Direction générale de la Recherche extérieure
Apparence
Direction générale de la recherche extérieure | |
Juridiction | République du Cameroun |
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Direction | Léopold Maxime Eko Eko |
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La Direction générale de la recherche extérieure (DGRE) est le service de renseignement camerounais.
Histoire
Les noms successifs de ce service sont :
- Service d'études et de la documentation (SEDOC)[1]
- Direction générale d'études et de la documentation (DIRDOC)
- Centre national des études et de la recherche (CENER)[2]
- 1984 : Direction générale de la recherche extérieure (DGRE)
Directeurs
- Jean Fochivé, directeur du CENER pendant 32 ans[3]
- Léopold Maxime Eko Eko (depuis le 31 août 2010)[2]
Rôle
Le CENER était la police politique sous le régime d'Ahmadou Ahidjo[4].
Divers
Amnesty International accuse la DGRE d'administrer un centre dit « Lac », situé près de l’Assemblée nationale à Yaoundé, où se pratiquerait la torture sur des membres de Boko Haram[5].
Articles connexes
Notes et références
- (en) Mark Dike DeLancey, Rebecca Mbuh et Mark W. Delancey, Historical Dictionary of the Republic of Cameroon, Scarecrow Press, , 530 p. (ISBN 978-0-8108-7399-5, lire en ligne)
- « CAMEROUN :: Services secrets : Complot manqué à la Dgre :: CAMEROON - Camer.be », camer.be, (lire en ligne, consulté le )
- « Cameroun : les grandes oreilles de la DGRE - JeuneAfrique.com », JeuneAfrique.com, (lire en ligne, consulté le )
- Delphine FOUDA B., « Espoirs et désillusions au Cameroun: 24 années d'horreur sous Ahidjo - CAMEROUN MON PAYS », CAMEROUN MON PAYS, (lire en ligne, consulté le )
- Cyril Bensimon, « Cameroun : Amnesty International dénonce la banalisation de la torture dans la lutte contre Boko Haram », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).