-établir l'oscillation des majorités 1914-1939

Léon Blum ; Édouard Herriot ; Pierre Laval

Démocratie : système politique où sont garantie les libertés fondamentales ; égalité entre individus ; suffrage universel ; et où existe le pluralisme politique.
Chaque démocratie à sa démocratie : la 3e république française, la monarchie constitutionnelle anglaise, et la république américaine etc.

Le modèle républicain français[modifier | modifier le code]

La république s'est insinuée depuis 1870, s'imposant dans les années 1875. Elle n'est pas que des institutions, mais aussi des valeurs morales, un projet social, qui en font un modèle en adéquation avec les structures et aspirations de la société française des années 1870-1880.
Valeur philosophique :

  1. Le positivisme de Auguste Comte : suprématie de la raison, du rationnel. C'est par la nature positiviste des dirigeants républicains que la république va combattre l'influence de l'Église.

L'individu ne peut être libre que s'il atteint un certain degré de connaissance, d'où une école laïque et obligatoire (Lois Jules Ferry), menant à des citoyens éclairés. Ordre et progrès, l'on peut faire progresser la société sans bouleversement radical. Ce n'est pas révolutionnaire mais réformiste.

  1. Le Néo-Kantisme (Emmanuel Kant) : ([...] de chaque individu]), et le principe de la loi morale, l'école, l'apparition de citoyens éclairés les rendant responsables.
  2. L'héritage des lumières : la liberté de l'individu, nécessité de l'égalité en droit ; l'idée de souveraineté nationale, donc par suffrage universel et souveraineté devant déterminer ses lois.

La république française est un édifice en construction, permettant l'évolution calme du tout.

Le système institutionnel : la souveraineté nationale par le suffrage universel, qui est l'expression de la volonté nationale. Le parlement (Chambre des députés et Sénat) représente la nation. Le pouvoir exécutif est redevable au parlement

La théorie de l'ordre et du progrès a encourager à mettre en place un Sénat en contre pouvoir de la chambre des députés.

Les principes précédents expriment les aspirations nationales, et la méfiance envers l'exécutif, d'où un président surtout symbolique.

Le modèle républicain de la 3e République[modifier | modifier le code]

Rappel : 1-Le comtisme, 2-le NéoKantisme : l'homme doit être libre, Loi morale : l'homme est libre s'il se fixe des lois morales universelles. 3-Philosophie des lumière, : liberté, souveraineté nationale, donc suffrage universel.

1 suffrage universel 2 Parlement (député et Sénat), représentant de la nation 3 Méfiance face au pouvoir exécutif Ceci explique crise du 16 mai 1876, instabilité des gouvernements, L'importance du Sénat (élections indirect), contrepoids au pouvoir de la chambre des députés. "Ordre et progrès" encouragent à une évolution lente, maîtrisée par un sénat (créer une masse inertique).

A Projets sociaux de la 3e république[modifier | modifier le code]

Politique de promotion sociale, par petit pas, avec approbation générale, sans heurt majeur. (Comtisme : principe de l' Ordre et du Progrès). Seuls les individus méritants peuvent accéder à un progrès social.

L'école doit permettre aux élèves les plus méritants d'accéder à un niveau social, un statut plus élevé. Des bourses sont accordées pour sponsoriser les bons élèves de primaire dans le lycée payant.
La réussite sociale ne s'obtient que par le travail et l'épargne. Aides-toi et le ciel t'aidera.

3 idée : système libéral, dans lequel l'état ne doit pas intervenir sauf pour corriger les excès du libéralisme. C'est le Solidarisme avec "Léon Bourgeois" (1910 : Pour une société des nations)

Le modèle républicain, lorsqu'il s'instaure, est en adéquation avec les structures et aspirations françaises de l'époque. Dominé par 50% de classe moyenne : Salariés (fonctionnaires, etc), indépendants (médecins, épiciers, etc.) ; les politiques en défendent les aspirations => adéquation. Ce modèle est à son apogée vers 1910, après les grandes crises. Il y a un consensus entre élites, société, et partis pour défendre ce modèle. La croissance économique aide aussi.

