Ibn al-Awam

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Ibn al-Awwām
Le premier folio du Livre d'Agriculture (Paris BnF arabe 2804), plus ancien manuscrit conservé.
Biographie
Naissance
Décès
1185?
Nom dans la langue maternelle
YAḤYĀ ibn Muḥammad ibn Aḥmad ibn al-Awwām (Abū Zakarīyā
Époque
XIIe siècle
Activités
Œuvres principales
Livre d'Agriculture (Kitāb al-filāḥa)

Ibn al-Awam ابن العوام (abn aleawami), dont le nom complet est Abou Zakaria Yahia Ibn Mohammed Abou Ahmed Ibn al-Awam al-Ichbili al-Andaloussi, est un agronome et horticulteur de langue arabe[1],[2] qui a vécu au XIIe siècle en Al-Andalus à Séville. Il est l'auteur d'un traité d'agronomie, كتاب الفلاحة (kitab alfilaha) Kitāb al-filā-ḥah, le Livre de l'Agriculture. Ce livre est une source importante sur la révolution agronomique de l'Islam médiéval, il y traite de 585 plantes dont la culture d'un cinquantaine arbres fruitiers, de la connaissance des sols, de la fertilisation, de la greffe de plantes et les maladies, il est suivi d'une partie sur l'élevage.

On rencontre les orthographes Ibn-al-Awam[3], Ibn Al-Awwâm[4] et les noms de أبو زكريا بن العوام ('abu zakariaa bin aleawami) Abu Zacaria ibn Al-Awami et de Abu Alcair Alisbili, ce dernier terme signifie le Sévillan, de Abu Zakaria Iahya Ibn Muhammad Ibn Hamad Ibn al-Awwam al Isabili[5].

Ne pas confondre avec Zubayr ibn al-Awwam

Biographie[modifier | modifier le code]

Historia Hispanica écrit: «Compte tenu du manque d'information sur sa biographie, on pense qu'il aurait pu appartenir à une importante famille sévillane, que sa formation scientifique était solide et que son champ d'action en tant que géoponiste devait être limité à la province de Séville»[6].

Les sources[modifier | modifier le code]

Le contexte[modifier | modifier le code]

L'école des agronomes d'Al'andalus (Xe au XIVe siècle) prospère dans un monde cosmopolite dont l'aristocratie d'origine moyen-orientale est passionnée d'agriculture et d'horticulture jardinée qui s'exprime dans les Almunias. Il introduisent sur le modèle mésopotamien une agriculture irriguée avec un foisonnement de plantes nouvelles (quarante espèces cultivées nouvelles selon Louis Albertini: riz, nombreux agrumes, pêcher, palmier-dattier, mûriers blanc chinois et noir, coton, canne à sucre, grenadier, etc.[7] et développent la fertilisation, la taille, la greffe, la connaissance des sols. Encyclopédie du dix-neuvième siècle (1836) note que «l'auteur arabe parle d'un grand nombre de plantes utiles qui aujourd'hui ne se trouvent plus en Espagne, et que l'on cultivait dans ce pays à l'époque des Arabes»[8].

Les sources[modifier | modifier le code]

3 sources sont utilisées par Ibn al-Awâm en plus de son expérience personnelle («Quant à moi, je n'avance rien qui me soit propre sans qu'il ait été démontré par plusieurs expériences.»[9]). Il a «lui-même des connaissances pratiques, il a fait, sur la montagne de l'Ascharf des expériences dont on trouve les traces dans son discours.»[10]:

  • Source moyen-oriental, égyptiens, Bas Empire romain, Byzantins (Les Géoponiques) et, le plus souvent cité lL'Agriculture Nabatéenne d'Ibn Waḥshiyah, ouvrage qui rassemble l'actualité agricole, magique, botanique et astrologique, dont le cadre géographique est la Mésopotamie[11].
  • source mozarabe et arabes: Ibn Wafid Zakariya est une source principale[14], avec Abou-Hanifah, Albucacis, Ibn-al-Facelal-Andalisi, Hadj-Ahmed de Grenade[15]. «J'ai pris pour base de mon travail ce qu'a écrit le cheik savant et illustre Abou Omar Ibn Hedjadj, [ ] dans son livre qui porte pour titre El-Mognah (le Suffisant) qu'il composa en l'an 466» (1073) «il est au courant de tout ce qui s'est publié depuis l'époque de la première édition du livre, c'est-à-dire depuis Ibn-Hedjadj. Il possède les traités d'Abou-'l-Khaïr, d'Ibn-al-Facel et de Hadj de Grenade»[10].

