Courgevaux
Courgevaux | ||||
![]() Armoiries |
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Administration | ||||
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Pays | ![]() |
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Canton | ![]() |
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District | Lac | |||
Syndic | Eddy Werndli | |||
NPA | 1796 | |||
No OFS | 2250 | |||
Démographie | ||||
Population permanente |
1 438 hab. (31 décembre 2020) | |||
Densité | 428 hab./km2 | |||
Géographie | ||||
Coordonnées | 46° 54′ 27″ nord, 7° 06′ 43″ est | |||
Altitude | 532 m Min. 495 m Max. 603 m |
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Superficie | 3,36 km2 | |||
Divers | ||||
Langues | Français (officiel), allemand | |||
Localisation | ||||
Géolocalisation sur la carte : Suisse
Géolocalisation sur la carte : Suisse
Géolocalisation sur la carte : canton de Fribourg
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Liens | ||||
Site web | www.courgevaux-gurwolf.ch | |||
Sources | ||||
Référence population suisse[1] | ||||
Référence superficie suisse[2] | ||||
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Courgevaux (appelée Gurwolf en allemand ; Kordzevou Écoutez ou Kordzevô en patois fribourgeois[3]) est une localité et une commune suisse du canton de Fribourg, située dans le district du Lac.
Géographie[modifier | modifier le code]
Courgevaux, dont l'altitude moyenne est de 475 mètres, est une commune francophone se situant à 2,5 kilomètres au sud-ouest de Morat, le chef lieu du district du Lac. La commune s'étend dans une large cuvette que traverse le ruisseau du Moulin et est délimitée au sud par une colline boisée, le Boulary.
Courgevaux mesure 336 ha[2]. 15,8 % de cette superficie correspond à des surfaces d'habitat ou d'infrastructure, 57,5 % à des surfaces agricoles, 26,1 % à des surfaces boisées et 0,6 % à des surfaces improductives[2].
Courgevaux est limitrophe de Courtepin, Meyriez, Morat ainsi que Faoug dans le canton de Vaud et Clavaleyres et Villars-les-Moines dans le canton de Berne.
Démographie[modifier | modifier le code]
Courgevaux compte 1 438 habitants en 2020[1]. Sa densité de population atteint 428 hab./km2.
Le graphique suivant résume l'évolution de la population de Courgevaux entre 1850 et 2008[4] :

Langues[modifier | modifier le code]
Vers 1980, Courgevaux était encore francophone, avec environ 52 % de francophones. Puis, avec l'arrivée massive de Bernois, cette commune a changé de « région linguistique »[5] : En 2000, une petite majorité de la population parlait l'allemand, la langue française arrivant en second.
Galerie[modifier | modifier le code]
Références[modifier | modifier le code]
- « Bilan démographique selon le niveau géographique institutionnel », sur Office fédéral de la statistique (consulté le ).
- « Portraits régionaux 2021: chiffres-clés de toutes les communes »
[xls], sur Office fédéral de la statistique (consulté le ).
- Dictionnaire-Dikchenéro: Français-Patois/Patê-Franché. Société cantonale des patoisans fribourgeois. Fribourg: 2013. p. 123
- [xls] « Evolution de la population des communes 1850-2000: Canton de Fribourg », sur Office fédéral de la statistique (consulté le )
- http://www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/index/regionen/11/geo/analyse_regionen/02.parsys.0010.downloadList.00101.DownloadFile.tmp/11regling18602000020405fr.xls
Liens[modifier | modifier le code]
- Site officiel
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :