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Ernest-Eugène Chrétien

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Ernest Eugène Chrétien
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Ernest-Eugène Chrétien est un sculpteur français né le à Elbeuf et mort le à Paris.

Ernest-Eugène Chrétien est né à Elbeuf le [1]. Élève d'Auguste Dumont à l'École des beaux-arts de Marseille[2], il expose en 1868 à Paris au Salon un Suivant de Bacchus, puis y envoie des œuvres jusqu'à sa mort[1]. Il obtient une médaille de 2e classe au Salon de 1874 pour Maudit !, et une médaille de bronze à l'Exposition universelle de 1889[1]. En 1886, il obtient le prix Bouctot de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Rouen pour Le Bonheur maternel.

Il meurt le à Paris[3].

Il est le père du sculpteur Edmond Chrétien (1883-1945)[4].

Œuvres dans les collections publiques

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Notes et références

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  1. a b et c Stanislas Lami, Dictionnaire des sculpteurs de l'École française au dix-neuvième siècle. T. I. A-C, 1914-1921 (lire en ligne), p. 381.
  2. (en) « Chrétien, Eugène Ernest », sur Benezit Dictionary of Artists (consulté le ).
  3. Archives de Paris, décès dans le 15e arrondissement de Paris, année 1909, acte no 2540 du , vue 9/31.
  4. (en) « Chrétien, Edmond Ernest », sur Benezit Dictionary of Artists (consulté le ).
  5. « Les Fêtes d'Elbeuf », Journal de Rouen,‎ , p. 2.
  6. « La place de la Reine Astrid - le square de l'Alma », paris1900.lartnouveau.com, consulté le .
  7. « Guerrier reforgeant son épée – Paris, 4e arr. », notice sur e-monumen.net, consulté le .

Bibliographie

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  • Nicole Zapata-Aubé, La Sculpture du XIXe siècle dans l’Eure (1830-1914), Bernay, 1987.

Liens externes

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