Crise d'après (grande)Guerre[modifier | modifier le code]

Dans l'après guerre…

  • La déstabilisation de l'économie et de la société française :

La Grande Crise des années 30, la chute de la production industrielle de 1931 à 1935, la production et la PNB diminue tous deux d'un tiers. Cette crise déstabilise le modèle républicain, la crise est plus puissante que le travail et l'épargne. Les ouvriers sont touchés, mais la classe moyenne également.

  • Sclérose de la République :

Instabilité gouvernementale, qui se fait éjecter dès que la chambre s'oppose à lui. de 1919 on compte une 30aine de gouvernements, durant souvent moins d'un an.à 1939. Cela s'explique par la multiplicité des groupes politiques… trop de types, un morcelement des partis où chaque faction joue pour elle.

Ex : le cartel des gauches, 1924 : gagne. repose sur une coalition de factions Socialistes-Radicaux. Or, elles s'oppose tant en écomie qu'en sociale. Les Socialistes sont plus interventioniste, les radicaux plus libérale. 1926 voit l'éclatement de l'alliance. Le Front Populaire de 1936 succombe de la même manière.

Il reste cependant les mêmes ministres, Aristide Briand -de gauche- reste ministre des affaires étrangères de 1925 à 1932. Il y a aussi décalage entre les votes et les majorités au pouvoir. Les va-et-vient gouvernementaux sont le fruit des luttes parlementaires. 1924 : gauche (élection) 1926 : droite 1932 : gauche 1934 : droite 1936 : gauche (élection) 1937 : droite.

  • Incapacité des gouvernement à trouver une solution aux crises
  • Crise du parti radical

Le parti Radical était le pivot majeur d'avant guerre, conserve son role dans l'entre deux guerres, 175/550 députés. Est dominant, mais non majoritaire. Il y a donc instabilité des Radicaux, puisqu'il doit constament prendre les couleurs de ses alliés du moment pour constituer une majorité gouvernementale. La droite est trop cléricale et trop agressif sur l'étranger -très ferme-, les Socialistes trop avancé. Le parti Radical devient un facteur d'instabilité : mobilisant le pouvoir sans le stabiliser. Le Parti radical s'oppose par exemple au vote des femmes (supposé influencé par les curés).

  • Poussées Régime-icide :

Les partis anti-3e république. Les communiste, plus interventionisme, 1924 : 10% des suffrage, 1936 : 15% des suffrages. La monté de l'extrème droite.

Un modèle contesté[modifier | modifier le code]

Les contestation interne : réforme de l'État en France[modifier | modifier le code]

N'est pas une idée nouvelle, mais s'affirme au vu des crises constater.

  • Le pouvoir exécutif est brimer par le législatif : renforcer l'exécutif face au parlement, renforcé les pouvoir du Président du Conseil des ministres
  • Le parlement (Chambre des députés et sénat) ne représente pas assez la nation : droit de vote aux femmes, idée d'enrichissement par des représentant thèmatique (syndicat, patronat).

Il faut conserver le cadre politique mais l'améliorer. Léon Blum et ses Lettres sur la réforme gouvernementale (1918) où il encourage au renforcement du président du conseil, et le renforcement du gouvernement face au parlement proposant que la motion de censure passe de Majorité relative à absolue. [...] Révision complète de la constitution, renforcement de l'exécutif, revision du parlementarisme. Qui, quels groupes de préssions : Anciens combattant, hommes de droites, Ligues d'extrème droite, certaines forces de gauche très minoritaires, les jeunes Turc, les "Néo-socialiste".

