Chapelle de Ti Mamm Doué

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est une version archivée de cette page, en date du 30 novembre 2020 à 13:42 et modifiée en dernier par Anpanman (discuter | contributions). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.

Chapelle de Ti Mamm Doué
Image illustrative de l’article Chapelle de Ti Mamm Doué
Présentation
Nom local Chapel Ti Mamm Doue (breton)
Culte Catholique romain
Type Chapelle
Rattachement Diocèse de Quimper et Léon
Début de la construction 1541
Fin des travaux 1592
Architecte Inconnu
Style dominant Gothique et Renaissance
Protection Logo monument historique Classé MH (1903)
Géographie
Pays France
Région Bretagne
Département Finistère
Ville Quimper
Coordonnées 48° 01′ 14″ nord, 4° 05′ 53″ ouest
Géolocalisation sur la carte : Quimper
(Voir situation sur carte : Quimper)
Chapelle de Ti Mamm Doué
Géolocalisation sur la carte : Finistère
(Voir situation sur carte : Finistère)
Chapelle de Ti Mamm Doué
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Chapelle de Ti Mamm Doué

La chapelle de Ti Mamm Doué est une chapelle située à Quimper, en France[1]. Le nom signifie en breton : « Maison de la Mère de Dieu ».

Description

Cette chapelle Renaissance possède au sud une belle porte gothique avec des colonnettes torsadées décorées à la base de nids d'abeille et le vitrail du croisillon sud représente une procession où les paroissiens avaient posé.

Localisation

La Chapelle est située dans la commune de Quimper dans le département français du Finistère, en région Bretagne.

Historique

La chapelle est de style gothique tardif ; l'une de ses portes est datée de 1541, l'autre (de style classique) de 1605. Selon la tradition, le père Julien Maunoir, prédicateur célèbre, y aurait reçu le don de la langue bretonne[2] le , jour de Pentecôte [3].

Le vitrail patriotique de la chapelle a été conçu après la Première Guerre mondiale pour commémorer l'Offensive Meuse-Argonne du 26 au à laquelle participèrent des poilus finistériens du 118e régiment d'infanterie.

Les deux vitraux datant de 1995 sont l'œuvre du peintre François Dilasser et du maître verrier Jean Pierre Le Bihan[4].

L'édifice est classé au titre des monuments historiques par arrêté du [1].

Modèle:Message galerie

Notes et références

Annexes

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

Articles connexes