Discussion:Ernesto Djédjé

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À mon humble avis, on a encore un peu de travail à faire sur l'article pour l'amener à maturité (notamment compléter le contenu, effectuer quelques corrections typographiques, d'orthographe et de style mais aussi renforcer la qualité et la pertinence de l'illustration.--Zenman [Réagir] 15 avril 2009 à 09:46 (CEST)[répondre]

Mon avis sur le BA ...[modifier le code]

Pour le moment, selon mon interprétation des critères, la typo, la neutralité de pdv, n'est pas au rendez-vous :

  • « une belle voix », tout le monde à çà définition, ce n'est donc pas neutre, de même pour « Décèdé à seulement 35 ans », c'est pas neutre,
  • Portait de l'artiste et du Ziglibithy, que veux dire cette partie, je n'ai pas compris. Inspirez-vous d'article sur des artistes déjà fait (cf. Portail:Musique),
  • nombreuses fautes d'orthographes,
  • dans l'article que j'avais fait sur Gwen Stefani, il y avait un section Carrière musicale, ce qui n'est pas le cas ici.

--mik@ni 18 avril 2009 à 00:47 (CEST)[répondre]

Oui mais dans l'article Peter Brötzmann (BA) il n'y a pas de « carrière musicale » (Il y a tout simplement Biographie). Portait de l'artiste et du Ziglibithy devient plus claire après lecture de l'article, on retrouve un chapitre similaire dans cette article : Maurice Ravel intitulé « Ravel et son art » (AdQ) -- Fr@ncky Dicaprio © (d) 18 avril 2009 à 17:56 (CEST)[répondre]

Ok, bref en poussant un peu plus ma lecture je suis tombé sur : « Ernesto Djédjé était légitimement marié à une Egyptienne, professeur en Côte d'Ivoire du nom de Lola Moustapha Soher Galal. Ernesto Djédjé lui avait dédié un morceau intitulé Lola. Des fruits de leur amour[non neutre] naquit deux filles : Victorine Talowon et Donia Eva, qui furent élevées pratiquement que par leur mère. »

Un autre version possible et plus neutre selon moi : Djédjé était marié avec Lola Moustapha Soher Galal, professeur d'origine Egyptienne, Djéjé lui avait dédié le titre Lola. Ils eurent deux enfants, Victorine Talowon et Donia Eva.

mik@ni 19 avril 2009 à 11:50 (CEST)[répondre]

D'accord avec toi, je vais améliorer l'article, merci de ton avis--Fr@ncky Dicaprio © (d) 19 avril 2009 à 19:25 (CEST)[répondre]

Bon, je reviens à la charge, je trouve qu'il y a de gros problèmes de synthaxe de français dans l'article. J'ai trouve qu'il y a un manque de clarté dans le plan de l'article. Je proposerai plutôt :

  1. Biographie
    1. Enfance et Jeunesse
    2. Débuts musicaux
    3. L'exode ambitieux (1968-1973)
    4. Le retour (1973)
    5. Le Gnoantré national (1977-1983)
    6. Le décès : Mystérieuse disparition
    7. Portrait de Djédjé
    8. Relations avec les femmes
    9. Amitiés
    10. Héritages et influences
  2. Influences philosophiques et sociales
    1. Influences philosophiques
    2. Influences sociales
  3. Discographie
  4. Notes et Réferences
    1. Notes
    2. Bibliographie
    3. Articles connexes

mik@ni 3 mai 2009 à 19:29 (CEST)[répondre]

Oui mais il manque la partir « Portrait du Ziglibithy » -- Fr@ncky Dicaprio © (d) 3 mai 2009 à 19:43 (CEST)[répondre]
Le ziglibithy a sa propre page sur WP, donc la partie "portrait du z." on l'intégre dans l'article, quand on lit l'article si on veut plus de renseignement on clique sur le lien bleu. mik@ni 3 mai 2009 à 19:49 (CEST)[répondre]
Pour un artiste et un registre musical assez « meconnue » du grand public aujourd'hui je pense qu'une explication sur son genre musical dans cette article serait la bienvenue non ? -- Fr@ncky Dicaprio © (d) 4 mai 2009 à 02:59 (CEST)[répondre]
Alors si explication, il faut qu'elle soit le plus bref possible et en intro de l'article je pense mik@ni 4 mai 2009 à 16:23 (CEST)[répondre]

C'est avec joie que j'ai lu l'article sur Ernesto Djedje, cependant il faut noter beaucoup d'incorrections, notamment dans sa discographie, en particulier celle qui m'intéresse de près sa période parisienne. A part Anowa daté de 1970 (voire 1969), toute la discographie de la période parisienne est fausse,quelque fois sur les titres, quelques fois sur les dates. En somme, cet article est une ébauche, c'est dire qu'il y a encore du métier à l'ouvrage. Le Sankofiste