3 tentative de réforme :

  1. le Mouvement 4e république, 1920, jounalistes, universitaires, hommes politique : révision de la constitution. échec
  2. 1923-1924 : fin de la majorité du Bloc national, Alexandre Millerand demande au électeur de voté pour le Bloc National et par là pour la révision de la constitution (discours d'Évreux (1923)). Mais cette intervention est considéré par le cartel des gauches comme "outrepassant ses droits", et il doit démissionner.
  3. Crise du 6 février 1934 :le president de la république a fait appel a un radical insoupçonnable E. Daladier (reflexe de défense républicain) ainsi que le renvoit de Chiappe ( prefet de police sympathisant de la droite)le 3 fevrier déclenchent la colère des ligues qui manifestent le 6 fevrier pour empécher l'investiture de Daladier qui sera tout de même investit mais Henriot leader du parti radical "lache" Daladier car il souhaite l'union nationale plutot que la defense de la rep. le 7 fevrier Daladier démissionne.Le psdt de la Rep. fait appel à l'homme fort:Gaston Doumergue mise en place d'une commission parlementaire Reynaud propose une révision des institutions françaiseinspiré des théories de Tardieu " Le souverain captif"1934.
  • Renforcer l'Exécutif en renforçant les pouvoir du président du conseil. Appeler le chef du conseil Premier ministre. Réinstaurer un droit de Dissolution.
  • Rationaliser le travail parlementaire : lutter contre l'indiscipline de groupe parlementaire.
  • [...]de forces économique au sein du parlement, il propose meme la suppression du Sénat au profit d'une chambre Synicaux-Patronale.
  • Élargir le droit de vote.

Échoue du fait des maladresses de Gaston Doumergue, qui annonce ceci à la radio sans en avoir parler aux autres.

Les différentes raison de cet échec :

  • ces réformes tournes uniquement dans les cercles politiques, l'opinion n'est pas prise en jeu.
  • Le peu d'implication des personnalités de poids. (hormis Doumergue et Milleyrand)
  • Les réforme ne semble pas etre une priorité.
  • L'extrème droite étant révisionniste décribilise cette idée
  • La crainte d'un éxécutif fort demeure.

Le système sclérose ne parvient pas à évoluer.

Constestation externes : concurence des autres modèle[modifier | modifier le code]

Les models concurents communiste, Faciste, et ....

  • Model Communisme :

un opposer au model républicain libérale. L'égalité doit primer sur la liberté. Égalité juridique et sociale. Une société sans classe, avec meme revenues, etc. Il faut une démocratie direct, et non representative. La démocratie constitue un model bourgeois, accaparant le pouvoir au nom du peuple, exploitant les prolétaire. C'est aussi un régime, en Russie, avec l'URSS (1922). et le PCF créer au congrès de Tours, cission de la SFIO, les adhérent créer le PCF alors que les notable de la SFIO y reste. Est un parti révolutionnaire, guidé par moscou, sans autonomie. Ses début sont difficile, leur stratégie est floue. Jusqu'a 1928 il fonde ses structures, et épure ses rangs. Il devient partisant de la politique de Classe contre classe, opposant de la droite et des sociaux-traitres de la SFIO. C'est une histoire agité, entre chef, entre tendance, le PCF à peu d'adhérent. Peu d'élus au parlement, 26 en 1924 , 12 en 1932 (réforme électorale défavorable). Il défend l'Anti militarisme, le pacifisme, internationalisme, anti-colonialisme (guerre du rift), anti-cléricalisme. Les partisants sont surtout ouviers, implanter dans les zones industrielles, Paris, nord. Les Syndicats également se divise avec la création de la CGTU. Le Communisme a également un fort écho dans les milieux intellectuels français.



[[[[Manque cours Lundi 14 fev 2005 => cahier Géo]]


Lundi 21 février[modifier | modifier le code]

(titre de leçon)[modifier | modifier le code]

Communisme[modifier | modifier le code]

  1. L'hostilité de la pop envers des partis "pro-étranger"
  2. Stratégie nouvelle du PCF : 1934. On excepte de s'allier contre le fascisme -extérieure comme intèrieure-. Cela permet l'émergence de Front Populaires : s'allier avec la gauche (SFIO et Parti Radical ) contre les fascistes. Et s'allier aux nations amies. Le communisme s'engage dans le modèle républicain. Le PCF connait ainsi une audience grandissante
fin 1936 : 235 000, et 72 députés.
fin 1938 : 320 000 adhérents.

