Rivière Bonaparte

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Bonaparte
Kluhtows
Illustration
Pont sur la Bonaparte River
Caractéristiques
Longueur 153 km
Bassin 5 020 km2 British Columbia Water Tool
Débit moyen 6,43 m3/s (Cache Creek) débit moyen en 2021
Régime nival
Cours
Source Lac Couture
· Localisation Lac Couture (Colombie Britannique)
· Altitude 1 506 m
· Coordonnées 51° 09′ 12″ N, 120° 24′ 51″ O
Confluence Thompson (rivière)
· Localisation Ashcroft
· Altitude 292[1] m
· Coordonnées 50° 43′ 44″ N, 121° 17′ 00″ O
Géographie
Principaux affluents
· Rive gauche Cache Creek; Scottie Creek; Scot Creek; Loon Creek
· Rive droite Rayfield River; Hat Creek; Brown Creek; Machete Creek; Fly Creek; Coverhill Creek; Chasm Creek; Fiftyseven Creek; Maiden Creek; Clinton Creek
Pays traversés Drapeau du Canada Canada
Régions traversées Drapeau de la Colombie-Britannique Colombie-Britannique
Principales localités Cache Creek; Clinton

La rivière Bonaparte (Bonaparte River) est un cours d'eau de 153 kilomètres environ situé dans le District régional de Thompson-Nicola en Colombie-Britannique au Canada. C'est l'un des derniers affluent de la rivière Thompson avant le village de Lytton.

Étymologie[modifier | modifier le code]

D'après Akrig et al., le nom de Bonaparte River apparaît au moins en 1826 et le nom est probablement un hommage à Napoléon Bonaparte, décédé quelques années auparavant en 1821 plutôt qu'à un laboureur surnommé Bonaparte[2]. En 1827, un croquis dressé par Archibald McDonald de la Compagnie de la Baie d'Hudson mentionne la rivière sous le nom de «Bonepates River»[3],[4]. Le 16 mai 1846, Alexander Caulfield l'identifie comme «Rivière de Bonaparte» tout comme Anderson (Bonaparte's River) dans le rapport officiel de ses explorations la même année[4].

Identifié sous ce nom sur les cartes officielles de Colombie Britannique dès 1884, et en 1916 sur la feuille 111 de sectorisation du Dominion et la carte 1G de Colombie Britannique[4].

Ethnologie[modifier | modifier le code]

En langue shuswap ou Secwepemc la rivière s'appelle Kluhtows, ce qui signifie «rivière graveleuse»[4].

D'ailleurs, le bassin de la rivière Bonaparte était peuplée par les Shuswap et surtout la tribu Zaktcinemuk qui occupait la vallée de la rivière Bonaparte près de Ashcroft, de Cache Creek, de Loon Lake et la partie aval de Hat Creek. On les trouvait aussi des deux côtés du Fleuve Fraser à proximité de la Hat Creek[5]. On trouvait aussi la tribu des Stelmhuleharmuk de Clinton jusqu'au High Bar Creek[5]. Les principaux villages occupés étaient ceux de Skwailak vers Pavilion et Nhhohieilten sur la zone de la rivière Bonaparte[6].

Géographie[modifier | modifier le code]

La rivière mesure environ 153 kilomètres de long[7], y compris les 17 kilomètres[8] de longueur du lac Bonaparte[9]. S'élevant sur le plateau Silwhoiakun au nord-ouest de Kamloops, la rivière Bonaparte est intégralement située dans le district régional de Thompson-Nicola et coule depuis le Parc Bonaparte vers le nord jusqu'au lac Bonaparte puis vers l'ouest puis le sud pour rejoindre la rivière Thompson peu avant la communauté d'Ashcroft[4].

La source se situe dans le lac Couture à l'extérieur la zone de drainage de la rivière Bonaparte. Ce lac d'un peu moins de 1 kilomètre de long est situé sur le plateau Bonaparte à 1 500 mètres d'altitude dans le Parc provincial Bonaparte. La rivière coule vers le nord de la sortie du lac Couture sur 4 kilomètres en traversant respectivement les petits lacs de Cheryl Lake, Moosepasture Lake, Megan Lake, et enfin Cath Lake. De ce petit lac, elle s'écoule toujours vers le nord sur 4 kilomètres pour rejoindre l'extrémité est du lac Mayson.

Le bassin de la rivière Bonaparte se compose de 4 zones de drainage.

  • Drainage de l'amont de la rivière Bonaparte. Cette zone compose l'aile est du bassin. Elle forme un triangle entre le lac Bogmar (à l'est), les 5 km environ à l'ouest du lac Young (à l'ouest), et se termine au nord entre le lac des Roches (qui ne fait pas partie de la zone) et les trois petits lacs nommés Whitley Lake, West Twin Lake et East Twin Lake.

