Utilisatrice:BeatrixBelibaste/Brouillons/bac47
Naissance | |
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Décès | |
Nom de naissance |
Elizabeth Norton |
Pseudonyme |
Elizabeth Harvey |
Nationalité |
Britannique |
Domicile | |
Activité | |
Période d'activité |
- |
Père | |
Fratrie |
Henrietta Harvey (d) (sœur utérine) |
Conjoint |
Étienne Babolin Randon de Pully (d) (de à ) |
Enfant |
William-Enguerrand Randon de Pully (d) |
Parentèle |
Charles Joseph de Pully (beau-père) |
Mouvement |
---|
Elizabeth Harvey, de son vrai nom Elizabeth Norton (Wonersh, Grande-Bretagne, - Saint-Pierre-de-Maillé, France, ) est une peintre britannique établie en France, qui a exposé au Salon de Paris de 1802 à 1812. Elle est surtout connue pour son tableau Malvina pleurant la mort d’Oscar (Salon de 1806), conservé au musée des Arts décoratifs de Paris, ainsi que le portrait la représentant avec sa demi-sœur réalisé par Ingres en 1804.
Éléments biographiques[modifier | modifier le code]
Elizabeth Norton, née le à Wonersh, dans le comté anglais de Surrey, en Grande-Bretagne, est la fille illégitime d'Elizabeth Harvey, née Hill, épouse de John Harvey, et de l'homme politique et diplomate William Norton (en) (1742-1822), futur 2e baron Grantley (en), fils aîné de Fletcher Norton (1er baron Grantley), alors président de la Chambre des communes[2]. Elle est baptisée le dans l'église de la ville voisine d'Haslemere[3].
Sans doute dans le but de masquer sa naissance illégitime, Elizabeth Norton va utiliser en société durant de nombreuses années le nom de famille Harvey, porté par sa mère et par sa demi-sœur Henrietta, née à Londres en 1774 du mariage de leur mère avec John Harvey[2],[4].
Les dames de la famille Harvey fréquentent le poète et historien Pierre-Louis Ginguené et son épouse Marie-Anne Poulet, tant à Paris qu'à leur résidence de Saint-Prix[5], le bibliophile, musicien et collectionneur napolitain Gaspare Selvaggi (sv) (1763-1856)[6]
- Henrietta Harvey
Après la mort à Paris en 1832 de son ami, l'écrivain et homme politique italien Francesco Saverio Salfi[7], Henrietta Harvey lui fit ériger un tombeau au cimetière du Père-Lachaise, accompagné d'une épigraphe qu'elle avait composée[8],[9]. Une anecdote rapportée par l'écrivain Auguste Barbier à propos d'Ingres montre Henrietta Harvey recevant à dîner en 1844, outre ces deux hommes, le littérateur Aimé Martin, le scientifique Jacques Babinet, ainsi que le philosophe, écrivain et homme politique italien Terenzio Mamiani, alors en exil en France[10]. Ce dernier évoque Henrietta Harvey à plusieurs reprises dans ses écrits, témoignant en particulier des relations suivies qu'ils entretenaient tous deux avec Barbier et Ingres[11].
Barbier lui dédie son poème François de Thou[12], puis plus tard son conte Allan Morison, écrit en 1868, est dédié à sa mémoire[13],[14].
- Elizabeth Harvey, née Hill
- "Then there was Mrs. Harvey, née Elizabeth Hill, naturalised in Tuscany, who in 1805 was arrested on an unfounded charge of complicity in Georges' plot. Her daughter Henrietta, a miniature [p.144] painter, petitioned for her release and the restitution of her papers, the petition being backed by Denon, curator of the Louvre." (John Goldworth Alger, Napoleon's British visitors and captives, 1801-1815, Westminster, A. Constable, 1904, p. 143-144)
- Georges' plot = conjuration de Georges Cadoudal
- Portrait au pastel de Mme Hervé de Langlois de Sézanne présenté au Salon de 1806 (no 309), 1re présence au Salon de l'artiste
- Selon Jeffares source, le modèle pourrait être Henrietta Harvey ou Elizabeth Norton : l'usage du "Mme" indique plutôt leur mère
- aurait aussi traduit Malvina de Sophie Cottin en anglais (Galley 1909, p. 168), mais la seule traduction en anglais connue est celle de en:Elizabeth Gunning (translator), ou bien elle le traduit en italien ?