L'alliance du Rassemblement Populaire remporte les législatives d'avril 1936, et mise en place d'un gouvernement de front politique -de Léon Blum-, mais ne contenant que des SFIO et Parti Radical.
Le PC ne veut pas effrayer la population de droite et nuire à cette grande gauche, mais divergent sur les questions sociales et de politique étrangères -l'Espagne- font que le PC est très critique face au gouvernement de front populaire. Dès 1938 : le front populaire éclate.

La stratégie PCF n'est pas claire, et reste un parti isolé, révolutionnaire. Mais réussit à se dédiabolisé, et à assoir son poids politique. 1938 la ramène vers son idéal de parti révolutionnaire d'opposition. Le Pacte de neutralité All-Russie est l'exemple de ce retournement.

Menace d'extrême droite (minime)[modifier | modifier le code]

Restent des mouvement PPF (Parti Populaire Français, Jacques Doriot), comptant 60 000 adhérent en 1936. Un parti avec peu d'audience et peu de crédibilité, notamment du fait de J. Doriot, à l'image d'un homme corrompu. Les mouvement d'extrême droite constitue une nébuleuse sans réelle organisation. Certaines ligues s'assagissent également : Les croix de Feu, ligue d'ancien combattant (créée en 1927, interdite de 1936), renait sous le PSF (parti social français) : 800 000 adhérents. Mais ce parti rompt avec tout les autres partis d'extrême droite, se met a jouer dans le système républicain dont il demande cependant un renforcement de l'exécutif.

Crise du 6 février 1934 : Contexte de crise économique (1931), déstabilisant la société française et sa classe moyenne, de crise politique avec l'instabilité gouvernementale, son incapacité a trouver des solution économique, ainsi qu'une série de scandale politico-financier. L'affaire Oustrique (1929-1931) : un banquier ayant développé sa bank par des soutient politique. L'affaire Stavisky (1933-1934) : crapule d'origine russe, créant le Crédit municipale de Bayonne, et édite des faux bon de caisse, bon au porteur. La banque fait faillite, mais on découvre qu'il bénéficiait de soutient politique (Camille Chiotant : président du conseil). Stavisky est retrouver mort dans sa villa, en 1934, ce qui engendre les soupçon d'une volonté de le faire taire. Chiotemps doit démissionner, et est remplacer (1934) par Daladier. Il limoge le Préfet de Paris Chiappe, trop peu énergique lors de l'affaire Stavisky. Il place un préfet avec une volonté plus répressive envers les ligues. Le 6 février, jour d'investiture du Conseil de Daladier, les ligues viennent manifestés. Les Croix de feu, les Jeunesse Patriote (1924), l'Action française (monarchiste), et la Solidarité française. La manifestation dégénère en émeute, place de la concorde. Une quinzaine de mort et plus d'une centaine de blessés. Perçu comme une tentative de coup d'état fasciste. C'est cela qui catalysera le rassemblement des gauches. Pourtant, on constate que ces ligues ne souhaités pas un renversement de régime. Les Croix de feu se retire dès les premier dérapage. Elles souhaitent réformer la république. Le gouvernement Daladier démissionne. Gaston Doumergue engage des réformes de l'État, mais cela n'aboutit pas.

Il y a une mobilisation contre le fascisme, notamment 1933-1934, du fait d'Hitler et de la Crise du 6 février 1934. Mobilisation lancé par les élites intellectuels "Comité de Vigilance Anti-faciste". Notamment "Alain", politique et philosophe du partis radical, et Paul Rivet, ethnologue de la SFIO, et Paul Langevin, physicien du PCF. Mais aussi des hommes de la droite modéré Georges Bermanos. Le CVA crée une revue hebdomadaire : "Vendredi". Mais il y a instabilité dans cette coalition.

Bilan : oppositions ont une audience limité.