La postérité[modifier | modifier le code]

Ibn al-Awâm est abondamment mentionné dans la littérature numérisée de 1831 à nos jours avec un regain d'intérêt au XXIe siècle[16] probablement dû à la réédition en format de poche par Acte-Sud (2000)[17]. En espagnol il est fortement mentionné de 1990 à 2000[18] à la suite des rééditions commentées et anotées de E. García Sánchez et J.E. Hernández Bermejo (1988) et suivi de Ciencias de la naturaleza en al-Andalus[19].

Le livre d'Agriculture[modifier | modifier le code]

Livre de l'Agriculture - qui ne fut pas mentionné dans les livres traitant de sa biographie, sauf dans celui d'Ibn Khaldoun. Ce livre a été publié en espagnol lorsqu'une copie de la bibliothèque de l'Escorial (Real Biblioteca del Monasterio de San Lorenzo de El Escorial, a.k.a. la Escurialense o la Laurentina) a été traduite par D. Josef Antonio Banqueri en 1802 puis à Séville en 1878. Il a été traduit en français depuis l'arabe, les manuscrits de Paris et les traductions espagnoles par J.-J. Clément-Mullet et publié à Paris en 3 volumes en 1864, 66 et 67.

Le plan[modifier | modifier le code]

Première partie, Agronomie et botanique[modifier | modifier le code]

Une noria à Cordoue

J.-J. Clément-Mullet motive notamment sa traduction pour son utilité dans le développement de l'agriculture en Algérie, la première partie est la plus importante (800 pages ed. Actes Sud) comparée à la seconde (140 pages).

Elle traite de: La connaissance des terres, préparation des engrais et fumures, l'eau - les puits - le terrassement, disposition des plantations, installation des fruitiers. L'important chap. VII est une suite de 56 monographies sur les fruitiers cultivés en Espagne avec un développement sur l'olivier et la vigne. Les greffes, la taille, l'entretient des cultures, la fertilisation et irrigation des différentes cultures. Les soins et les maladies, l'amélioration et la conservation des fruits. Les semences, les semis, les légumineuses, les plantes à fibres, les potagères, le maraichage, les plantes à racines, les cucurbitacées, les condimentaires, les aromatiques et parfumées (18 monographies). Les moissons, les céréales, calendriers. Les bâtiments et diverses spécialité (distillation de l'eau de rose), l'outillage.

Extrait[modifier | modifier le code]

Chap. VII, art. 30 Culture du bigaradier[20]

« Le vent du levant lui convient, ainsi que celui qui souffle entre le midi et le levant (le sud-est, eurus des Latins). Cet arbre donne une fleur blanche quand elle pousse et d'un bon parfum. Il se trouve quelquefois, mais rarement, que l'orange donne une fleur nuancée de violet. Celle-ci est d'un parfum plus suave que la fleur toute blanche. On retire de ces fleurs une huile essentielle qu'on obtient de la même manière que celle de la giroflée et de la violette; elle est très-odorante, comme celle du jasmin parmi les arbres. Elle fortifie les articulations par la propriété qu'elle a de chasser les mauvaises odeurs. Quelquefois on laisse sur l'arbre le fruit qui se panache par suite de diverses couleurs. Cette opération n'est avantageuse ni pour l'oranger, ni pour aucune espèce d'arbre. Car lorsque l'arbre est allégé de ses fruits en temps convenable, il en acquiert de la vigueur; tandis qu'en les y laissant, ils se gâtent, et c'est pour l'arbre une charge nuisible.

D'après Ibn Wahshiyya (?), l'oranger aime la terre noire et fumée, celle qui est sableuse et rude. L'oranger se multiplie de graines, qu'on sème en grandes terrines neuves, au mois de janvier. »

Deuxième partie, Animale[modifier | modifier le code]

A partir du chap. XXXI sont traités, la reproduction, l'élevage et le dressage. En premier lieu le cheval (20 articles, avec les questions de dressage), les maladies du cheval, et des autres animaux, et les remèdes. Les pigeons (importance des pigeonniers dans la production d'engrais, la colombine fiente de pigeon[21]) et autre volitifs. Les abeilles.