- serait morte en novembre 1822 - Geneanet, non sourcé
- Elisabeth Harvey Hill, ayant eu Elisabeth Norton et John Norton avec William Norton
- inhumée au Père-Lachaise le 22 novembre 1822, morte dans le 10e anc. arrondissement à 71 ans (ie née vers 1751) source
- William Norton, article à créer
- https://venn.lib.cam.ac.uk/cgi-bin/search-2018.pl?sur=&suro=w&fir=&firo=c&cit=&cito=c&c=all&z=all&tex=NRTN759W&sye=&eye=&col=all&maxcount=50
- rech william norton Minister to the Swiss Cantons
- https://journals.openedition.org/edl/266
- Fontenay-aux-Roses
- la famille Harvey habitait encore la maison de Fontenay en 1822 : en juin 1822, Henrietta écrit à Francesco Saverio Salfi pour l'inviter à Fontenay[15]
- Château de Neuville
- Ferdinand Fouque, "Notice sur Neuville-sur-Oise", Mémoires de la Société historique et archéologique de Pontoise et du Val-Dóise et du Vexin, tome 41, 1932, p. 42 ici, à télécharger rech avec colonel Randon de Pully
- https://www.neuville-sur-oise.fr/decouvrir-neuville/patrimoine/patrimoine/8-le-chateau-au-fil-des-siecles?start=5
-
Portrait anonyme d'Étienne Babolin Randon de Pully en uniforme, XIXe siècle (Paris, Musée de l'Armée)
Oeuvre[modifier | modifier le code]
Malvina[modifier | modifier le code]
- Hanselaar
- Landon
- gravure de Normand dans Landon
- gravure de Dickinson
- gravure à la manière noire de William Dickinson
- popularité de la gravure attestée par le nombre d'exemplaires conservés, d'après Hanselaar (énumération de diverses institutions)
- exemplaires du exemplaire du British Museum - Royal Collection Trust
- Salon de 1810 (no 1140)
- poème de Fabre
Edwy et Elgiva[modifier | modifier le code]
Portraits de Bernardin de Saint-Pierre[modifier | modifier le code]
- Portrait de Bernardin de Saint-Pierre, maison de l'Armateur*** ico
Autres portraits[modifier | modifier le code]
Liste des oeuvres[modifier | modifier le code]
Œuvres conservées dans des musées[modifier | modifier le code]
Originaux[modifier | modifier le code]
- Malvina pleurant la mort d’Oscar, salon de 1806, Paris, musée des Arts décoratifs, Inv 23850;
Copies[modifier | modifier le code]
- Portrait de Bernardin de Saint-Pierre entouré de sa famille, copie de Paul Carpentier (en) (1787-1877) d'après une peinture perdue d'Elizabeth Harvey exposée au Salon de 1804, Rouen, musée des Beaux-Arts de Rouen[16],[17] Inv. 1851.2.6
- Portrait de Bernardin de Saint-Pierre, copie de Paul Carpentier d'après Elizabeth Harvey, 1847, Rouen, musée des Beaux-Arts de Rouen, Inv. 1851.2.5[18];
- Portrait de Bernardin de Saint-Pierre, copie de Paul Carpentier d'après Elizabeth Harvey, 1847, peinture à la cire sur toile, 65,2 x 54,4 cm (hors cadre), Versailles, musée de l'Histoire de France, MV 3005[19],[20];
Œuvres exposées au Salon[modifier | modifier le code]
- Salon de 1802 :
- Salon de 1804 :
- Portrait de Bernardin de Saint-Pierre entouré de sa famille (no 227)[23];
- Jacques Philippe Voiart, Lettres impartiales sur les expositions de l'an XIII, p. 32 (critique)
- Portrait de Bernardin de Saint-Pierre entouré de sa famille (no 227)[23];
- Salon de 1806 :
- Malvina pleure la mort d'Oscar ; ses compagnes cherchent à la consoler (no 247)[24];
- sujet traité par Gros en 1798. : Delestre, Gros et ses ouvrages, ou mémoires historiques sur la vie et les travaux de ce célèbre artiste', éd. n. d. [1845], p. 54-55 et éd. 1867, p. 59, repr. p. 57 fig. 18 ici
- 'Malvina pleurant le corps mort d'Oscar'
- Malvina pleure la mort d'Oscar ; ses compagnes cherchent à la consoler (no 247)[24];
- Portrait d'homme (no 248)[25]; Le modèle serait, d'après Chaussard, « un jeune Italien petit-fils du célèbre Beccaria, et qui annonce un grand talent pour la poésie »[26], sans doute Alessandro Manzoni.