Une culture républicaine Solide[modifier | modifier le code]

  1. Économie et société sont déstabilisé -Grande guerre, crise de 1931- mais une déstabilisation modéré. Les effet de cette déstabilisation sont moi violent qu'en Allemagne et l'Italie. La France ressort du coté des vainqueur. Il n'y a pas de frustration d'importance.
  2. En Allemagne, la république est issue et attaché à la défaite, et la crise économique est extrêmement violente.
  3. Le poids de la culture républicaine en France, repoussant un exécutif fort.

Un modèle républicain s'adaptant et se modernisant[modifier | modifier le code]

Renforcement de l'Exécutif[modifier | modifier le code]

Renforcement de l'Exécutif est peu républicain mais nécessaire a la bonne marche du régime. Ce renforcement fut commencé lors de la première guerre, et est vu comme source de stabilité/

  • Le décret-loi (1924) :

Le gouvernement peu décidé de faire accepter une loi sans le vote du parlement, permet d'éviter les discussion parlementaire. Se renforce durant la crise économique.

  • Renforcement du président du conseil :

Le gouvernement s'entoure d'un Braintrust -de techniciens, spécialiste, etc- notamment Moch et Mendès-France.

  • L'avènement de la radio :

Permet l'avènement d'une démocratie direct, s'adressant directement au peuple, et permet la personnalisation du pouvoir. 1929 : 500 000 postes. 1935 : 1 500 000 postes. André Tardieu est le premier à utiliser l'outils-radio, il modernise le jeu politique français (copiant USA). Renforcement de l'Exécutif est nécessaire, mais le parlementarisme reste la référence.

Un modèle Républicain plus représentatif[modifier | modifier le code]

Une meilleur représentation des intérêts professionnels : le Conseil Nationale économique, sorte de parlement économique, regroupant des fonctionnaire, des ministre, et des représentant patronaux et syndicaux. Il doit étudier et résoudre les grand problème économique de la nation. Le CNE guide l'état dans ses décisions.

La question du scrutin, le mode de scrutin, avec l'adoption de la représentation proportionnel (1919), est supprimé en 1927 par la volonté Radical (en trust)

La Question du vote des femmes, la chambre des député y est favorable, mais le Sénat non, qui -par anticléricalisme- s'oppose au vote des femmes supposé comme influencé par les religieux. "Union française pour le suffrage des femmes" : Cécile Bronsvick. (nommé avec Joliot-Curie dans le gouvernement de 1936). L'élargissement des droit se fait d'avantage dans d'autres pays.

Modernisation de la classe politique française[modifier | modifier le code]

Ce constate des la belle époque, les politiciens devenant originaire des classes moyenne supérieure.

Edouard Herriot, 1872, petite classe moyenne, n'a pas les moyens de se payer sa scolarité, élève brillant, un inspecteur générale le remarque et lui permet d'obtenir une bourse, école normale supérieure, agrégé de lettre en 1893 (21 ans), devient professeur en classe préparatoire, mais s'engage également en politique lors de l'affaire Dreyfus. En 1905, il devient maire de Lyon, plus Sénateur du Rhône à 40 ans (juste l'âge !), entre dans le gouvernement sous la Première Guerre mondiale, en 1919 il devient président du Parti Radical, et Président du Conseil en 1924. La République des professeurs : Professeur, avocat, médecin. L'apparition des ligues est le symptôme de la névrose de la politique française qui nécessite modernisation.

  1. Un modèle contesté, mais qui résiste et s'adapte.
  2. La longévité de la Troisième République.
  3. sa mort est fait par la défaite, l'armistice de Juin 1940, non par la volonté populaire.

Les plein pouvoir sont voté à Pétain, c'est la mort de la Troisième République, la naissance du Régime de Vichy.


TD : La Presse entre 2 guerre[modifier | modifier le code]

La presse est un vecteur démocratique, elle encourage au débat, diffuse les informations, idées, et débats politiques. La presse permet un débat dans l'opinion publique, jouant un rôle de contre pouvoir. Mais la presse peu également constitué une menace envers la démocratie.