Extrait[modifier | modifier le code]

Chap. XXXIV, art. 6. Les Abeilles[22]

« Il en est qui prescrivent de planter dans les lieux où sont établies les ruches, du thym, des fèves, des concombres verts, des pavots, des sisymbres, des plantes aromatiques cultivées dans les jardins et de la nigelle. Il est bon qu'il se trouve là des poiriers sauvages de montagne, des myrtes, des amandiers et de l'origan de montagne. Aristote dit que l'abeille va butiner sur l'origan, mais que le blanc est préférable au rouge. Suivant Démocrite, la fleur la plus profitable aux abeilles, c'est celle du grenadier, de l'origan et la rose; quand une abeille se pose sur la fleur du laurier-rose, elle en est incommodée.

Suivant un autre auteur, les ruches doivent être faites de bois résineux (pin ou mélèze) et d'argile de bonne odeur. On enduit l'extérieur d'un mélange de cendre et de bouse de vache réduite en poudre qu'on délaye dans l'eau. Il en est qui confectionnent avec de l'écorce de chêne-liège des ruches vulgairement nommées djounah. D'autres tressent avec des baguettes souples et flexibles des paniers longs dans la forme des djounah; on les enduit en dehors et en dedans d'une argile glaiseuse de bonne odeur, ou de bouse de vache mêlée de glaise. Il faut bien se garder d'employer des rameaux de Daphne gniduim. D'autres donnent à leurs ruches une forme carrée, et ils emploient la férule... »

Traduction espagnole de 1878

Publications[modifier | modifier le code]

Manuscrits[modifier | modifier le code]

  • Paris. Bibliothèque Nationale, Arabe 2804 . (Exemplaire le plus ancien et le plus correct, manque la 2e partie et 6 feuillets[23]).
  • Berlin. Deutsche Staatsbibliothek, nº 6206, complet sauf l'élevage.

Reproduction, copies[modifier | modifier le code]

  • «Le manuscrit 906 (Cas. 901), sur lequel ont été faites, à la fin du siècle dernier, deux copies conservées à la Biblioteca nacional de Madrid (l'une cotée Gg 113, l'autre Gg 130 et 1311), avait été prêté à D. Josef Antonio Banqueri, qui le reproduisit presque sans changement dans son édition de Ibn Al-Awwâm, publiée à Madrid en 1802 avec une traduction espagnole»[24]
    • Madrid. Biblioteca de la Real Academia de la Historia, nº IX de la Collection Gayangos (Terés 1975, p. 24). Complet.
    • Madrid. Bibliothèque nationale, nos. XCIC, CI-3 et CXII-XIII (Ullmann, 1972, pp. 447-448) copie de la B. Real Academia Historia.
  • Alger. Bibliothèque Nationale, nº 1550, folios 180r-193v. (résumé décrit par Carabaza et al. , 1991 : II, pp. 1130-1131)[25].
  • Rabat. Bibliothèque Générale, nº 1410 D, folios 140r-154v (extraits, quelques différences avec à l'édition de Fès (fols. 105-139/pp. 98-192) et Banqueri)[26],
  • Tétouan. M. 'Azīmān, , folios 39v-48v (Carabaza Bravo et García Sánchez 1998, « Códices Misceláneos de Agronomía Andalusí », Al-Qantara XIX, p. 403
  • Cambridge. Bibliothèque de l'Université de Cambridge, nº 1027 [Cod. Ou. 608-8] (Brockelmann 1937-1949 : SI, p. 903) Résumé[27].
  • Leyde. Bibliothèque universitaire de Leyde, nº 1285 [Cod. Ou. 346 Warn] (Première partie vol 1 de la traduction de Banqueri)[28]. Manuscrit de Leyde 346, f. 118 ve. fino al f. 123 T°. Carlo Crispo Moncada. Sul taglio della 'vite di 'Ibn 'al-'Awwâm. texte arabe original anoté et traduit. Stockholm et Christiana. Actes du huitième Congrès international des orientalistes, tenu en 1889.Fasc.1, Partie 2,Section 1[29].
Moncada suppose que la culture de la vigne et sa taille dont il est question ici était fait pour le fruit de table (avoir de bons fruits à manger au lieu de faire du vin interdit par leur religion), sujet également négligé chez les deux traducteurs
  • Londres. Bibliothèque du British Museum, nº 998. Copie du manuscrit de l'Escorial.
  • Paris. Bibliothèque Nationale, nº 5754, folio 73 recto: le Kitab al-falaha, traité d'agriculture, par Aboul-Qāsim ibn Abbas al-Nahrawi. L'auteur du Kitāb al-Filāḥa a été identifié comme étant Yḥyā ibn Muḥammad Ibn al-ʿAwwām, al-Nahrawī étant l'auteur des f. 176v-186[30].