- peut-être ce portrait (autre version) anonyme, qui aurait été fait à Paris vers 1805 par une dame anglaise lors du séjour de Manzoni à Paris auprès de sa mère (conservé à la en:Casa Manzoni. Voir it:Alessandro Manzoni pour les séjours parisiens (sourcé)
- Il Manzoni si fece ritrattare a 21 anni a Parigi - che Giulia Beccaria diceva essere Alessandro, effigiato “a Parigi da anonimo pittore inglese” (nel 1805) archivé
- faire rech avec Manzoni - ritratto - 1805 - Parigi - parfois attribué à Maria Cosway
- Deux études (no 249)[27]; « Têtes de jeunes paysans et paysannes »[26].
- Portrait d'homme (no 248)[25];
- Salon de 1808 :
- Trois portraits (no 283)[28];
- critique du Mercure de France
- note : le registre des ouvrages ne contient aucune autre information (3 portraits)
- Trois portraits (no 283)[28];
- Salon de 1812 :
- Edwy et Elgiva (no 468)[29];
Autres[modifier | modifier le code]
En 1969, l'historien de l'art Hans Naef a retrouvé au château des Certeaux, à Angles-sur-l'Anglin, chez Henri, baron de Lanauze-Molines, un lointain cousin des Randon de Pully, une trentaine d'œuvres attribuées aux sœurs Harvey[3],[4].
Parmi celles attribuées à Elizabeth Harvey, Naef distingue notamment :
- Portrait de Bernardin de Saint-Pierre, toile, 72,5 x 61 cm[30];
- Portrait de Jean-François Ducis (copie d'après François Gérard), toile, 63 x 53 cm[31];
- Portrait de François Gérard (d'après la tradition familiale), toile, 52,4 x 44,5 cm[32];
- Autoportrait (d'après la tradition familiale), vers 1806, toile, 52 x 38 cm[33];
- Portrait de la demi-sœur de l'artiste, Henrietta Harvey (d'après la tradition familiale), vers 1806, toile, 45 x 36 cm[34];
- Portrait de la demi-sœur de l'artiste, Henrietta Harvey (d'après la tradition familiale), toile, 20,5 x 15 cm[35];
- Portrait de la mère de l'artiste, Mme John Harvey, née Elizabeth Hill, toile, 73 x 61 cm[36];
- Portrait de la mère de l'artiste aveugle, Mme John Harvey, née Elizabeth Hill et de sa fille Henrietta (d'après la tradition familiale), toile, 128 x 143 cm[37];
- Portrait de Lord Grantley[38];
- pour la vente des portraits de Mme "Harvey, née Elizabeth Hill", voir Art Index 19 (november 1970 to October 1971), H.W. Wilson, 1972, p. 478, 685 (dispo UL (Centre de conservation, à commander à l'avance) : Z 5937 A784 / # de tome : 19 1970/71
- Vivant Denon
- Description des objets d'arts qui composent le cabinet de le Baron V. Denon, rech avec Harvey et Harwey
- Claude Fauriel
- Portrait de Claude Fauriel, huile sur toile
- « Enfin, Mme Cabanis parle, dans une lettre à Jules Mohl (du 22 juillet 1844) d'un portrait, de la seconde moitié de la vie de Fauriel, qui "ne le rappelle que faiblement", peint à l'huile d'après nature par Mlle Harvey. Il devait servir pour un buste que se proposait de faire le sculpteur Mercier (M. L. Victor, disciple de Pradier ?) à qui il avait été communiqué. » (Miodrag Ibrovac, Claude Fauriel et la fortune européenne des poésies populaires grecque et serbe, Paris, M. Didier, (OCLC 460671195), p. 68)