[La presse] date du milieu du XIXe, la demande d'information augmente, notamment du fait de l'instruction. L'urbanisation et l'amélioration des transport améliore la diffusion. L'mélioration de la démocratie. Les améliorations technique, faisant baisser le prix des journaux. Il apparait une presse populaire à bon marchais : "Le petit journal" (1863) à 1 sous. La loi de liberté de la presses de 1881. L'âge d'or de la presse en France est 1900-1939. Le journal devient un produit de consomation courante. 400 journaux en france. En presse populaire : Le Petit Journal, le Petit Parisien, le Journal, le Matin. Ces 4 journaux représentent 75% du tirage parisien et 40% du tirage national. Des journaux illustré apparait en 1910, et les grand contidions tendent à avoir leur suplément illustré.

La diversification de la presse, l'éssort de la presse régionale. Apparition d'une presse spécialisé : sportive, automobile, vélo, scientifique, féminine (Maris-claire, 1937), jeune (pied nickelé ; le journal de Mickey), fait divers (Détective, 1928)

  • La mutation de la profession de journalisme.

Avant, le métier même de journaliste n'existait pas : la presse étant le fruit direct d'écrivain, d'homme politique, de scientifique : c'est une tribume. Mais l'augmentation des tirages créé le poste de journaliste moderne. Notamment les journalistes-aventuriers, notamment Albert Mondre, qui fera fermer le bagne de Guyane. Meurt a Shang-hai, car ne sait pas nager. Création du Syndicat des journaliste (1928) Apparition de "Trust" journalistique, Paris-Soir : 3 millions d'exemplaire/jour en 1939 ; Paris Match ; Marie-Claire (1 millions/jour en 1939)

Presse nationale[modifier | modifier le code]

1930 : forte politisation de la presse nationale, avec opposition entre presse de droite et de gauche, opposition violente.

  • Je suis partout, 1930 Pierre Gaxotte (issu de l'Action française). Vers 1936, entré d'une série d'intellectuels facistes va modifier l'orientation du journal, avec un antiparlementarisme, critique de la démocratie, l'anti-sémitisme. Prone la colaboration avec l'Allemagne et l'Italie, et lance des campagne virulente contre le Front Populaire, il colabore avec Vichy, disparait avec 1944 devenant "Je suis partis" (fuit).
  • Gringoire

Presse de gauche :

  • L'Humanité, 1904 (SFIO) puis 1920 devient le journal du PCF. Il a une forte audiance.
  • Le Populaire, 1920 (SFIO) à également une forte audiance.
  • Vendredi, vers 1930
  • Le Canard enchainé, 1915, satirique et anti propagande, pacifiste, prenant finalement une certaine distance avec les partis de gauche apres 1936.

C'est l'age d'or de la caricature politique en France. Apparut lors de l'affaire Dreyfus, puisque la presse est desormais libre, et les moyen technique sont désormais suffisant. D'abord de gauche, caricature révolutionnaire. Ex : L'Assiette au beurre, les dessins ataquant violemment les élites politiques, jugé bourgeoise, et de ses pilié : la bourgeoisie, l'armée et l'Église. Lors de 14-18 vont devenir des caricatures exalté, propagandiste, montrant les médiocrités allemandes. Lors de l'entre 2 guerre, la caricature passe des 2 côtés. Le Cartel des gauches se sert de la caricature pour discridité ses opposants.
Dans les années 1930, la carricature de droite devient plus importante que celle de gauche. Le caricaturiste Sennep carricatures les personnages politique de la Gauche. On peut notamment relever la campagne de la presse contre Salengro, il est accusé de trahison lors de 14-18, capturé il aurait cédé des information aux Allemands. (affaire Salengro, accusation infondé). Le Gringoire demande sa démission ainsi que celle du gouvernement de front populaire. Un enquete est ouverte, et lave tout soupçon, mais Salengro se suicide en 1936.
La presse devient un intrument de propagande pour la lutte parlementaire. La carricature, seule illustration courante dans la presse de l'époque, a un fort impact.

La presse est un vecteur de la démocratie, mais également un instrument de déstabilisation. Son âge d'or est 1920-1939, mais commence à ce faire concurencer par la Radio.