Traduction[modifier | modifier le code]

  • Bursa. Bibliothèque du Musée. Traduction turque datée de 1065 de l'Hégire (1655) Terceme i Kitāb al-falāha de Abū Zakarīya Yahyā. b. Mohammed b. Ahmad al - 'Avām . 273 f.. Cf. Sezgin 1986, III, p. 529.

Imprimés[modifier | modifier le code]

  • Abu Zacaria Jahja Aben Mohamed ben Ahmed ebn el Awam texte arabe, traduction espagnole et annotations par Don Josef Antonio Banqueri. Libro de agricultura - Kitāb al-Filāḥa, Madrid. vol.I 698 p.[31] et II 756 p.[32] 1802. Réed. avec préface de E. García Sánchez et J.E. Hernández Bermejo. Ministère de l'agriculture. 2 vol. 1526 p. 1988.
  • Ibn al-'Awwām (1802). 2 vol. Edité avec une traduction espagnole par J.A. Banqueri, Madrid. Disponible en ligne.
  • De Claudio Boutelou (introduction D Estaban Boutelou). Libro de agricultura. Séville, Bibliothèque littéraire scientifique, Seville, imp. Salvador Acuña y Comp. Librairie D. Victoriano Suarez. 2 vol. 1878.
  • traduit de l'arabe par : J.-J. Clément-Mullet.
    • Kitab al-FelahaLe livre de l'agriculture d’Ibn-al-Awâm , Paris A. Franck (Albert L. Herold succ.), 1864, Tome premier, (Porte principalement sur la culture des arbres méditerranéens. Principale source d'information sur de nombreux fruitiers dont les agrumes),
    • Kitab al-FelahaLe livre de l'agriculture d’Ibn-al-Awâm, Paris, A. Franck (Albert L. Herold succ.), 1866, Tome 2 Première partie, (Plantes potagères, maraichage, aromatiques),
    • Kitab al-FelahaLe livre de l'agriculture d’Ibn-al-Awâm, Paris, A. Franck (Albert L. Herold succ.), 1867, Tome 2, Seconde partie (Etable, Ecurie, Basse-cour).
    • Idb al'Awwâm (introduction Mohammed El-faiz). Le livre de l'agriculture traduit par J.J. Clément-Mullet. réed. Arles. Actes Sud et Paris. Sindbad. 1052 p. 2000[33].

Présentation par Gustave Dugat (1868)[34]:

Clément-Mullet a été forcé, dans cette œuvre difficile, de faire un certain nombre de travaux accessoires restés inédits : par exemple des index des noms des végétaux en arabe, en hébreu et en grec, avec la synonymie linnéenne, et un travail ex-professo fort étendu pour la détermination des végétaux et des insectes ou petits rongeurs, cités dans Ibn-al-Awam. La publication de ces intéressantes recherches, au point de vue lexicograpliique, formerait un complément presque nécessaire du Traité d’agriculture.
  • Philip Lord traducteur. Yaḥyā Ibn Muḥammad Ibn al-ʻAwwām. A Moorish calendar from the Book of Agriculture of Ibn al-Awam. Wantage, Black Swan Press, Peter Lord. 1979. (extraits traduits en anglais, cette langue est pauvre en textes traduits. 54 pp.).

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Collectif. La herencia àarabe en la agriocultura y el bienestar de Occidente. Valencia : Editorial de la UPV, 446 pp. 2002.
  • García Expiración et Julia María Carabaza. Studies on the agronomy of Al-Andalus. Le monde rural dans l'Occident musulman médiéval n°126. novembre 2009[25].
  • Lucie Bolens. Les jardins d’Al-Andalus. 1987[35].
  • Louis Albertini. Essor de l'agriculture en al-Andalus (Ibérie arabe), Xe – XIVe siècles. Performances des agronomes arabo-andalous. Actes Sud, Arles, 2013, 358 pp.[36].
  • Louis Albertini. Apogée des jardins et maraîchages en Al-Andalus (Ibérie arabe) Xe – XIVe siècle. Paris. L'Harmattan Questions alimentaires et gastronomiques. 278 pp. 2017[37].

Anthologie[modifier | modifier le code]

  • E. Chevreul. Le livre d'Agriculture dans Le Journal des Savants. Paris Éditions Klincksieck, 1870[38].