Dans cette zone la rivière Bonaparte traverse lac Mayson puis se jette dans le lac Bonaparte par l'est. Le lac Bonaparte est alimenté principalement par la rivière Bonaparte et une vingtaine d'affluents dont les deux principaux sont la Caverhill Creek à l'est et la Hammer Creek à l'ouest. La rivière ressort par l'ouest du lac et s'écoule sur 10 kilomètres en direction du nord-ouest puis bifurque à 90° en direction du sud-ouest pour rejoindre 12 kilomètres plus loin l'ouest du lac Young.

  • Drainage du Green Lake. Cette zone située à l'ouest nord-ouest de la zone précédente est centrée autour du Green Lake. Elle est bordée à l'ouest par les nombreux petits lacs autour du lac Kelsey. Son point culminant est le Mount Beggie"" (1215 m). La zone du drainage est bordée au sud par la confluence de la Rayfield River avec la rivière Bonaparte.
  • Drainage de l'aval de la rivière Bonaparte. Cette zone de drainage est la plus importante et occupe le centre du bassin.

La rivière Bonaparte y coule depuis la confluence avec la Rayfield River vers le sud-ouest sur environ 30 kilomètres dans une partie où sur 1 km, elle est reçoit les eaux de deux affluents respectivement le Chasm Creek puis le Fiftyseven Creek. À partir de ce dernier, la rivière Bonaparte coule vers le sud, est rejoint 3 kilomètres plus loin par le Clinton Creek (altitude 678 m)[10]. Sur le reste du parcours, la rivière est grossie par les eaux venant de sa rive gauche des Loon creek et Scottie Creek à une altitude de 488 m[11]. Puis sur la rive droite, elle reçoit un de ses plus gros confluent, le Hat Creek puis venant de la rive gauche le Cache Creek à une altitude de 445 m[10]. Elle rejoint la Thompson River peu avant Ashcroft.

  • Drainage de Hat Creek. Ce drainage compose la partie Sud-ouest du bassin. Il est formé par le Hat Creek et ses affluents. La Rivière Bonaparte ne fait que représenter la pointe est de cette zone au confluent avec la Hat Creek.


Hydrologie[modifier | modifier le code]

La rivière est soumise à un régime nival, les hautes eaux ont lieu de mai à juillet lors de la fonte des neiges[11]. Les dernières données révèlent un flux moyen sur une année de 6,43 m3/s[12]. Les extrêmes sont 11,47 m3/s en juin pour le maximum et de 0,5 m3/s en septembre[11].

Lacs traversés[modifier | modifier le code]

  • Lac Couture Couture Lake
  • Cheryl Lake
  • Moosepasture Lake
  • Megan Lake
  • Cath Lake
  • Lac Mayson
  • Lac Bonaparte Bonaparte Lake. 1146 m d'altitude[13].
  • Lac Young. 914 m d'altitude[13].

Principaux affluents[modifier | modifier le code]