- Pierre-Louis Ginguené
- Portrait de Pierre-Louis Ginguené
- sur ebay ico, à télécharger
- Erreurs / mauvaises attributions
- la gravure d'Elisabeth Harvey d'après Van Dyck conservée au musée Dobrée signalée par Oppenheimer 1996 (p. 193 et note 271) est en fait cette gravure du XVIIe siècle
- catalogue des estampes du musée Dobrée d'où Oppenheimer tire son info
Critique, réception et postérité[modifier | modifier le code]
Portraits des soeurs Harvey par Ingres[modifier | modifier le code]
[Harvey et Ingres débutant tous les deux en 1802 au Salon]
Ingres avait peint au moins deux tableaux des soeurs Harvey, considérés aujourd'hui comme perdus[40]. Dans sa liste des peintures d'Ingres qu'il dresse en 1857, Edmond Saglio énumère parmi les portraits celui de « Mlle Hervey (ébauche) » et un autre des « Dlles Hervey »[41].
La trace des oeuvres disparues se retrouve aussi dans les notes manuscrites de l'artiste. Dans le Cahier IX, fol. 66, Ingres signale, parmi ses « tableaux faits à Paris », le portrait de « Mlle Hervey » entre celui de Jean-François Gilibert et celui du « jeune Talma », tous deux datant d'environ 1804. Dans le Cahier X, fol. 22, le peintre mentionne à deux reprises le même patronyme : « Mlle Hervey jeune anglaise ébauche » figure entre le portrait en pied de Madame Béranger et Bonaparte, Premier consul (1804) conservé à Liège; plus loin, « Mlle Hervey peinture » apparaît entre les portraits de Madame Delannoy et de Mlle Bansi, daté de 1800 environ[40],[42]. Pour Hans Naef, spécialiste d'Ingres, ces trois mentions feraient référence à seulement deux tableaux[40],[42].
[Étude préparatoire du Louvre]
Un autre dessin d'Ingres, représentant l'une des sœurs Harvey en train de dessiner, est conservé au musée Boijmans Van Beuningen de Rotterdam[43]. La jeune femme est figurée de dos, assise sur un tabouret, tenant son crayon et son carnet de croquis devant elle, appuyé sur ses genous. Bien que la notice du musée identifie le modèle à Elizabeth[43], la note manuscrite en partie illisible apparaissant au verso de l'oeuvre, « mlle harveÿ... »[44], pourrait aussi faire référence à Henrietta[45],[46].
Bibliographie[modifier | modifier le code]
Études[modifier | modifier le code]
- Jean-Baptiste Galley, Claude Fauriel, membre de l'Institut (1772-1843), Saint-Étienne, Imprimerie de la "Loire républicaine", (lire en ligne), p. 82, 167-168.
- Saskia Hanselaar, « De la diffusion à la transformation de l'image par la littérature et la gravure ossianiques : le « cas » Balzac », L'Année balzacienne, vol. 12, no 1, , p. 21-43 (ISSN 0084-6473 et 1969-6752, DOI 10.3917/balz.012.0021, lire en ligne).
- (en) Hans Naef, « Henrietta Harvey and Elizabeth Norton: Two English Artists », The Burlington Magazine, vol. 113, no 815, , p. 79–89 (JSTOR 876556).
