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Gladys Beurdeley-Fabre

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Gladys Fabre
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Gladys Beurdeley-Fabre, née le à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) est une historienne de l'art française, commissaire d'expositions et auteure d'ouvrages qu'elle signe sous différents noms Gladys C. Fabre ou Gladys Fabre.

Fille de Cécile et Michel Beurdeley, Gladys Beurdeley est diplômée en 1955 d’Etudes Supérieures d’Histoire de l’Art et d’Archéologie à l’Institut d’art et d’archéologie, Paris Sorbonne. Elle devient experte en art du XXe siècle auprès de la Chambre des commissaires priseur et à la Cour d’Appel de Paris. En esthétique, ses travaux portent sur la modernité et les avant-gardes du XXe siècle.[réf. nécessaire]

Gladys Beurdeley-Fabre est nommée à la commission d’achat du Fonds Régional de l’Ile de France (1984-1985) puis à celle du Fonds National d’Art contemporain (1986-1989). De 1987 à 1989, en tant qu’historienne de l’art, elle est invitée par la biologiste Françoise Gaill à participer à des séminaires interdisciplinaires au Collège de France. Elle devient conseillère scientifique et commissaire de plusieurs expositions internationales en France, Allemagne, Suisse, Espagne, et aux États-Unis. De 1984 à 1986, elle diffuse en France les bandes éditées aux U.S.A par l'association Electronic Arts Intermix en charge de l'archivage de l'art vidéo et nouveaux médias. Début 1997, elle devient chargée de mission à la conservation du Musée d’art Moderne de la Ville de Paris jusque fin 2000.[réf. nécessaire][1]

Parmi les artistes pour lesquels elle écrit des monographies ou des essais sur : František Kupka, Albert Gleizes, Félix Del Marle, Léon Tutundjian, David Kakabadzé, les membres de École de Paris, et aussi sur des artistes plus contemporains tels que Bill Culbert[2], Joelle Dautricourt, Joël Hubaut, Benni Efrat, Michèle Gignoux, Philippe King, Yves Klein[3], Georges Noël, Orlan, Jean-Pierre Raynaud. Également, Maria Klonaris et Katerina Thomadaki et autres créations de l'Art Vidéo, de la Pop Culture[4] et sur Brion Gysin au sein de la Beat Generation.

Commissariat d'expositions

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Waldemar Shwab/Kunsthaus, Zurich, Suisse (1975)

Abstraction-Création 1931-1936, Westfälisches Landesmuseum für Kunst und Kulturgeschichte. Münster / Paris, au Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, 1978

Pierre Antoine Gallien: peintre à la ligne noir (peintures de 1919 à 1926) Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, 1979 - exposition inaugurale de L'ARC au musée sous la direction de Suzanne Pagé

Léger et l'esprit moderne, Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, 1982, puis Huston et Genève

Georges Noël, Centre National des Arts Plastiques, 1985[5]

Antiquitat-Modernitat en l'art del Segle XX, Fondation Juan Miro, Barcelona, Espagne (1990)

Paris 1930, Cercle et Carré, Arte Abstracto_ Concreto, IVAM, Centro Julio Gonzalez, Valencia, Espagne (1990)

Années 30 en Europe, le temps menaçant, 1929-1939, Musée d'Art moderne de la Ville de Paris (1997), comité scientifique avec Serge Fauchereau[6]

Paris, Capital of the Arts, 1900-1968, Royal Academy of Arts, Londres; Musée Guggenheim, Bilbao, Espagne (2002)

La dona, métamorfosi de la modernitat, Fondation Juan Miro, Barcelone, Espagne (2003 - 2004)

Roar China, Masereel et l’art graphique révolutionnaire en Chine 1919-1949, Museum voor Schone Kunsten Gent, Gent, Belgique (2009 - 2009)[7]

Van Doesburg and the International Avant-Garde. Constructing a New World, Tate Modern, Londres, Royaume-Uni (2009-2010)

Electromagnetic. Modern Art in Northern Europe 1918-1931, Henie Onstad Kunstsenter, Hovikodsen, Norway (2013), Art museum of Estonia KUMU, Tallinn, Estonia (2014)

Theo van Doesburg. Une Nouvelle Expression de la Vie, de l'Art et de la Technologie, Bozar, Bruxelles, Belgique (2016)

Le monde nouveau de Charlotte Perriand, Fondation Louis Vuitton, Paris (2019-2020)[8]

Publications et Essais (extraits)

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54 essais ont été référencés sur le portail de la bibliothèque Kandinsky du Centre Pompidou[9].

Notes et références

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Liens externes

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