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Direction générale de la Recherche extérieure

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Direction générale de la recherche extérieure
Juridiction République du Cameroun
Direction Léopold Maxime Eko Eko

La Direction générale de la recherche extérieure (DGRE) est le service de renseignement camerounais.

Histoire

Les noms successifs de ce service sont :

  • Service d'études et de la documentation (SEDOC)[1]
  • Direction générale d'études et de la documentation (DIRDOC)
  • Centre national des études et de la recherche (CENER)[2]
  • 1984 : Direction générale de la recherche extérieure (DGRE)

Directeurs

Rôle

Le CENER était la police politique sous le régime d'Ahmadou Ahidjo[4].

Divers

Amnesty International accuse la DGRE d'administrer un centre dit « Lac », situé près de l’Assemblée nationale à Yaoundé, où se pratiquerait la torture sur des membres de Boko Haram[5].

Articles connexes

Notes et références

  1. (en) Mark Dike DeLancey, Rebecca Mbuh et Mark W. Delancey, Historical Dictionary of the Republic of Cameroon, Scarecrow Press, , 530 p. (ISBN 978-0-8108-7399-5, lire en ligne)
  2. a et b « CAMEROUN :: Services secrets : Complot manqué à la Dgre :: CAMEROON - Camer.be », camer.be,‎ (lire en ligne, consulté le )
  3. « Cameroun : les grandes oreilles de la DGRE - JeuneAfrique.com », JeuneAfrique.com,‎ (lire en ligne, consulté le )
  4. Delphine FOUDA B., « Espoirs et désillusions au Cameroun: 24 années d'horreur sous Ahidjo - CAMEROUN MON PAYS », CAMEROUN MON PAYS,‎ (lire en ligne, consulté le )
  5. Cyril Bensimon, « Cameroun : Amnesty International dénonce la banalisation de la torture dans la lutte contre Boko Haram », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).