- (en) Hans Naef, « Henriette Harvey and Her Half Sister, Elizabeth Norton », dans Gary Tinterow, éd., Portraits by Ingres: Image of an Epoch, New York, Metropolitan Museum of Art, (lire en ligne), p. 90-91.
- Séverine Sofio, « L'art ne s'apprend pas aux dépens des mœurs ! » : construction du champ de l'art, genre et professionnalisation des artistes (1789-1848) (thèse de doctorat en sociologie), Paris, École des hautes études en sciences sociales, (lire en ligne).
- (en) Margaret A. Oppenheimer, Women Artists in Paris: 1791-1814 (thèse de doctorat en histoire de l'art), New York, New York University, Institute of Fine Arts, (présentation en ligne).
- « L'invention de la porte Condorcet », Liens de mémoire : bulletin des Archives de Fontenay-aux-Roses, Service des archives municipales de Fontenay-aux-Roses, no 25, , p. 5-8 (lire en ligne).
- Benoît Noël, « Le Pays d'Auge à travers... / Madame Piquefeu de Bermon dite « Marinette » », Le Pays d'Auge, Association Le Pays d'Auge, vol. 67, no 2, , p. 45-46 (ISSN 1149-3305, lire en ligne, consulté le ).
- Scognamiglio, Ornella. "Les «Annales du Musée et de l’école moderne des beaux-arts» de Charles-Paul Landon dans les années napoléoniennes/«Annales du Musée et de l’école moderne des beaux-arts» by Charles-Paul Landon in the Napoleonic era." IL CAPITALE CULTURALE. Studies on the Value of Cultural Heritage 20 (2019): 245-270. (Contexte : sur importance et diffusion des Annales)
- bio Landon, dict critique des historiens de l'art, INHA
Sources[modifier | modifier le code]
- Jacques-Philippe Voïart, Lettres impartiales sur les expositions de l'an XIII, Paris, Dentu, (lire en ligne), p. 32.
- Pierre-Jean-Baptiste Chaussard, Le Pausanias français : État des arts du dessin en France à l'ouverture du XIXe siècle. Salon de 1806, Paris, Buisson, (lire en ligne), p. 135-140.
- Charles-Paul Landon, Annales du Musée et de l'école moderne des beaux-arts, t. 13, Paris, Chez C. P. Landon de l’Imprimerie des Annales du Musée, (lire en ligne), p. 113-114 et planche 53.
- Gallica (couleur)
- René-Jean Durdent, Galerie des peintres français du Salon de 1812, ou Coup-d'oeil critique sur leurs principaux tableaux et sur les différens ouvrages de sculpture, architecture et gravure, Paris, Bureau du "Journal des arts" / Alexis Eymery, (lire en ligne), p. 30.
- Charles-Paul Landon, Annales du Musée et de l'école moderne des beaux-arts - Salon de 1812, vol. 2, Paris, Chez C. P. Landon de l’Imprimerie des Annales du Musée, (lire en ligne), p. 29-30 et planche 20 (Edwin et Elgiva). Autre version - Autre version
- Jean-François Ducis et Paul Albert (éditeur scientifique), Lettres de Jean-François Ducis, Paris, G. Jousset, (lire en ligne)
- Bernardin de Saint-Pierre et Louis-Aimé Martin (éditeur scientifique), Correspondance de J.-H. Bernardin de Saint Pierre, vol. 3, Bruxelles, De Mat, (lire en ligne).
Voir aussi[modifier | modifier le code]
- Ressources relatives aux beaux-arts (pour Elizabeth Harvey) :
- Notices d'autorité (pour Elizabeth Harvey) :
- Tête de jeune fille, vue de face, portrait anonyme apparaissant au verso des Demoiselles Harvey d'Ingres, qui serait la bonne des soeurs Harvey Pop Joconde -
- Portrait of a Young Woman Harvard Art Museums/Fogg Museum, 1943.844, portrait d'une jeune femme anonyme par Ingres, parmi les identifications proposées : Elizabeth Norton ou la bonne des soeurs Harvey (p. 150)
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Saskia Hanselaar, « Les Demoiselles Harvey », sur L'Histoire par l'image, (consulté le )
- Naef 1971, p. 84-85.