Leçon 4 : La puissance Française durant l'entre 2 guerre : mythe/réalité ?[modifier | modifier le code]

La France à la veille de la première guerre mondiale est une grande puissance. Puissance militaire, diplomatique, culturel, coloniale et économique importante. Mais à la suite de la grande guerre, et de la crise de ~1930, la France à t elle garder son rang, qu'elle est sa place.

Les années 1920[modifier | modifier le code]

L'imposible retour à la grandeur.

Une puissance affaible, mais encore prépondérante[modifier | modifier le code]

L'affaiblissement économique et monétaire, elle a perdu beaucoup de marché, une parti de la flotte commerciale française est détruite, le franc a perdu en valeur. Le commerce exterieure de la france passe de 1913 à 1918 de 8% à 6% des importation et des expotations mondiale. Elle reste la 4e puissance mondiale. Démographiquement, elle stagne à 40 millions d'habitants. Diplomatiquement la France pèse moins.

Relativisation[modifier | modifier le code]

La France conserve un prestige sur le continent : les empire centraux et russes s'étant effondré. Elle conserve ses colonies, le 2d espace coloniale : 12 millions de km² et 72 millions d'habitant. Elle garde sont rayonnement culturel : littérairement (surréalisme), cinématique, la mode (Coco Chanel), peinture (Chagall, Giacometti, Hemingway, Scott Fitzgerald). La SDN, la France y est la des puissance dominante avec UK, les USA n'y participant pas. La France conserve une armée importante Conserve une économie importante, des extensions dans d'autre pays (Schneider, en Tchécoslovaquie.) La France est encore une puissance financière majeure : possédant 1/3 des réserve d'or mondiale.

Politique internationale[modifier | modifier le code]

Politique du front populaire dans la guerre d'espagne[modifier | modifier le code]

{Cours manquant} : Cours du 7 mars -matin-

Face aux audaces Allemandes[modifier | modifier le code]

La France impuissante et inactive face aux audaces et agression allemande, face à la remilitarrisation de la Rhénanie, contraire aux closes du traité de Versailles, L'Anschluss de mars 1938, et lors de la crise tchécoslovaque (automne 1938) et les Accords de Munich. En mai 1938, Hitler annexe la région tchécoslovaque des Sudètes à forte communauté allemande. Hors : la Tchécoslavaquie est une alliée officielle de la France, liée par traité, pourtant la France règle la paix par les Accords de Munich (sept) avec Italie, Allemagne, France, Grande-Bretagne et URSS. La Tchécoslovaquie -absence- est abandonné, le 1er octobre 1938 les Sudètes sont occupées par l'armée allemande.

L'ensemble du personnel politique s'y accorde, malgré des volontés plus sévère chez les socialistes. Daladier, ferme, doit se résoudre au pacifisme des

Daladier, de retour sur l'aéroport parisiens, devant la foules heureuse aurait dit : "Ah les cons."

La France et la Grande-Bretagne ne sont plus perçu comme des alliés crédibles. Le camps de la démocratie n'a pas su bloquer l'avancé des dictatures.
L'Italie se met a réclamer Nice, Savoie et Corse.
Il y a un pacifisme unanime des politique, militaire, et populations. L'extrème gauche est anti-fasciste mais… La gauche est antimilitariste, la droite sous estime le danger du fascisme : "Il vaut mieux Hitler que Staline" ; et l'extrème droite est ami du fascisme.
Pourtant, malgré l'opinion française annonçant que la France est devenue militairement fragile, elle reste en fait parfaitement dans la course à l'armement, ainsi, en 1938 l'armée représente 1/3 des dépense de l'État.
Prônant la fermeté, il demeure a gauche Jean Zay et Jean Zyromsky, puis Paul Reynaud et Henri de Kerilis à droite.