  • Caverhill Creek. Ce cours d'eau a sa source à proximité du Caverhill Lake et rejoint le lac Bonaparte via les lacs Lupin lakes et le Ramsay Lake. Elle fait environ une douzaine de kilomètres. Le nom a été officialisé le 3 mars 1952[14],[15].
  • Hammer Creek. Ce ruisseau qui fait environ 5 km de long traverse le Hammer Lake (environ 3,5 km de long) avant de se jeter dans le lac Bonaparte[16].
  • Brown Creek (5 à 6 km) qui rejoint la rivière Bonaparte à environ 5 km à l'ouest du lac Bonaparte.
  • Machete Creek. Ce cours d'eau de 7 à 8 km de long passe par le Machete Lake (6.5 km de long et altitude de 1122 m) puis le Eagan Lake et se jète dans la rivière Bonaparte à son point le plus au nord[17].
  • Scot Creek. cours d'eau d'environ 10 kilomètres de long passant le Scot Lake (longueur environ 1.2 km, altitude 1228 m)[18] et le Little Scot Lake (400 m de long) avant de rejoindre la rivière Bonaparte à 4 kilomètres du lac Young[19].
  • Rayfield River. Rivière d'une trentaine de kilomètres. Intégralement située dans la zone de drainage de Green Lake, elle traverse le Crystal Lake, le Pressy Lake (élévation de 1026 m), le Crater lake juste après les chutes de Purver Falls,
  • Fly Creek. Cours d'eau d'une dizaine de kilomètres s'écoulant vers le sud et débouchant sur la rivière Bonaparte quelques kilomètres après la Rayfield River. Son nom a été officialisé le après avoir été présent sur les cartes officielles depuis 1916[20].
  • Chasm Creek. Petit cours d'eau passant par le Parc Chasm et dont le nom présent depuis 1916 sur les cartes officielles a été adopté le 3 mars 1955[21].
  • Fiftyseven Creek. Long cours d'eau d'environ 20 kilomètres prenant sa source dans le Marble Range Park faisant une boucle vers le nord puis bifurquant vers l'est pour rejoindre au sud la rivière Bonaparte[22].
  • Clinton Creek. Cours d'eau traversant le village de Clinton puis se jettant dans la rivière Bonaparte trois kilomètres après le Fiftyseven Creek. Mentionné dans les premières cartes sous le nom de Junction Creek, le nom actuel est utilisé depuis 1916 et officialisé le 31 mars 1924.Le nom de ce cours d'eau dans sa partie amont en langue Shuswap est Spil-pal'-um, ce qui singifie prairie plate[23].
  • Loon Creek. Cours d'eau assez important traversant le lac Upper Loon Lake(long de 3 km) puis le Loon Lake(12 kilomètres de long) avant de rejoindre la rivière Bonaparte[24].
  • Scottie Creek. Ruisseau d'une dizaine de kilomètres prenant sa source au sud du 'Hihium Lake[25].
  • Hat Creek. Cours d'eau s'écoulant vers le nord puis vers l'est et rejoignant la rivière Bonaparte juste au nord de Cache Creek[26]. Le nom de ce cours d'eau vient d'une légende Shuswap au sujet de leur héros Kwil-i-elt[27]
  • Cache Creek. Cours d'eau dénommé originellement Rivière de la Cache par les trappeurs canadiens français qui y établissaient un campement et y cachaient leurs bien près de l'embouchure de ce cours d'eau. Il débouche dans la rivière Bonaparte au niveau du village de Cache Creek. Le nom de Cache Creek est attribué officiellement depuis le [28].

Ecologie[modifier | modifier le code]

Ecosystème aquatique[modifier | modifier le code]

La rivière Bonaparte et ses principaux affluents supporte l'existence de cinq des sept espèces de saumons du pacifique ; le saumon rouge, le saumon rose à bosse, le saumon argenté ou saumon Coho, le saumon arc-en-ciel ou 'Steelhead' en anglais et le saumon royal aussi appelé Chinook[29]. On retrouve aussi des espèces non-anadromes de saumons (vivants en eaux douces seulement) telles que le Kokanee, sous-espèce de Oncorhynchus nerka mais plus petite que l'espèce principale et que l'on retrouve dans les lacs Young et Bonaparte[30]. Autre espèce non-anadrome identifiée dans le bassin de larivière Bonaparte, le saumon arc-en-ciel. Les autres espèces de la famille des salmonidae incluent le Ménomini des montagnes (Prosopium williamsoni), l'omble à tête plate, et l'omble de fontaine ou truite mouchetée[29]. Les poissons des autres familles incluent les poissons du genre Catostomus, le Méné deux-barres, le Méné rose, le Naseux des Rapides, le Naseux Léopard (Rhinichthys falcatus), la Sauvagesse du Nord, le Meunier Rouge, le Mulet de lac (Couesius plumbeus), le Bridgelip Sucker (Catostomus columbianus), et le Meunier à grandes écailles[29].

Ecosystème aviaire[modifier | modifier le code]

[67],[69].

  • Troglodyte familier (Troglodytes aedon). Le Troglodyte familier se retrouve le long de la vallée de la rivière Bonaparte depuis Chasm[67],[70].
  • Troglodyte de Baird (Troglodytes pacificus). Dans le bassin de la rivière Bonaparte, le Troglodytes de Baird ou des Forêts ne se retrouve qu'autour des sources de la rivière et du lac Bonaparte, et autour de Cache Creek et Ashcroft[67],[71].
  • Mésange à tête brune (Poecile hudsonicus). Par contre cette mésange qui apprécie les forêts de conifères ne se retrouve que dans une région autour du lac Bonaparte[72],[73].

