Technicentre
Technicentre est la dénomination utilisée depuis par la Société nationale des chemins de fer français (SNCF), pour les anciens Établissement industriel de maintenance (EIM), Établissement de maintenance du matériel (EMM) et Établissement industriel de maintenance du matériel (EIMM).
Liste des Technicentres SNCF
Un technicentre désigne un ou plusieurs sites spécialisés dans la maintenance du matériel de la SNCF. Ils sont répartis sur l'ensemble du territoire national français[1] :
- Technicentre de Lyon et ses UO : Gerland (TGV)[note 1], Vaise[2], Vénissieux, L'Arbresle, Sibelin ;
- Technicentre d'Hellemmes – TI ;
- Technicentre de Romilly – TI ;
- Technicentre Charentes-Périgord (sites de Périgueux et Saintes) – TI ;
- Technicentre Paris-Est (Noisy-le-Sec)[3] – TM ;
- Technicentre Paris-Nord (Joncherolles, Le Bourget, Mitry-Claye, Persan-Beaumont) – TM ;
- Technicentre Lorraine (dépôt de Metz, dépôt de Thionville) – TM ;
- Technicentre du Landy (TGV) – TM ;
- Technicentre Paris-Saint-Lazare (Levallois, Clichy, Le Val Notre-Dame, Achères) – TM ;
- Technicentre Paris-Rive-Gauche (Île-de-France : Paris-Austerlitz, Montrouge, Trappes, Les Ardoines) – TM ;
- Technicentre Sud-Est Européen (TGV ; sites de Conflans et de Villeneuve-Saint-Georges) – TM ;
- Technicentre Pays de la Loire (Nantes ; Le Mans et ses UO : site de démantèlement pour voitures et rames, TGV et Transilien) – TM et TI ;
- Technicentre Est Européen (TGV ; Pantin, Bobigny et Strasbourg-Neudorf) – TI ;
- Technicentre Picardie (Longueau, Amiens, Tergnier) – TM ;
- Technicentre Nord-Pas-de-Calais (Lens, Calais, Tourcoing, Lille, Dunkerque, Somain) – TM ;
- Technicentre Quatre-Mares, Saint-Étienne-du-Rouvray (Normandie) – TM ;
- Technicentre Normandie (Sotteville-lès-Rouen, Le Havre, Caen, Cherbourg) – TM ;
- Technicentre Atlantique (TGV ; Châtillon et Bagneux) – TM ;
- Technicentre de Rennes (Bretagne) – TI ;
- Technicentre Bretagne (Rennes) – TM ;
- Technicentre de Nevers – TI ;
- Technicentre Alsace (Strasbourg-Ville, Mulhouse-Ville et Mulhouse-Nord) – TM ;
- Technicentre de Bischheim – TI ;
- Technicentre de Chambéry – TM ;
- Technicentre de Saint-Pierre-des-Corps – TI ;
- Technicentre PACA (Marseille-Blancarde, auquel sont rattachés les sites de Briançon, Cannes-la-Bocca, Marseille-Saint-Charles, Avignon, Miramas et Nice) ;
- Technicentre d'Oullins (Rhône-Alpes), fermé en 2019[4],[5] ; migré à Vénissieux – TI ;
- Technicentre de Villeneuve (Île-de-France), avec des sites de maintenance détachés à Corbeil-Essonnes et Bercy – TM ;
- Technicentre Aquitaine (Aquitaine) – TM ;
- Technicentre Bourgogne-Franche-Comté et ses UO (sites de Perrigny, Dijon-Ville, Gevrey-Chambertin et Besançon) – TM ;
- Technicentre Occitanie (Toulouse et Nîmes) – TM.
Galerie de photographies
-
Le technicentre de Mulhouse.
-
La tour de re-profilage d'essieux, sur le site des Joncherolles.
-
La machine à laver, aux Joncherolles.
-
Des Transilien en rénovation, à Saint-Pierre-des-Corps.
-
La BB 26056 (dernière locomotive traitée aux ateliers d'Oullins).
Notes et références
Notes
- N.B. : le Technicentre de Gerland (Lyon) est le premier Technicentre TGV en dehors de la région parisienne.
Références
- Site talentsncf.com, Les technicentres du Matériel ; lire (consulté le ).
- DREAL (65), « Pollution des sols : BASOL - site SNCF Technicentre de Lyon - UP de Vaise », sur http://basol.developpement-durable.gouv.fr/, (consulté le ), p. 69.0321.
- Revue Voies Ferrées no 193, septembre-, p. 42.
- « Le technicentre SNCF d’Oullins aiguillé en direction de Vénissieux », sur le site web du journal Le Progrès, (consulté le ).
- « SNCF : le technicentre industriel d’Oullins a déjà entamé sa mutation », sur le site web du journal Le Progrès, (consulté le ).