- Naef 1971, p. 84.
- Naef 1999, p. 90.
- Antoine Guillois, Le salon de Madame Helvétius: Cabanis et les idéologues, Paris, Calmann Lévy, (lire en ligne), p. 216-217.
- Galley 1909, p. 168. Pour l'identification, (it) Benedetto Croce, « Don Gaspare Selvaggi », Quaderni della critica, vol. 3, no 9, , p. 80-87 (lire en ligne); Treccani
- Quelques lettres échangées entre Salvi et Henrietta Harvey ont été publiées dans (it) Francesco Saverio Salfi et Rocco Froio (éditeur scientifique), Salfi tra Napoli e Parigi : carteggio 1792-1832, Naples, Gaetano Macchiaroli, editore, (ISBN 88-85823-21-1 et 978-88-85823-21-1, OCLC 42461810).
- Angelo Maria Renzi, Vie politique et littéraire de F. Salfi, Paris, Fayolle, (lire en ligne), p. 50.
- (it) Carlo Nardi, « La vita di Francesco Saverio Salfi (1759-1832) », Rassegna storica del Risorgimento, vol. 7, , p. 249; 253-254; 270-271 (ISSN 0033-9873).
- Auguste Barbier, Souvenirs personnels et silhouettes contemporaines, Paris, E. Dentu, éditeur, (lire en ligne), p. 272-273.
- (it) Terenzio Mamiani, « Parigi or fa cinquant'anni », Nuova Antologia, en 3 parties : (1) (vol. 59) (vol. 29 (2e sér.)), fasc. XX, 15 octobre 1881, p. 581-609; [lire en ligne]; (2) (vol. 60) (vol. 30 (2e sér.)), fasc. XXIV, 15 décembre 1881, p. 604-627 (ici p. 616) [lire en ligne]; (3) (vol. 62) (vol. 32 (2e sér.)), fasc. VII, 1er avril 1882, p. 415-430 (ici p. 422-423 [lire en ligne]); (it) Terenzio Mamiani, Nuove poesie del c. T. Mamiani della Rovere, Paris, dai torchi di Pihan Delaforest (Morinval), (lire en ligne), p. 5.
- Auguste Barbier, Satires et chants, Paris, P. Masgana, (lire en ligne), p. 247. François de Thou a d'abord paru dans le recueil Rimes héroïques (1843), sans la dédicace à « Miss Harvey ».
- Jessie Rowlandson, Auguste Barbier: sa vie et son oeuvre (thèse de doctorat), Durham University, (lire en ligne), p. 165.
- Auguste Barbier, Contes du soir, Paris, E. Dentu, (lire en ligne), p. 157-248.
- (it) Francesco Saverio Salfi et Rocco Froio (éditeur scientifique), Salfi tra Napoli e Parigi : carteggio 1792-1832, Naples, Gaetano Macchiaroli, editore, (ISBN 88-85823-21-1 et 978-88-85823-21-1, OCLC 42461810), p. 201-203.
- Naef 1971, p. 83-84, 88, fig. 25 (reproduction en noir et blanc).
- Aussi reproduit dans : (en) Malcolm Cook, « Bernardin de Saint-Pierre and Girodet: Illustrating the 'luxury' Edition of "Paul et Virgine" », The Modern Language Review, vol. 102, no 4, , p. 985, fig. 2 (reproduction en noir et blanc) (DOI 10.2307/20467545, JSTOR 20467545)
- Notice no 07290022124, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture, page consultée le 20 août 2019.
- « Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre (1737-1814) », notice d'oeuvre, sur Collections - Château de Versailles (consulté le ).
- Notice no 000PE006046, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture, page consultée le 20 août 2019.
- « Plusieurs têtes d’étude [Salon de 1802, catalogue (1er suppl.) no 715] », notice d'oeuvre, sur Salons et expositions de groupes, 1673-1914, Musée d’Orsay / Institut national d’histoire de l’art (consulté le ).