Végétation[modifier | modifier le code]

  • Arceuthobium Americanum. Cette espèce a été identifiée dans la zone de la rivière Bonaparte[77].
  • Opuntia polyacantha. Cette cactée de la famille des figuiers de barbarie est présente en Colombie Britannique exclusivement dans une zone confinée entre Spences Bridge et Maiden Creek dans la vallée de la rivière Bonaparte. Elle est très abondante près de Cache Creek. On suppose qu'elle a été introduite dans cette zone à l'époque de la ruée vers l'or ou durant la construction du chemin de fer Canadian Pacific[78]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. White 1915, p. 17.
  2. Akrigg et Akrigg 1997, p. 23.
  3. D'après «Provincial Archives of BC "Place Names File" compiled 1945-1950 by A.G. Harvey» cité par le Britich Columbia Geographical Names
  4. a b c d et e « Bonaparte River », sur British Columbia Geographical Names (consulté le ). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  5. a et b SWanton 1952, p. 595.
  6. SWanton 1952, p. 596.
  7. 93 miles
  8. 11 miles
  9. McGill 2020, p. IV.
  10. a et b White 1915, p. 534.
  11. a b et c Parliament Canada, « Scottie River », dans Sessional papers of the Dominion of Canada 1914, vol. 48, Ottawa, , chap. 21
  12. « BC Water Tool - Streamflow », sur BC Water Tool (consulté le )
  13. a et b White 1915, p. 533.
  14. « Caverhill Creek », sur mapcarta (consulté le )
  15. « Caverhill Creek », sur British Columbia Geographical Names (consulté le )
  16. « Hammer Lake », sur mapcarta (consulté le )
  17. « Machete Lake », sur mapcarta (consulté le )
  18. « Scot Lake », sur mapcarta (consulté le )
  19. « Scot Creek », sur British Columbia Geographical Names (consulté le )
  20. « Fly Creek », sur British Columbia Geographical Names (consulté le )
  21. « Chasm Creek », sur British Columbia Geographical Names (consulté le )
  22. « Fiftyseven Creek », sur British Columbia Geographical Names (consulté le )
  23. « Clinton Creek », sur British Columbia Geographical Names (consulté le )
  24. « Loon Creek », sur British Columbia Geographical Names (consulté le )
  25. « Scottie Creek », sur British Columbia Geographical Names (consulté le )
  26. « Hat Creek », sur British Columbia Geographical Names (consulté le )
  27. Akrigg et Akrigg 1997, p. 107.
  28. « Cache Creek », sur British Columbia Geographical Names (consulté le )
  29. a b et c McGill 2020, p. 12.
  30. McGill 2020, p. 13-14.
  31. a b c et d Rhoads 1893, p. 25.
  32. a b et c Rhoads 1893, p. 44.
  33. « Tyran tritri », sur eBird (consulté le )
  34. Rhoads 1893, p. 29.
  35. a et b Rhoads 1893, p. 32.
  36. Rhoads 1893, p. 35.
  37. Rhoads 1893, p. 36.
  38. a b et c Rhoads 1893, p. 38.
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  40. « Épervier brun [velox] », sur Avibase (consulté le )
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  42. « Balbuzard pêcheur (carolinensis) », sur eBird (consulté le )
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  44. « Martinet sombre », sur eBird (consulté le )
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  47. « Moucherolle des saules », sur eBird (consulté le )
  48. « Moucherolle de Hammond », sur eBird (consulté le )
  49. a b et c Rhoads 1893, p. 46.
  50. a et b Rhoads 1893, p. 47.
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  59. « Viréo de Cassin », sur eBird (consulté le )
  60. a et b Rhoads 1893, p. 54.
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  73. « Mésange à tête brune », sur eBird (consulté le )
  74. a et b Rhoads 1893, p. 58.
  75. « Roitelet à couronne dorée », sur eBird (consulté le )
  76. « Solitaire de Townsend », sur eBird (consulté le )
  77. (en) Franck G. Hawksworth et Delbert Wiens, Biology and Classification of Dwarf Mistletoes (Arceuthobium), U.S. Forest Service,
  78. (en) Royal British Columbia Museum (ill. T.C. Bradshaw), Trees and shrubs of British Columbia, UBC Press, , 374 p. (ISBN 9780774805643), p. 249

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • (en) G.P.V. Akrigg et Helen B. Akrigg, British Columbia Place Names, Vancouver (Canada), UBC Press, , 3e éd. (1re éd. 1986), 239 p. (ISBN 0774806362). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • (en) Scott R. McGill, Robert Wagner, Rachel Plewes et Kyle Hawes, BONAPARTE RIVER : Sensitive Habitat Inventory and Mapping and Aquatic Habitat Index, Ecoscape Environmental Consultants Ltd., , 55 p.
  • (en) James White et George Hendry Ferguson, Altitudes in the Dominion of Canada, Ottawa, Commission of Conservation, 656 p.
  • (en) John R. Swanton, The Indian tribes of North America, Washington, United States Government Printig Office, , 726 p.
  • (en) Samuel N. Rhoads, « The Birds observed in British Columbia and Washington during spring and summer, 1892 », Proceedings of The Academy of Natural Sciences, Philadelphia, Academy of Natural Sciences, vol. Part I, no Jan.-Mar., 1893,‎ . Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article

Voir aussi[modifier | modifier le code]