Chigara
Chigara | ||||
Vue générale sur Chigara | ||||
Noms | ||||
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Nom arabe algérien | الشيقارة | |||
Nom amazigh | ⵛⵉⴳⴰⵔⴰ | |||
Administration | ||||
Pays | Algérie | |||
Wilaya | Mila | |||
Daïra | Sidi Merouane | |||
Président de l'APC Mandat |
zahia ben kara 2017-2022 |
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Code postal | 43025 | |||
Code ONS | 4332 | |||
Démographie | ||||
Population | 14 661 hab. (2008[1]) | |||
Densité | 294 hab./km2 | |||
Géographie | ||||
Coordonnées | 36° 33′ 36″ nord, 6° 13′ 21″ est | |||
Altitude | Min. 95 m Max. 1 292 m |
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Superficie | 49,94 km2 | |||
Localisation | ||||
Localisation de la commune dans la wilaya de Mila. | ||||
Géolocalisation sur la carte : Algérie
Géolocalisation sur la carte : Algérie
Géolocalisation sur la carte : Algérie (nord)
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Chigara, parfois appelée Chigara Zouagha est une commune de la wilaya de Mila en Algérie.
Géographie
Localisation
La commune de Chigara est localisée dans l'extrême nord de la wilaya de Mila, limitrophe de la wilaya de Jijel. Elle se trouve à flanc de montagne bordée au sud par le barrage de Beni Haroun.
Relief, géologie, hydrographie
La commune est dominée au nord par le Djebel Moul El M'Cid à 1292 mètres.
Villages, hameaux et lieux-dits
La commune compte une agglomération chef-lieu appelée Zouabi et quatre agglomérations secondaires, Kikba Houar, Sfisfa Makhat, Ouarziz et Oudja Boukhlifa. Les hameaux sont : Moulay Habassa, Lamssale, Boussafi, El Khoudar, Merdj El Fagous, Beni Aicha, Bouachra, Merghid, Mezalmat, Draa, Nkhala.
Histoire
Le territoire de la commune actuelle correspond plus ou moins au douar Ouled Yahia de la tribu des Zouagha. Le il est rattaché à la commune mixte de Mila puis le la région est intégré à la commune de plein exercice de Sidi Mérouane, avant de devenir douar de la commune le . Chigara devient une commune à son tour en 1984.
Administration
Démographie
Transports
Le chemin de wilaya CW4 traverse d'est en ouest depuis la RN27 vers la commune de Terrai Bainen. Chigara est aussi reliée à la commune d'Ouled Rabah par un chemin communal qui traverse le massif montagneux au nord.
Depuis la construction du barrage de Béni Haroun, le pont qui la reliait à Sidi Mérouane et à Grarem Gouga depuis les années 1980 a été submergé[5] au profit du barrage d'une capacité de 1 milliard de mètres cubes[réf. nécessaire]. La construction d'un viaduc, très attendu[6] dans les années 2000 a été réalisé en 2003 et permet de désenclaver la commune en la reliant à celle de Grarem Gouga, distante de 10 km, qui est la principale ville d'échange commerciale avec Chigara.
Notes et références
- « Wilaya de Mila : répartition de la population résidente des ménages ordinaires et collectifs, selon la commune de résidence et la dispersion ». Données du recensement général de la population et de l'habitat de 2008 sur le site de l'ONS.
- (en) the People's Democratic Republic of Algeria - Mila(Geohive)
- Tableau général ... des communes de plein exercice, mixtes et indigènes des trois provinces (territoire civil et territoire militaire) : avec indication du chiffre de la population et de la superficie / Gouvernement général de l'Algérie, Direction générale des affaires civiles et financières - 1897, p.132
- Tableau général ... des communes de plein exercice, mixtes et indigènes des trois provinces (territoire civil et territoire militaire) : avec indication du chiffre de la population et de la superficie / Gouvernement général de l'Algérie, Direction générale des affaires civiles et financières - 1902, p.143
- Un no man's land au cœur du sous-développement El Watan du 2 septembre 2006.
- Commune de Chigara (wilaya de Mila) : Le barrage de Béni Haroun, bénédiction ou châtiment ? par M Boumelih dans El Watan du 2 octobre 2009.