C'est à dire, avez-vous une discographie de l'artiste, plus d'information ?, ce serait interessant, Merci - cordialement --Fr@ncky Dicaprio © (d) 27 avril 2009 à 22:09 (CEST)[répondre]
Je trouve certes louable de se lancer dans de telles entreprises de recherche concernant Ernesto Djédjé, cependant c'est très dommage de les faire sans de véritables investigations, notamment au niveau de la discographie qui comporte beaucoup d'imperfections, il y a aussi des articles sur Ernesto Djedje dans Frat mat ou encore ivoir dimanche, il suffit de les chercher pour effectuer un travail riche et pertinent plutôt que de se contenter des écrits trop récents, susceptibles de nous éloigner de l'artiste. Revenons à la discographie les deux 45 tours Mahoro/Mamadou Coubalibaly et Zokou Gbeuly/Zokoly sont datés de 1973 et ils annoncent l'avènement du Zigligithy. Pas seulement pour l'adaptation de Zokoly, chanson traditionnelle, mais aussi à cause de Zokou Gbeuly qui est déjà est version contemporaine de ce rythme.1973 est donc une fertile avec deux 45 tours mais aussi une année charnière. Elle constitue une étape importante dans la carrière musicale d'Ernesto Djédjé. Elle annonce met fin à l"expérience parisienne" et c'est la séparation (musicale définitive) avec Manu Dibango, celui qui l'a remis sur le chemin des nouvelles musiques africaines. 1973 ouvre aussi une nouvelle étape non pas celle du ziglibithy, mais celle de sa radicalisation tant au plan musical que vestimentaire. A ce titre que nous convenons avec le professeur Yacouba Konaté que Ernesto Djédjé "utilise les enseignements de son voyage en France pour rechercher encore plus profondément ses racines. D'où le caractère radical et total du Ziglibithy. Radical, le Ziglibithy l'est surtout dans la quête d'identité qu'il développe. C'est une réponse à la crise de civilisation".(Cf Alpha Blondy Reggae et société en Afrique Noire, ed. Karthala/ceda, 1987, p.107. Mon ami, i y a encore du pain sur la planche ! Le Sankofiste
Cet article est le fruit d'un travail relativement important, mais celui-ci reste à parfaire. Et votre intervention, Le Sankofiste, me paraît de ce point de vue, très intéressante et enrichissante. Vous serait-il possible de préciser les sources pour Frat mat ou ivoir dimanche et les éventuelles corrections à apporter notamment à la discocraphie ? --Zenman [Réagir] 1 mai 2009 à 12:38 (CEST)[répondre]
Merci à vous M Sankofiste, il est difficile d'avoir des sources sur l'artiste surtout ici en Europe où je suis, ce travail comme le dit Zenman reste à parfaire, votre aide est la bienvenuue, si vous possedez des images de l'artiste ce serait aussi interessant -- Amicalement Fr@ncky Dicaprio © (d) 1 mai 2009 à 15:16 (CEST)[répondre]

Je tiens à préciser, concernant "l'expérience parisienne" d'ernesto Djedje, les deux 45 tours de 1971 ont été réalisés non pas par l'orchestre James Reeba, mais sous la direction orchestrale de James Reeba. De plus,je ne suis pas sûr que ces œuvres aient été bien accueillies en Côte d'Ivoire. La preuve en est que très peu de mélomanes, même les spécialistes d'Ernesto Djedje en connaissent l'existence. (on retient généralement Anowa, Mamadou Coulibaly et les autres œuvres de 1973). Or l'existe de ces œuvres sont aujourd'hui capitales pour connaître les fondements de la démarche et vision musicale d'Ernesto Djejde. C'est pourquoi, je reste convaincu que la période parisienne reste très importante pour mieux cerner Ernesto Djedje, au plan musical.Le débat reste... toujours ouvert. Le Sankofiste!

Discographie[modifier le code]

Je crois que Mamadou Coulibaly est sorti en 1971 et non en 1973 -- Fr@ncky Dicaprio © (d) 2 mai 2009 à 17:33 (CEST)[répondre]

De 1970 à 1971 (voir 1972), Ernesto Djedje, tout comme ses compatriotes ivoiriens François Lougah et Justin Stanislas étaient sous contrat chez Philips. Or Mahoro/Mamadou Coulibaly et Zokou Gbeuly/Zokoly sont sortis, jusqu'à preuve de contraire chez Fiesta. Il serait difficile d'être sous contrat chez Philips et sortir des œuvres dans une autre maison de disque. De plus, chose toute simple, contrairement aux premiers 45 tours d'Ernesto Djedje qui ne sont malheureusement pas datés, Mahoro/Mamadou Coulibaly et Zokou Gbeuly/Zokoly sont bel et bien datés de 1973. A moins d'avoir d'autres versions de ces œuvres, ce qui est somme toute plausible. Le débat continue... Le Sankofiste.

A revoir :

1970 : Anowa/Tetialy Blé (arrangements Manu Dibango),Philips

1970 : Gniah-Pagnou/Wanne (arrangements Manu Dibango),Philips

1971?: N'wawuile/N'koiyeme (orchestre James Reeba),Philips

1971?: Lorougnon Gbla/Ernesto (orchestre James Reeba),Philips

1973 : Mahoro/Mamadou Coulibaly (arrangements Manu Dibango), Fiesta

1973 : Zokou Gbeuly/Zokoly (arrangements Manu Dibango), Fiesta

1975?: Aguissè/Kolougnon, Badmos

1977 : Ziboté (Le roi du Ziglibithy), Badmos

1978?: Les Zigblibithiens, ?

1979 : Golozo, SIIS

1980?: Azonadê, ?

1981 : Zouzoupalé, SIIS

1982 : Tizéré, Star Musique

1983 : Souvenir (Amaguhewou), Sed

2001 : Ernesto Djedje le roi du ziglibithi, pam 2001.


  • 1970 : Anowa (1er 45 tours)
  • 1971 : Mamadou Coulibaly
  • 1972 : Zokou Gbeuli
  • 1973 : Ano Gnia
  • 1975 : Retour en Côte d’Ivoire
  • 1976 : Ziboté (1er 33 tours)
  • 1978 : Les Ziglibithiens
  • 1979 : Golozo
  • 1980 : Azomadré
  • 1981 : Zouzou Palegué
  • 1982 : Henri Konan Bedié
  • 1998 : Ivoir'compil vol 3
  • 1999 : Côte d'Ivoire - Rendez-vous
  • 2001 : le Roi du Ziglibithy
  • 2005 : Golden Afrique
  • 2006 : Ivoirstars Gigamix