« Sur 274 pages composant l'économie des animaux du Livre de l'Agriculture d'Ibn-al-Awam, 207 concernent le cheval. Les détails relatifs à son histoire sont donc, comme je l'ai fait remarquer, hors de proportion avec ce qui regarde celle des autres animaux; et cela témoigne du grand cas que les Arabes faisaient du cheval. En se rappelant que l'auteur habitait l'Andalousie, cette province de l'Espagne si connue par l'excellence de ses chevaux, on a un nouveau motif de s'expliquer la place que tient l'histoire de ce bel animal dans Le livre de l'Agriculture d'Ibn-al-Awam.

Les Arabes attribuent une grande importance à la couleur du poil du cheval; le premier de tous est le cheval gris clair, puis vient le bai brun, les chevaux bai et les noirs résistent le plus à la fatigue; le cheval alezan, qui se développe le mieux, diffère du bai en ce que sa crinière et sa queue sont rouges, tandis que celles du bai sont noires; les chevaux pie (noir et blanc) sont de nature faible. »

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. (en) Simon Hornblower, Antony Spawforth et Esther Eidinow, The Oxford Classical Dictionary, OUP Oxford, (ISBN 978-0-19-954556-8, lire en ligne).
  2. (en) R. A. Donkin, Dragon's Brain Perfume: An Historical Geography of Camphor, BRILL, (ISBN 978-90-04-10983-4, lire en ligne).
  3. Gustave (1824-1894) Auteur du texte Dugat, Histoire des orientalistes de l'Europe, du XIIe au XIXe siècle / par Gustave Dugat,..., 1868-1870 (lire en ligne)
  4. Gustave (1824-1894) Auteur du texte Dugat, Histoire des orientalistes de l'Europe, du XIIe au XIXe siècle / par Gustave Dugat,..., 1868-1870 (lire en ligne)
  5. https://digital.csic.es/bitstream/10261/92169/3/XIII_Biblio_hca_Parte_II.pdf p.45
  6. (es) HI Iberia Ingeniería y Proyectos, « Historia Hispánica », sur historia-hispanica.rah.es (consulté le )
  7. https://hal.science/hal-01222804/file/14-C65Biblio%20-%20copie%202.pdf
  8. Encyclopédie du dix-neuvième siècle : répertoire universel des sciences, des lettres et des arts, avec la biographie de tous les hommes célèbres. T. 14, HEN-LIT / [préf. signée : le directeur, Ange de Saint-Priest], 1836-1853 (lire en ligne)
  9. Yaḥyà b Muḥammad Ibn al-ʿAwwâm, Le livre de l'agriculture. Tr. par J.-J. Clément-Mullet, (lire en ligne), p. 9
  10. a et b « Revue orientale et américaine / publiée... par Léon de Rosny », sur Gallica, (consulté le )
  11. « Abu Zakariyya' b. Muhammad Ibn al-`Awwam | Real Academia de la Historia », sur dbe.rah.es (consulté le )
  12. Yaḥyà b Muḥammad Ibn al-ʿAwwâm, Le livre de l'agriculture. Tr. par J.-J. Clément-Mullet, (lire en ligne), p 47 et sq.
  13. Yaḥyà b Muḥammad Ibn al-ʿAwwâm, Le livre de l'agriculture. Tr. par J.-J. Clément-Mullet, (lire en ligne), p 71
  14. (es) « Libro de agricultura. . Tomo I[-II].Including: BROECK, Victor van den. Catecismo de agricultura.VILLE, Georges. Abonos químicos conferencias agrícolas.Seville, Biblioteca Científico Literaria; Madrid, Victoriano Suarez (colophon: printed by Salvador Acuña y Comp., Seville), 1878. 2 volumes. Imperial 16mo (18 x 11.5 cm). Later half turquoise sheepskin. de ABU ZAKARIYA ibn al-AWWAM. | Antiquariaat FORUM BV », sur www.iberlibro.com (consulté le )
  15. Yaḥyà b Muḥammad Ibn al-ʿAwwâm, Le livre de l'agriculture. Tr. par J.-J. Clément-Mullet, (lire en ligne), p. 77 et sq.
  16. (en) « Google Books Ngram Viewer », sur books.google.com (consulté le )
  17. « Le livre de l'agriculture | Actes Sud », sur www.actes-sud.fr (consulté le )
  18. (en) « Google Books Ngram Viewer », sur books.google.com (consulté le )
