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Jean-Marie Mioland

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Jean-Marie Mioland
Image illustrative de l’article Jean-Marie Mioland
Biographie
Naissance
Lyon
Ordination sacerdotale
Décès (à 70 ans)
Toulouse
Évêque de l'Église catholique
Ordination épiscopale
Dernier titre ou fonction Archevêque de Toulouse
Archevêque de Toulouse et de Narbonne
(Primat des Narbonnaises)
Archevêque coadjuteur de Toulouse
Évêque d'Amiens

Blason
« In Cruce Salus »
« Le Salut dans la Croix »
(en) Notice sur www.catholic-hierarchy.org

Jean-Marie Mioland, né à Lyon, le et mort à Toulouse le , est un prélat français du XIXe siècle.

Évêque d'Amiens

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Mioland est supérieur des missionnaires de Lyon et est nommé évêque d'Amiens en 1837. A ce titre, il appelle les lazaristes pour la prédication des missions, bâtit le séminaire de Saint-Riquier, favorise l'installation de beaucoup de congrégations religieuses féminines, publie un catéchisme du diocèse et fonde diverses œuvres sociales.

Archevêque de Toulouse

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En 1849, Mioland est nommé coadjuteur de l'archevêque de Toulouse Paul d'Astros et lui succède en 1851 (il ajoutera à Toulouse les 3 étoiles d'argent dans ses armoiries en son hommage[1],[2]). Comme archevêque, il publie la béatification de Germaine Cousin, la bergère de Pibrac et fait adopter la liturgie romaine par son clergé.

Il est inhumé dans le chœur de la cathédrale Saint-Étienne de Toulouse (caveau nord).

Armoiries et devise

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Jean-Marie Mioland porte à Toulouse : De gueules à la croix latine d'argent, au chef d'azur chargé de trois étoiles d'argent[1],[2].

Sa devise épiscopale était : In Cruce Salus[2].

Distinction

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Notes et références

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  1. a et b Comte de Saint-Saud, Armorial des Prélats français du xixe siècle : Additions et corrections, Paris, , 10 p. (lire en ligne), p. 10
  2. a b et c Bibliographique 1907.
  3. « Recherche - Base de données Léonore », sur www.leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr (consulté le )

Bibliographie

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  • Société Bibliographique (dir.) (préf. Mgr Baunard), L'épiscopat français depuis le Concordat jusqu'à la Séparation (1802-1905), Paris, Librairie des Saints-Pères, , 738 p. (lire en ligne), p. 625-626. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article

Articles connexes

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Liens externes

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