La politique de concession cèce finalement pour la fermeté vers 1939, au vu que Hitler ne semble pas vouloir s'arrêter de lui-même, également la suite de mars 1939 et de l'occupation totale de la Tchécoslovaquie, d'avril 1939 occupation de l'Albanie par l'Italie : L'Angleterre et la France se décide à réagir. La crise de la Pologne : Hitler menaçant la Pologne d'invasion pour sa quête de l'espace vital, le pacte Germano-Soviétique le 23 août 1939, et l'invansion le 1er septembre enclanche la Seconde Guerre mondiale.

L'empire colonial français 1919-1939 : Entre apogée et crise[modifier | modifier le code]

Le Second espace colonial, datant du milieu du XIXe siècle avec la prise d'Alger en 1830, et se pose en 1914. C'est un empire déjà constitué, l'entre 2 guerres en est l'apogée, mais aussi une période de crise coloniale et des premières agitations.

Caractères généraux[modifier | modifier le code]

L'Apogée territorial[modifier | modifier le code]

Au maximum de sa superficie(plus de 12 millions de km², soit 24 fois la métropole, la France est la seconde puissance du monde derrière l'Empire colonial britannique. Cet empire assure la puissance démographique de la France : 60 à 70 millions d'indigènes, formant avec la métropole la Plus Grande France de plus de 100 millions d'hommes.
Formé des reste du premier espace colonial cet empire s'est essentiellement constitué au XIXe.
La France est présente :


Après les traités de paix de 1919, la France se partage les dépouilles coloniales de l'Allemagne et de la Turquie avec l'Angleterre: ce sont des territoires sous mandats de la Société des Nations : Togo, Cameroun, Syrie, Liban. D'autre vont à la Grande-Bretagne : Palestine et Transjordanie mais aussi une partie du Togo, du Cameroun, du Sud-Ouest Africain (actuelle Namibie), de l'Afrique orientale allemande (Tanzanie actuelle).

Les territoires[modifier | modifier le code]

  • Les vieilles colonies : Antilles, Guyane, Réunion, comptoirs du Sénégal et d'Indes. Les lois françaises y sont appliquées, les habitants sont citoyens français et sont représentés au parlement.
  • Nouvelles colonies : AOF et AEF. Les habitants n'y sont que peut souvent citoyens français, et le code juridique est l'Indigénat, fondé sur les traditions locale. Ils sont administrés par des gouverneur, désigné et représentant du gouvernement français.
  • Algérie : relevant du Ministère de l'Intérieur français, le pouvoir y est à un gouverneur général. Les habitants ne sont que rarement citoyens français.
  • Protectorat : Maroc, Tunisie. Leur relations étrangères relèvent du ministère des affaires étrangères français, mais leur intérieur est gérer par les indigènes, par leur civilisations.

Des inégalité[modifier | modifier le code]

  • Peuplement européen est faible : 1,5 millions d'Européens. Forte dans les térritoires du magreb. Environ 1 millions d'européen en Algérie (15%); en Tunisie 250 000 Euro (surtout Italiens), Maroc 200 000. Algérie-Tunisie-Maroc sont des colonies de peuplement, à exploiter. En Afrique 50 000, en Asie : 30 000 Européens, surtout dans les villes, sur les côtes, bénéficiant d'un statut particulier, mais rarement réellement riche.
  • Une population indigène en augmentation, par la médecine française.
  • Citoyenneté française est rare, seul 2-3 millions d'indigènes ont la nationalité française.
  • Les sociétés indigènes ont profondément été perturbé, les liens moraux, les techniques de productions (agricole, grande plantation), l'introduction de culture nouvelle (vigne, figuier), souvent gérer par des paysans français encadrant les exploitations. Les lois françaises peuvent remplacer les lois anciennes.


La diversifications culturelle demeure, il y a eu francisation avec maintient des fondements sociaux. Il ne faut pas croire non plus que la colonisation a transformer les pays, ou créé une masse prolétaire de colonisés : de grandes inégalités demeures entre indigènes riches et indigènes pauvres, paysans. De nombreux colons -paysans- vivent de la même vie que les colonisés.



Notes diverses[modifier | modifier le code]

Interro possible : "L'héritage de la première guerre mondiale en france"=> politique, éco, sociale