  19. (es) Expiración García Sánchez, Ciencias de la naturaleza en al-Andalus: Textos y estudios, Editorial CSIC - CSIC Press, (ISBN 978-84-00-07426-5, lire en ligne)
  20. Yaḥyá ibn Muḥammad Ibn al-ʿAwwām, Le livre de l'agriculture d'Ibn-al-Awam (kitab-al-felahah) ..., A. Franck, (lire en ligne), p 298 et sq.
  21. Pierre Claude François Daunou, Pierre Lebrun, Charles Giraud et Barthélemy Hauréau, Journal des Savants, Éditions Klincksieck, (lire en ligne), p 627
  22. Yaḥyá ibn Muḥammad Ibn al-ʻAwwām, Le livre de l'agriculture d'Ibn al-Awam, A. Franck, (lire en ligne), p 254
  23. YAḤYĀ ibn Muḥammad ibn Aḥmad ibn al-Awwām (Abū Zakarīyā) Auteur du texte, كتاب الفلاحة « Livre de l'agriculture », par Aboû Zakarîya Yaḥyâ ibn Moḥammad ibn Aḥmad ibn al-ʿAuwâm.,‎ 1201-1300 (lire en ligne), NP vue 3
  24. Hartwig (1844-1908) Auteur du texte Derenbourg, Les manuscrits arabes de l'Escurial. I. Grammaire, rhétorique, poésie, philologie et belles-lettres, lexicographie, philosophie / décrits par Hartwig Derenbourg,..., 1884-1903 (lire en ligne), p. XIX
  25. a et b Expiración García et Julia María Carabaza, « Studies on the agronomy of Al-Andalus », Revue des mondes musulmans et de la Méditerranée, no 126,‎ (ISSN 0997-1327, DOI 10.4000/remmm.6465, lire en ligne, consulté le )
  26. « The Filāḥa Texts Project », sur www.filaha.org (consulté le )
  27. Expiración García et Julia María Carabaza, « Studies on the agronomy of Al-Andalus », Revue des mondes musulmans et de la Méditerranée, no 126,‎ (ISSN 0997-1327, DOI 10.4000/remmm.6465, lire en ligne, consulté le )
  28. https://digital.csic.es/bitstream/10261/279602/1/Studies%20on%20the%20agronomy%20of%20Al-Andalus.pdf
  29. Hans (1882-1633) Auteur du texte Schnorr von Carolsfeld, J. M. Auteur du texte Daae, Jules (1825-1905) Auteur du texte Oppert et Rudolf (1861-1919) Auteur du texte Dvořák, Actes du huitième Congrès international des orientalistes, tenu en 1889 à Stockholm et à Christiana. Fascicule 1,Partie 2,Section 1, 1892-1893 (lire en ligne), p 227
  30. Yaḥyā ibn Muḥammad (-1185?) Auteur du texte Ibn al-ʿAwwām al-Išbīlī, Aboul-ʿAbbas Ahmad ibn Mahdi al-Ghazzal al-Fasi al-Andalousi Auteur du texte et Aboul-Qāsim ibn ʿAbbas al-Nahrawi Auteur du texte, Recueil., 1778-1779 (lire en ligne)
  31. (ar) Kitāb al- Filāḥa, Imprenta Real, (lire en ligne)
  32. (ar) Yaḥyā Ibn-Muḥammad Ibn-al-ʻAuwām, Kitāb al- Filāḥa, Imprenta Real, (lire en ligne)
  33. « Le livre de l'agriculture | Actes Sud », sur www.actes-sud.fr (consulté le )
  34. Gustave (1824-1894) Auteur du texte Dugat, Histoire des orientalistes de l'Europe, du XIIe au XIXe siècle / par Gustave Dugat,..., 1868-1870 (lire en ligne)
  35. Lucie Bolens, « Les jardins d’Al-Andalus », dans Jardins et vergers : En Europe occidentale (viiie-xviiie siècles), Presses universitaires du Midi, coll. « Flaran », , 71–96 p. (ISBN 978-2-8107-0912-0, lire en ligne)
  36. « Essor de l'agriculture en al-Andalus (Ibérie arabe) : Xe – XIVe siècle - Performances des agronomes arabo-andalous, Louis Albertini - livre, ebook, epub », sur www.editions-harmattan.fr (consulté le )
  37. « Apogée des jardins et maraîchages en Al-Andalus (Ibérie arabe) Xe – XIVe siècle : Nouveaux légumes, fruits et épices - Essor de la cuisine arabo-andalouse, Louis Albertini - livre, ebook, epub », sur www.editions-harmattan.fr (consulté le )
  38. Pierre Claude François Daunou, Pierre Lebrun, Charles Giraud et Barthélemy Hauréau, Journal des Savants, Éditions Klincksieck, (lire en ligne), p 625