- Archives nationales de France, registres des Salons, registres des ouvrages, Salon de 1802 (cote : 20150042/106), image 32/33, no 286 [lire en ligne] : « Melle Harvé [sic] / tableau rep[résent]ant Deux jeunes villageoises têtes d'étude ».
- « Portrait de Bernardin de Saint-Pierre entouré de sa famille [Salon de 1804, catalogue no 227] », notice d'oeuvre, sur Salons et expositions de groupes, 1673-1914, Musée d’Orsay / Institut national d’histoire de l’art (consulté le ).
- « Malvina pleure la mort d'Oscar [Salon de 1806, catalogue no 247] », notice d'oeuvre, sur Salons et expositions de groupes, 1673-1914, Musée d’Orsay / Institut national d’histoire de l’art (consulté le ).
- « Un portrait d'homme [Salon de 1806, catalogue no 248] », notice d'oeuvre, sur Salons et expositions de groupes, 1673-1914, Musée d’Orsay / Institut national d’histoire de l’art (consulté le ).
- Chaussard 1806, p. 139.
- « Deux études [Salon de 1806, catalogue no 249] », notice d'oeuvre, sur Salons et expositions de groupes, 1673-1914, Musée d’Orsay / Institut national d’histoire de l’art (consulté le ).
- « Trois portraits [Salon de 1808, catalogue no 283] », notice d'oeuvre, sur Salons et expositions de groupes, 1673-1914, Musée d’Orsay / Institut national d’histoire de l’art (consulté le ).
- « Edwy et Elgiva [Salon de 1812, catalogue no 468] », notice d'oeuvre, sur Salons et expositions de groupes, 1673-1914, Musée d’Orsay / Institut national d’histoire de l’art (consulté le ).
- Naef 1971, p. 82, fig. 17 (reproduction en noir et blanc).
- Naef 1971, p. 82, fig. 18 (reproduction en noir et blanc).
- Naef 1971, p. 82, fig. 19 (reproduction en noir et blanc).
- Naef 1971, p. 87, fig. 20 (reproduction en noir et blanc).
- Naef 1971, p. 87, fig. 21 (reproduction en noir et blanc).
- Naef 1971, p. 87, fig. 22 (reproduction en noir et blanc).
- Naef 1971, p. 87, fig. 23 (reproduction en noir et blanc).
- Naef 1971, p. 88, fig. 24 (reproduction en noir et blanc).
- Naef 1971, p. 89.
- Notice no 50350026171, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture - Notice no 50350026171, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture - Notice no 26505, base Atlas, musée du Louvre - collections du département des arts graphiques du Louvre
- Naef 1971, p. 80.
- Edmond Saglio, « Un nouveau tableau de M. Ingres - liste complète de ses oeuvres », La Correspondance littéraire, vol. 1, no 4, , p. 76 (lire en ligne) : cette liste exclut les « portraits dessinés ou à l'aquarelle ».
- (de + fr + en + it) Hans Naef, Die Bildniszeichnungen von J.-A.-D. Ingres [« Les portraits de J.-A.-D. Ingres »], vol. 1, Berne, Benteli, , p. 108.
- (en) « The English Artist Elisabeth Harvey Drawing, Seated and Seen from the Back », notice de l'oeuvre, sur Boijmans Collection Online, Musée Boijmans Van Beuningen (consulté le ). lien alternatif
- (en) Hans Naef, « Ingres' Portrait Drawings of English Sitters in Rome », The Burlington Magazine, vol. 98, no 645, , p. 435, note 23(2) (ISSN 0007-6287, JSTOR 871962).
- Naef 1971, p. 80 et note 5, 81, fig. 15.
- (en) Deanna Petherbridge, The Primacy of Drawing: Histories and Theories of Practice, New Haven, Yale University Press, (ISBN 978-0-300-12646-4 et 0-300-12646-8, OCLC 276140769), p. 312.